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11 février 2022

ANTI PASS COLMAR


LA SAINT-VALENTIN À LA FONDATION BEYELER

OFFRE SPÉCIALE SAINT-VALENTIN : BILLETS « 2 POUR 1 »
LUNDI 14 FÉVRIER 2022, 10H-18H

Partagez votre amour de l’art avec une personne qui vous est chère. Le jour de la Saint-Valentin, deux personnes peuvent accéder à la Fondation Beyeler pour le prix d’une. Générez tout simplement votre billet spécial sur notre site web et présentez-le en version imprimée à l’accueil du musée le lundi 14 février.

https://www.fondationbeyeler.ch/fr/accueil





☐ SPÉCIAL SAINT-VALENTIN : MUSIQUE LIVE DE « KING CARUSO »




Le groupe suisse « King Caruso » assurera l’ambiance musicale de la journée de la Saint-Valentin. Entre 12h et 18h, le quatuor évoluera librement dans les espaces de la Fondation Beyeler: avec ses instruments acoustiques, il jouera des classiques romantiques tel «Besame mucho» et des morceaux d’anthologie de Nat King Cole ou Elvis Presley, qui mettront le cœur des visiteurs·ses en joie. King Caruso: Marcel Jeker: guitare, Oliveiro Sotano: contrebasse, Martino Camposeco: percussions, Flaco Martino: voix



☐ VŒUX DE LA SAINT-VALENTIN EN PROVENANCE DE LA FONDATION BEYELER




Le jour de la Saint-Valentin, faites plaisir à celles et ceux qui vous sont chers. Au musée, des cartes de vœux spéciales ornées de motifs de l’exposition « Georgia O’Keeffe » attendent vos messages. Écrivez à votre famille, à vos amis, à vos amours ou à une personne à laquelle vous souhaitiez refaire signe depuis longtemps, et laissez-vous inspirer par l’exposition. Ensuite, déposez simplement votre carte dans la boîte à lettres installée spécialement pour cette occasion. La carte et l’envoi sont gratuits.



Daniel N. Sebban

MEDIAS MENTEURS DÉMASQUÉS / MERCI LUC MONTAGNIER

Luc Montagnier était une superstar dans le monde médical. Il avait découvert le virus du SIDA, ce qui lui avait valu le prix Nobel de Médecine. Il était bardé de diplômes, de faits d'armes, de citations et d'honneurs qui lui avait valu un immense respect autour de la planète.
Lorsque l'arnaque à la covid-19 a démarré, il a très vite identifié l'origine non-naturelle du virus et s'en est ouvert dans les médias. Mais comme ça allait à l'encontre des intérêts de la Mafia de Davos, il s'est immédiatement pris d’immondes représailles, qui ont conduit le grand public à s'imaginer qu'il était devenu sénile, idiot, et que sais-je encore. C'est dire la stupidité de l'écrasante majorité de la race humaine.
Il avait gardé sa tête jusqu'au bout, au point d'avoir une idée 𝑔𝑒́-𝑛𝑖𝑎𝑙𝑒 pour sa sortie : il a fait en sorte que seuls les médias qualifiés imbécilement de « complotistes » (quel terme crétin pour désigner ceux qui doutent, ce qui est le b.a.-ba de l’esprit scientifique !) soient informés de sa disparition. France-Soir a donc été le tout premier à donner l’information, presque immédiatement après la disparition de Luc Montagnier.
Aussi, pendant près de deux jours, deux interminables jours, seuls les médias qui avaient été l’objet de tant de discrédit, de railleries et d’injures, ont donné l’information ; les médias « officiels » étant incapables de l’obtenir ! Un comble.
Ce faisant, Montagnier a prouvé que la vérité se situait du côté des soi-disant complotistes et non du côté des autres médias, soi-disant respectables, mais en réalité menteurs au-delà de l’imaginable.
Depuis hier, c’est avec près de 48 heures de retard après le décès que les médias « officiels » ont enfin annoncé la mort de l’immense professeur. Mais ce n’est pas tout : le pire d’entre eux, le soi-disant « respectable » quotidien Le Monde s’est un peu plus enfoncé : il a annoncé que Libération avait été le premier à donner l’information, alors que les médias alternatifs, dont France Soir en premier, l’avaient donnée depuis des heures, ce qui, dans le monde de l’information, s’apparente à l’éternité.
Et il y en a qui croient encore au pipi de chat diffusé par les médias « mainstream » ?
Luc Montagnier aura été génial jusqu'au bout.

