Translate

13 octobre 2021

[Covid] Supplique aux partis démocratiques – Faits et chiffres

Jean-François Huet
médecin anesthésiste réanimateur

Nous assistons depuis des mois à la censure quasi systématique voire automatisée de toute information dérangeante sur l'épidémie de Covid et sur les vaccins à ARNm et à ADN et vecteurs viraux.
Toute information, avis ou jugement contraire ou simplement différent du narratif officiel est arbitrairement jugé "non conforme à la vérité" et provenant de personnes décrétées "antivax" ou "complotistes".
Cette attitude inquisitoriale ne sert ni la vérité, ni la science, au risque de devenir carrément mortifère.

Apparemment...
75% d'hospitalisations pour Covid concernent des sujets VACCINÉS au Royaume-Uni, 84% en Israël.
63 % aux États-Unis et tenez vous bien... 10% en France, selon le "ministère" de la propagande sanitaire dit de la Santé.
Un vrai miracle ? Ou un bobard de plus ? À votre avis.
Mettez-vous bien une fois pour toutes dans la tête que c'est effectivement la vaccination des sujets à risque qui empêche certains d'entre eux de se retrouver hospitalisés... avec une efficacité de 40 à 60 % maximum après 6 mois...
C'EST TOUT, et ce n'est déjà pas si mal.
Être vacciné n'empêche pas de transmettre la maladie et n'empêche pas tout le monde d'être malade.
Le point clé de toute maladie en général et de la Covid en particulier est LE SOIN.
La vaccination est une mesure PRÉVENTIVE et non CURATIVE (au risque de me répéter).
Mais je suis assez confiant, car devant les déboires des stratégies vaccinales massives et aveugles, hasardeuses voire téméraires, sorties de leur cadre PRÉVENTIF, les VRAIS traitements précoces vont se développer car il y a un marché... ça a déjà commencé.


Supplique aux partis démocratiques – Faits et chiffres



11 octobre 2021

Eric Straumann

☐ Facebook Live du 11/10/2021

⇒ https://www.facebook.com/villecolmar/videos/959833098079484

Présidentielle 2022

Michel Naudo

Point de vue

Nous sommes en train d’assister à l’acte 2 de ce qui fut provoqué par l’irruption de Macron dans le paysage politique français en 2016.
L’acte 1, avec comme point d’orgue l’élimination des deux grands partis de gouvernement (PS et LR) dès le 1er tour des présidentielles, sonna le début de la décomposition de la gauche et de la droite qui structuraient le débat politique sous la cinquième république. Cette phase est en passe de s’achever avec un éparpillement mortel de toutes les anciennes composantes de la gauche.
Chez les LR, la dynamique lancée par Zemmour et la création du nouveau parti « Horizons », sont des forces centrifuges qui disloquent un parti sur le déclin bien que disposant encore de beaux restes avec de nombreux élus locaux. Il y a une véritable hémorragie de voix en cours…
Nombreux sont les socialistes et les gaullistes qui ne savent plus où ils habitent !
L’acte 2 c’est la recomposition du paysage politique avec un centre progressiste et composite autour duquel graviteront trois ou quatre planètes, une gauche et une ou deux droites extrêmes ainsi que le parti écologiste. Il y aura aussi quelques petits astres morts, vestiges de ce que furent la gauche et la droite.
Où en sommes-nous à cette heure ?
Chez les LR, il semblerait que ce soit Barnier qui tienne la corde mais s’il est populaire chez les militants, il doit encore se faire connaître par les Français. Son parcours européen a été exemplaire avec en particulier sa remarquable performance en sa qualité de négociateur pour le Brexit.
Il a néanmoins commis une grosse erreur avec ses déclarations récentes qui remettaient en cause la primauté du droit européen sur le droit national en matière d’immigration. C’était certes pour donner des gages aux militants LR qui ne sont pas réputés pour être des pro-européens échevelés mais se faisant il s’est coupé des électeurs centristes dont il aura grand besoin après le congrès de décembre. Il lui faudra alors s’expliquer et certainement ménager la chèvre et le chou au risque de perdre l’un ou l’autre voire les deux…
À gauche, c’est simple, tout a explosé…
Au RN, MLP est en chute libre face à la montée impressionnante de Zemmour.
Chez les écolos, Jadot est un anti-nucléaire farouche alors que les trois quarts des français y sont favorables, ayant compris que c’est une source d’énergie qui n’émet pas de CO2…
Le nouveau parti « Horizons » de Philippe entre dans la danse en soutenant le président sortant et aura des candidats aux prochaines législatives car n’oublions pas que c’est le résultat du premier tour des législatives qui conditionne le niveau de financement public d’un parti politique.
Objectivement et à moins d’un événement exceptionnel, je ne vois pas ce qui pourrait, en l’état actuel des choses, empêcher Macron d’être réélu, tant les planètes semblent à nouveau s’aligner comme en 2017…
Je rêve d’un débat d’entre deux tours Macron/Zemmour !
Macron aura selon toute vraisemblance une majorité à l’assemblée mais beaucoup plus composite qu’aujourd’hui (LREM – MODEM – AGIR - Territoires de progrès – Horizons) et devra composer, ce qui sera nouveau et pas forcément de bon augure en particulier pour un éventuel nouvel acte de décentralisation dont le pays a tant besoin.
Philippe sera sur sa rampe de lancement pour 2027 d’où sortira peut-être à nouveau une chambre bleu-horizons…



