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12 novembre 2021

Jak



Michel Naudo

Pourquoi avoir organisé un débat public ?

J’ai bien entendu suivi le débat sur LCI entre les candidats à la candidature LR à la présidence de la république. J’ai eu l’impression d’assister à une réunion de ces responsables politiques face à leurs militants et c’est bien normal puisqu’ils s’adressaient avant tout et surtout aux militants et/ou futurs militants LR qui seront les seuls à voter début décembre.
Ceci explique certainement les surenchères affichées par les uns et les autres concernant les économies, la dette, le nombre de postes de fonctionnaires à supprimer etc…
Étant un libéral, j’ai aussi été frappé par l’ampleur de l’interventionnisme étatique envisagé par les candidats !
N’étant pas un militant LR, je ne me prononcerai pas sur tel ou telle ; cependant, ayant toujours voté à droite jusqu’en 2017 exclu, je pensais pouvoir retrouver un discours qui m’avait été familier auparavant. Ce ne fut pas le cas… C’est vraisemblablement dû au fait que cette droite a changé, qu’elle se « droitise », que sa vision de l’Union européenne ne correspond plus à la mienne et que l’ombre de Zemmour a plané sur ce débat tout au long de la soirée.
J’ai été en particulier stupéfait par trois choses :
La première est cette proposition de convoquer immédiatement les chefs d’États et de gouvernements de l’UE sitôt l’élection acquise, pour renégocier les traités européens ! Comme cela paraît simple et facile !
Sans rentrer dans les détails, la présidence tournante de l’UE exercée par la France du 1er janvier au 30 juin 2022 donne la faculté au président français de mettre sur l’agenda européen des sujets qui lui tiennent à cœur mais certainement pas de « convoquer » ses pairs pour renégocier quoi que ce soit ! Certes, un État membre peut demander le lancement d’un tel processus de révision mais ensuite c’est un parcours du combattant…
Pour faire court, il faut une déclaration commune des chefs d’État, puis que le Conseil européen convoque une Conférence intergouvernementale qui élaborera les textes, ensuite, s’il y a accord unanime des États, ceux-ci signeront la révision des traités puis il faudra en passer par les ratifications dans les 27 États membres…
Sarkozy avait initié le traité de Lisbonne en 2007 ; il l’avait annoncé dans son programme de campagne et avait expliqué pourquoi il fallait le faire car depuis 2005 et l’échec de la Constitution européenne, l’UE « fonctionnait » très mal sur les bases du traité de Nice. Il y avait donc urgence à réformer.
Où est l’urgence aujourd’hui ? Pour quelles raisons précises, sérieuses et impératives, faut-il réviser quels textes ?
La deuxième chose qui m’a laissé sans voix, est cette proposition de provoquer un référendum pour demander aux Français de reconnaître la primauté de la loi française sur les traités internationaux !
Sur la possibilité évoquée, de faire ce référendum en même temps que les élections législatives, j’ai un gros doute car l’article 11 de la Constitution stipule que ce référendum doit se tenir « pendant la durée des sessions ou sur proposition conjointe des deux assemblées ». L’assemblée ne sera pas en session, ni même élue !
Ensuite je pose la question : que vaudra encore la signature de la France si la loi devait primer sur les traités internationaux et que l’on jette aux orties l’article 55 de notre Constitution rédigé ainsi : « Les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve, pour chaque accord ou traité, de son application par l'autre partie » ?
Cela reviendrait à déclarer que tout traité international n’engage en rien la France puisqu’à tout moment une loi peut le contredire. Absurde…
La troisième chose découle des deux premières puisqu’à aucun moment, je n’ai entendu Michel Barnier, pourtant rompu aux questions européennes, réagir à ces propositions loufoques !
Dommage, car en voulant absolument donner des gages aux militants LR qui ne sont pas spécialement des europhiles, il se coupe, s’il est désigné, de l’électorat centriste qui aurait pu encore se tourner vers lui.
Une élection présidentielle se gagne au centre comme toujours depuis 1965 et c’était dès lors totalement contre-productif de nous laisser assister publiquement à cette surenchère démagogique qui aurait dû se tenir à huis clos avec les militants…

Musée Unterlinden

On se retrouve autour du clavecin


PHOTO_MUSICIENNES

Concert

Flûte traversière baroque et clavecin
14.11.21

Par Yuki Mizutani et Émilie Pierrel, diplômées de la HEAR / Académie supérieure de musique de Strasbourg
Programme : Rameau, Hotteterre, Montéclair, Couperin, Philidor
Horaire : 15h
Durée : 50 min
Tarif : Accès libre pour les visiteurs du Musée
Lieu : Cloître, 1er étage