Phil

DNA éco-consommation : Réparer plutôt que jeter...



Phil

DNA : Colmarisé, colorisé et publié ! le dessin retoqué de mardi dernier... (il est question de locations Airbnb)



Michel Spitz

Une immense tristesse en apprenant la disparition d’André Wilms. Né à Strasbourg en 1947, André Wilms est décédé mercredi à l’âge de 74 ans. Il débute comme cintrier au théâtre Sorano, qui accueille alors le Grenier de Toulouse, fondé par Maurice Sarrazin. Il est rapidement engagé comme figurant. Il enchaîne des dizaines de pièces avant de signer ses propres mises en scène au théâtre et à l’opéra. On lui doit notamment Le Château de Barbe-Bleue de Béla Bartók, La Noce chez les petits bourgeois de Bertolt Brecht ou encore La Vie de bohème d’après Henry Murger et Aki Kaurismäki. Il rencontre également André Engel, qui l’invite sur plusieurs de ses mises en scène, comme En attendant Godot de Samuel Beckett, ou Hôtel moderne d’après Franz Kafka. Là, il apprend l'exigence du métier avant de se tourner par la suite vers le 7e Art.

Il connait un premier triomphe au cinéma en interprétant le rôle de Jean Le Quesnoy, père bourgeois ultra-catholique, dans "La vie est un long fleuve tranquille" d'Etienne Chatiliez. Il a mené de front une carrière professionnelle sur les planches de théâtre et sur grand écran. Il était l’un des acteurs fétiches du réalisateur finlandais Aki Kaurismäki qui a réalisé Le Havre ou encore L’autre côté de l’espoir. Dans « Le Havre », André Wilms était ainsi un cireur de chaussures, qui tendait la main à un jeune Africain sans-papiers. « L'Autre Côté de l'espoir » orchestrait la rencontre entre un migrant syrien échoué contre son gré dans la grisaille finlandaise et un restaurateur séparé de sa femme alcoolique…
Nous l’avons vu à la Filature de Mulhouse dans le cadre du festival Musica dans Eraritjaritjaka, « musée des phrases », spectacle musical d’après des textes d’Elias Canetti conception, mise en scène et musique Heiner Goebbels. En 2018, invité par Les Musicales de Colmar, il est le récitant dans le Carnaval des animaux.



