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17 mai 2022

Flavien Ancely Frey

Ça y est !
La gauche part unie et plus mobilisée que jamais à Colmar et en Plaine du Rhin, pour porter l'espoir immense de l'avenir en commun !
Dépôt de candidature validé ce matin par les services du Préfet du Haut-Rhin.
Je suis immensément fier de m'engager aux côtés d'Aïcha Fritsch (NUPES) en qualité de candidat suppléant.
Venez défendre avec nous un projet passionnant et crédible pour transformer durablement le réel, par la planification écologique et l'organisation du retour des services publics (hôpitaux, éducation, énergie).
REJOIGNEZ-NOUS !

Vous pouvez dès à présent nous écrire à l'adresse mail suivante :
catherine.bassetdron@gmail.com
39ème Foire Eco Bio d'Alsace
du 26 au 29 mai 2022


Elle est LE rendez-vous en la matière, aussi incontournable qu'indispensable, la Foire Eco Bio revient en 2022 du 26 au 29 mai au Parc des Expositions et Centre des Congrès de Colmar.

Tout comme l'association Eco Bio Alsace qui porte cet événement, la Foire Eco Bio prône un objectif clair : sensibiliser et accompagner un large public à la protection de l'environnement et du vivant, dans un esprit de solidarité et de promotion de la culture. Pour cela, le public retrouvera une offre riche et variée d'exposants, mais également d'animations et de services.

voir le site



12 mai 2022

ANTI PASS COLMAR 68

Musée Unterlinden

Printemps du Retable

Les restaurateurs à l’œuvre !




Les vendredis 13 et 20 mai, Anthony Pontabry, restaurateur passionné échange avec vous autour des différentes opérations de restauration menées depuis 5 ans sur les panneaux peints et les encadrements du Retable d’Issenheim.

Horaires : 15h, 15h30, 16h
Tarif : Entrée du musée
Lieu : Chapelle

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Nuit européenne des musées
La classe, l’œuvre !




Venez flâner, discuter et échanger en couple, en famille ou entre amis autour des collections du musée accompagnés par les élèves de l’Académie de Strasbourg. Le temps d’une soirée, ils vous guideront au cœur du musée afin de vous faire partager leurs connaissances, leurs émotions et leur joie d’être les médiateurs du Musée Unterlinden.

Le Café-Restaurant Schongauer sera ouvert pour l’occasion de 19h à 22h.

Date : Samedi l4 mai
Horaire : 19h à 22h
Tarif : Entrée gratuite
Lieu : Ensemble du musée

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11 mai 2022

Marie HAFFNER

Une autre vision de la thérapie

Cette semaine Curio’Cité vous emmène au CPA (Centre pour Personnes Âgées) de Colmar où une artiste de l’association Le MUR a réalisé une fresque en collaboration avec certains patients. Dans la cour de l’unité cognitivo-comportementale, qui accueille des personnes atteintes, entre-autres, de la maladie d’Alzheimer, Marie HAFFNER, enseignante de métier, a en effet donné des couleurs à un mur de 12 mètres de long. Des végétaux aux couleurs flamboyantes ont ainsi remplacé le monochrome, le tout parsemé de détails graphiques, en partie complétés par les patients de l’unité. Un échange unique pour la jeune artiste, et une démarche thérapeutique intéressante pour les soignants, comme nous l’explique le Dr MICHEL, responsable du pôle gériatrie des Hôpitaux Civils de Colmar.

Stéphanie Villemin

J’ai l’honneur de vous annoncer ma candidature aux élections législatives dans la 3ème circonscription des Vosges en vue des élections des 12 et 19 juin prochains. Je suis très heureuse de la confiance que le Président de la République a bien voulu m’accorder pour défendre son programme sur ce territoire. Je serai à votre rencontre dès demain et tout au long des prochaines semaines.



9 mai 2022

Le Torchis

Défendre l’Alsace ! (1)




La défense de l’Alsace est un acte politique. Comme tout acte politique, il a besoin d’un cadre et celui-ci est soit un parti, soit un mouvement, soit une association. N’oublions pas que seul le législateur peut changer le statut de l’Alsace, personne d’autre.

Quel cadre d’actions ?