En savoir plus
[12.11.21]

11 novembre 2021

Dr Jean-Gabriel Balique : Une catastrophe sanitaire est en cours à cause des vaccins et de l’obligation vaccinale




Dans une lettre ouverte datée du 2 Octobre 2021 et adressée aux sénateurs et députés, le docteur Jean-Gabriel Balique, membre de l’académie de chirurgie, alerte sur les conséquences désastreuses du vaccin et invite à la remise en cause d’une obligation qui n’a aucun effet sur l’immunité collective escomptée et qui en plus semble exposer les vaccinés à des Covids plus virulents, voire mortels et à une contagiosité plus importante. Il est clair que le vaccin ne répond pas vraiment à son objectif de protection, d’autant plus qu’il faut multiplier les doses !

Le docteur Balique cite Israël en exemple pour démontrer que désormais ce sont les doublement, voire les triplement vaccinés qui occupent les lits d’hôpitaux, ce qui remet en cause la stratégie sanitaire reposant uniquement sur les vaccins, à l’exclusion de tout traitement curatif ! Le Portugal et l’Islande très vaccinés ont des résultats équivalents à Israël. Il ne comprend pas comment on peut encore continuer à imposer une vaccination qui ne fonctionne pas et qui a le terrible désavantage de provoquer de graves blessures, d’engendrer des maladies invalidantes et même des décès qui ne sont pas suffisamment remontés à la pharmacovigilance.

Il dénonce « les complications graves, mortelles, inadmissibles et éthiquement insupportables » et le rejet du serment d’Hippocrate dans toutes ses composantes : « primum non nocere » (avant tout ne pas nuire), le secret médical, le consentement libre et éclairé… dont le gouvernement se rend responsable et coupable. Le docteur Balique s’appuie sur l’agence européenne du médicament qui au 2 Octobre recensait 26.523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications, dont 1 million graves, et affirme que de nombreux cas ne sont pas du tout répertoriés.

Il souligne que parallèlement chez les non-vaccinés sans comorbidité, il n’y a aucun décès du Covid, alors pourquoi rendre encore obligatoire un « remède » plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques ?

L’ignorance du principe de précaution ne va-t-il pas conduire à un potentiel scandale à venir ? Comme de nombreux citoyens en France, le Docteur Balique a constaté la censure et le muselage des soignants auxquels on interdit de s’exprimer alors que nous sommes dans le pays des droits de l’homme ! Ces soignants qui redoutent à juste raison un vaccin dont ils observent dans leur pratique les effets néfastes sur les vaccinés accueillis à l’hôpital ou dans leur cabinet.

Pour toutes ces raisons, le docteur Balique demande la suppression du pass sanitaire et l’arrêt de la propagande mensongère « tous vaccinés = tous protégés ». La pandémie ne s’accompagne que d’une mortalité de 0, 05 %, uniquement représentée par les personnes à risque et dont la moyenne d’âge des décès est de 83 ans.

Intervenant au nom des victimes du vaccin et des soignants qui le refusent, le docteur Balique insiste sur le fait que ceux qui auront pris la responsabilité de l’obligation vaccinale conduisant à de graves complications auront été prévenus, et sous-entend que le jour où la vérité éclatera, car elle éclatera, ils ne pourront pas se défausser de leurs responsabilités ni des dommages qu’ils auront engendré par leurs décisions.

Je suis heureuse que ce médecin exprime exactement ce que j’ai pensé, analysé et expérimenté de la situation depuis la mise en place du scandaleux pass sanitaire et des mesures incroyablement liberticides et attentatoires aux droits humains et citoyens accordés à tous sans aucune discrimination ni conditions. J’en ai porté témoignage et j’ai alerté à maintes reprises dans de nombreux articles dès le lendemain de l’allocution incendiaire du 12 juillet 2021 d’Emmanuel Macron, en m’exposant à des critiques très injustes, infondées et peu amènes alors que je ne gagne strictement rien à alerter mes concitoyens des risques graves encourus avec ces injections, qui rapportent beaucoup d’argent aux laboratoires et qui détruisent bien plus de santé et de vies que le virus lui-même !