10 février 2022

Kelly Scott

Coup de g... du jour
 
J’entends parler dans les médias du « convoi de la honte » expression sortie de la bouche méprisante de ministres, alors que le convoi démarre et n’est même pas encore arrivé à Paris.
Que de malhonnêteté intellectuelle.
Oui, il y a des chauffeurs routiers (sur le modèle du convoi canadien) mais pas que, il y a aussi des familles avec leurs enfants, des retraités, des soignants licenciés sans salaires, des soignants vaccinés mais solidaires, des personnes vaccinées ou pas, des anti pass, des anti vaxcovid, des petits chefs d’entreprise, des indépendants, des artisans, les GJ des ronds-points, des gens qui se sentent exclus ou dépossédés, les laissés-pour-compte qui manifestent (un droit garanti par la Constitution).
Évidemment que les revendications sont multiples, le déclic étant le pass vaccinal qui n’a plus aucune raison d’être (ce n’est pas moi qui le dit, ce sont les médecins et les scientifiques intègres).
Ce convoi réunit les Français qui en ont marre ! Marre qu’on leur confisque la parole et leurs libertés.
Car plus ça va et plus la France ressemble à une technocrature orwellienne.
Les policiers scannent des QR code et verbalisent à tout va, pendant que les violences et les atteintes à la personne explosent.
Autre chose mais qui est révoltant et inacceptable en France en 2022, j’écoutais hier le témoignage d’un boulanger de Nice à qui une pauvre retraitée a demandé (très très gênée) « s’il pouvait lui faire crédit de quelques jours pour sa baguette quotidienne, sa petite retraite n’arrivant que début du mois suivant ».
Elle n’osait pas en parler à ses enfants elle a honte...
Et le brave artisan boulanger de confirmer à l’antenne qu’ils sont de plus en plus nombreux, les retraités qui n’arrivent plus à se nourrir ou à boucler leurs fins du mois, comme beaucoup d’étudiants, de mères de famille, de travailleurs pauvres ou de jeunes issus de milieux défavorisés.
Alors quand j’entends dans les médias parler de convoi de la honte, de complotistes, d’extrémistes et de gens « illuminés ou allumés » oui ça me met en colère.
Soutien à cette France !
Cette France des jambon-beurre et des oubliés de la mondialisation et merde aux bobos et bien-pensants déconnectés des grandes villes (comme Raphaël Enthoven  et tant d’autres) qui font les soldes le samedi avant d’aller manger leur salade au quinoa en exhibant fièrement leur QR code.
Ils ne veulent surtout pas être dérangés par ces citoyens de seconde zone qu’ils méprisent mais sans qui...
Ils ne seraient RIEN.
Bonne journée
H16

Devant son bilan catastrophique, Darmanin perd son sang-froid
9 février 2022

Décidément, comme je l’évoquais il y a quelques jours, ce qui se passe actuellement au Canada mérite mieux que les petits entrefilets de plus en plus nerveux d’une presse française toujours à son meilleur niveau en terme de propagande : non seulement le mouvement ne faiblit pas outre-Atlantique, mais on voit même frémir quelque chose du côté européen.

Comme le relate assez discrètement Libération, des mouvements s’organiseraient donc au moins en France, en Belgique et dans d’autres pays européens pour tenter de reproduire ce qui se produit actuellement au Canada.

Sans grande surprise, le quotidien insiste bien vite sur la différence de situation française par rapport à la canadienne : il ne faudrait pas qu’on puisse imaginer une seule seconde le moindre soutien ou la plus petite sympathie du journal des apparatchiks pour quelque chose qui ressemble à un mouvement du peuple, cette engeance un peu sale (qui « pue des pieds » comme le dirait certain chroniqueur). Malgré tout, l’observation des plumitifs de l’épave sur-subventionnée n’en reste pas moins assez exacte : il y a bien une différence assez forte entre les camionneurs français et leurs homologues canadiens ; ces derniers sont très souvent propriétaires de leurs véhicules et indépendants, là où les Français sont souvent salariés et simples conducteurs de camions, ce qui veut dire que pas ou peu de camions prendront part aux manifestations.

Mais en tout cas rassurez-vous : il y a bien peu de chance (de risque ?) que ce qui s’est passé au Canada se reproduise en France.

Pas seulement parce que les propriétaires de véhicules ne sont pas les mêmes et pas seulement parce que l’esprit français qu’on a pu évaluer lors du mouvement des Gilets jaunes n’est pas tout à fait de même nature que l’esprit canadien qui motive actuellement ce qu’on observe à Ottawa – pour le dire sobrement – mais aussi et surtout parce qu’en France, les manifestations populaires ne sont pas du tout encadrées de la même façon selon qu’elles peuvent ou non servir l’agenda du pouvoir.

