Abbaye de Marbach
Merci de nous aider à partager cette émotion.
La musique est lien extraordinaire du vivre ensemble. Quelles que soit nos idées, notre manière de vivre et de penser, la musique reste un lien social majeur qui nous permet de nous réunir et de jouir de la vie, ensemble.
Lorsque nous écoutons ensemble un concert, les frontières, quelles qu'elles soient, s'annulent et nos particularités s'estompent... nous redevenons l'enfant que nous n'avons jamais cessé d'être, ébloui par la beauté de l'instant, par la vibration qui s'élève, par la joie révélée.
À ce moment-là, nous ne faisons plus qu'un. C'est ce lien d'universalité qu'il me paraît aujourd'hui vital de défendre et de préserver.
La culture, tout comme le vivre ensemble, n'est pas essentielle, elle est vitale.
Laurence Hunckler, directrice artistique
Odehâm
Samedi 31 juillet 20h30 (ouverture)
Samedi 31 juillet 20h30 (ouverture)
Bien que formé en 2019, le duo Odehâm est le fruit d'une amitié de 25 ans laissant libre court à une créativité sans limite. Leur formation classique et leurs rencontres artistiques respectives ont nourri et enrichi ces deux musiciens durant de nombreuses années. Ces chemins de partage et de découverte leur ont apporté une grande liberté d'expression et une approche sans retenue dans leurs compositions. Définir leur univers artistique n'est pas aisé.
C'est une musique du monde, mais aussi une musique des mondes physiques et intérieurs, emprunte d'influences multiples.
Ils voguent à travers tous les styles musicaux (celtique, médiéval, oriental, jazz, zen, et bien d'autres encore) mêlant les sons de leurs instruments aux sons électroniques des machines.
Le violon côtoie le didgeridoo, le rebec flirte avec le handpan, la guimbarde se mêle aux boucles électro. Autant de possibilités qu'il est possible d'imaginer. Un son résolument actuel. Des thèmes aux mélodies douces et apaisantes enchaînés à des morceaux aux rythmes parfois endiablés, laissant toute la place à l'improvisation, leur terrain de jeu favori. Ces deux musiciens vous invitent à un voyage plein de sensibilité, de tendresse, où vagabondage de l'esprit et lâcher prise sont les maîtres mots.
Lauréats du Tremplin musical 2020 organisé par Zone 51, Vincent et Cyrille viennent d'achever une résidence aux Tanzmatten à Sélestat.
Ce partenariat leur a permis de travailler sur la création de leur prochain spectacle avec une mise en lumière réalisée par Mathieu Cornier de D8K (La Maison Bleue/Dirty 8).
⇒ écouter sur YouTube
⇒ réserver votre place
Exposition / Ce que pensent les pierres / Michèle Munier
Du 31 juillet au 19 septembre 2021
Michèle Munier présente un travail de gravure en collagraphie, technique à laquelle elle s’est formée pour aborder la matière, celle travaillée mais aussi celle représentée. Trois séries font évoluer le travail dans le temps.
« Il y avait d’abord, dit-elle, cette idée de faire vibrer non seulement les noirs et les couleurs, mais également le papier dans les gaufrages.
Et puis il y avait les pierres, toutes les énergies qu’elles absorbent, celles qu’elles dégagent et l’humilité qu’elles suggèrent par leur force. L’envie très forte de les évoquer sans chercher à les représenter de manière vraiment figurative est née l’année dernière, durant le premier confinement, alors que je travaillais à des représentations du corps humain.
La gravure en collagraphie, le travail des poudres était tout indiqué. L’association de poudre de silice (carborundum), de brisures de calcaire et de gravure à la pointe sèche ou au cutter sur carton offrent alors des gaufrages qui varient suivant les épaisseurs et la composition des matières.
Le rapport au temps est également un élément essentiel dans mon travail. Je préfère ainsi me voir traverser le temps plutôt que de me dire que c’est lui qui passe. Dans ce travail, mon rapport au temps prend tout son sens en se matérialisant dans l’usure des matrices. L’usure génère non seulement une relecture des images au fil des tirages, mais également une sorte de disparition, certaines matrices étant partiellement ou totalement détruites, inutilisables. L’une des matrices a été retravaillée dans des découpes faisant évoluer le travail dans la troisième série, actuellement en cours. »
La Chapelle Rhénane
C'est une musique du monde, mais aussi une musique des mondes physiques et intérieurs, emprunte d'influences multiples.
