Texte lu lors de la définitivement dernière manifestation des soignants de l'hôpital Pasteur de Colmar, demandant depuis quatre mois un changement radical pour éviter la "mort de l'hôpital public".
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8 avril 2022
Les soignants de l'hôpital Pasteur de Colmar estiment ne pas avoir été entendus
Les Musicales de Colmar
Michel Spitz
Dans l'intimité d'une magnifique petite église alsacienne, à Horbourg-Wihr, vivez de doux moments musicaux dans un programme Haydn / Mozart interprétés par de talentueux jeunes solistes.
Dans l'intimité d'une magnifique petite église alsacienne, à Horbourg-Wihr, vivez de doux moments musicaux dans un programme Haydn / Mozart interprétés par de talentueux jeunes solistes.
7 avril 2022
Festival Les Musicales de Colmar
CONCERT FAMILLE au Théâtre municipal de Colmar ce samedi 9 avril à 20h30. Redécouvrez le conte "Pierre et le Loup" de Serge Prokofiev, avec la récitante Lina El Arabi et les plus talentueux jeunes solistes des scènes françaises et européennes...
6 avril 2022
Présidentielle 2022
Pierre Duriot
Une esquive de plus. Macron ne débattra pas ce soir sur France 2, avec les autres candidats à l’élection présidentielle. On ne va même pas prendre la peine d’écouter ses excuses, on a compris depuis longtemps, qu’il ne voulait pérorer qu’avec un public choisi et des questions préalablement étudiées et décortiquées. Il a peur de quoi ? Affronter des candidats qui vont lui parler d’Alstom, de McKinsey, d’effets secondaires des vaccins, de turpitudes internationales, de bilan économique, de contaminations... Si quelques Français avaient encore des illusions sur ce président-là, les voilà fixés, et les journalistes zélés aussi : il a dit à tout bout de champ : « j’assume » et il n’assume pas. Ultime esquive qui devrait lui être fatale. Est-ce cela un homme d’État ? La France qui a souffert pendant 5 ans doit-elle encore supporter 5 nouvelles années d’humiliations et de risées ? Ce pays mérite mieux qu’un candidat qui tremble à l’idée de devoir débattre de son bilan, de l’avenir qu’il propose et des errements passés. L’encore président, homme de main de McKinsey et porte flingue de l’internationale financière, doit être mis hors jeu dès le 1er tour.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
De quoi a-t-il peur ?
Une esquive de plus. Macron ne débattra pas ce soir sur France 2, avec les autres candidats à l’élection présidentielle. On ne va même pas prendre la peine d’écouter ses excuses, on a compris depuis longtemps, qu’il ne voulait pérorer qu’avec un public choisi et des questions préalablement étudiées et décortiquées. Il a peur de quoi ? Affronter des candidats qui vont lui parler d’Alstom, de McKinsey, d’effets secondaires des vaccins, de turpitudes internationales, de bilan économique, de contaminations... Si quelques Français avaient encore des illusions sur ce président-là, les voilà fixés, et les journalistes zélés aussi : il a dit à tout bout de champ : « j’assume » et il n’assume pas. Ultime esquive qui devrait lui être fatale. Est-ce cela un homme d’État ? La France qui a souffert pendant 5 ans doit-elle encore supporter 5 nouvelles années d’humiliations et de risées ? Ce pays mérite mieux qu’un candidat qui tremble à l’idée de devoir débattre de son bilan, de l’avenir qu’il propose et des errements passés. L’encore président, homme de main de McKinsey et porte flingue de l’internationale financière, doit être mis hors jeu dès le 1er tour.
Gilles La Carbona, secrétaire national du Rassemblement du Peuple Français, chargé du suivi de la vie parlementaire.
Gérald d'Orbe
In petto... j'me d'mande...
De mes quelques faibles connaissances en la matière, j'en retiens une : nous sommes, paraît-il, dans un État de droit. De fait tout ce qui n'est pas interdit est autorisé. Jusque-là c'est simple...
Dans certaines circonstances et jusqu'à aujourd'hui, il était obligatoire, sous peine d'amende, de porter un chiffon sur le nez. En contradiction avec le droit habituel interdisant de se masquer le visage, tolérance – je crois – pour les festivités carnavalesques.
Depuis aujourd'hui, cette obligation étant levée, nous revenons, je pense, à la situation normale, celle où la loi dit qu'il est interdit de sa cacher le visage.
Voyant le nombre de personnes convaincues d'agir pour "le bien de tous" qui sont aujourd'hui en violation de la loi, j'attends avec impatience de voir se faire verbaliser ceux qui se masquent.
J'attends.
In petto... j'me d'mande...
De mes quelques faibles connaissances en la matière, j'en retiens une : nous sommes, paraît-il, dans un État de droit. De fait tout ce qui n'est pas interdit est autorisé. Jusque-là c'est simple...
Dans certaines circonstances et jusqu'à aujourd'hui, il était obligatoire, sous peine d'amende, de porter un chiffon sur le nez. En contradiction avec le droit habituel interdisant de se masquer le visage, tolérance – je crois – pour les festivités carnavalesques.
Depuis aujourd'hui, cette obligation étant levée, nous revenons, je pense, à la situation normale, celle où la loi dit qu'il est interdit de sa cacher le visage.
Voyant le nombre de personnes convaincues d'agir pour "le bien de tous" qui sont aujourd'hui en violation de la loi, j'attends avec impatience de voir se faire verbaliser ceux qui se masquent.
J'attends.
Galerie Murmure
Par le trait affirmé de son dessin rehaussé de couleurs Roger Decaux a su développer son propre style. Son écriture ne s’encombre pas des conventions académiques qu’il laisse au passé. Elle se livre avec toute sa puissance.
Son œuvre nous trouble, nous émerveille, nous fait sourire ou nous questionne. Si elle nous oriente par son côté expressionniste, les titres que Roger Decaux donne à ses séries nous guident vers la compréhension d’une situation qu’ils suggèrent, tout en étant étranges et expressionnistes, à l’image de ses œuvres.
Par le trait affirmé de son dessin rehaussé de couleurs Roger Decaux a su développer son propre style. Son écriture ne s’encombre pas des conventions académiques qu’il laisse au passé. Elle se livre avec toute sa puissance.
Son œuvre nous trouble, nous émerveille, nous fait sourire ou nous questionne. Si elle nous oriente par son côté expressionniste, les titres que Roger Decaux donne à ses séries nous guident vers la compréhension d’une situation qu’ils suggèrent, tout en étant étranges et expressionnistes, à l’image de ses œuvres.
Gaël Poulain de TV7 a su capter de son regard cinématographique la subtilité et la profondeur des œuvres de l'artiste :
Les Vosgiennes sont de retour
Elles seront présentes à Colmar, allée du Champ-de-Mars, le dimanche 10 avril, de 10h30 à 16h30.
Présentation des animaux, sonneurs de cloches, animations pour les enfants, petite restauration...
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