Colmar : Rassemblement citoyen pour la paix
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23 février 2025
Alexandre Jardin et Daniel Guichard lancent une opération nationale contre les ZFE
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22 février 2025
[POLITIQUE / SUJETS DE SOCIÉTÉ]
Marc Amblard
Marc Amblard
DONALD TRUMP EST-IL FASCISTE ?
- 22/2/2025 - La question mérite d’être posée tant il est fréquent que la gauche américaine et les médias européens associent ce qualificatif au président récemment élu.
Tentons d’y répondre rapidement en reprenant les quatre piliers fondateurs du fascisme (dont on rappelle qu’il fut le régime autoritaire instauré par Mussolini en Italie de 1922 à 1945).
1. Le poids croissant de la bureaucratie et de la planification d’État
Nous connaissons la citation du dictateur italien : "Tout pour l'État, tout avec l'État et tout par l'État". Mussolini, mais également Staline, Hitler, Mao, Castro… étaient les plus ardents défenseurs de la centralisation des pouvoirs autour de leur personne.
Donald Trump emprunte précisément la direction opposée en combattant les excès d’un état fédéral omnipotent. Pour preuve, le DOGE (département de l’efficacité gouvernementale) créé à son initiative est en train de révéler des pans entiers de dépenses publiques engagées à l’encontre des intérêts du peuple américain. C’est donc bien vers un allègement de l’État que nous nous dirigeons actuellement.
2. Une règlementation qui envahit la sphère privée de l’individu
Autre caractéristique toute aussi importante du fascisme, c’est cette volonté quasi pathologique de vouloir réglementer la vie quotidienne des individus selon l’adage « faire le bien du peuple, fut-ce contre son gré ». Ce point a été admirablement décrit par George Orwell dans son ouvrage référence « 1984 ».
Encore une fois, Donald Trump ne semble pas désireux d’accroitre l’emprise du gouvernement sur les citoyens. C’est même le contraire puisqu’il a promis de réduire le poids de la réglementation et de l’influence de l’État sur nos comportements. La meilleure illustration est probablement sa récente décision de dissoudre le « Ministère de l’éducation » qu’il considère comme un outil de formatage des cerveaux. Idem pour le « tout électrique » que Trump a balayé d’un revers de la main considérant que chacun doit être libre de conduire le véhicule de son choix. Ou encore la vaccination qui ne doit pas être imposée mais relever d’une décision personnelle.
3. Des médias aux ordres
L’actuel président a été la première victime de cette presse et ces chaînes de TV qui ont renoncé à leur fonction de contre-pouvoir pour devenir des relais propagandistes et les chiens de garde du gouvernement.
Cherche-t-il à reproduire à son avantage cette situation ? L’ouverture à la Maison blanche de la chambre de presse aux médias alternatifs s’inscrit plutôt dans une volonté d’inciter à plus de diversité dans les systèmes d’information. Plus largement, sa volonté de préserver à tout prix la liberté d’expression, fortement appuyée par la voix du vice-président lors du congrès de Munich renforce l’idée de sauvegarder la pluralité des opinions. Il est encore un peu tôt pour être catégorique sur ce point. L’avenir nous éclairera davantage.
4. La volonté des autorités d’étendre leur emprise au-delà des frontières de la nation
Les audits menés au sein de l’USAID, cette agence initialement dédiée à l’aide internationale a révélé que le gouvernement américain détournait les taxes pour arroser la terre entière de dollars américains. Deux objectifs majeurs : diffuser partout dans le monde les courants de pensée portés par le pouvoir et s’assurer que les gouvernements des nations étrangères étaient compatibles avec les valeurs défendues par l’Oncle Sam.
L’actuel président compte bien mettre un terme à ces pratiques qu’il considère comme des délits d’ingérence. Pour lui, c’est « America first ». Les États-Unis ne doivent plus être la police du monde. Tout doit être mis en œuvre pour protéger les intérêts du peuple américain et uniquement ceux du peuple américain. Le retrait de l’OMS, des accords de Paris et qui sait, peut-être de l’Otan, illustre parfaitement la nouvelle politique de la Maison blanche.
