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15 janvier 2025
13 janvier 2025
Musée Unterlinden
Cette année, le Musée Unterlinden met à l'honneur ses collections.
Découvrez la programmation culturelle de janvier à août 2025 ici
Temps forts
Nuits de la lecture
Les patrimoines
24/1/2025
(Re)découvrez les collections du musée en soirée, à la lumière de textes, de poèmes et de dialogues sélectionnés par les élèves du Cycle à Orientation Professionnelle théâtre du Conservatoire de Colmar.
Publics : dès 12 ans
Horaires : 19h et 20h30
Entrée gratuite (jauge limitée*)
En savoir plus
Dimanche festif
Unterlinden, quel cirque !
26/1/2025
Les compagnies Retouramont et Les 2 de la Spontanée invitent petits et grands à, tour à tour, prendre de la hauteur, poser un regard décalé sur le musée, laisser libre court à leur imaginaire, se laisser émerveiller par un univers poétique.
Tout public
Entrée gratuite
Horaire : de 9h à 18h
En savoir plus
Unterlinden autrement
Visite nocturne à la lampe torche
17/1/2025
Visitez le Musée Unterlinden dans une atmosphère intimiste et mystérieuse à la lueur d’une lampe torche.
Tout public
Horaire : de 18h30 à 19h30
Tarifs : 20€ pour les adultes et jeunes dès 12 ans ; 18€ pour les moins de 12 ans (jauge limitée*)
Lieu : point de rencontre à la billetterie du musée
Réservez
Retrouvez tout l'agenda en ligne
* Pour participer aux événements, réservez auprès du service réservations
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24/1/2025
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Publics : dès 12 ans
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Unterlinden, quel cirque !
26/1/2025
Les compagnies Retouramont et Les 2 de la Spontanée invitent petits et grands à, tour à tour, prendre de la hauteur, poser un regard décalé sur le musée, laisser libre court à leur imaginaire, se laisser émerveiller par un univers poétique.
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Lieu : point de rencontre à la billetterie du musée
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* Pour participer aux événements, réservez auprès du service réservations
- du lundi au vendredi au +33 (0)3 89 20 22 79 – reservations@musee-unterlinden.com
- le week-end au +33 (0)3 89 20 15 58 ou billetterie@musee-unterlinden.com
12 janvier 2025
Festival de Pâques de Colmar
du 4 au 21 avril 2025
Le Festival de Pâques vous souhaite une belle année en musique !
Toute l'équipe des Musicales et du Festival de Pâques de Colmar vous présente ses meilleurs vœux pour l'année 2025 ! Qu'elle soit riche en rencontres, découvertes et concerts !
Tout le festival est sur notre site internet
Retrouvez sur notre site internet la programmation du festival 2025 et la billetterie.
www.festivaldepaques-colmar.com
Bénéficiez de tarifs préférentiels
jusqu'au 30 janvier 2025
Pour bien débuter l'année, nous vous ouvrons notre billetterie en vous faisant bénéficier de tarifs "early bird". Faites vite !
Réservez vos places ici
Devenez partenaires de l'édition 2025
Notre association travaille chaque année à la réalisation du festival grâce aux soutiens de Colmar, de la Région, et des particuliers et entreprises qui nous accordent leur confiance.
Si vous aussi, vous souhaitez soutenir nos actions, cliquez ci-dessous !
Toutes les infos ici
Festival de Pâques de Colmar
Association Les Musicales
6 route d'Ingersheim,
68000 Colmar
lesmusicales@orange.fr
festivaldepaques-colmar.com
du 4 au 21 avril 2025
Le Festival de Pâques vous souhaite une belle année en musique !
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11 janvier 2025
10 janvier 2025
DPE, ZFE : la lutte contre les gueux s’intensifie
H16
- 10/1/2025 - Dans la lutte contre la pauvreté, les politiciens français ont tout compris et le 1er janvier 2025 est à marquer d’une pierre blanche : avec la mise en application des restrictions actives et sanctionnées pour le DPE et les ZFE, la France entre dans une nouvelle ère de bonheur sucré où les pauvres seront consciencieusement pourchassés.
DPE, ZFE, quelles nouvelles réjouissances se cachent derrières ces acronymes parfaitement dignes de l’ENA ?
Le Diagnostic de Pauvreté par l’Écologie
Déjà évoqué dans ces colonnes, le DPE est cette contrainte administrative imposée aux logements permettant de relier de façon grotesque des objectifs écologiques parfaitement ridicules avec des contraintes énergétiques sorties d’un chapeau : adopté en 2021, ce diagnostic effectué sur un logement vise à déterminer s’il est thermiquement conforme à la doxa (le DPE vaut alors « A ») ou s’il est responsable d’un génocide d’ours polaires (et il est alors déclaré « G »).
Or, depuis le 1er Janvier dernier, les logements déclarés G sont désormais interdits à la location ce qui provoque inévitablement de fortes tensions sur le marché immobilier de certaines villes qui n’en avait guère besoin, et ce, même si tout le monde comprend (confusément) qu’une telle interdiction va être très compliquée à faire respecter.
Nos législateurs imaginaient officiellement que ce diagnostic pousserait les propriétaires à améliorer l’isolation de leurs logements. Officieusement, les boboïdes comprenaient assez bien que les moins aisés, incapables de faire les travaux correspondants, finiraient par renoncer à louer, faisant ainsi fuir les gueux hors des villes.
