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23 janvier 2023

Avec une retraite de 1.200 euros (brut), une ardoise d'environ 15.000 euros par année d'EHPAD

Marie Penicaut

Et plus pour ceux qui ont encore moins de retraite...

En réalité le fruit du travail d'une vie ou de deux générations peut y passer pour les classes moyennes qui seront obligées bien souvent de vendre le petit logement de la personne pour payer l'EHPAD ou rembourser l'aide sociale à l'hébergement (ASH).

Attention, n'imaginez pas qu'il suffirait de liquider sa succession juste avant d'entrer en EHPAD : tout ce qui a été transmis moins de 10 ans avant l'entrée en EHPAD sera réclamé à ceux qui ont hérité... Un monde formidable...

Donc, dans l'avenir le choix va être vite fait :
 
- pour les classes basses et moyennes ce sera l'euthanasie, vite ! plutôt que de rentrer en EHPAD et de perdre le peu de patrimoine qu'une ou deux générations ont réussi à constituer.

- par contre les retraités qui ont au-delà de 2.500 euros par mois de retraite pourront, eux, gagner un peu de temps de vie sans entamer le patrimoine...

Vous avez dit égalité devant la maladie et la mort ?

À méditer en ces temps où on fait saliver les plus naïfs avec des retraites à 1.200 euros brut...

SOUTIEN à tous les artisans ET STOP à cette folie

Kelly Scott

J’ai appelé ce matin la boulangerie en question pour savoir si c’était vrai car complètement fou.
Boulangerie Claudel à Bollwiller (Haut-Rhin).

Photo jointe, une dame très gentille m’a répondu.

Tout est véridique ! Le montant réclamé est réel et d’autres boulangeries et artisans vivent le même cauchemar !

Ils ont affiché cette facture chez eux dans leur commerce.

Ils ont prévenu la presse.

EDF pour l’instant ne donne aucune réponse.

Je leur ai dit que nous les soutenions.

C’est juste invraisemblable, incroyable et insupportable.

S’ils doivent payer, ils fermeront évidemment mais il faut absolument qu’ils ne se laissent pas faire !



22 janvier 2023

Non à cette réforme des retraites !

Yves Hemedinger

Le fait de devoir travailler plus longtemps n’aura pas les mêmes conséquences pour tous comme l’expliquent parfaitement les chiffres ci dessous.

C’est pour cela que la réforme est par nature injuste et est pénalisante pour les plus pauvres et les classes moyennes.

En France, l’ espérance de vie à la naissance est de 85,3 ans pour les femmes et de 79,4 ans pour les hommes.

L’espérance de vie en bonne santé, c’est-à-dire le nombre d’années qu’une personne peut compter vivre sans souffrir d’incapacité dans les gestes de la vie quotidienne, s’élève en France à 64,1 ans pour les femmes et à 62,7 ans pour les hommes. Elle est stable depuis dix ans.
 
Plus on est aisé, plus l’espérance de vie est élevée. Ainsi, parmi les 5 % les plus aisés, l’espérance de vie à la naissance des hommes est de 84,4 ans, contre 71,7 ans parmi les 5 % les plus pauvres, soit 13 ans d’écart. Chez les femmes, cet écart est plus faible : 8 ans séparent les plus aisées des plus pauvres. (...).
Galerie Murmure


Renaud Allirand sera présent à la galerie Murmure samedi 28 janvier de 10h à 18h à l’occasion du finissage de son exposition « Bruissements ».
Vous pourrez le rencontrer et échanger avec lui sur sa pratique artistique.


Pour terminer en beauté cette belle exposition, nous vous donnons rendez-vous à 16h à la galerie Murmure pour un intermède poétique et musical : Le poète Fred Cimbao, qui a choisi des œuvres de Renaud Allirand pour la couverture de certains de ses recueils de poésies, vous offrira une lecture poétique.
Elisa Arciniegas, chanteuse, violoniste et compositrice colombienne, proposera 4 pièces de musique improvisée contemporaine, sous forme de soundscape ou installation sonore, basées sur 4 œuvres présentes dans l'exposition.



Au plaisir de vous accueillir à la galerie Murmure samedi 28 janvier pour ce finissage tout en douceur, musique et poésie.