Ci-dessous la lettre ouverte du docteur Jean-Gabriel Balique :

Professeur Jean Gabriel Balique
Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie
jgbalique@gmail.com

À propos du projet d’obligation vaccinale
Lettre ouverte Le 2 octobre 2021

Mesdames les Sénatrices, Messieurs les Sénateurs,
Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

Au moment où vous allez discuter de l’obligation vaccinale, il est de mon devoir en tant que médecin, père et grand-père, de vous alerter sur la catastrophe sanitaire qui se déroule sous nos yeux, à l’ombre des autorités de tutelle. Je précise d’emblée que je ne suis ni complotiste ni anti-vaccins (je me fais régulièrement vacciner contre la grippe et je n’ai pas des a priori envers les vaccins « classiques » rendus obligatoires dans notre pays).

Le vaccin contre la Covid 19, en novembre 2020, devait nous sauver et nous ramener à une vie normale. Maintenant que nous avons du recul, il devient plus « facile » de faire le bilan du bénéfice-risque de la stratégie vaccinale. La première constatation qui s’impose est que le « vaccin » ne protège pas et n’empêche pas de contaminer (cf. déclaration du Ministre de la Santé Olivier Véran devant le Conseil d’État au mois d’avril 2021). L’exemple d’Israël que nos autorités ont pris comme modèle montre que les hospitalisations et les réanimations sont débordées de personnes vaccinées !
On ne cite plus Israël actuellement ! Une étude parue dans European Journal of Epidemiology le 30 septembre 2021 confirme que les pays où le pourcentage de population vaccinée est le plus élevé, ont un nombre de cas de Covid-19 pour 1 million d’habitants plus élevé (exemple Israël, Portugal, Islande…). Nous n’avons jamais vu en médecine imposer un traitement ou une vaccination qui ne marche pas (sauf pour les personnes à risque où la balance bénéfice/risque est différente).

Ceci ne serait pas dramatique si cette stratégie n’était pas à l’origine de complications graves, mortelles, inadmissibles et éthiquement insupportables pour tout médecin qui, tous les jours, se bat, pour soulager et soigner des patients. Les médecins « du terrain » croient encore au serment d’Hippocrate qui a été leur guide depuis des siècles et que les politiques les obligent à bafouer. Les principes fondamentaux du serment dont « primum non nocere » (avant tout ne pas nuire), le secret médical, le consentement libre et éclairé… ont été rejetés d’un revers de main.

Comme vous le savez, ce vaccin est en cours de phase d’expérimentation, phase 3 de mise au point d’un médicament. Maintenant que cette phase, déclenchée au niveau mondial, a du recul, les médecins du terrain voient apparaître de nombreuses complications. Au 2 octobre 2021, l’agence européenne du médicament, l’EMA, recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications dont 1 million graves. Ces chiffres ne représentent qu’une partie des cas observés. En France, l’Agence nationale du médicament (ANSM) dans son rapport du 16 septembre 2021 rapporte 22 559 cas graves parmi lesquels des décès. De nombreux cas ne sont pas rapportés pour différentes raisons.

En France, l’expérience du terrain rapportée par les médecins de ville et hospitaliers montre clairement l’accroissement des complications survenant dans les semaines suivant la vaccination : de nombreux cas de paralysie faciale, de myocardite et péricardite dans les suites précoces de la vaccination, des complications cardio-vasculaires (Infarctus, AVC) chez des sujets relativement jeunes et pas forcément à risque cardio-vasculaire, de nombreux cas de thrombose veineuse et d’embolie pulmonaire. Les médecins signalent une élévation fréquente des marqueurs de thrombose (D-Dimères) parfois à des taux anormalement élevés, une fatigue et altération de l’état général accélérée chez les patients âgées, des cancers jusque là contrôlés, explosent après vaccination, des maladies auto-immunes comme des polyarthrites, des thyroïdites se dérèglent dans les semaines qui suivent la vaccination. L’ANSM indique comme « signaux confirmés » la myocardite et la péricardite de survenue précoce après la vaccination avec les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech) et Moderna sans donner le nombre exacts de malades et en minimisant la pathologie alors que les complications et les séquelles à long terme peuvent être graves.

