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22 janvier 2023
Le RER d‘Alsace « n’est pas un fiasco » selon le ministre des transports, Clément Beaune
Eric Vial
Je commence à comprendre les problèmes de déconnexion des politiciens avec les Français : ils sont totalement hors-sol et prennent leurs désirs pour la réalité.
Au moment où j’écris ces mots, ma fille n’a plus de train pour se rendre à l’école le matin. Son lycée mène actuellement une enquête auprès des parents pour « trouver des solutions alternatives ».
Des rames sont constamment supprimées sans aucune information préalable, laissant dans le désarroi des enfants, étudiants, travailleurs et des chômeurs sur les quais des gares dans un froid de canard.
Ceux qui circulent sont en retard, parfois d’une demi-heure pour faire dix kilomètres.
Des lignes sont supprimées. Des gares sont fermées. Les gens sont révoltés et écœurés. « Mais où passent nos impôts ? »
Pire, les patrons qui financent la moitié des abonnements sont excédés par les retards fortuits de leurs employés. Clairement cela fragilise davantage leurs entreprises dans un contexte déjà difficile. Mettez-vous à la place d’une vendeuse qui doit ouvrir son magasin à 10h et qui attend à vingt kilomètres de là son train qui ne viendra jamais…
Certains employeurs n’hésitent pas à dire qu’ils font de la discrimination à l’embauche lorsqu’ils apprennent que le transport privilégié par les demandeurs d’emploi est le train…
Enfin, chacun peut constater le retour des bouchons à Strasbourg. La mairie a fait de la chasse à la voiture une priorité en finançant des modes de transports alternatifs (vélo ou transports en commun).
Pourtant, mettre son vélo dans le train est devenu quasiment impossible : c’est la guerre ! Les voyageurs s’insultent.
Bref, rien ne fonctionne correctement. La situation est même pire que ce qui existait avant le RER alsacien. « Ce n’est pas un fiasco », c’est vrai, c’est une gabegie, une honte de traiter ainsi les citoyens. Inacceptable.
Des responsabilités politiques devront clairement être pointées.
21 janvier 2023
Pointer les responsabilités
Eric Vial
Comme dans n’importe quelle entreprise ou réalisation collective, il est temps de « dresser un bilan et des perspectives ».
En 7 ans, où est-ce que cela va mieux en France : services publics, logement, transports, pauvreté, énergie, démocratie, moral, économie, politique internationale, Santé, Défense, Sécurité, agriculture, écologie, social, vieillesse, Éducation, impôts, enfance, recherche, paix, travail, inflation, pouvoir d’achat, développement durable, moralisation de la vie politique, influence de la France à l’étranger… ?
Les élus et les représentants de la Nation ont-ils bien fait leur travail de préservation et de sécurisation des intérêts collectifs ?
Partant de vos constats, sans être dans une posture, imaginez maintenant les perspectives d’amélioration et les modifications à apporter pour atteindre vos projets de développement : avoir une vision positive pour l’avenir des citoyens.
C’est cela faire de la politique !
14 janvier 2023
Michel Spitz
Une comédie anti-morosité à découvrir à Colmar, Munster, et Turckheim du 8 au 29 janvier. Toc Toc, la nouvelle pièce du Théâtre Alsacien est marquée par une grande innovation : au-dessus de la scène, un panneau de surtitrage en français permet aux non dialectophones de suivre la narration !
Le docteur STERN, psychiatre, spécialiste des troubles obsessionnels compulsifs ou « TOC » bloqué à Francfort par les caprices du hasard aérien, est attendu par les patients qu’il doit recevoir ce jour-là. Nos six protagonistes vont alors faire connaissance et débuter une thérapie de groupe en jouant au Monopoly. Tocs incontrôlables et histoires personnelles se mêlent pour créer de nouvelles règles du jeu…
Comédie de Christophe WELLY Traduction et adaptation de la pièce : « TOC TOC » de Laurent BAFFIE - Mise en scène Béatrice VONESCH
13 janvier 2023
11 janvier 2023
TAXE MAGIQUE - MARCHÉS DE NOËL - ENCORE !
Benoît Nicolas
11/1/2023
Facture ?
Appel à participation ?
Par courrier du 3 décembre, reçu après Noël, les commerçants doivent contribuer à la sécurité des marchés de Noël pour 280.000 euros.
Il est ensuite précisé qu'une "minorité ne contribue pas".
Que cela ne serait "pas acceptable".
Que cela poserait un problème "d'équité" !
FRANCHEMENT !
Cette taxe sécurité est inacceptable.
Cette taxe sécurité est inéquitable.
Cette facture est illégale.
La sécurité relève du régalien et c'est l'affaire de tous.