Stratégie en matière de traitements contre la COVID-19 : la Commission recense cinq traitements prometteurs

« La vaccination contre la COVID-19 constitue le meilleur moyen de mettre un terme à la pandémie et de revenir à une vie normale. Parallèlement, nous travaillons dans le but de disposer des meilleurs traitements pour ceux qui sont infectés. »

La stratégie de l'UE en matière de traitements contre la COVID-19 donne aujourd'hui un premier résultat, avec l'annonce du premier portefeuille de cinq traitements qui pourraient bientôt être disponibles pour traiter les patients dans l'ensemble de l'UE. Quatre de ces traitements sont des anticorps monoclonaux faisant l'objet d'une évaluation en continu par l'Agence européenne des médicaments. Le cinquième est un immunosuppresseur disposant d'une autorisation de mise sur le marché qui pourrait être étendue au traitement des patients atteints de la COVID-19.

Stella Kyriakides, commissaire chargée de la santé et de la sécurité alimentaire, a déclaré: « Aujourd'hui, nous franchissons la première étape vers l'établissement d'un vaste portefeuille de traitements contre la COVID-19. Bien que la vaccination progresse à un rythme croissant, le virus ne va pas disparaître et les patients auront besoin de traitements sûrs et efficaces pour réduire la pression de la COVID-19. Notre objectif est clair: recenser d'autres candidats pionniers en cours de développement et autoriser au moins trois nouveaux traitements d'ici la fin de l'année. C'est cela, l'Union européenne de la santé. »

Les cinq produits se trouvent à un stade avancé de développement et ont de grandes chances de figurer parmi les trois nouveaux traitements contre la COVID-19 qui seront autorisés d'ici octobre 2021 — l'objectif fixé dans le cadre de la stratégie — pour autant que les données finales démontrent leur innocuité, leur qualité et leur efficacité. Il s'agit des produits suivants :

une nouvelle indication relative à la COVID-19 pour des médicaments existants :

- l'immunosuppresseur baricitinib (un médicament qui réduit l'activité du système immunitaire) d'Eli Lilly : une demande d'extension de l'autorisation de mise sur le marché pour inclure l'indication relative à la COVID-19 est en cours d'examen ;

des anticorps monoclonaux nouvellement mis au point faisant l'objet d'une évaluation en continu – un outil réglementaire permettant d'accélérer l'évaluation d'un médicament prometteur en cas d'urgence de santé publique :

- la combinaison de bamlanivimab et d'etesevimab d'Eli Lilly: évaluation en continu ;
- la combinaison de casirivimab et d'imdevimab de Regeneron Pharmaceuticals, Inc. et F. Hoffman-La Roche, Ltd : évaluation en continu ;
- le regdanvimab de Celltrion : évaluation en continu ;
- le sotrovimab de GlaxoSmithKline et Vir Biotechnology, Inc. : évaluation en continu.

Prochaines étapes

La Commission élaborera d'ici octobre un portefeuille d'au moins 10 traitements potentiels contre la COVID-19, en s'appuyant sur les travaux du groupe d'experts sur les variants de la COVID-19 récemment mis en place. Le processus de sélection sera objectif et fondé sur des données scientifiques, les critères de sélection étant convenus avec les États membres. Étant donné que différents types de produits sont nécessaires pour les différentes populations de patients et les différents stades et degrés de gravité de la maladie, le groupe d'experts établira des catégories de produits et sélectionnera les candidats traitements les plus prometteurs pour chaque catégorie, sur la base de critères scientifiques.

