Phil
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2 août 2022
MUSÉE UNTERLINDEN
Dîner étoilé par la Maison des Têtes et visite privée au Musée Unterlinden
L’Art et la Gastronomie se donnent rendez-vous pour une soirée inoubliable en plein cœur du Musée Unterlinden !
La Maison des Têtes et son Chef étoilé, Eric Girardin, prendront exceptionnellement possession du magnifique cloitre du 13e siècle.
C’est dans ce cadre historique et insolite que vous pourrez déguster la cuisine créative de cet artisan passionné.
Profitez d’une ambiance feutrée pour savourer les plats riches en saveurs et en caractère proposés par la Maison des Têtes.
Ce dîner débutera par une visite privée qui associera les œuvres du musée à l'Art culinaire.
Venez vivre une expérience gustative et artistique totalement inédite !
Soirée en partenariat avec Alsace Destination Tourisme, "Mise en scène organisation" pour la décoration, "Magic JL" et le Musée Unterlinden.
Votre menu étoilé :
Foie-gras de Canard mi-cuit à l’anguille fumée,
Condiment Pomme Granny Smith.
*****
Croustillant de Quenelle de Brochet,
Tombée d’épinards & sauce Riesling.
*****
Pièce de Veau rôtie,
Terrine de pommes de terre au lard fumé,
Jus de veau infusé à la Marjolaine.
*****
La Quetsche,
Interprétation comme un tableau en couleurs
Boissons comprises :
Apéritif
Accord mets-vins
Eaux et Jus de fruits
Thé
- LES HORAIRES :
GROUPE 1 : 18h30 - 21h45
GROUPE 2 : 18h45 - 22h00
GROUPE 3 : 19h00 -22h15
(25 personnes par groupe maximum)
TARIF : 180 € par personne
En cas de mauvais temps, le dîner aura lieu dans la somptueuse salle de "La Piscine" située dans les anciens bains municipaux.
Places limitées. Réservation obligatoire. Billet non remboursable et non échangeable.
Soirée sous réserve d'un nombre minimum de participants.
RESERVATIONS
Dîner étoilé par la Maison des Têtes et visite privée au Musée Unterlinden
Mardi 13 septembre 2022
L’Art et la Gastronomie se donnent rendez-vous pour une soirée inoubliable en plein cœur du Musée Unterlinden !
La Maison des Têtes et son Chef étoilé, Eric Girardin, prendront exceptionnellement possession du magnifique cloitre du 13e siècle.
C’est dans ce cadre historique et insolite que vous pourrez déguster la cuisine créative de cet artisan passionné.
Profitez d’une ambiance feutrée pour savourer les plats riches en saveurs et en caractère proposés par la Maison des Têtes.
Ce dîner débutera par une visite privée qui associera les œuvres du musée à l'Art culinaire.
Venez vivre une expérience gustative et artistique totalement inédite !
Soirée en partenariat avec Alsace Destination Tourisme, "Mise en scène organisation" pour la décoration, "Magic JL" et le Musée Unterlinden.
Votre menu étoilé :
Foie-gras de Canard mi-cuit à l’anguille fumée,
Condiment Pomme Granny Smith.
*****
Croustillant de Quenelle de Brochet,
Tombée d’épinards & sauce Riesling.
*****
Pièce de Veau rôtie,
Terrine de pommes de terre au lard fumé,
Jus de veau infusé à la Marjolaine.
*****
La Quetsche,
Interprétation comme un tableau en couleurs
Boissons comprises :
Apéritif
Accord mets-vins
Eaux et Jus de fruits
Thé
- LES HORAIRES :
GROUPE 1 : 18h30 - 21h45
GROUPE 2 : 18h45 - 22h00
GROUPE 3 : 19h00 -22h15
(25 personnes par groupe maximum)
TARIF : 180 € par personne
En cas de mauvais temps, le dîner aura lieu dans la somptueuse salle de "La Piscine" située dans les anciens bains municipaux.
Places limitées. Réservation obligatoire. Billet non remboursable et non échangeable.
Soirée sous réserve d'un nombre minimum de participants.
