Translate

22 octobre 2022



Chères coopératrices, chers coopérateurs,

­Se rapproche une date importante dans notre calendrier : l’Assemblée générale des coopérateurs.
Car nous allons essayer, après deux éditions perturbées par les restrictions liées à la circulation d’un certain virus (nous avons dû faire notre dernière AG en visioconférence, le 26 janvier dernier), de l’organiser cette fois-ci en fin d’année plutôt qu’en début d’année suivante, moins loin de la fin de notre dernier exercice (31 juillet).

Elle aura donc lieu le jeudi 24 novembre à 20h dans la salle Saint Antoine, 5 rue de la Bleich à Colmar (dans le quartier du Grillenbreit, pas loin de la coopérative).
Vous recevrez début novembre une invitation en bonne et due forme, mais pour celles et ceux qui souhaiteraient s’engager plus fortement, c’est-à-dire devenir administrateur, c’est le moment de faire acte de candidature (délai d’un mois avant l’AG en principe, que nous prolongeons jusqu’au 2 novembre).

Il est aussi possible de s’engager de façon plus progressive en intégrant dans un premier temps le conseil d’administration « élargi » qui se réunit tous les premiers mercredis du mois et qui est l’instance de débat pour toutes les décisions de quelque importance.

N’hésitez pas à prendre contact avec nous si vous avez des questions à poser ou si vous souhaitez nous rencontrer, en nous sollicitant par mail ou en vous adressant à l’équipe des employés au magasin.

Enfin, nous envisageons de proposer un Marché de Noël 100% bio le samedi 10 décembre dans la cour de la coopérative. Quelques personnes, coopérateurs ou artisans, sont d’ores et déjà prêtes à proposer un stand. Si vous êtes créatifs en matière culinaire ou artisanale et intéressés par l’idée de participer à cette journée, faites le nous savoir à l’adresse ca@sonnebluem.fr, ou au magasin.
Vous disant à bientôt,

Les administrateurs :
François Collin, Bruno Deltour, Adrien Schneider
­

Coopérative Sonneblüem
7 rue du Grillenbreit
68000 COLMAR
03 89 24 08 72

20 octobre 2022



Eric Vial

Les peuples doivent savoir ce qu’il s’est passé avec le Covid et les vaccins

Ça va se savoir ? Après l’audition la semaine dernière de la directrice adjointe de Pfizer qui a révélé que son entreprise « n’a pas évalué l’efficacité de son vaccin sur la transmission virale », la commission Covid du Parlement Européen organise à Strasbourg une conférence exceptionnelle avec le Pr Perronne qui a géré en France les plus hautes instances de la santé publique.
Dans un amphithéâtre bondé de députés et d’influenceurs européens triés sur le volet, les intervenants parlent de « fraudes scientifiques ».
Pour eux, les pouvoirs publics avaient assuré que « le vaccin permettait de ne pas transmettre la maladie ».
« Que le vaccin n’ait pas été testé sur la chaîne de transmission, ce n’est pas très étonnant, relève dans la presse Morgane Bomsel, immunologiste et chercheuse au CNRS. Ce sont des expériences compliquées à monter. »
En tout cas, les démonstrations du Pr Christian Perronne sont assez étonnantes. Il révèle notamment des incongruités, des incohérences, et des coïncidences troublantes, notamment sur les conflits d’intérêts qui ne peuvent pas laisser indifférent dans la gestion de l’épidémie. Il pousse aux questionnements.
« Du jour au lendemain je suis devenu un charlatan, pourquoi pas ! (…) Facebook a supprimé mon compte pour appel à la haine et à la violence. Moi, appeler à la violence, c’est fort ! C’est pas grave, je ne leur en veux pas. Le plus choquant dans ce qui s’est passé c’est l’exemption de responsabilité. Les laboratoires peuvent empocher des milliards d’euros sans aucune responsabilité : inacceptable. »
Le débat reste donc ouvert. La démocratie c’est le débat. Et le lieu du débat c’est bien le Parlement non ?