Assez objectivement et à l’aune de ces quatre points, force est de reconnaître que le programme engagé par l’actuel occupant et son équipe s’inscrit à l’exact opposé de ce qui caractérise le fascisme dont l’histoire nous a hélas livré quelques tristes applications.
On peut faire de nombreux reproches à Donald Trump, mais pas celui d’être fasciste. Une telle qualification relève d’un contre-sens fâcheux et d’une méconnaissance totale de l’idéologie autoritaire.
Yves Hemedinger
L’horreur
L’horreur
Une pensée pour les victimes et leurs familles.
Je n’ai pas envie d’en dire plus car les grandes phrases sont tellement plus faciles que les actes et c’est toujours la même chose.
Donc no comment de ma part.
Sauf un point car ces derniers jours on cherchait à nous faire peur avec la menace russe sur notre sol.
Russe ? Vraiment ?
Je considère que toute la classe politique nationale et locale a failli depuis de très nombreuses années.
Moi y compris.
Nous devrions avoir le courage la décence et l’honnêteté de nous taire et d’en tirer les conclusions !
Je n’ai pas envie d’en dire plus car les grandes phrases sont tellement plus faciles que les actes et c’est toujours la même chose.
Donc no comment de ma part.
Sauf un point car ces derniers jours on cherchait à nous faire peur avec la menace russe sur notre sol.
Russe ? Vraiment ?
Je considère que toute la classe politique nationale et locale a failli depuis de très nombreuses années.
Moi y compris.
Nous devrions avoir le courage la décence et l’honnêteté de nous taire et d’en tirer les conclusions !
Mathieu Bedez
Du 21 février au 21 mars au Lézard
Du 21 février au 21 mars au Lézard
Plongez dans l’univers fascinant de Natacha Caland, où ses reliefs tactiles s’offrent à la fois à la vue et au toucher.
Découpés, pliés, courbés ou cassés, les matériaux se métamorphosent en figures géométriques simples et monochromes. À l’intérieur de ces formes, de petits modules répétés créent un jeu subtil de lumières et de vibrations, perturbant la stabilité apparente des surfaces.
En mouvement devant ces œuvres, vous serez invités à ressentir la fragilité de notre perception du monde visible.
Une expérience unique qui s’inscrit dans la lignée de l’art cinétique.
Découpés, pliés, courbés ou cassés, les matériaux se métamorphosent en figures géométriques simples et monochromes. À l’intérieur de ces formes, de petits modules répétés créent un jeu subtil de lumières et de vibrations, perturbant la stabilité apparente des surfaces.
En mouvement devant ces œuvres, vous serez invités à ressentir la fragilité de notre perception du monde visible.
Une expérience unique qui s’inscrit dans la lignée de l’art cinétique.
21 février 2025
Rendez-vous le 25 février pour découvrir le programme 2025 avec Alain Altinoglu
Chers passionnés, chères passionnées, de musique et du Festival International de Colmar,
Après une édition 2024 riche en émotions, il est temps de lever le rideau sur 2025 !
Nous avons le plaisir de vous donner rendez-vous le 25 février à 10h pour découvrir en avant-première la programmation du Festival International de Colmar 2025, qui se tiendra du 3 au 14 juillet.
Assistez en direct à l’annonce officielle aux côtés d’Alain Altinoglu sur nos réseaux :
notre chaine youtube :
https://www.youtube.com/@Festivalcolmarclassique
notre page Facebook
https://www.facebook.com/Festival.Colmar/
notre site Internet
https://www.festival-colmar.com
Un coup de cœur ?
Ne tardez pas : la billetterie ouvrira dès le 26 février !
Rendez-vous ici !
Nous avons hâte de vous retrouver à Colmar pour partager ensemble des instants musicaux d’exception.
Alain Altinoglu et toute l’équipe du Festival International de Colmar
Chers passionnés, chères passionnées, de musique et du Festival International de Colmar,
Après une édition 2024 riche en émotions, il est temps de lever le rideau sur 2025 !