RESERVATIONS
Abbaye de Marbach : du swing avec le Babanu Quartet
Dimanche 7 août 2022 à 17h
Le Babanu Quartet est né d’une rencontre entre musiciens partageant une même passion dévorante : la musique klezmer, depuis ses origines en Europe Centrale, en passant par son intégration au jazz américain, jusqu’à ses formes nouvelles, auxquelles Giora Feidman ou David Krakauer ont su donner leurs lettres de noblesse. Depuis quelques années déjà, arpentant les cafés concerts et les scènes de festivals, ces quatre artistes sans vergogne dévalisent le folklore juif, flirtent avec les mélopées orientales, cambriolent le répertoire manouche, malmènent la cadence, et finissent par toucher le cœur des gens.
À l’instar des klezmorim, ces musiciens klezmer itinérants d’Europe Centrale, leur prestation vous transportera à travers les Balkans, s’enrichissant de couleurs slaves et tziganes, depuis la Bosnie jusqu’au cœur de Cracovie.
L’accordéon et le violon s’enlacent pour conter et pleurer le spleen gitan, tandis que les musiciens, par leurs cris frénétiques, galvanisent et enflamment définitivement l’auditoire.
Fort de l’arrivée d’un nouveau batteur, ils se modernisent une nouvelle fois, à la recherche d’un répertoire encore plus étendu. Un nouvel album est prévu pour la fin de l’année. Avec Guillaume Husser contrebasse, violon, chant, Marie Taglang accordéon, chœurs, Simon Auge guitare, chœurs et Matthieu Schmitt à la batterie. Un voyage aux rythmes enjoués de la musique des Balkans.
À l’instar des klezmorim, ces musiciens klezmer itinérants d’Europe Centrale, leur prestation vous transportera à travers les Balkans, s’enrichissant de couleurs slaves et tziganes, depuis la Bosnie jusqu’au cœur de Cracovie.
L’accordéon et le violon s’enlacent pour conter et pleurer le spleen gitan, tandis que les musiciens, par leurs cris frénétiques, galvanisent et enflamment définitivement l’auditoire.
Fort de l’arrivée d’un nouveau batteur, ils se modernisent une nouvelle fois, à la recherche d’un répertoire encore plus étendu. Un nouvel album est prévu pour la fin de l’année. Avec Guillaume Husser contrebasse, violon, chant, Marie Taglang accordéon, chœurs, Simon Auge guitare, chœurs et Matthieu Schmitt à la batterie. Un voyage aux rythmes enjoués de la musique des Balkans.
Des travaux sont en cours à Obermorschwihr. Pensez à passer par Eguisheim et Husseren-les-Châteaux par la D1bis.
- Le narthex est petit : 157 places, pensez à réserver.
- Tarif 6€ min. - plateau au profit des artistes.
- Caisse du soir dans la limite des places disponibles.
- Ouverture du narthex 45 minutes avant le début des concerts, placement libre.
- Ouverture de la buvette les dimanches dès 15h30.
- N'hésitez pas à nous contacter à marbach.culture@gmail.com pour toute question ou par tél au 06 19 36 49 64
je découvre la saison
- Le narthex est petit : 157 places, pensez à réserver.
- Tarif 6€ min. - plateau au profit des artistes.
- Caisse du soir dans la limite des places disponibles.
- Ouverture du narthex 45 minutes avant le début des concerts, placement libre.
- Ouverture de la buvette les dimanches dès 15h30.
- N'hésitez pas à nous contacter à marbach.culture@gmail.com pour toute question ou par tél au 06 19 36 49 64
je découvre la saison
27 juillet 2022
Musée Unterlinden
Celui qui s’est révélé comme l’un des clavecinistes les plus prometteurs de ces dernières années interprète les Variations Goldberg de Jean-Sébastien Bach.
Concert au bénéfice de la restauration du clavecin Ruckers
Programme : Jean-Sébastien Bach - Variations Goldberg
Durée : environ 70 min
Horaire : 16h30, accès à partir de 16h00
Tarif | Plein : 25 € - Membres : 22 € - Jeunes 16 à 27 ans : 10 € - Moins de 16 ans : gratuit
Placement libre – accès à partir de 16h00
Lieu : Cloître, 1er étage
En savoir plus
Achetez vos places en ligne ou sur place à la billetterie du Musée Unterlinden, du mercredi au lundi de 9h à 17h30
Concert exceptionnel sur le clavecin Ruckers
par Jean Rondeau
le dimanche 11 septembre 2022 à 16h30
Celui qui s’est révélé comme l’un des clavecinistes les plus prometteurs de ces dernières années interprète les Variations Goldberg de Jean-Sébastien Bach.