Le portefeuille contribuera à l'objectif consistant à disposer d'au moins trois nouveaux traitements autorisés d'ici au mois d'octobre et éventuellement de deux autres d'ici la fin de l'année. L'Agence européenne des médicaments lancera d'ici à la fin de 2021 d'autres évaluations en continu de traitements prometteurs, en fonction des résultats obtenus en matière de recherche et de développement.

La Commission a récemment conclu un accord de passation conjointe de marché pour l'acquisition d'anticorps monoclonaux (casirivimab et imdevimab) et pourrait lancer d'autres procédures d'ici la fin de l'année.

Le premier événement de mise en relation pour l'industrie concernant les traitements sera organisé les 12 et 13 juillet afin de veiller à ce qu'une fois autorisés, les traitements soient produits en quantité suffisante, le plus rapidement possible.

Contexte

La stratégie de l'UE en matière de traitements contre la COVID-19 vise à constituer un vaste portefeuille de traitements contre la COVID-19 dans le but de disposer de trois nouveaux traitements d'ici octobre 2021 et éventuellement de deux autres d'ici la fin de l'année. Elle englobe l'ensemble du cycle de vie des médicaments, depuis la recherche, le développement, la sélection de candidats prometteurs, leur approbation réglementaire rapide, leur fabrication et leur déploiement jusqu'à leur utilisation finale.

La stratégie s'inscrit dans le cadre du renforcement d'une Union européenne de la santé, qui repose sur une approche coordonnée de l'UE en vue de mieux protéger la santé de nos citoyens, le but étant de donner à l'UE et à ses États membres les moyens de mieux prévenir les futures pandémies, d'y faire face et d'améliorer la résilience des systèmes de santé européens.

Cette stratégie, qui met l'accent sur le traitement des malades de la COVID-19, s'inscrit dans le prolongement de la stratégie de l'UE concernant les vaccins, qui a fait ses preuves, dans le cadre de laquelle l'utilisation de vaccins sûrs et efficaces contre la COVID-19 a été autorisée dans l'UE afin de prévenir et de réduire la transmission des cas, ainsi que les taux d'hospitalisation et de décès causés par la maladie.


Pour en savoir plus

Questions et réponses: stratégie en matière de traitements contre la COVID-19 — liste des 5 candidats traitements

Réaction de la Commission européenne face au coronavirus: traitements

Stratégie de l'UE en matière de traitements

Agence européenne des médicaments — traitements contre la COVID-19

Mise à jour le 29 septembre 2021 à 12 h


Version PDF imprimable


Contacts presse

Stefan DE KEERSMAECKER
Téléphone
+32 2 298 46 80
Adresse électronique
stefan.de-keersmaecker@ec.europa.eu

Darragh CASSIDY
Téléphone
+32 2 298 39 78
Adresse électronique
darragh.cassidy@ec.europa.eu

10 octobre 2021

Covid

Jean-François Huet
médecin anesthésiste réanimateur

Avec votre permission...

J'ajoute que des vaccins multivalents à la fois contre la grippe et le coronavirus ne me choquent pas car ceux qui font des formes graves de grippe et de covid sont les mêmes.
Les vacciner en même temps contre les deux maladies si les covid deviennent saisonnières est plutôt pertinent...
sans en espérer des miracles.
Le tout est de disposer de vaccins qui ne soient pas des merdes et qu'on ne se mette pas en tête de vacciner la terre entière tous les six mois...
Par ailleurs...
Il serait grand temps de développer la même énergie et les mêmes moyens aux traitements précoces de ces maladies, tout en diversifiant le choix entre les vaccins et sans enterrer les vaccins classiques à virus atténués.
Encore une fois ça n'engage que moi... mais d'autres vont y penser.

9 octobre 2021

Nicolas PINOT / DNA - 9/10/2021

Feuille d'encre, une nouvelle librairie en plein centre de Colmar

Du nouveau pour la cour Waldner-Stephan à Colmar. La librairie indépendante Feuille d’encre prend ses quartiers dans ce bel écrin à l’abri du tumulte urbain et se propose de choyer le lecteur-flâneur Colmarien.