Nous avons le plaisir de vous donner rendez-vous le 25 février à 10h pour découvrir en avant-première la programmation du Festival International de Colmar 2025, qui se tiendra du 3 au 14 juillet.
Assistez en direct à l’annonce officielle aux côtés d’Alain Altinoglu sur nos réseaux :
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Ne tardez pas : la billetterie ouvrira dès le 26 février !
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Alain Altinoglu et toute l’équipe du Festival International de Colmar
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Gilles La Carbona

Retailleau est l’ambiguïté érigée en espérance. Il est ce clair-obscur qui cache ce qu’il ne veut pas montrer tout en suggérant ce qu’il ne pourra jamais être. Ancré dans le camp des LR, ceux qui soutiennent Ursula von der Leyen, il serait soudainement cette solution que nous attendons tous. D’aucun n’hésitent pas à l’auréoler du titre de souverainiste, parce qu’il a voté contre Maastricht et a été contre le traité de Lisbonne. Cela pourrait presque convaincre s’il n’avait, entre-temps, succombé aux sirènes de l’alignement pro-européen, jeté aux orties les convictions qui auraient aujourd’hui valeur de persévérance et donneraient au personnage l’épaisseur et la dimension qu’il aimerait matérialiser, comme un de Villiers, toujours aussi droit dans ses bottes qu’il y a trente ans.
Comme quoi rien n’était impossible ! Il devient bon de faire semblant d’adopter une posture initiée sans doute par l’environnement international qui commence à donner raison à ceux qui n’ont pas vendu leur âme pour un poste. Lui et ses amis ne se sont jamais opposés franchement à Macron, ni à ses Premiers ministres, évitant soigneusement de voter des motions de censure, notamment sur des budgets dont on mesure depuis peu tout le drame qu’ils ont occasionné pour nos finances. Ils n’ont pas hésité à faire alliance avec la macronie et la gauche, pour faire barrage au RN, préférant voir des députés de gauche être élus, et laissant ainsi filer une occasion de renouer avec une droite en recomposition, dont ils auraient pu être les artisans. Seul Ciotti a eu le courage de briser l’absurde préjugé et de choisir le camp qui lui semblait le plus à droite, ou pour être honnête, le moins à gauche ! Retailleau c’est l’excuse par l’amnésie. Il fustige un magistrat qui applique la loi qu’il a votée lui-même quelques mois auparavant, et qui permet à un Algérien expulsé de revenir comme une fleur… sans se souvenir que c’est lui-même et ses amis qui l’ont ordonné.
Il faut que ce soit un auditeur en plein direct qui le lui rappelle, le confrontant dans l’instantané à son propre vide. Si la loi était si mauvaise, pourquoi l’avoir votée, parce que dans la précipitation et l’incurie, il n’a pas pris le temps d’évaluer les conséquences de ce qu’il faisait… Il est ce rêve évanoui d’une grandeur qu’il n’arrive pas à affirmer, tant il s’est laissé corseter par l’européanisme obligatoire, imposé et accepté pour continuer à exister. Car son problème est celui d’être, de durer. Un souverainiste dans un gouvernement de Macron, c’est comme si une dinde se présentait en cuisine un soir de Noël avec un petit sac de marrons… Comment peut-on se commettre avec un tel personnage, lui qui n’a fait que vendre la France à la découpe, sans jamais rencontrer de la part des LR une protestation, ni même une demande d’explications ? Comment rester aux côtés de cet homme dont la seule ambition est la dilution de la nation dans cette Europe qu’il vénère. Pourrait-il rassembler autre chose que ce centre mou et inconséquent dont sort Bayrou, ou cette droite languissante, épuisée et frileuse, qui évite les vrais débats, et n’ose plus nommer les choses, encore moins lister les problèmes ?
