Interpellée, choquée même, hier, par la misère dans les rues de Strasbourg…
À l’entrée de la ville, sur les abords des routes, des campements de fortune pullulent et des femmes en guenilles traversent dangereusement la nationale afin de chercher de l’eau dans des grands bidons.
En ville, des sans-abri dont beaucoup sont accompagnés de chiens, mendient inlassablement, la plupart de ces hommes et femmes (souvent jeunes) sont malheureusement alcoolisés.
Des femmes couchées à même le sol et un petit garçon qui devrait être à l’école mais obligé de jouer de l’accordéon en plein froid sur la place de l’Homme de fer.
Je n’avais jamais vu autant de pauvreté, de précarité et de dénuement dans cette ville que j’ai trouvé très moche hier…
Beaucoup d’associations alertent sur l’explosion de la demande d’aide alimentaire et le nombre de sans-abri.
Article ce matin encore dans les DNA. 18/11/2021