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23 juin 2024

Michel Spitz

Présentation de la deuxième saison de l’Orchestre Symphonique de Mulhouse - OSM sous la direction du jeune chef d’orchestre autrichien Christoph Koncz qui ouvre ainsi un nouveau chapitre afin de consolider les liens entre les musiciens et le public. Avec une programmation riche de chefs-d’œuvre laissant une large place aux grands artistes du moment, l’orchestre reste fidèle aux valeurs d’excellence et d’ouverture. Il sera bientôt consacré par le label « orchestre national en région » du ministère de la Culture, récompensant le rôle territorial de l’orchestre. La Ville de Colmar soutien l’OSM et se réjouit de l’accueillir pour le concert de Nouvel An viennois, mais aussi dans le cadre des commémorations du 80e anniversaire de la Libération lors de la Seconde Guerre mondiale et d’actions pédagogiques diverses.






Hermine Anthoine à l'Espace d'Art Contemporain André Malraux



EAP COLMAR 
Ecole d'Arts Plastiques
6 route d'Ingersheim - 68000 COLMAR
Tél. 03 89 24 28 73
artsplastiques@colmar.fr

Espace d'Art Contemporain André Malraux
4 rue Rapp - 68000 COLMAR
[Élections législatives 2024]

Manifestation contre l'extrême droite

Collectif Fraternité Colmar
#NouveauFrontPopulaire

















[POLITIQUE]
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[Élections législatives 2024]

À Colmar, la campagne pour les élections législatives bat son plein








[POLITIQUE]
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21 juin 2024

[Élections législatives 2024]

Débat de la 1ʳᵉ circonscription du Haut-Rhin (Cantons de Colmar Nord, Colmar Sud, Neuf-Brisach, Andolsheim)


Présenté par Caroline Moreau (France 3) et Antoine Balandra (France Bleu) en présence de :

- Brigitte Klinkert (Renaissance) députée sortante,
- Yves Hemedinger (sans étiquette),
- Laurent Gnaedig (Rassemblement national),
- Aicha Fritsch (Nouveau Front Populaire – Parti socialiste)


Cliquer sur l'image ↴


Laurent Gnaedig

Brigitte Klinkert

Aicha Fritsch

Yves Hemedinger

[POLITIQUE]
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20 juin 2024

Michel Spitz

À la Collégiale Saint-Martin, Pascal Poirot présente ses œuvres

dans le cadre des 26e « Chemins d’art sacré en Alsace », organisé par l’Archevêché de Strasbourg, soutenu par les communautés paroissiales et les municipalités qui accueillent les différentes expositions.

Lors de cette édition les artistes ont été invité à travailler sur le thème : « voyager, se souvenir, contempler ». Ils y ont mis leur âme et leur quête vers cet Autre intérieur, entre terre et ciel. Sculptures, peintures, mosaïques, photographies, illustrations se déclinent en quatorze lieux et sont leurs interprètes.

« Puisque l’Esprit est notre vie, que l’Esprit nous fasse aussi agir. »

Pascal Poirot explore ici la figure de l'échelle.

L’échelle, dès lors qu’elle est représentée pour elle-même, peinte ou sculptée, sans usage, sans contexte, devient un symbole et un objet plastique curieux à observer, à méditer.

Il s’amuse à suivre ses échelons comme des séquences au cinéma, une succession de photos qui devient pellicule ou les rails du train à la verticale et les fenêtres sur le paysage qui défile, hypnotique.

Son étymologie (scala) se retrouve dans l’escalier, l’escale, le lieu où l’on descend et s’il pense à une lettre majuscule, c’est peut-être un A ou un H, un lien de la terre au ciel avec cette idée de pas, de transition. « Les artistes s’en sont emparés depuis qu’elle existe, mais je pense particulièrement à l’excellent Piotr Klemensievicz, disparu récemment, qui l’a si bien déclinée et sublimée dans ses peintures. »

L’échelle évoque presque universellement un transport vers l’ailleurs tout comme la barque. Elle invite à l’évasion, à la liberté de penser.




Il n’y a rien à comprendre

[Législatives 2024]

Eric Vial

C’est bien les analyses, les commentaires, les cris d’orfraie, les pour, les contres, les rassemblements, les divisions, les trahisons et tout le tralala, la diabolisation des uns ou des autres, les pressions, les manipulations, les dénonciations, les insultes, les leçons de morale comme si les citoyens étaient des idiots finis ou des ploucs.
Et puis parfois, lorsque la coupe est pleine de tout ce raffut et de tous ces abus qui durent, de toutes ces agressions, lorsque l’électeur se sent à l’abandon de la société dans laquelle il vit, honteux de ce qui se passe, de ces élites qui n’en sont pas, du manque d’exemplarité ; lorsqu’on ne lui parle plus que pour le menacer, l’intimider ou le faire payer. Qu’il n’a plus de patience, qu’il ne croit plus en rien et surtout pas aux discours, qu’il a le sentiment que tout cela est une mauvaise commedia dell'arte. Bref, qu’il n’est plus respecté… Il faut juste comprendre alors, rien de politique, c’est pourtant simple, qu’il n’a plus qu’une envie : renverser...

[POLITIQUE]
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