Translate

10 février 2025

Joël Jerome
8/2/2025

La morale en politique

C'est le titre bien accrocheur utilisé par un homme politique colmarien en préambule à l'affaire du siècle, la décision votée au conseil municipal de Colmar de ce lundi.
Le Maire ayant demandé la protection fonctionnelle suite à l'appel de sa condamnation.
L'appel est un droit et tout à chacun peut y recourir.
Personnellement, je ne commenterai pas une décision de justice. Je dirai simplement qu'il faut connaître tous les tenants et les aboutissants de cette affaire.
Le vote de lundi choque, car beaucoup estiment que le Maire a commis une faute. Moi j'écrirais plutôt, n'a pas été assez vigilant.
Effectivement, pour couper court à cette polémique, il serait certainement judicieux qu'il ne fasse pas usage de cette protection fonctionnelle, mais qu'il assume personnellement cette erreur avec ses deniers.
Hier soir, j'ai mis un post sur la page d'un élu, et j'ai été immédiatement censuré et bloqué.
À vrai dire, je m'y attendais, connaissant la grande susceptibilité de l'élu en question.
Cet élu parle de morale en politique. Ce mot dans sa bouche est une véritable hérésie et bien contraire à ce qu'il est.
Pour l'avoir fréquenté pendant mes années colmariennes, je peux écrire sans sourciller que ce n'est pas le gentil et respectueux homme qu'il prétend être.
Je dirais plutôt qu'il navigue au gré du vent...
Opportuniste mais pas courageux comme me l'écrivait dernièrement une femme politique.
Un peu girouette où seul l'attrait du pouvoir l'inquiète.
Peu respectueux de celles ou ceux qui l'ont accompagné.
Aveugle sur des situations connues...
Je vais m'arrêter là pour aujourd'hui. Gardons-en sous le coude.
Laurence Muller-Bronn

Soutien à la filière brassicole - BRASSEURS D'ALSACE Brasseurs de France
Yves Hemedinger

Fidèle au giron

- 10/2/2025 - J’ai toujours préféré les boussoles aux girouettes, même si cela a parfois joué à mon détriment.
S’il y a un défaut que je n’ai pas, c’est celui d’avoir retourné ma veste politique.
J’ai évidemment d’autres défauts, car je ne suis qu’un être humain.
Servir mon pays, ma région et ma ville, c’est ce qui m’anime, et ceux qui me connaissent et me suivent depuis longtemps le savent bien !
C’est lorsque l’on est solide dans ses valeurs et ses convictions que l’on peut s’ouvrir aux autres sans se renier.
La politique, surtout au niveau local, doit aussi savoir s’affranchir des étiquettes pour rassembler autour de projets et d’idées.



[POLITIQUE / SUJETS DE SOCIÉTÉ]

H16

- 10/2/2025 - Si vous vous en tenez à la presse française, vous n’avez probablement pas entendu grand-chose au sujet du DOGE, le Department Of Government Efficiency américain, créé par Donald Trump pour qu’Elon Musk fasse le ménage dans les dépenses fédérales. C’est dommage, parce que ce que Musk fait avec « DOGE » est particulièrement intéressant, et notamment la façon dont il procède pour obtenir le bon résultat au final.


Lui, comme d’autres, sont parfaitement au courant du niveau de corruption du gouvernement fédéral et comment un groupe de voleurs (le « Blob » ou le parti unique) en a pris les rennes. Mais un grand nombre de normies – et d’opposants politiques à Trump ou Musk – ne sont pas au courant et refusent même d’y croire.

Le plus simple est alors de montrer l’ampleur du problème et c’est exactement ce à quoi sert le scandale USAID, où l’on découvre que cette agence distribue du pognon du contribuable américain à des causes de plus en plus farfelues.

USAID est en substance utilisé comme caisse noire.

Il est en effet à peu près impossible d’inscrire au budget fédéral américain une ligne spécifique pour des pots-de-vin, du favoritisme, etc. Ca ne passera évidemment pas. En revanche, si on cache les dépenses frauduleuses au milieu de milliers de dépenses présentables voire légitimes, ça ira.

USAID est un fonds général utilisé pour créer une série d’agences portant des noms tels que « Bureau Fédéral de Sauvetage Des Chatons Mignons ». L’avantage est que ces agences font partie de l’Exécutif, mais s’occupent des petits détails opérationnels des grandes politiques lancées par le Président et son administration. À leur tête, on place des bureaucrates embauchés (et donc non élus) et elles sont financées par une seule ligne budgétaire.