Une librairie ouvre, de surcroît cour Waldner-Stephan. Les Colmariens habitués à transiter par ce petit havre de paix et son fameux arbre de Judée ont déjà remarqué que quelque chose se tramait dans l’ancien magasin Catimini. Annabelle Canastra, qui vient de Guebwiller, et Nicolas Costezen, tous deux anciens libraires à Paris, ouvrent ces jours-ci Feuille d’encre, un refuge pour tous les passionnés de lecture.

« Nous voulions offrir une expérience différente aux Colmariens. Le lecteur est bien souvent un flâneur, et le livre incarne un temps où il faut savoir s’arrêter. Cette belle cour permet un décrochage tout en restant dans le centre-ville. Nous voulions créer une librairie où les clients peuvent venir comme s’ils avaient rendez-vous », explique Annabelle qui souhaite que les lecteurs « se sentent attendus » mais aussi susciter « l’envie et la curiosité ».

Sur une surface de 83 m², les anciens locaux ont été transfigurés, notamment par l’architecte d’intérieur Alena Zuliani et le menuisier Thierry de la société Alsace Wood Factory. « Faire participer des artisans du coin était essentiel pour nous ».

« Répondre au plus de monde possible avec des choix originaux, mais sans être élitiste »

Chaque détail est soigné, jusqu’aux lampes en carton recyclé. « Nous voulions du bois, et pas que des spots ». Avec une ambiance chaleureuse, une signalétique limpide et l’abattage d’un mur, l’ancien magasin semble avoir doublé de surface.

L’offre, plus de 8 000 ouvrages « mais cela est voué à augmenter avec l’aide de la clientèle », est généraliste mais éclectique et « choisie ». L’accent a été mis sur l’histoire, les arts, la littérature et la jeunesse avec notamment des bandes dessinées, mais aussi sur l’Alsace qui dispose d’une étagère à elle seule.

« Nous nous engageons derrière nos livres. Il s’agit de répondre au plus de monde possible avec des choix originaux, mais sans être élitiste », dit Nicolas Costezen. « Nous avons choisi chaque livre, et de défendre certains auteurs pas toujours dans l’air du temps mais indispensables à la pensée », ajoute Annabelle.

À l’heure où les librairies sont plus enclines à quitter le centre-ville et les commerces indépendants se raréfient, la nouvelle ne peut que réjouir la clientèle locale. « Le but d’une librairie indépendante est de résister et de s’enraciner comme une tradition », estime Annabelle. « Et cette histoire ne peut pas s’écrire seule, mais accompagnée des lecteurs. »

Librairie Feuille d’encre : 5, cour Waldner-Stephan à Colmar. Ouvert du mardi au vendredi de 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 h à 19 h, et les samedis de 9 h 30 à 19 h en continu. Tél. : 03 89 23 57 56.

cliquer ⇒ ici

Manifestation anti pass sanitaire du 9 octobre 2021 à Colmar (photos)









Phil

DNA Colmar : tapis rouge pour les Républicains…



Bernard Friedrich

Nous aurions en France plus de 400 000 « normes » et environ 11 500 lois « que nul ne peut ignorer » ! Alors, une de plus ou une de moins, quelle importance. Surtout si, comme beaucoup d‘autres, elle ne servira à rien d’autre qu’à inscrire dans la postérité le nom de son auteur. Qui par exemple, à Colmar, connaît les suites de cette proposition de loi sur le stationnement des gens du voyage déposée par un certain député Gilbert Meyer le 17 janvier 2002 devant la présidence de l’Assemblée nationale, problème que le maire de l’époque n’a d’ailleurs jamais pu résoudre…
On est donc en droit de s‘interroger sur l’intérêt de légiférer « pour enseigner l’histoire régionale en école primaire ». Déjà, on pourrait expliquer à nos têtes blondes que contrairement à la présupposition du député de Colmar, l’Alsace a bien une histoire commune avec la France. Bien sûr, comme toutes les autres régions de France, elle a ses particularités dont la plus prégnante est probablement cette succession, pour le moins tourmentée, d’annexions tour à tour françaises et allemandes.
Pour autant, faut-il perdre son énergie pour légiférer sur ce sujet lorsqu‘il est plus simple et évident de laisser à toutes nos régions en quête d’autonomie et de pouvoirs l’initiative en ce domaine ? Voilà typiquement une question du ressort de la Communauté européenne d’Alsace en quête de responsabilités.

8 octobre 2021





Coopérative Sonneblüem
7 rue du Grillenbreit
68000 COLMAR
magasin@sonnebluem.fr