Depuis le début de la vaccination des 12-18 ans, 206 cas d’effets indésirables graves (dont des décès) ont été rapportés avec le vaccin Comirnaty et 18 cas graves avec Moderna alors que nous sommes à peine à 3 mois et demi de vaccination dans ce groupe d’âge. Il s’agit de jeunes qui n’étaient pas à risque de forme grave ni de décès du Covid mais qui vont garder probablement à vie des séquelles de la vaccination. Ces derniers jours, deux adolescentes sans facteurs de risques viennent de décéder et un jeune a été amputé d’une jambe, 15 jours après le vaccin. N’est-ce pas un sacrifice que la société fait et quel est le prix à payer ? À partir de combien de décès d’adolescents diriez-vous STOP à la vaccination des jeunes qui n’ont rien à gagner car ils sont à faible risque de forme grave et de décès du Covid ?

Chez les femmes, des troubles des règles, des fausses couches ou des morts du fœtus in utero au cours des grossesses sont observés. Comment se fait-il que la Direction Générale de la Santé autorise la vaccination dès le premier trimestre de la grossesse alors que les données sur la sécurité du vaccin chez les femmes enceintes sont limitées et incomplètes ? Où est le principe de précaution ?

Toutes ces complications surviennent précocement après la vaccination chez des personnes sans antécédent ayant une vie normale. Elles surviennent aussi chez des sportifs qui ont dû arrêter leur activité après avoir été vaccinés, hypothéquant leur carrière : Jérémy Chardy, Christophe Lemaitre en sont les exemples les plus célèbres… Parallèlement dans la même population de personnes sans co-morbidité, non vaccinées il n’y a aucun décès du Covid, seules sont exposées les personnes à risque, c’est pour cette population là que le « vaccin » peut avoir une certaine protection.

Malheureusement ces complications sont passées sous silence, elles ne remontent pas aux tutelles ou celles-ci ne veulent pas les voir. Ce drame humain sanitaire ne va faire qu’empirer avec la persistance de cette vaccination et la multiplication probable des doses. La mise au point d’un essai de vaccin anti H1N1 a été arrêté pour beaucoup moins de complications. Aucun des vaccins obligatoires n’a entrainé de telles complications. Actuellement les médecins voient plus de patients en consultations pour des complications du vaccin que du COVID lui-même. La balance bénéfice/risque n’est pas en faveur du « vaccin » dans cette population. Pourquoi voulez-vous encore rendre obligatoire un « remède » plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques !

Il est urgent d’en tirer les conséquences, au moment où l’immunité naturelle se développe, où le variant Delta s’avère beaucoup moins agressif et que l’épidémie décroît. Ne recommencez pas le syndrome de Tchernobyl où l’on nous a affirmé que le nuage nucléaire radio-actif s’était arrêté à la frontière. N’oubliez pas le scandale du Sang contaminé. À ce sujet, savez-vous que l’Établissement français du sang exige un délai de 28 jours après vaccination avec vaccin atténué (Rougeole, Rubéole, Oreillons, Fièvre jaune…) mais ne prend aucune précaution quant aux donneurs de sang récemment vaccinés avec ces nouveaux vaccins dont on connaît incomplètement la biodistribution dans le corps. N’est-ce pas encore une fois une ignorance du principe de précaution et un potentiel scandale à venir ?

Même si vous n’êtes pas médecin, regardez autour de vous ce qui se passe, recherchez l’information. Vous avez le droit de vous informer car vous êtes nos représentants.

La vérité commence à éclater. Déjà le vaccin Astra Zeneca a été interdit chez les moins de 55 ans à la suite de thromboses (c’est dire l’innocuité de ces vaccins !) puis récemment le Janssen et progressivement on voit des États remettre en cause la vaccination généralisée :

• Au Royaume Uni, la vaccination est interdite aux moins de 15 ans et ils viennent de renoncer à la vaccination obligatoire. Au Texas la vaccination des jeunes est interdite.

• Au Danemark, seules sont vaccinées les personnes à risques et il y a une liberté totale retrouvée sans pass sanitaire.

• En Afrique, on observe une mortalité 10 fois inférieure à la nôtre alors qu’il n’y a que 2 % de vaccinés (on annonçait une catastrophe sanitaire !)

Tous ces soignants, médecins, infirmières, aides-soignants mais aussi pompiers qui sont montrés du doigt ne sont pas des antivaccins mais redoutent les effets d’un « vaccin » encore en expérimentation dont ils voient dans leur pratique directement les effets néfastes.

Ces soignants « du terrain » voient des vrais malades, les médecins des plateaux télé extrapolent à partir de chiffres des probabilités dont la grande majorité se sont avérées erronées.