On peut avoir de l’influence sur le législateur en militant dans une association mais celle-ci restera toujours d’une faible portée politique. Le cadre le plus approprié reste encore le parti politique dont la raison première est d’exercer un jour le pouvoir grâce à ses représentants au Parlement. S’agissant de l’Alsace, nous avons chez nous toute la palette des partis nationaux français avec cependant un plus que constitue la présence sur l’échiquier, du parti régionaliste qu’est Unser Land.

Quand on parle de défendre l’Alsace, il s’agit de militer pour ce que l’Alsace aurait déjà pu être dès 2013, à savoir une collectivité à statut particulier comme l’était le projet du Conseil d’Alsace.

Le projet

Ce projet avait été conçu et élaboré durant quatre années grâce au travail des socioprofessionnels du Conseil économique et social, (CESA) de feu la Région Alsace qui avait abouti à un avis retentissant en juin 2007. Cet avis avait sonné le début d’un débat politique qui s’était achevé par l’organisation d’un référendum en avril 2013. Entre-temps, les politiciens alsaciens avaient mis deux ans, à partir de 2011, pour accoucher d’un projet qu’ils ont présenté aux Alsaciens en leur demandant de se l’approprier en seulement deux mois…

Le spectacle auquel avaient assisté les Alsaciens, depuis la querelle du siège jusqu’aux prises de positions contradictoires des uns et des autres, avait achevé de les convaincre que cette grande confusion ambiante ne les conduirait pas aux urnes.

En faisant abstraction des extrêmes qui étaient et sont toujours opposés à ce statut particulier de l’Alsace, force est de reconnaître que ni la majorité alsacienne, ni le parti socialiste, très divisé et sans consigne de la part de la rue de Solférino, n’ont été capables de promouvoir ce projet alsacien imaginé à l’époque par les Alsaciens eux-mêmes.

L’objectif était de doter l’Alsace d’une structure institutionnelle unique en France (la Corse mise à part) qui lui aurait permis d’élaborer ses politiques publiques d’une façon plus efficace et plus transparente pour le citoyen-électeur-contribuable. Cela aurait été l’acte 1 d’une décentralisation asymétrique en France avec un système imaginé, élaboré et choisi par les habitants d’un territoire français emblématique.

Les grands partis nationaux n’ont donc pas été au rendez-vous et ne le sont toujours pas.

Les partis nationaux hors-jeu

Que l’on songe aux conflits qui les traversent encore aujourd’hui avec par exemple celui entre Frédéric Bierry à la tête de la CEA et Jean Rottner à la tête du Grand Est alors même qu’ils sont tous les deux, responsables LR.

En militant pour l’Alsace dans le cadre de ces partis nationaux, on est forcément soumis à ces contraintes d’enjeux internes et de pressions parisiennes qui ont très peu à voir avec l’Alsace. De ce fait, il devient très difficile, surtout pour un élu ou un responsable appartenant à ces formations, d’exercer une influence pour promouvoir une collectivité alsacienne à statut particulier au sein de sa formation.

C’est pourtant le désir profond des Alsaciens concrétisé par le résultat sans appel (92% de oui) de la consultation citoyenne organisée par F. Bierry très récemment. De mon point de vue, les partis nationaux actuels sont désormais hors-jeu sur ce sujet.

La REM du président de la République est peu ou prou dans la même situation malgré l’avènement de la Collectivité européenne d’Alsace (CEA) en 2021. La majorité présidentielle n’a toujours pas apporté la preuve qu’elle prend la décentralisation au sérieux, c’est même tout le contraire.

Le feu au lac

N’oublions pas finalement qu’après ses bons scores lors des élections régionales de 2015, c’est l’exploit réalisé lors des législatives de 2017, par un candidat d’Unser Land avec sa qualification au deuxième tour et ce pour la première fois depuis la seconde guerre mondiale, qui a été le point de départ d’une prise de conscience des élus de la majorité alsacienne face à la montée du mécontentement de beaucoup d’Alsaciens qui se considèrent comme des « incorporés de force » dans le Grand Est.

C’est donc, en partie, parce qu’il commençait à y avoir « le feu au lac » qu’a été enclenché le processus qui devait mener à la loi Alsace de 2019 puis à la création de la CEA en janvier 2021.

Les partis nationaux ayant d’autres préoccupations que le sort de l’Alsace avec en prime des dissensions internes, il ne resterait donc plus qu’une option efficace pour la défendre, celle d’un parti alsacien, en l’occurrence Unser Land.