Galerie Murmure
5 place de l'Ancienne Douane à Colmar
jeudi et vendredi : 14h à 18h
samedi : 10h à 19h
Et tous les jours sur rendez-vous.
contact@galerie-murmure.fr
Tel: +33 3 89 41 49 25
www.galerie-murmure.com

Phil


Le RER d‘Alsace « n’est pas un fiasco » selon le ministre des transports, Clément Beaune

Eric Vial

Je commence à comprendre les problèmes de déconnexion des politiciens avec les Français : ils sont totalement hors-sol et prennent leurs désirs pour la réalité.
Au moment où j’écris ces mots, ma fille n’a plus de train pour se rendre à l’école le matin. Son lycée mène actuellement une enquête auprès des parents pour « trouver des solutions alternatives ».
Des rames sont constamment supprimées sans aucune information préalable, laissant dans le désarroi des enfants, étudiants, travailleurs et des chômeurs sur les quais des gares dans un froid de canard.
Ceux qui circulent sont en retard, parfois d’une demi-heure pour faire dix kilomètres.
Des lignes sont supprimées. Des gares sont fermées. Les gens sont révoltés et écœurés. « Mais où passent nos impôts ? »
Pire, les patrons qui financent la moitié des abonnements sont excédés par les retards fortuits de leurs employés. Clairement cela fragilise davantage leurs entreprises dans un contexte déjà difficile. Mettez-vous à la place d’une vendeuse qui doit ouvrir son magasin à 10h et qui attend à vingt kilomètres de là son train qui ne viendra jamais…
Certains employeurs n’hésitent pas à dire qu’ils font de la discrimination à l’embauche lorsqu’ils apprennent que le transport privilégié par les demandeurs d’emploi est le train…
Enfin, chacun peut constater le retour des bouchons à Strasbourg. La mairie a fait de la chasse à la voiture une priorité en finançant des modes de transports alternatifs (vélo ou transports en commun).
Pourtant, mettre son vélo dans le train est devenu quasiment impossible : c’est la guerre ! Les voyageurs s’insultent.
Bref, rien ne fonctionne correctement. La situation est même pire que ce qui existait avant le RER alsacien. « Ce n’est pas un fiasco », c’est vrai, c’est une gabegie, une honte de traiter ainsi les citoyens. Inacceptable.
Des responsabilités politiques devront clairement être pointées.


21 janvier 2023

[Réforme des retraites] Manifestation du 21 janvier 2023 à Colmar (photos)

















Pointer les responsabilités

Eric Vial

Comme dans n’importe quelle entreprise ou réalisation collective, il est temps de « dresser un bilan et des perspectives ».

En 7 ans, où est-ce que cela va mieux en France : services publics, logement, transports, pauvreté, énergie, démocratie, moral, économie, politique internationale, Santé, Défense, Sécurité, agriculture, écologie, social, vieillesse, Éducation, impôts, enfance, recherche, paix, travail, inflation, pouvoir d’achat, développement durable, moralisation de la vie politique, influence de la France à l’étranger… ?

Les élus et les représentants de la Nation ont-ils bien fait leur travail de préservation et de sécurisation des intérêts collectifs ?

Partant de vos constats, sans être dans une posture, imaginez maintenant les perspectives d’amélioration et les modifications à apporter pour atteindre vos projets de développement : avoir une vision positive pour l’avenir des citoyens.

C’est cela faire de la politique !

14 janvier 2023

Michel Spitz

Une comédie anti-morosité à découvrir à Colmar, Munster, et Turckheim du 8 au 29 janvier. Toc Toc, la nouvelle pièce du Théâtre Alsacien est marquée par une grande innovation : au-dessus de la scène, un panneau de surtitrage en français permet aux non dialectophones de suivre la narration !
Le docteur STERN, psychiatre, spécialiste des troubles obsessionnels compulsifs ou « TOC » bloqué à Francfort par les caprices du hasard aérien, est attendu par les patients qu’il doit recevoir ce jour-là. Nos six protagonistes vont alors faire connaissance et débuter une thérapie de groupe en jouant au Monopoly. Tocs incontrôlables et histoires personnelles se mêlent pour créer de nouvelles règles du jeu…
Comédie de Christophe WELLY Traduction et adaptation de la pièce : « TOC TOC » de Laurent BAFFIE - Mise en scène Béatrice VONESCH



13 janvier 2023

Concert




au profit de l'association « Rêves » qui réalise
les rêves des enfants très gravement malades.