Dans cette crise il ne doit pas y avoir de couleur politique mais un consensus pour défendre la santé des français qui vous ont élus.

Au nom de toutes les victimes, au nom de tous ces soignants muselés qui ne peuvent pas s’exprimer sous peine de sanctions, du jamais vu dans un pays soit disant de liberté, je vous demande de regarder au-delà des chiffres officiels totalement manipulés et de refuser la vaccination obligatoire, à plus forte raison pour les enfants dont on met en danger l’avenir.

• Faites au minimum un moratoire, au cours duquel vous pourrez entendre l’avis de nombreux médecins, scientifiques et autres qui essayent de se faire entendre mais qui sont systématiquement boycottés quand leur avis va à l’encontre de la politique sanitaire gouvernementale. Il faut aussi réévaluer la fiabilité des tests utilisés, discuter des traitements actuellement proposés.

• Supprimer le passe sanitaire et faite arrêter la propagande honteuse et mensongère sur la vaccination : « tous vaccinés = tous protégés » slogan complètement faux, on le sait maintenant !

• Lever les sanctions de tous les soignants non vaccinés interdits d’exercer alors qu’ils sont passionnés par leur vocation et qui ne sont pas devenus plus dangereux le 15 septembre que le 15 juin. Certains hôpitaux malgré l’interdit continuent à juste titre d’employer des personnels non vaccinés pour pouvoir maintenir leur activité sans aucune conséquence sanitaire mais en créant une inégalité criante par rapport à ceux qui ne peuvent pas travailler. Rappelez-vous que vous les avez encensés lors de la première vague et qu’un certain nombre d’entre eux sont morts pendant cette vague faute de masques et de moyens de protection.

La stratégie imposée est déconnectée de la réalité : c’est une pandémie qui s’accompagne d’une mortalité de 0.05 %, représentée par les personnes à risque, la moyenne d’âge des décès est de 83 ans, un peu moins actuellement car les personnes les plus fragiles sont décédées lors de la première vague. Que l’on propose une vaccination est logique à condition d’avoir un vrai vaccin ce qui n’est pas encore le cas et en respectant la volonté de chacun (il ne s’agit pas d’Ebola, d’une méningite ou de la variole…). En attendant, en cas de maladie, il est possible de proposer, à un stade précoce, des traitements. De nombreux médecins les ont prescrits avec succès. Ils peuvent même être proposés à titre préventif chez les personnes à risque. Ces personnes sont connues et peuvent donc être protégées isolément (notamment par ce « vaccin » dont c’est la seule indication) sans pénaliser le reste de la population.

Sachez que vous aurez été informé et que le moment venu, lorsque la vérité éclatera, car elle éclatera tôt ou tard compte tenu de l’accumulation des données scientifiques et des données du terrain sur les complications, votre responsabilité risque d’être engagée.

En espérant être entendu au nom des victimes du vaccin et des soignants qui refusent cette expérimentation et en restant à votre disposition, je vous prie de croire, Messieurs et Mesdames les élus (es), en mes respectueuses salutations.

Professeur Jean Gabriel BALIQUE
Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie

Article rédigé les 10 et 11 Octobre 2021 par Catherine Medioni
[11.11.21]
Phil

11 novembre : tapis rouge aux combattants...


Armistice de ce qui devait être "la der des der..."

10 novembre 2021

Comédie de Colmar

Du théâtre dans votre salon ? Et pourquoi pas !
 
C'est ce que vous propose la Comédie de Colmar, du 6 au 17 décembre. Une expérience unique, une rencontre privilégiée avec une jeune actrice et un texte poignant : Romance, de Catherine Benhamou.
Le principe est simple : vous invitez chez vous des amis, des collègues, des voisins, qui n'ont pas l'habitude de se rendre au théâtre. On arrive une heure avant, on pousse un peu le canapé et la table basse, et place au spectacle !
Si l'envie vous titille, faites-nous signe en envoyant un message.
Et sinon, partagez l'info autour de vous !