19 octobre 2022

Laurence Muller-Bronn

Proposition de Loi visant à encadrer les activités des cabinets de conseil
 
A l'unanimité (à 2h10 cette nuit), le Sénat a adopté le texte issu de sa Commission d'enquête sur le phénomène tentaculaire des cabinets de conseil et leur emprise sur les domaines régaliens de l'Etat.

La balle est dans le camp de l'Assemblée et du gouvernement pour voter le texte et limiter l'omniprésence des consultants dans la sphère publique.

Mon intervention (2 minutes) sur le cas #MacKinsey et la crise sanitaire.


18 octobre 2022

Comédie de Colmar : les trésors de Schreker et Zemlinsky

L'heure lyrique de Sandrine Abello, directrice musicale de l'Opéra Studio, aura été l'occasion de découvrir deux compositeurs germaniques inconnus du grand public, Franz Schreker et Alexander von Zemlinsky, dans un programme consacré à des lieder inspirés de la grande tradition allemande, des mélodies exprimant sentiments et drames, sublimant la poésie à travers le chant et l’accompagnement musical.
Six jeunes et talentueux chanteurs-chanteuses (Lauranne Oliva, Liying Yang, Brenda Poupard, Iannis Gaussin, Andrei Maksimov, Oleg Volkov) se sont relayés pour interpréter avec une belle conviction ces morceaux intimistes et émouvants, aidés par Levi Gerke qui a assuré à la perfection l'accompagnement au piano. E.D.








15 octobre 2022

Michel Spitz

Bernard Foccroulle en répétition pour le concert "Un dialogue entre peinture et musique", sur le clavecin construit par Jean-Luc Wolfs-Dachy, d’après le clavecin de Johannes Ruckers (1624) du Musée Unterlinden.
 
Fabienne Verdier a réalisé pour cet instrument un ensemble exceptionnel de quatre peintures sur des couvercles pour clavecin. Celles-ci seront exposées l’une après l’autre sur l’instrument durant le concert, sous les yeux des spectateurs.





13 octobre 2022

Flavien Ancely Frey

Mardi soir, en commission « Attractivité et Aménagement » de Colmar Agglomération, j’ai exprimé la très vive opposition des écologistes alsaciens au projet climaticide et biocide de Nambsheim qu'il nous était proposé de subventionner à hauteur de 250.000 euros.

Voici une liste non exhaustive des motifs :

• Le Syndicat Mixte Ouvert (SMO) Port Rhénan de Colmar / Neuf- Brisach a déjà déboisé 10 hectares de forêt à côté de Nambsheim pour préparer une zone industrielle avec un label "Eco", la zone "Ecorhéna", qui se situe juste à côté du village.

• La préfecture a donné l'autorisation pour ce déboisement et ce, alors qu'il n'y a pas de permis pour quelconque industrie déposé pour l ́instant et que le PLUi n'est pas encore changé. Ce qui veut dire que la forêt est rasée pour préparer le terrain, au cas où des entreprises seraient intéressées. Les arbres ont été coupés pour rien.

• La forêt est une des forêts les plus riches du territoire, la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAe) décrit l'impact comme suit :

- La demande de dérogation porte sur 4 espèces floristiques,
- 4 espèces de mammifères terrestres (Chat forestier, Écureuil roux, Hérisson d'Europe, Muscardin),
- 12 espèces de chiroptères,
- 42 espèces d'oiseaux dont la Mésange boréale, le Pic cendré, la Pie-grièche écorcheur et la Linotte mélodieuse,
- 9 espèces d'amphibiens dont le Pélobate brun et
- 3 espèces de reptiles. [...]
- 18,14 ha de formations arborées et arbustives (dont 11,82 ha d'enjeu moyen à très fort [...]).
 
