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10 octobre 2021

Covid

Jean-François Huet
médecin anesthésiste réanimateur

Avec votre permission...

J'ajoute que des vaccins multivalents à la fois contre la grippe et le coronavirus ne me choquent pas car ceux qui font des formes graves de grippe et de covid sont les mêmes.
Les vacciner en même temps contre les deux maladies si les covid deviennent saisonnières est plutôt pertinent...
sans en espérer des miracles.
Le tout est de disposer de vaccins qui ne soient pas des merdes et qu'on ne se mette pas en tête de vacciner la terre entière tous les six mois...
Par ailleurs...
Il serait grand temps de développer la même énergie et les mêmes moyens aux traitements précoces de ces maladies, tout en diversifiant le choix entre les vaccins et sans enterrer les vaccins classiques à virus atténués.
Encore une fois ça n'engage que moi... mais d'autres vont y penser.

9 octobre 2021

Nicolas PINOT / DNA - 9/10/2021

Feuille d'encre, une nouvelle librairie en plein centre de Colmar

Du nouveau pour la cour Waldner-Stephan à Colmar. La librairie indépendante Feuille d’encre prend ses quartiers dans ce bel écrin à l’abri du tumulte urbain et se propose de choyer le lecteur-flâneur Colmarien.

Une librairie ouvre, de surcroît cour Waldner-Stephan. Les Colmariens habitués à transiter par ce petit havre de paix et son fameux arbre de Judée ont déjà remarqué que quelque chose se tramait dans l’ancien magasin Catimini. Annabelle Canastra, qui vient de Guebwiller, et Nicolas Costezen, tous deux anciens libraires à Paris, ouvrent ces jours-ci Feuille d’encre, un refuge pour tous les passionnés de lecture.

« Nous voulions offrir une expérience différente aux Colmariens. Le lecteur est bien souvent un flâneur, et le livre incarne un temps où il faut savoir s’arrêter. Cette belle cour permet un décrochage tout en restant dans le centre-ville. Nous voulions créer une librairie où les clients peuvent venir comme s’ils avaient rendez-vous », explique Annabelle qui souhaite que les lecteurs « se sentent attendus » mais aussi susciter « l’envie et la curiosité ».

Sur une surface de 83 m², les anciens locaux ont été transfigurés, notamment par l’architecte d’intérieur Alena Zuliani et le menuisier Thierry de la société Alsace Wood Factory. « Faire participer des artisans du coin était essentiel pour nous ».

« Répondre au plus de monde possible avec des choix originaux, mais sans être élitiste »

Chaque détail est soigné, jusqu’aux lampes en carton recyclé. « Nous voulions du bois, et pas que des spots ». Avec une ambiance chaleureuse, une signalétique limpide et l’abattage d’un mur, l’ancien magasin semble avoir doublé de surface.

L’offre, plus de 8 000 ouvrages « mais cela est voué à augmenter avec l’aide de la clientèle », est généraliste mais éclectique et « choisie ». L’accent a été mis sur l’histoire, les arts, la littérature et la jeunesse avec notamment des bandes dessinées, mais aussi sur l’Alsace qui dispose d’une étagère à elle seule.

« Nous nous engageons derrière nos livres. Il s’agit de répondre au plus de monde possible avec des choix originaux, mais sans être élitiste », dit Nicolas Costezen. « Nous avons choisi chaque livre, et de défendre certains auteurs pas toujours dans l’air du temps mais indispensables à la pensée », ajoute Annabelle.

À l’heure où les librairies sont plus enclines à quitter le centre-ville et les commerces indépendants se raréfient, la nouvelle ne peut que réjouir la clientèle locale. « Le but d’une librairie indépendante est de résister et de s’enraciner comme une tradition », estime Annabelle. « Et cette histoire ne peut pas s’écrire seule, mais accompagnée des lecteurs. »

Librairie Feuille d’encre : 5, cour Waldner-Stephan à Colmar. Ouvert du mardi au vendredi de 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 h à 19 h, et les samedis de 9 h 30 à 19 h en continu. Tél. : 03 89 23 57 56.

cliquer ⇒ ici

Manifestation anti pass sanitaire du 9 octobre 2021 à Colmar (photos)