Ce qui permet de remplacer des multitudes de lignes genre « Fonds pour de la poterie créative en Ukraine » ou « Fonds pour des Préservatifs pour les jeunes de Gaza » par une seule grosse ligne « 50 milliards pour le Bureau Fédéral de Sauvetage des Chatons Mignons ».

Si quelqu’un pose des questions, il est alors facile de faire le choqué et d’exiger de savoir pourquoi on veut nuire à des chatons. L’opinion suivra l’indignation, les fonds continueront de couler.

Quant à la réalité des fonds, ils sont distribués à des entreprises qui appartiennent au politicien qui a voté pour ces fonds pour réaliser des trucs idiots. Ou distribués à des maisons d’édition qui vont produire des livres que personne ne lira et qui iront direct au pilon mais qui permettront à certains de toucher des avances sur droits d’auteur. Ou filés à des firmes de Wall Street pour qu’elles paient des fortunes pour des speechs de 20 minutes de politiciens en retraite. Bref, il s’agit de distribuer de la thune, ceux qui la reçoivent font semblant de faire des trucs plus ou moins idiots et empochent l’argent (et en reversent une partie au(x) généreux politicien(s) impliqués).

Le but n’est pas ce qui est réalisé avec l’argent fédéral, mais le fait que cela permet de le transférer vers les poches de certains bénéficiaires bien identifiés. Au passage, notons qu’en France c’est exactement le même procédé avec les myriades d’associations lucratives sans but, liées au climat et à toutes les causes militantes variées. À la fin, tout le monde en croque : les politiciens bien sûr, leur famille aussi, puis certains « entrepreneurs » et leurs accointances, et rapidement les journalistes, les médias en général, etc.


Dans le cas américain, une fois la machine enclenchée, et en fonctionnement depuis des dizaines d’années, rapidement, tout est corrompu, y compris les juges.

Bien évidemment, quand Trump est élu, c’est un peu une autre musique : en nommant Musk à la tête du DOGE, il nomme quelqu’un qui n’a pas besoin de piller quoi que ce soit pour s’enrichir puisqu’il est déjà l’homme le plus riche du monde.

En prenant en main le DOGE, Musk sait qu’il va se heurter à une opposition féroce. Il a donc besoin d’un élan politique et d’un soutien public imparables, et ce rapidement. Il doit donc prendre les devants, avant que le Bureau Fédéral de Sauvetage des Chatons Mignons ne puisse mobiliser son pouvoir médiatique (tous les médias corrompus par exemple) pour se mettre en travers de son chemin. Cependant, en agissant le plus vite possible, en gagnant rapidement le soutien du public, toute forme de défense du statu quo sera considérée comme une preuve de corruption.

On pourrait taper sur l’IRS (le fisc) et l’ATF (l’agence réglementant les armes, l’alcool, le tabac et les explosifs) car ils sont très impopulaires, mais l’USAID est un meilleur choix : cette caisse noire n’a pas de comptes à rendre et finance des foules de « petits » projets, souvent loufoques ou très discutables.

En mettant au jour ce qu’il découvre, Musk force les politiciens du Blob, du « parti unique », et les bureaucrates de l’État profond à défendre ces fonds ; et ce n’est pas simple : au lieu de débattre sur le degré de contrôle des dépenses des agences fédérale (ou savoir si Musk est le mieux placé pour faire le ménage), les corrompus doivent défendre la pertinence de payer la facture de 1,5 M$ pour « donner aux femmes les moyens de s’adapter au changement climatique dans le nord du Kenya ». Bonne chance !

Et ils doivent absolument justifier ces dépenses, car sinon, cela revient à admettre qu’il ne s’agit que de détournement ou de blanchiment, ce qui signifie… la prison pour eux au bout du processus.

C’est pourquoi les médias, les politiciens s’agitent Outre-Atlantique, pourquoi ça s’inquiète fort en Europe (qui était aussi arrosée par ces fonds) : l’idée est de générer suffisamment de « contre narratif » pour éviter d’aller en prison fédérale. On peut voir des exemples de ces « narratifs en pleine panique » se déployer actuellement sur les médias et les réseaux sociaux


C’est bien sûr encore trop tôt pour parler de procès, d’inculpations et de sentences. Mais ça commence à se profiler et c’est pour cela que certains ont déjà les mains moites.

Reste à savoir si cela ira jusqu’au bout. Pour le moment, tout semble indiquer que Musk et Trump sont décidés. Achetez du pop-corn, cela pourrait devenir franchement croustillant.