Concert au bénéfice de la restauration du clavecin Ruckers
Programme : Jean-Sébastien Bach - Variations Goldberg
Durée : environ 70 min
Horaire : 16h30, accès à partir de 16h00
Tarif | Plein : 25 € - Membres : 22 € - Jeunes 16 à 27 ans : 10 € - Moins de 16 ans : gratuit
Placement libre – accès à partir de 16h00
Lieu : Cloître, 1er étage
En savoir plus
Achetez vos places en ligne ou sur place à la billetterie du Musée Unterlinden, du mercredi au lundi de 9h à 17h30
Eric Vial
Note aux lecteurs. En raison de la suppression de la redevance, je me vois contraint de modifier légèrement mes commentaires Facebook.
Politique : Tout va bien. Nous sommes dirigés par des politiciens formidables qui ne font aucune erreur et qui acceptent totalement la contradiction surtout dans les rangs du gouvernement, de la droite et de l’extrême-droite. Saluons le haut niveau intellectuel des débats parlementaires.
Dette publique : pas de problème, c’est les vacances. On verra demain.
Russie. Les sanctions font leur effet. Poutine envisage de prendre sa retraite. La France reste un pays puissant et tout le monde prend peur quand elle parle.
Pouvoir d’achat : Apprendre à vivre d’amour et d’eau fraîche c’est possible !
Indépendance énergétique : Le gouvernement veut relancer le tricot en proposant de baisser les températures des habitations cet hiver.
International : « Hasta la vista, babe » selon Boris.
Télévision : À la place de votre édition d’information nationale inintéressante, retrouvez pour votre plaisir la rediffusion de votre feuilleton policier allemand préféré.
Météo : Après la pluie le beau temps.
Anne Mellier - Reporterre
Dans le sud alsacien, on irrigue le maïs malgré la sécheresse
Les systèmes d'arrosages continuent de préserver le vert éclatant des champs, même en période de canicule. - © Anne Mellier / Reporterre
Sélestat (Bas-Rhin), reportage
Dans les champs de maïs qui entourent Sélestat (Bas-Rhin), le bruit des arroseurs trouble à peine le silence d’une après-midi écrasée de soleil, dimanche 25 juillet. Il fait 34 °C, mais l’irrigation des cultures suit son cours. Situé dans la zone Ill aval — du nom de la rivière, l’Ill, qui le borde — le Grand Ried (la plaine située entre Strasbourg et Colmar, et entre le Rhin et l’Ill) n’est pour l’heure soumis à aucune restriction d’usage de l’eau. Contrairement au nord et à l’ouest du Bas-Rhin, respectivement placés en vigilance sécheresse et en vigilance sécheresse renforcée depuis le 22 et le 18 juillet [1]. Ces départements sont concernés par au moins un arrêté préfectoral limitant certains usages de l’eau.. Sous les racines de la céréale, pourtant, l’eau baisse.
Dans un rapport de situation du 18 juillet, l’Association pour la protection de la nappe phréatique de la plaine d’Alsace (Aprona) s’inquiète que cette dernière atteigne cette année des niveaux bas records dans le sous-sol de la plus grande zone humide d’Alsace. Sur les cinq secteurs de mesure du Grand Ried, deux ont franchi le seuil d’une atteinte forte des cours d’eau et trois celui d’une atteinte très forte. « Nous sommes à quelques centimètres de la valeur la plus basse jamais enregistrée pour certains endroits, dit Fabien Toulet, ingénieur à l’Aprona. Ce sont des niveaux que l’on peut observer en août ou en septembre, mais pas en juillet habituellement. »
En Alsace, la nappe rhénane s’étend sur presque 300 kilomètres de longueur et mesure entre 50 et 100 mètres d’épaisseur. Mais entre Strasbourg et Colmar, dans la plaine du Grand Ried, de nombreux ruisseaux prennent leur source au mètre supérieur de cette citerne naturelle. « Une variation de 20 à 30 centimètres peut suffire à assécher un cours d’eau », poursuit Fabien Toulet. Mi-juillet, l’Observatoire national des étiages (Onde) relevait d’ailleurs trois assecs [2] dans le secteur et des écoulements à peine visibles pour trois autres sources. Or, « une seule journée d’assèchement d’une rivière anéantit des années d’efforts pour restaurer sa biodiversité », s’inquiète Daniel Reininger, responsable du réseau eau de l’association de protection de l’environnement Alsace Nature.