• Dans le contexte climatique actuel et vu les INCENDIES qui ont ravagé la France cet été, nous considérons que couper une forêt et détruire des habitats et la biodiversité juste pour faire place nette est une absurdité. Nous demandons au préfet de revoir son autorisation.

• Cette zone industrielle serait d ́ailleurs destinée à accueillir une rampe roll on roll off (RoRo), destinée au transfert de matériaux irradiés pour le futur TECHNOCENTRE RADIOACTIF d'EDF prévu à Fessenheim. Le déboisement prépare le terrain pour l'installation de cette rampe, nous nous opposons fermement à ce projet, qui ne correspond plus à l'idée du post Fessenheim comme elle a été formulée au début. En plus, la zone 2 est à 25m des habitations, c'est beaucoup trop proche pour une zone industrielle susceptible d'accueillir des sites classés.

• Nous demandons au porteur du projet de corriger son dossier, de revenir à l'idée d'un post Fessenheim dont les objectifs sont la durabilité et la transition énergétique, de STOPPER IMMÉDIATEMENT TOUTES LES OPÉRATIONS DE DÉBOISEMENT, de renoncer au projet du technocentre et de sortir la zone 2 du projet.



Phil

Dans la série les vieux dessins qui "marchent" de nouveau (novembre 2021)

11 octobre 2022

La capitale de Noël interdit le champagne !

Eric Vial

Les talibans de Strasbourg viennent d’édicter une liste de produits interdits et autorisés « sous réserve » à la vente lors du marché de Noël 2022. Et ce n’est pas une blague !
Est interdit : le champagne (vive le Grand Est), la tartiflette, la raclette (les Savoyards, qu’est-ce qu’ils viennent faire là !), le pop-corn, les donuts, le poulet grillé (on sent que la culture américaine n’est pas la bienvenue…).
Le serre-tête (on a un problème avec les cheveux des filles ?), les produits de la vannerie (spécialité alsacienne mais bon, les « Tziginer » resteront dans nos campagnes), les articles de Noël pour chiens et chats, les ponchos, les parapluies (on n’est pas à Cherbourg bon sang !), les casquettes (Jésus était juif pourtant).
Est autorisé à la vente mais sous réserve (de qui, de quoi ? Cela reste un grand mystère) : les produits alimentaires italiens sucrés et salés y compris les paninis (les ritals ça passe, faut dire qu’ils sont partout), les loukoums, les samossas, les hot-dogs, les trucs vosgiens bizarres genre liqueur de sapin ou grog de Noël qui te réveillent des zombies, la bière chaude (pouah ! Mais c’est très mauvais qui ose acheter ça ? Y’a que les anglais pour avaler un truc comme ça !).
Les décapsuleurs (là ça va poser un problème pour nos bières), les cendriers (il n’est jamais trop tard pour arrêter de fumer), les planchettes de table (sur lesquels on met du halouf ?), les boules à neige (ma collection va en prendre un coup), les cravates de Noël (on vous a dit col roulé cette année), affiches de Noël, calendriers, cartes postales, produits d’entretien y compris ceux avec des chutes de savon, les habits de créateurs pour enfants, les tapis de souris (à Strasbourg on préfère les rats)…
Et le meilleur pour la fin : la croix de Jésus est autorisée à la vente mais « sous réserve ». On sent qu’il y a eu débat sur le sujet. Mais bon, comme Noël c’est quand même la fête du bonhomme, on ne voulait pas gâcher totalement son anniversaire.
Bon évidemment comme les copains de la NUPES appellent régulièrement à la désobéissance civile, je me ferai une joie cette année de n’acheter et de ne consommer que des produits interdits. Je suis certain qu’ils comprendront ma démarche. J’espère ne pas terminer dans un camp de rééducation maoïste dans les Vosges.
Je suis à Reims aujourd’hui. Je prends les commande de Champagne !

10 octobre 2022

Phil

Zapping DNA Colmar : Où on apprend que la municipalité n'a pas les moyens des pays du Golfe...