[⇨ Le blog des esprits libres et éclairés, c'est ici : liberteresistance.fr]

9 février 2025

8 février 2025

[POLITIQUE / SUJETS DE SOCIÉTÉ]

Frank Guisnet

- 6/2/2025 - La guerre en Ukraine est le théâtre d’une gigantesque fraude orchestrée par la mafia kiévienne, mais également par quelques généreux donateurs occidentaux, aussi corrompus que la clique au pouvoir à Kiev. Tout cela est caché depuis trois ans.
Il est temps que les dirigeants occidentaux cessent de tromper et de mentir à leur peuple. Depuis trois ans, les médias nous font pleurer sur le sort d’un régime criminel et corrompu qui s’adonne à des ignominies inavouables pour s’enrichir sur le dos de son peuple et aux dépens du contribuable occidental.
L’Ukraine n’a jamais été le bouclier de l’UE face à l’ogre russe, elle est son tombeau. Agiter le spectre d’un retour à l’URSS est la fable la plus grotesque qui soit. C’est l’Otan qui a voulu la guerre, pas la Russie.
Selon le SVR, Zelensky et sa clique ont détourné 1,5 milliard de dollars de l’aide occidentale et ont élaboré un montage crapuleux pour percevoir la solde des soldats morts sur le front mais déclarés toujours vivants. Sans parler des matériels revendus sur le darknet depuis trois ans. Des fortunes colossales se sont bâties depuis 2022 sur les cadavres de centaines de milliers de soldats ukrainiens.
Pendant que l’UE, totalement aveugle et imperméable aux réalités du front, clame haut et fort qu’il faut poursuivre l’effort de guerre au profit de Kiev, même sans les Américains, pour ne pas être avalés par l’Ours russe, Zelensky et sa clique d’oligarques sans foi ni loi s’en mettent plein les poches sur le dos de leur peuple saigné à blanc. Les chiffres des pertes sont effrayants mais le prix de la chair à canons, pour les prédateurs de Kiev, se juge au poids des détournements sur l’aide occidentale.

Estimations des pertes militaires (24/01) :
RUSSIE : 55 400 tués, 143 500 blessés (dont graves : 15%) ; UKRAINE : 740 000 tués, 800 000 blessés (dont graves : 67%) +6 900 mercenaires OTAN tués. SOURCES croisées confidentielles : FR/OTAN/RUS/UKR/US, selon l’historien militaire Marc Legrand.

Dans la région de Koursk, c’est un massacre :
L’armée ukrainienne a perdu 22 690 tués et 26 920 blessés, depuis le 6 août 2024, dans l’oblast de Koursk, où elle mène une opération militaire contre des civils russes… 322 chars, 1 983 véhicules blindés, 1 680 véhicules, 452 pièces d’artillerie, etc.
1000 dollars sont donc détournés pour chaque soldat ukrainien tué ou blessé. Puisse cette guerre fraîche et joyeuse pour la clique au pouvoir, durer encore des années.
En 2023, la CIA avait reconnu que Zelensky avait détourné 400 millions de dollars. Mais depuis cette époque, tout le monde veut en croquer, oligarques, généraux et autres prédateurs bien placés pour dépecer le pays.
Selon le SVR, le service russe du renseignement extérieur, les détournements atteignent 1,5 milliard de dollars, pris sur l’aide réellement arrivée à Kiev.
Car l’aide octroyée n’arrive pas en totalité en Ukraine. Les rétrocommissions que perçoivent les généreux donateurs occidentaux sont à déduire des sommes théoriques fournies à Zelensky.
Bref, cette guerre enrichit aussi bien une armée de prédateurs ukrainiens que quelques Occidentaux sans scrupules.

En effet, de son côté, Zelensky déclare que plus de 100 milliards ne sont jamais arrivés en Ukraine sur les sommes promises.
https://reseauinternational.net/zelensky-je-ne-sais-pas.../