Bien évidemment, les choses prennent une tournure vinaigrée à mesure qu’on découvre l’ampleur réelle des effets de bords, surtout lorsqu’on se rend compte que le diagnostic est une vaste blague qui se transforme en véritable arnaque, le DPE étant devenu un argument commercial : le marché s’est adapté avec, outre des DPE purement bidon et des DPE « de complaisance » (une fraude estimée à 21 milliards d’euros tout de même), des notes enjolivées qui permettent à un logement de passer à une meilleure catégorie au-dessus. Concrètement, cela se traduit par des pics de DPE aux frontières entre deux lettres comme on peut le voir sur le joli graphique suivant :
S’il y a bousculade à la frontière C/D puis D/E puis E/F, c’est que tout le monde comprend l’importance d’avoir plutôt un C qu’un D, un D qu’un E, etc. Et le marché s’adapte. Autrement dit, ces lettres n’ont plus réellement de valeur ; par exemple, 19% des biens classés F passent artificiellement à la lettre E, 6% des E sont surclassés en D. Cela se traduit bien sûr par un meilleur prix de vente (entre 8 et 10% plus élevé).
En somme, cela ne permet plus vraiment de mesurer l’isolation d’un logement, et l’obligation d’État s’est transformée en fardeau supplémentaire entre vendeur et acheteur qui se retrouvent à sinon mentir au moins bidouiller la réalité pour s’en sortir. Ce n’est qu’une contrainte de plus qui vient gripper davantage le marché de l’immobilier, déjà pas trop fluide.
Au passage, notons que le fait de rénover ne change rien à la facture : an Allemagne, malgré des milliards investis dans la rénovation énergétique des bâtiments depuis une décennie, la consommation énergétique du logement est restée stable. Échec économique, échec écologique, une réussite socialiste typique. Bonus du socialisme et des contraintes autoritaires : non seulement la baisse des dépenses de chauffage ne compense pas le coût des travaux, mais les rénovations agissent souvent comme un facteur d’augmentation des loyers.
Rassurez-vous : cette lutte (contre-productive et surtout ratée) contre les pauvres ne s’arrête pas là puisqu’en parallèle, le 1er janvier est aussi l’occasion pour les ZFE de passer à l’étape suivante, celle des interdictions.
Les Zones de Féroce Élimination
Là encore issues d’une loi de 2021 (année riche en âneries écolodestructives), ces « zones à faibles émissions » sont officiellement destinées à lutter contre un faux problème (celui d’un air pas assez pur dans les agglomérations) par le truchement d’une solution absurde (empêcher la circulation de certains types de motorisations) sous couvert d’écologie, de santé et de lutte contre le génocide d’ours polaires.
Officieusement, il s’agit là encore de virer des grandes agglomérations le plus grand nombre possible de véhicules, ceux qui ne sont pas capables d’atteindre le « crit’air 2 » donc notamment les plus anciens qui sont ceux qui font certes un peu plus de bruit et de fumée mais qui, c’est pratique, sont généralement conduits par des gueux. La coïncidence n’est pas fortuite et représente, c’est génial pour les promoteurs de cette idée, jusqu’à 30% des véhicules d’une zone considérée.
Bien évidemment, les arguments initiaux (lutter contre la méchante pollution) sont aussi bidon que sont veules les motifs cachés des écolos derrière cette interdiction : comme le mentionne cet article bien renseigné, la pollution n’arrête pas de diminuer depuis des décennies dans les agglomérations sans ces ZFE grotesques, et ces dernières gesticulations n’améliorent en rien les tendances.
Il ne s’agit ici que de bouter le pauvre hors de la ville et d’user pour cela de moyens aussi vexatoires que possibles.
D’ailleurs, le peuple ne s’y est pas trompé lorsqu’on lui a effectivement demandé son avis, ce qui fut fait en 2023 par le Sénat : après une participation record (plus de 50.000 réponses complètes sur le site), 86% des particuliers et 79% des professionnels interrogés se sont opposés à la mise en œuvre des ZFE, notamment à cause des coûts prohibitifs des véhicules jugés « propres » (et pour cause, ils sont réservés à l’élite pas cracra).
En outre, la consultation a mis en lumière les risques d’exclusion sociale et de creusement des inégalités, notamment pour ceux résidant en périphérie des agglomérations ou dans les zones rurales, où l’accès à des alternatives à la voiture est limité.
C’est logique, puisqu’il s’agit de l’objectif recherché. Et l’avis du peuple fut donc consciencieusement bafoué, comme il se doit en République du Bisounoursland.
On le comprend : cette année 2025 marque en Europe – et en France tout particulièrement – un véritable tournant puisque la guerre contre les pauvres et le petit peuple passe d’un stade larvé et un bruit de fond permanent à une guerre ouverte dans un tintamarre rugissant des rires sadiques de ceux qui se croient l’élite et ne voient pas arriver l’effondrement.
Car oui, si la France était en pleine croissance, si de gros bouillons de richesses se déversaient sur le pays, si les classes moyennes et modestes gagnaient chaque jour du pouvoir d’achat et des capacités d’investissement, il va de soi que DPE et ZFE ne seraient qu’une vaste blague dont les contraintes seraient rapidement résolues : il n’y a aucun souci à imposer des voitures « ultra-propres » et des logements « ultra-écolos » à une population qui s’enrichit et dont l’avenir est florissant.
Dans une France qui s’avachit, qui s’enfonce dans la pauvreté et le déclassement, ZFE et DPE ne peuvent aboutir qu’à une accélération de la misère : à présent, pour y vivre, il faut réussir le paradoxe d’avoir une maison rénovée et isolée de fond en comble avec une chaudière neuve hors de prix et une voiture électrique à 40.000 euros minimum, tout en gagnant un SMIC par mois.
Bon courage dans cette France où ZFE et DPE permettront d’avoir des centres villes pleins de riches boboïdes et de migrants effervescents (dont une part croissante sous OQTF non appliquée). Gageons que leur cohabitation va devenir de plus en plus intéressante.
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