C’est ce que nous examinerons dans un prochain article…

(1) Lire à ce sujet l’ouvrage « L’Alsace malgré elle » paru aux éditions de la Nuée Bleue en mai 2021.

L’Alsacien


AirBnB : « des règles concernant le respect du voisinage »
L'Alsace - 6/5/2022


Colmar, prisée des touristes. Photo L’Alsace/Thierry GACHON


Les gérants du gîte situé rue de Pfaffenheim et dont il était question lors de la dernière réunion publique de la municipalité au quartier Sainte-Marie à Colmar (voir notre édition du 29 avril), souhaitent réagir à l’article qui relatait les récriminations d’une voisine se plaignant des nuisances sonores émanant de cette location.

« En tant que propriétaires de la maison, il nous semblait essentiel d‘y répondre et de faire comprendre que tous les « AirBnB » n’étaient pas à fustiger. Cette maison, nous y avons grandi. Nous avons tout d’abord voulu y conserver cette philosophie d’accueil que nos parents nous ont inculquée. Ensuite, nous avions à cœur de partager les valeurs de l’Alsace et de participer au dynamisme économique de la région. Nos voyageurs sont aussi des consommateurs (restaurants, traiteurs, vins, poteries, musées…). Ils sont friands de nos « bons plans locaux ». Depuis deux ans, nous y accueillons essentiellement des familles qui réunissent trois voire quatre générations.

Comme notre gîte peut accueillir jusqu‘à 14 personnes, nous avons dès le départ mis en place des règles strictes concernant la discrétion et le respect du voisinage, points sur lesquels nous insistons encore à chaque accueil. Ces consignes sont la plupart du temps respectées à la lettre.


Cohabitation harmonieuse

Effectivement, lors du Nouvel an 2020/21, cela n‘a pas été le cas et la fête se serait poursuivie jusqu’à 2h du matin. Nous avons immédiatement réagi et changé le mode de sélection de nos clients. Nous avons donné nos numéros de portables à nos voisins, afin de pouvoir intervenir instantanément le cas échéant.

Pour répondre à la demande de l‘un d’entre eux, l’an passé, nous avons placé tout de suite sur notre clôture des panneaux d’interdiction de stationner en face de son portail afin de lui faciliter les manœuvres. Bien entendu, nous resterons à l’écoute et ferons tout notre possible pour que les choses se passent au mieux pour chacun. »

Les propriétaires ont été récemment contactés par le directeur de la sécurité, de la prévention et de la citoyenneté de la ville de Colmar. « Nous nous sommes mis d‘accord sur les moyens à mettre en œuvre pour une cohabitation harmonieuse. »


Eric Vial

Le sens des priorités

Merci. Merci. Je suis régulièrement interpellé dans la rue par des lecteurs qui me « félicitent pour mes articles et mon courage ». La vérité c’est qu’en politique, je ne comprends pas tout.
Par exemple, je n’ai toujours pas compris, comment avec 660 milliards de dette, une croissance nulle, une inflation galopante, l’annonce que 51 % des Français n’arrivent pas à boucler leur fin de mois, que le salaire médian se trouve à 1750 €, que les salaires n’augmentent pas, et que la pauvreté générale s’accroît touchant particulièrement les mamans solos… Comment se fait-il donc que dans le même temps, l’État soit capable de livrer pour près de 3 milliards d’aides et d’armes pour faire la guerre ?
Il y aurait donc de l’argent pour des causes mais pas pour d’autres, c’est cela ?
Le bien-être de TOUTE la population française ne devrait-il pas être une vision et un objectif partagé, en PRIORITÉ ? C’est pourtant l’inverse qu’on nous annonce : « le pire est devant nous », « il y aura peut-être des famines ».
Emmanuel Macron avait déclaré en 2017 : « ma première bataille c’est le logement, un logement digne. Je ne veux plus voir personne d’ici la fin de l’année, des femmes et des hommes, dans les rues ». 3 milliards d’€ pour le logement ce serait bien aussi, non ?
« Démagogie ! » vont crier les défenseurs de la politique actuelle lorsqu’ils liront mon texte.
« Ah bon ? Nous ne croyons pas », répondra le peuple dont apparemment tout le monde se fiche.
Quand on veut trouver de l’argent, on peut. Alors, il est temps d’agir aussi pour la France !