Au total, ce sont 400 milliards qui ont été accordés à l’Ukraine, sans aucun contrôle.
Une gabegie savamment orchestrée sur le dos du contribuable occidental, gros dindon de la farce.
Poutine ayant déclaré qu’il refusait de discuter avec Zelensky, dont il juge le maintien au pouvoir illégitime depuis la fin de son mandat début 2024, les Occidentaux envisagent la mise à l’écart du saltimbanque ukrainien, tombé en disgrâce.
Toujours selon un communiqué du SVR, une vaste campagne de diffamation serait en gestation pour discréditer Zelensky afin de l’écarter. De nouvelles élections seraient organisées avant l’automne au plus tard .
Et pour torpiller le Churchill ukrainien, rien de tel que de rendre publiques quelques informations soigneusement occultées jusque là :
- « le détournement par le « président » et son entourage, de plus de 1,5 milliard de dollars de fonds destinés à l’achat de munitions »
- « le montage d’un système frauduleux dans lequel des paiements destinés à 130 000 soldats ukrainiens tombés au combat – qui restent officiellement répertoriés comme personnels en service actif – ont été acheminés à l’étranger par Zelensky et ses associés »
- « l’implication du « commandant en chef suprême ukrainien » dans la vente de grandes quantités d’armes et de véhicules donnés par l’Occident à divers groupes armés dans les pays africains ».
Voilà l’ignoble Rapetou que l’Occident vénère depuis trois ans, en nous faisant pleurer sur le sort de l’Ukraine, alors que ses dirigeants pillent allègrement l’aide occidentale et envoient leur peuple au massacre, en lui faisant miroiter une victoire impossible.
États-Unis et Europe sont coresponsables de ce carnage sans fin.
Cela dit, pas question pour l’Otan de faire le moindre cadeau à Poutine. Il s’agit d’écarter Zelensky, totalement grillé, pour ensuite geler le conflit en vue de négociations futures.
À ce jour, aucune rencontre n’a encore eu lieu entre Poutine et Trump.
Les Russes sont prêts à négocier, mais selon les bases du protocole d’Istanbul de 2022, torpillé par Boris Johnson, dangereux va-t-en-guerre.

– Une Ukraine neutre et non alignée
– Une Ukraine dénucléarisée
– Une Ukraine démilitarisée et dénazifiée
– Pas de troupes étrangères déployées sur son sol
– Nouvelles réalités territoriales prises en compte
– Éradication des causes profondes qui ont conduit au conflit.

« En outre, tous les aspects juridiques concernant l’illégitimité de Zelensky et son décret interdisant les négociations bilatérales doivent être résolus avant que les négociations puissent être lancées ».
Cette guerre va donc durer encore plusieurs mois. Bien difficile de prédire ce que décideront Trump et Poutine. Quant à l’Europe, divisée et affaiblie comme jamais, elle ne pèse guère dans ces négociations.
Ce qui n’empêche pas la clique irresponsable de Bruxelles d’avoir la prétention de poursuivre la guerre contre la première puissance nucléaire mondiale. Il est clair que ce ne sont pas les proches des va-t-en-guerre qui se font déchiqueter dans les tranchées.
Rien de bien nouveau en Europe.
1,5 million de victimes, 400 milliards partis en fumée, alors qu’il suffisait d’appliquer les accords de Minsk pour éviter la guerre. C’était la seule exigence de Poutine. Mais l’Occident lui a ri au nez.


[⇨ Le blog des esprits libres et éclairés, c'est ici : liberteresistance.fr]
Colmar Livrélo

Développement de Colmar Livrélo

Vous souhaitez participer à une initiative locale, écologique et innovante ? Colmar Livrélo, micro-entreprise spécialisée dans la livraison de marchandises à vélo cargo, recherche un collaborateur motivé pour contribuer à son développement !

Qui sommes-nous ?

Colmar Livrélo est un service de livraison urbaine écoresponsable, facilitant le transport de marchandises en centre-ville tout en réduisant l’empreinte carbone. Nous proposons une alternative efficace et durable aux moyens de transport traditionnels.

Votre mission

En rejoignant Colmar Livrélo, vous serez amené(e) à :
- Réaliser des livraisons en vélo cargo dans Colmar et ses environs
- Contribuer à la gestion et à l’organisation des tournées
- Participer au développement commercial et à la prospection de nouveaux clients
- Assurer un service client de qualité et véhiculer les valeurs de l’entreprise.

Profil recherché

- Bonne condition physique et aisance à vélo
- Sensibilité aux enjeux écologiques et à la mobilité durable
- Autonomie, dynamisme et esprit entrepreneurial
- Bon relationnel et sens du service

Pourquoi nous rejoindre ?

- Participer à un projet innovant et responsable
- Travailler au cœur de Colmar en valorisant un mode de transport durable
- Possibilité d’évolution et d’implication dans la croissance de l’entreprise.

Intéressé(e) ?

Contactez-moi au 06 87 27 89 92 pour en discuter et faire partie de l’aventure Colmar Livrélo !