Comment expliquer, dès lors, l’absence de mesure de restrictions d’eau ? « Aujourd’hui, le niveau de la nappe n’est pas pris en compte par les arrêtés préfectoraux », explique le porte-parole de l’association. Les seuils déclenchant une alerte sécheresse sont définis en Alsace par un arrêté cadre du 26 juillet 2012. Ils sont indexés sur les étiages, c’est-à-dire sur les débits moyens des principaux cours d’eau de la région au moment où ils sont les plus bas. Un système obsolète pour Alsace Nature, qui appelle à une intervention des pouvoirs publics.
Dans le sud alsacien, on irrigue le maïs malgré la sécheresse
La nappe phréatique rhénane est historiquement basse, mais les pompages agricoles s’y poursuivent, en pleine canicule et au détriment de la biodiversité. Les associations écologistes demandent une mise à jour des critères de l’alerte sécheresse.
Sélestat (Bas-Rhin), reportage
Dans les champs de maïs qui entourent Sélestat (Bas-Rhin), le bruit des arroseurs trouble à peine le silence d’une après-midi écrasée de soleil, dimanche 25 juillet. Il fait 34 °C, mais l’irrigation des cultures suit son cours. Situé dans la zone Ill aval — du nom de la rivière, l’Ill, qui le borde — le Grand Ried (la plaine située entre Strasbourg et Colmar, et entre le Rhin et l’Ill) n’est pour l’heure soumis à aucune restriction d’usage de l’eau. Contrairement au nord et à l’ouest du Bas-Rhin, respectivement placés en vigilance sécheresse et en vigilance sécheresse renforcée depuis le 22 et le 18 juillet [1]. Ces départements sont concernés par au moins un arrêté préfectoral limitant certains usages de l’eau.. Sous les racines de la céréale, pourtant, l’eau baisse.
Dans un rapport de situation du 18 juillet, l’Association pour la protection de la nappe phréatique de la plaine d’Alsace (Aprona) s’inquiète que cette dernière atteigne cette année des niveaux bas records dans le sous-sol de la plus grande zone humide d’Alsace. Sur les cinq secteurs de mesure du Grand Ried, deux ont franchi le seuil d’une atteinte forte des cours d’eau et trois celui d’une atteinte très forte. « Nous sommes à quelques centimètres de la valeur la plus basse jamais enregistrée pour certains endroits, dit Fabien Toulet, ingénieur à l’Aprona. Ce sont des niveaux que l’on peut observer en août ou en septembre, mais pas en juillet habituellement. »
Sous le Grand Ried, la nappe phréatique atteint des niveaux historiquement bas pour le mois de juillet. © Anne Mellier / Reporterre
En Alsace, la nappe rhénane s’étend sur presque 300 kilomètres de longueur et mesure entre 50 et 100 mètres d’épaisseur. Mais entre Strasbourg et Colmar, dans la plaine du Grand Ried, de nombreux ruisseaux prennent leur source au mètre supérieur de cette citerne naturelle. « Une variation de 20 à 30 centimètres peut suffire à assécher un cours d’eau », poursuit Fabien Toulet. Mi-juillet, l’Observatoire national des étiages (Onde) relevait d’ailleurs trois assecs [2] dans le secteur et des écoulements à peine visibles pour trois autres sources. Or, « une seule journée d’assèchement d’une rivière anéantit des années d’efforts pour restaurer sa biodiversité », s’inquiète Daniel Reininger, responsable du réseau eau de l’association de protection de l’environnement Alsace Nature.