Autant au Canada, les forces de l’ordre doivent composer avec le droit constitutionnel à exprimer un désaccord, surtout si cette expression se fait sans violence et sans destruction, autant il n’en va pas de même en France : alors que les mouvements de camionneurs ont toujours été synonymes de blocages tendus et de soupe à la grimace pour les gouvernements qui y furent confrontés, le ministre de l’Intérieur, un certain Gérald Dardmalin Darmanin, a clairement et immédiatement appelé à la plus grande fermeté. Pour lui, c’est très clair :

« Nous mettons les moyens de renseignement et d’action si jamais des gens voulaient bloquer la liberté des uns et des autres, surtout un accès à la capitale. (…) Les gendarmes sont très mobilisés, nous prendrons nos responsabilités pour ne jamais laisser entraver la liberté de circulation »

Eh oui : s’il n’était clairement « encadré » comme il se doit, ce genre de mouvement pourrait devenir subitement visible pour une bonne partie des Français, au contraire des manifestations du samedi, facilement occultables dans des médias serviles qui n’ont pas eu trop d’efforts à faire pour ne pas en parler. Et donner de la publicité, même involontairement, à un mouvement de protestation, ce serait risquer de montrer qu’il n’y a plus du tout d’assentiment majoritaire des Français à l’ensemble des interdictions, vexations et autres avanies que le gouvernement leur fait inutilement subir.




C’est donc sans surprise que le miniministre entend écraser toute mobilisation dans l’œuf : subitement, la liberté de circulation devient importante pour lui qui se montrera « extrêmement ferme » face aux possibles manifestations… Liberté de circulation qu’il a pourtant largement contribué à saboter et à réduire à sa plus simple expression à chaque fois que ce fut possible ces dernières années, depuis les confinements à base de cerfas auto-vexatoires jusqu’aux restrictions de déplacements plus ou moins débiles empilées aux frontières en fonction du vent politique du moment.

De façon intéressante, la fébrilité du ministre de l’Intérieur est d’autant plus palpable qu’à mesure que se rapproche l’élection présidentielle, le bilan de sa politique se fait plus pressant : en réalité, les petits marquis du pouvoir actuel ont une trouille bleue d’une redite des Gilets jaunes à quelques semaines du premier tour.

Non seulement, tout dérapage ou toute gêne serait immédiatement la démonstration de l’impotence réelle du ministre de l’Intérieur et des clowns à seringue qui sévissent au pouvoir actuellement, mais en plus, au-delà de ce fichu bilan sécuritaire évident que ces mouvements vont rappeler – bilan dont tout le monde sait qu’il est très mauvais, pour le dire aimablement – cela pourrait servir de plateforme à tous les autres mécontentements…

Et ils sont nombreux : finances du pays dans un trou abyssal, services publics en berne, pouvoir d’achat détruit, déclassements divers du pays avec des rangs mondiaux de la France en matière de santé ou d’éducation si mauvais qu’ils vont inévitablement peser dans la campagne d’un putatif candidat Macron, bref, il devient absolument indispensable de tout faire pour camoufler tout ce qui peut l’être et de construire une dynamique, n’importe laquelle vaguement positive, pour redorer le blason du patron.

Manque de bol, les efforts à consentir sont si importants que même les journalistes de cour ont du mal et la moindre question un peu piquante dérape vite. Confronté à son bilan, Darmanin a d’ailleurs complètement perdu son sang-froid :




Zut, malgré d’abondantes et gourmandes turlutes de Gérald à destination du Chef de l’État, il semble bien que personne n’y croit : les chiffres officiels sont si mauvais que les ministres, Darmanin comme les autres, perdent rapidement leurs moyens.