Ce n'est, au plan du principe, pas aux commerçants d'assurer la sécurité de tous.
La ville déborde de touristes.
On pousse, au plan politique, pour que le monde entier débarque aux marchés de Noël à COLMAR.
Très bien !
La taxe de séjour a été largement augmentée.
Très bien !
Les parkings rapportent des sommes colossales.
Très bien !
C'est à la Ville ou à l'agglomération tout entière d'assurer le coût de la sécurité.
Pas aux commerçants.
Et les touristes ?
Ils sont les seuls à devoir être mis à contribution.
Augmenter la consigne d'1 euro pour les gobelets vin chaud en intégrant la gestion de ce service si les parkings aux prix prohibitifs pour les Colmariens ou l'augmentation de la taxe de séjour ne suffisent pas ?
Ben non...
On préfère "facturer" les commerçants de façon totalement illicite !
Selon quels critères ?
Personne ne le sait.
Selon quel périmètre ?
Personne ne le sait.
Selon quel montant (qui change d'une année à l'autre ou d'un commerçant à l'autre) ?
Personne ne le sait.
Pourquoi deux taxes pour une société commerciale unique ?
Personne ne le sait.
Que se passe-t-il si le commerçant ne paie pas ?
Personne ne le sait.
Reçoit-on une "contribution" quand le chiffre d'affaires de son commerce baisse pendant le marché de Noël ?
Personne ne le sait.
Et on vient vous parler d'équité, de commerçants adoptant une attitude inacceptable.
Cette "facture" ou "appel à participation" est en réalité un "don".
Personne ne peut donc être contraint de "contribuer" et il ne peut s'agir d'une "facture".
Cela devrait être présenté loyalement comme tel.
Sans pression ni menace ou leçon d'équité.
Gilbert MEYER, en son temps, menaçait les commerçants directement.
Nous n'y sommes pas encore...
AMIS COMMERCANTS :
VOUS POUVEZ ACCEPTER DE DONNER OU DE NE PAS DONNER.
MAIS RIEN NE PEUT VOUS Y CONTRAINDRE !
11/1/2023
Facture ?
Appel à participation ?
Par courrier du 3 décembre, reçu après Noël, les commerçants doivent contribuer à la sécurité des marchés de Noël pour 280.000 euros.
Il est ensuite précisé qu'une "minorité ne contribue pas".
Que cela ne serait "pas acceptable".
Que cela poserait un problème "d'équité" !
FRANCHEMENT !
Cette taxe sécurité est inacceptable.
Cette taxe sécurité est inéquitable.
Cette facture est illégale.
La sécurité relève du régalien et c'est l'affaire de tous.
Ce n'est, au plan du principe, pas aux commerçants d'assurer la sécurité de tous.
La ville déborde de touristes.
On pousse, au plan politique, pour que le monde entier débarque aux marchés de Noël à COLMAR.
Très bien !
La taxe de séjour a été largement augmentée.
Très bien !
Les parkings rapportent des sommes colossales.
Très bien !
C'est à la Ville ou à l'agglomération tout entière d'assurer le coût de la sécurité.
Pas aux commerçants.
Et les touristes ?
Ils sont les seuls à devoir être mis à contribution.
Augmenter la consigne d'1 euro pour les gobelets vin chaud en intégrant la gestion de ce service si les parkings aux prix prohibitifs pour les Colmariens ou l'augmentation de la taxe de séjour ne suffisent pas ?
Ben non...
On préfère "facturer" les commerçants de façon totalement illicite !
Selon quels critères ?
Personne ne le sait.
Selon quel périmètre ?
Personne ne le sait.
Selon quel montant (qui change d'une année à l'autre ou d'un commerçant à l'autre) ?
Personne ne le sait.
Pourquoi deux taxes pour une société commerciale unique ?
Personne ne le sait.
Que se passe-t-il si le commerçant ne paie pas ?
Personne ne le sait.
Reçoit-on une "contribution" quand le chiffre d'affaires de son commerce baisse pendant le marché de Noël ?
Personne ne le sait.
Et on vient vous parler d'équité, de commerçants adoptant une attitude inacceptable.
Cette "facture" ou "appel à participation" est en réalité un "don".
Personne ne peut donc être contraint de "contribuer" et il ne peut s'agir d'une "facture".
Cela devrait être présenté loyalement comme tel.
Sans pression ni menace ou leçon d'équité.
Gilbert MEYER, en son temps, menaçait les commerçants directement.
Nous n'y sommes pas encore...
AMIS COMMERCANTS :
VOUS POUVEZ ACCEPTER DE DONNER OU DE NE PAS DONNER.
MAIS RIEN NE PEUT VOUS Y CONTRAINDRE !
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