Comment expliquer, dès lors, l’absence de mesure de restrictions d’eau ? « Aujourd’hui, le niveau de la nappe n’est pas pris en compte par les arrêtés préfectoraux », explique le porte-parole de l’association. Les seuils déclenchant une alerte sécheresse sont définis en Alsace par un arrêté cadre du 26 juillet 2012. Ils sont indexés sur les étiages, c’est-à-dire sur les débits moyens des principaux cours d’eau de la région au moment où ils sont les plus bas. Un système obsolète pour Alsace Nature, qui appelle à une intervention des pouvoirs publics.
Pour l’association Alsace Nature, les critères de déclenchement de l’alerte sécheresse sont obsolètes. © Anne Mellier / Reporterre
« On reste sur un système figé alors qu’il faudrait tenir compte des spécificités locales dans la gestion de l’eau, poursuit Daniel Reininger. En 2020, une étude a été menée par le BRGM [Bureau de recherches géologiques et minières] sur la gestion quantitative des eaux souterraines du Grand Ried, dans le cadre d’un projet territorial de gestion de l’eau. Elle définit des limites au-delà desquelles il faut arrêter les pompages agricoles dans la nappe pour éviter l’assèchement des ruisseaux phréatiques. Cela fait deux mois qu’elles sont atteintes. Nous avons aujourd’hui des données qui nous permettent d’anticiper ces situations, d’imaginer un changement des pratiques : pourquoi ne sont-elles pas prises en compte ? »
La préfecture du Bas-Rhin n’a pas répondu aux questions de Reporterre. Le pompage continue, malgré la sécheresse.
« On reste sur un système figé alors qu’il faudrait tenir compte des spécificités locales dans la gestion de l’eau, poursuit Daniel Reininger. En 2020, une étude a été menée par le BRGM [Bureau de recherches géologiques et minières] sur la gestion quantitative des eaux souterraines du Grand Ried, dans le cadre d’un projet territorial de gestion de l’eau. Elle définit des limites au-delà desquelles il faut arrêter les pompages agricoles dans la nappe pour éviter l’assèchement des ruisseaux phréatiques. Cela fait deux mois qu’elles sont atteintes. Nous avons aujourd’hui des données qui nous permettent d’anticiper ces situations, d’imaginer un changement des pratiques : pourquoi ne sont-elles pas prises en compte ? »
La préfecture du Bas-Rhin n’a pas répondu aux questions de Reporterre. Le pompage continue, malgré la sécheresse.
24 juillet 2022
GUEBWILLER : LES URGENCES DE L'HÔPITAL VONT FERMER LA NUIT
Juliette Vignaud - BFMTV ALSACE - 22/7/2022
Les urgences de nuit du centre hospitalier de Guebwiller seront fermées à compter de ce lundi 25 juillet, et ce, jusqu’au 15 août.
Dans un communiqué, l’hôpital a annoncé que cette fermeture est liée à la pénurie de médecins urgentistes. "Confronté à une pénurie de médecins urgentistes et malgré les recherches effectuées en ce sens, le Centre Hospitalier de Guewbiller ne sera pas en mesure de maintenir son service des urgences ouvert la nuit durant la période du lundi 25 juillet au lundi 15 août inclus", est-il écrit.
Reprise normale le 16 août
« Nous avons fait le choix de fermer les urgences la nuit, ce qui nous permet de les laisser ouvertes tous les jours plutôt que d'en arriver à une autre solution qui aurait consisté à les fermer temporairement pendant 24h et de les rouvrir ensuite pendant 24h », explique Jérémy Vannier, directeur délégué de l'hôpital de Guebwiller pour BFM Alsace.
« Il nous a semblé plus pertinent de les laisser ouvertes pendant toute la période plutôt que de les fermer un jour sur deux », résume le directeur délégué de l'hôpital.
Les patients qui nécessitent une prise en charge en urgence sont invités à appeler le Samu. Ils seront redirigés par des médecins régulateurs vers les services adaptés.