Il est cette représentation qui ne s’entretient plus avec le peuple et ne peut donc comprendre ce qu’il attend. Il n’a qu’une vague idée et s’en remet à ses communicants pour rattraper un réel qu’il a depuis longtemps abandonné. Parle-t-il du Frexit ? Non, ce serait faire un affront à sa servitude entendue auprès de l’impératrice Ursula. Il ne veut surtout pas être excommunié et perdre son statut de leader au sein d’un parti qui ne brille plus depuis des lustres et ne fait illusion qu’au prix d’alliances contre nature. Mais nous le savons, durer est son objectif. Il y parvient très bien d’ailleurs, c’est un spécialiste. Songez, être passé de Pasqua à Macron, il fallait une certaine souplesse d’échine et des principes à géométrie variable pour y parvenir. Ces qualités sont hélas le contraire des vertus que possède un souverainiste. Il s’est éloigné de sa famille, de ses certitudes, par clientélisme électoral, par calcul personnel. Peut-il revenir à ses premières amours ? Avoir le courage de se renier un peu, de reconnaître qu’il s’est perdu avec cette Europe-là ? Il œuvre encore dans un gouvernement macroniste, où le Premier ministre est impliqué dans une sordide histoire. Rien que ce fait devrait le conduire à quitter son poste. Si Bayrou n’a pas la dignité de partir, que lui ait celle de ne pas rester aux côtés d’un personnage qui vient de mentir avec l’aplomb d’un Cahuzac. Il est des fréquentations qu’il vaut mieux ne pas entretenir, s’en éloigner devient un acte de résistance, de courage, rester tout le contraire.
Du panache que diable, mais on en vient à douter. Retailleau, tout comme le RN, ne se donne pas les moyens et le courage d’apparaître comme la solution pour demain et risquent l’un comme l’autre, d’être rattrapés par l’histoire à laquelle ils auront tourné le dos. L’histoire va vite en ce moment et à trop attendre pour prendre le vent, ceux qui ont pu apparaître un temps comme en phase avec les aspirations des peuples, pourraient sombrer corps et biens… 20/2/2025
Lors de leur dernière rencontre, Donald Trump a bien secoué le bras et l'épaule d'Emmanuel Macron.
Lundi, si sa visite à Washington est confirmée, il pourrait bien prendre une vraie claque.
Car le narcissique repousse toujours les limites. Il dépasse les lignes rouges sans aucun remord. Il ne voit pas son narcissisme car c'est sa nature et sa nourriture.
Trump sait qu'il va accueillir un président finissant, sans majorité pour le soutenir, un chef d'État en disgrâce et à la tête d'une France surendettée, sans souveraineté, tiers-mondisée, ensauvagée et fracturée.
Trump connaît aussi parfaitement l'état de nos armées fragilisées par des décennies de coupes budgétaires.
Macron se rend à Washington pour prendre la lumière dont il a tant besoin pour lui-même et pour sa survie politique. Il y va pour remonter les bretelles d'un président pourtant élu par 77 millions d'Américains et qui dispose d'une majorité solide pour le soutenir au Sénat et à la Chambre des représentants. Il va donner des leçons à un président qui dispose de l'armée la plus puissante au monde.
La morale de ce moment géopolitique est que l'orgueil, l'arrogance et la narcissisme conduisent à tous les abus, tous les culots et à tous les excès.
Yann Bizien - 21/2/2025
20 février 2025
Une honte absolue et une inquiétante dérive autoritaire
Yves Hemedinger
- 19/2/2025 - Ce matin on apprend la nomination d’un très proche de Macron (au passage grâce au RN …) à la présidence du Conseil constitutionnel et cette après midi c’est le Conseil d’État qui donne raison à l’Arcom (le véritable responsable de la situation) pour la suppression de C8, mais aussi de NRJ 12.
Il s’agit d’une grave atteinte à la liberté d’expression.
Comment une poignée de personnes, situées au cœur de Paris, peut-elle décider de priver des millions de téléspectateurs de leur choix ?
On aime ou on n’aime pas les émissions de ces chaînes TV, mais au-delà de cela, c’est un sujet très inquiétant pour l’avenir de notre démocratie.
Une purge politique et liberticide digne des pires régimes antidémocratiques.
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