Et ce n’est pas une exagération puisqu’en l’espace de quelques jours, ce sont des pans entiers de la Macronie qui montrent l’étendue de leur coûteuse vacuité : Jean-Michel Touvabien Blanquer, ministre de l’Éducation, n’arrive plus à se dépêtrer d’un niveau en mathématiques en chute libre, d’ailleurs brillamment illustré par certaines titrailles journalistiques tout à fait raccord… Bruno Le Maire, minustre à ce qui reste d’Économies, fait le fanfaron avec des chiffres de croissance grotesquement sortis de leur contexte qui, une fois pris en compte, les rendent absolument tout sauf glorieux… On n’évoquera pas Véran, son cas étant au-delà du réel. Quant à Darmanin, sa tentative s’est vue de faire oublier ses chiffres calamiteux, à savoir les exactions aux personnes (i.e. les faits les plus graves), en se focalisant sur les faits qu’il est le plus facile de camoufler dans les stats (les cambriolages et les vols) ; et dans cette situation, balancer du « c’est populiste » ne fonctionne plus : trop de Français ont subi des sentiments de coups et blessures un peu trop appuyés…

Eh oui : de gesticulations en communication mensongère, de pipeaux en contradictions outrées, la parole publique du gouvernement est maintenant si galvaudée, si corrompue qu’elle n’est plus relayée que par une frange étroite de journalistes qui ne le font que pour le chèque de fin de mois. On en arrive doucement au point où l’on fait plus confiance aux publicités douteuses de sites interlopes qui prétendent dénicher trois filles chaudes dans les 10 km autour de chez soi qu’aux chiffres du gouvernement, devenus grotesques.

On peut raisonnablement douter que ces bobards suffiront à garder tout le monde sagement chez soi pour les prochaines semaines : à persister ainsi, Darmanin risque d’obtenir l’effet inverse de celui qu’il souhaite et se retrouver avec beaucoup plus de monde que prévu sur les routes…

Colmar : Marche aux flambeaux pour la Liberté



Maxime Tandonnet

L’histoire tragique des doubles mandats présidentiels

En matière électorale, nul n’est madame Soleil et tout peut évidemment arriver. Il n’empêche: le matraquage sondagier quotidien semble ouvrir la voie à la réélection du président Macron. Non qu’il soit populaire: une petite minorité des Français souhaite sa réélection. Mais la baisse du niveau scolaire qui affaiblit l’esprit critique, l’émiettement des forces politiques, la médiocrité de la classe politique, l’indifférence et la résignation générales, l’illusion de l’autorité, la perte des repères d’une société traumatisée par la crise sanitaire, l’obséquiosité médiatique, la montée de l’opinion aux extrêmes, tous ces facteurs jouent en faveur d’un statu quo et d’une réélection. Encore faut-il savoir à quoi s’attendre. Dans l’histoire, sous l’effet de l’usure du pouvoir, tous les seconds mandats furent des désastres. Celui de Jules Grévy s’est terminé par le scandale des trafics de décoration aboutissant à sa démission (1889). Celui d’Albert Lebrun, à la suite de la débâcle militaire en 1940 déboucha sur l’abolition de la République et l’instauration du régime collaborationniste de Vichy. Le second mandat du Général de Gaulle s’achève par Mai 68, le référendum raté et la démission en avril 1969. N’ayons pas la mémoire courte. La fin de l’ère Mitterrand fut dramatique: de Grossouvre, Cresson, Bérégovoy, la cohabitation avec Balladur, les révélations sur son passé… Et celle de Chirac pas mieux: les raffarinades, le référendum raté, la révolte des banlieues, la guerre Sarkozy-Villepin… M. Macron, s’il est réélu, le sera par défaut. Il ne pourra jouer sur l’effet de stupéfaction comme en 2017 mais c’est un personnage profondément usé et radicalement impopulaire qui commencera son second mandat et devra tenir cinq années. Sa réélection plongera sans doute le pays dans l’une des plus graves crises politiques et sociales qu’il n’ait jamais connues depuis la fin de la DGM.

https://maximetandonnet.wordpress.com/2022/02/04/lhistoire-tragique-des-doubles-mandats-presidentiels/