Organisation millimétrée
Une organisation a été menée en amont avec le centre d'appel du Samu, comme l'explique Marc Nicoue-Beglah, chef du service de médecine et président de la Commission Médicale d'Établissement : « La réflexion a été menée de fond en comble et nous avons pris la décision de prendre en charge les patients ne relevant d'aucune hospitalisation jusqu'à 20h. Pour les patients nécessitant une hospitalisation, nous avons contacté le centre de régulation et nous les recontacterons tous les jours en leur demandant de bien faire le tri [...] Cela va être un calcul millimétré, on a anticipé sur la gestion. »
Des lits devraient être disponibles tous les jours. Si ce n'est pas le cas, le centre régulateur sera prévenu. « La tension sera reportée sur Mulhouse et Colmar, nous le savons », précise Marc Nicoue-Beglah.
La situation n'est pas propre à Guebwiller. En France, de nombreux hôpitaux sont en pénurie de médecins et contraints de fermer leurs urgences pendant la période estivale.Les urgences de nuit du centre hospitalier de Guebwiller seront fermées à compter de ce lundi 25 juillet, et ce, jusqu’au 15 août.
Dans un communiqué, l’hôpital a annoncé que cette fermeture est liée à la pénurie de médecins urgentistes. "Confronté à une pénurie de médecins urgentistes et malgré les recherches effectuées en ce sens, le Centre Hospitalier de Guewbiller ne sera pas en mesure de maintenir son service des urgences ouvert la nuit durant la période du lundi 25 juillet au lundi 15 août inclus", est-il écrit.
Reprise normale le 16 août
« Nous avons fait le choix de fermer les urgences la nuit, ce qui nous permet de les laisser ouvertes tous les jours plutôt que d'en arriver à une autre solution qui aurait consisté à les fermer temporairement pendant 24h et de les rouvrir ensuite pendant 24h », explique Jérémy Vannier, directeur délégué de l'hôpital de Guebwiller pour BFM Alsace.
« Il nous a semblé plus pertinent de les laisser ouvertes pendant toute la période plutôt que de les fermer un jour sur deux », résume le directeur délégué de l'hôpital.
Les patients qui nécessitent une prise en charge en urgence sont invités à appeler le Samu. Ils seront redirigés par des médecins régulateurs vers les services adaptés.
Organisation millimétrée
Une organisation a été menée en amont avec le centre d'appel du Samu, comme l'explique Marc Nicoue-Beglah, chef du service de médecine et président de la Commission Médicale d'Établissement : « La réflexion a été menée de fond en comble et nous avons pris la décision de prendre en charge les patients ne relevant d'aucune hospitalisation jusqu'à 20h. Pour les patients nécessitant une hospitalisation, nous avons contacté le centre de régulation et nous les recontacterons tous les jours en leur demandant de bien faire le tri [...] Cela va être un calcul millimétré, on a anticipé sur la gestion. »
Des lits devraient être disponibles tous les jours. Si ce n'est pas le cas, le centre régulateur sera prévenu. « La tension sera reportée sur Mulhouse et Colmar, nous le savons », précise Marc Nicoue-Beglah.
23 juillet 2022
- EXPOSITION -
Jan Voss ou la cacophonie de la vie moderne
Jan Voss est né en 1936 à Hambourg (Allemagne). Après des études à l'Académie des Beaux-Arts de Munich, il s'installe définitivement à Paris. Il a été professeur à l'École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris où il a enseigné de 1987 à 1992.
« Dans le travail de Jan Voss, il y a le besoin impérieux de continuellement interroger la peinture, le support, la matière, et ce jusqu'à l'acte même de peindre. La toile, le bois, le métal, la ficelle, le papier, le plastique, tout y passe. Tout est tordu, cloué, vissé, plié, gratté, torsadé, troué, relié, condensé, imbriqué. L'atelier de Jan Voss est le lieu de toutes les expérimentations : certaines seront rejetées, d'autres trouveront le chemin des cimaises. Ce qui distinguera les unes des autres reste un mystère dont la clé réside dans l'expérience sensible de l'artiste face à son travail. »
Espace d'Art Contemporain André Malraux
4 rue Rapp à Colmar
Exposition ouverte du mardi au dimanche de 14h à 18h, le jeudi de 12h à 17h
jusqu'au 2 octobre 2022
Entrée gratuite
Visites guidées publiques :
- le dimanche 18 septembre à 15h30
- le jeudi 29 septembre à 18h30
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