Phil

DNA Colmar : tapis rouge pour les Républicains…



Bernard Friedrich

Nous aurions en France plus de 400 000 « normes » et environ 11 500 lois « que nul ne peut ignorer » ! Alors, une de plus ou une de moins, quelle importance. Surtout si, comme beaucoup d‘autres, elle ne servira à rien d’autre qu’à inscrire dans la postérité le nom de son auteur. Qui par exemple, à Colmar, connaît les suites de cette proposition de loi sur le stationnement des gens du voyage déposée par un certain député Gilbert Meyer le 17 janvier 2002 devant la présidence de l’Assemblée nationale, problème que le maire de l’époque n’a d’ailleurs jamais pu résoudre…
On est donc en droit de s‘interroger sur l’intérêt de légiférer « pour enseigner l’histoire régionale en école primaire ». Déjà, on pourrait expliquer à nos têtes blondes que contrairement à la présupposition du député de Colmar, l’Alsace a bien une histoire commune avec la France. Bien sûr, comme toutes les autres régions de France, elle a ses particularités dont la plus prégnante est probablement cette succession, pour le moins tourmentée, d’annexions tour à tour françaises et allemandes.
Pour autant, faut-il perdre son énergie pour légiférer sur ce sujet lorsqu‘il est plus simple et évident de laisser à toutes nos régions en quête d’autonomie et de pouvoirs l’initiative en ce domaine ? Voilà typiquement une question du ressort de la Communauté européenne d’Alsace en quête de responsabilités.

8 octobre 2021

7 octobre 2021

Yannick Lefrançois

Paru en pages Région des DNA : le dessin des Chuchotements !..

Le règlement intérieur adopté par les élus lundi dernier donne le siège de la CEA à Strasbourg et les séances plénières à Colmar.



Galerie Murmure : reportage TV7 de l'exposition "Partitions Graphiques"


Chers amis, clients et amateurs d'art,

Gael Poulain de TV7, nous présente un petit reportage sur la nouvelle exposition de la galerie Murmure où se dévoile toute la poésie de ses prises de vues.

À travers l’œil de sa caméra, elle nous offre une mélodie issue des « partitions graphiques » exposées à la galerie. Une valse à deux temps où les œuvres peintes et gravées de Frédéric Klein épousent le rythme des sculptures de Yann Baco.

Pour découvrir le reportage, suivez ce lien ! Merci Gael...

Pour découvrir l'exposition, je serais ravie de vous accueillir à la galerie Murmure les jeudis et vendredis de 14h à 18h ainsi que les samedis de 10h à 19h. Egalement sur rendez-vous au 03.89.41.49.25.

Amicalement,

Audrey

5 octobre 2021

Conférence de Pierre HAAS : l'Épopée Emile Mathis

Samedi 23 octobre à 16h30 au PMC à Colmar

Pôle Média-Culture Edmond Gerrer (PMCEG) - Colmar

Pierre HAAS : auteur de l'ouvrage "Emile Mathis - l'épopée d'un industriel alsacien passionné d'automobiles"

Le samedi 23 octobre à 16h30, Les Amis de la Bibliothèque de Colmar vous proposent au Pôle Média-Culture Edmond Gerrer de Colmar, une conférence par M. Pierre Haas, auteur de l'ouvrage "Emile Mathis - l'épopée d'un industriel alsacien passionné d'automobiles".

Monsieur Haas présentera cette grande aventure alsacienne qui a eu lieu entre 1898 et 1956. Pour les personnes intéressées, il dédicacera son ouvrage à l'issue de la conférence.

Entrée gratuite par la rue du Chasseur. Pas de réservation préalable.

Le pass sanitaire et le port du masques sont obligatoires.

Renseignements :


Caroline Conte

Pour mes amis Alsaciens et les autres :

"Marthe et Mathilde : L'histoire vraie d'une incroyable amitié (1902-2001)" - Pascale Hugues

Marthe est française et Mathilde est allemande, elles sont nées en 1902 à Colmar. Leur petite-fille raconte l’histoire compliquée de sa famille alsacienne, indissociable de l’Histoire de cette région.
En 1871, l’Alsace devient allemande, annexée au Reich par le traité de Francfort. Dix ans avant qu’elle ne redevienne française, les parents de Mathilde s’installent à Colmar, dans l’immeuble des parents de Marthe. Commence alors une grande amitié entre les deux petites filles qui durera toute leur vie.
Le 18 novembre 1918, « Colmar tout entier fredonne le mâle hymne national », la Marseillaise. Mais les Alsaciens sont des Français qui parlent allemand ; ils aiment la France mais leur culture est germanique. En 1919, avec l’expulsion des premiers allemands, la famille de Mathilde craint d’être renvoyée de l’autre côté du Rhin.
Quand en 1940, l’Alsace connaît un nouveau retournement de situation, c’est Marthe, veuve d’un officier français, qui doit se réfugier à Tours avec ses deux fils. Il faut attendre la fin de la guerre pour que les deux amies soient réunies, « Kolmar redevient Colmar et les rues changent de nouveau de nom ». Quelques années plus tard, le fils de Marthe épouse la fille de Mathilde.
(Source : Babelio)