[10.11.21]

9 novembre 2021

Bernard Friedrich

Noble monsieur Laurent ROTH porte-parole du légitime mouvement "Unser Land"... Land qui au fond appartient autant à moi qu'à vous dont je ne partage guère les convictions. Pour vous permettre de revenir un peu sur notre terre, je ne saurais vous conseiller de déplacer en masse vos adhérents jeudi prochain vers nos monuments aux morts pour découvrir sur leur fronton l'inscription "À nos morts" et non, comme à "l'intérieur", "Aux morts pour la France" ; preuve indiscutable qu'en ALSACE-MOSELLE nous honorons TOUS les morts des conflits passés, quelle qu'ait été leur nationalité du moment ! Par ailleurs, vous pourriez aussi élargir votre horizon pour y voir conflits et menaces de tous ordres proliférer et - peut-être - en déduire que pour la France, notre pays, comme pour les autres, il est naturel de prévoir le pire. C'est ce que fait le beau RMT, celui du serment de Koufra, qui, ne vous en déplaise, a déjà dans les années 44/45 foulé et bataillé à balles réelles sur notre sol. Je n'ai pas souvenir qu'à l'époque beaucoup d'Alsaciens s'en soient plaints !
9.11.21


Réponse de Laurent Roth

Cher monsieur Friedrich, merci pour votre poste plein de sagesse et de bienveillance à mon encontre. Nous sommes au moins d'accords sur l'honneur à porter à nos morts, qu'ils l'aient été pour la France ou pour l'Allemagne, au gré de l'histoire. Etant moi-même engagé associativement dans la préservation du patrimoine et la passation de mémoire, croyez bien que c'est un sujet qui me tient personnellement à cœur. Mais cela la presse n'en parle pas, tout comme elle a oublié la moitié du communiqué avec la seule volonté de dénigrer notre position. Contrairement à 2019, réaliser ces manœuvres en pleine période de recueillement peut légitimement choquer. On peut longtemps épiloguer sur 1944, sur la guerre moderne, etc. etc. mais à mon sens il y a un temps pour tout. Une semaine plus tôt ou une semaine plus tard n'auraient rien changé pour l'armée, et cela nous aurait évité le battage médiatique qui fait certainement mauvais genre envers nos alliés européens. Enfin, le 11 novembre, j'ai opté pour une cérémonie très sobre à Ruelisheim au pied du "Monument roumain" avant de me rendre à Ingersheim où Unser Land a commémoré les Alsaciens tombés. Je respecte votre vision des choses sans pour autant la partager, et j'espère que nous aurons un jour l'occasion d'échanger de vive voix sur ces sujets importants pour notre société !
13.11.21
Eric Straumann

☐ Facebook Live du 8/11/2021

⇒ https://www.facebook.com/villecolmar/videos/2013669545450775

8 novembre 2021

À Colmar, le lobby des commerçants fait la loi

Edouard Dabrowski

Certains commerçants colmariens se sentent tout-puissants. Depuis des lustres. Même l'autocratique maire Gilbert Meyer les craignait et n'osait trop les contrer, c'est dire. Parmi ceux du centre-ville, il en est qui se prennent pour les maîtres des lieux et font passer leur propre intérêt devant celui des habitants. Pour ces rapaces, il n'y aura jamais trop de touristes ! Quant au respect du patrimoine, ça leur passe par-dessus la tête, seul le tiroir-caisse les intéresse. Eric Straumann a bien tenté de réguler les portants de camelote chinoise qui s'étendent de plus en plus dans l'espace public - on en dénombre davantage que sous l'ère Meyer - et qui sont une offense à la beauté de la ville. Et ne parlons même pas des "décors" kitchissimes plaqués sur des façades historiques. Mais aucune avancée ne sera obtenue « en demandant gentiment ».
Heureusement, il existe des commerçants dignes d'estime, dont certains sont des amis. Eux-mêmes souffrent des agissements de leurs confrères âpres au gain et arrogants.

Aujourd'hui, l'association de commerçants "Les Vitrines de Colmar" s'en prend aux manifestants anti-pass sous prétexte qu'ils empêcheraient les ventes de se faire pendant qu'ils défilent les samedis après-midi. « Chaque samedi, les commerçants sont confrontés à la même problématique : pendant ces manifestations non-violentes, aucune vente n’est réalisée pendant deux à trois heures. On constate qu’il n’y a pas de report de vente, ça fait baisser le chiffre d’affaire, c’est un problème auquel on est confronté tous les week-ends » s’alarme la présidente de l'association, Céline Kern-Borni.

Les mêmes commerçants manifestant dans les rues de Colmar le 19 novembre 2020 pour la liberté de commercer :

Photo Edouard Dabrowski

L'article d'Actu Haut-Rhin
⇒ https://actu.fr/grand-est/colmar_68066/colmar-les-commercants-du-centre-ville-uses-par-les-manifestations-anti-pass-sanitaire_45678148.html