Ils voguent à travers tous les styles musicaux (celtique, médiéval, oriental, jazz, zen, et bien d'autres encore) mêlant les sons de leurs instruments aux sons électroniques des machines.
Le violon côtoie le didgeridoo, le rebec flirte avec le handpan, la guimbarde se mêle aux boucles électro. Autant de possibilités qu'il est possible d'imaginer. Un son résolument actuel. Des thèmes aux mélodies douces et apaisantes enchaînés à des morceaux aux rythmes parfois endiablés, laissant toute la place à l'improvisation, leur terrain de jeu favori. Ces deux musiciens vous invitent à un voyage plein de sensibilité, de tendresse, où vagabondage de l'esprit et lâcher prise sont les maîtres mots.
Lauréats du Tremplin musical 2020 organisé par Zone 51, Vincent et Cyrille viennent d'achever une résidence aux Tanzmatten à Sélestat.
Ce partenariat leur a permis de travailler sur la création de leur prochain spectacle avec une mise en lumière réalisée par Mathieu Cornier de D8K (La Maison Bleue/Dirty 8).
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Exposition / Ce que pensent les pierres / Michèle Munier
Du 31 juillet au 19 septembre 2021
Michèle Munier présente un travail de gravure en collagraphie, technique à laquelle elle s’est formée pour aborder la matière, celle travaillée mais aussi celle représentée. Trois séries font évoluer le travail dans le temps.
« Il y avait d’abord, dit-elle, cette idée de faire vibrer non seulement les noirs et les couleurs, mais également le papier dans les gaufrages.
Et puis il y avait les pierres, toutes les énergies qu’elles absorbent, celles qu’elles dégagent et l’humilité qu’elles suggèrent par leur force. L’envie très forte de les évoquer sans chercher à les représenter de manière vraiment figurative est née l’année dernière, durant le premier confinement, alors que je travaillais à des représentations du corps humain.
La gravure en collagraphie, le travail des poudres était tout indiqué. L’association de poudre de silice (carborundum), de brisures de calcaire et de gravure à la pointe sèche ou au cutter sur carton offrent alors des gaufrages qui varient suivant les épaisseurs et la composition des matières.
Le rapport au temps est également un élément essentiel dans mon travail. Je préfère ainsi me voir traverser le temps plutôt que de me dire que c’est lui qui passe. Dans ce travail, mon rapport au temps prend tout son sens en se matérialisant dans l’usure des matrices. L’usure génère non seulement une relecture des images au fil des tirages, mais également une sorte de disparition, certaines matrices étant partiellement ou totalement détruites, inutilisables. L’une des matrices a été retravaillée dans des découpes faisant évoluer le travail dans la troisième série, actuellement en cours. »
La Chapelle Rhénane
Dimanche 1er août août à 17 heures / A Capella in saecula
La Chapelle Rhénane propose un format de concert « tout terrain » avec six artistes lyriques. Un tour de chant allant des pièces de musique profane de la Renaissance aux arrangements de pop contemporaine, en passant par le baroque italien, le romantisme allemand, la musique française du 20e siècle, le jazz vocal et les negro-spirituals. Monteverdi, Brahms, Ravel et Debussy sont au programme, mais aussi Billy Joel et les Beatles.
En créant des passerelles entre les genres musicaux, ce programme varié permettra de s’adresser à un large public, qu’il soit ou non connaisseur de musique classique vocale. Il s’agit ainsi de sortir la musique des salles de concerts et d’en faire profiter le plus grand nombre afin de retrouver des moments d’émotion partagée. Avec ce concert, la Chapelle Rhénane propose une nouvelle expérience artistique au public, en décloisonnant les esthétiques tout en faisant résonner des pièces de musique dite « savante » dans l’espace public.
Avec : Hasnaa Bennani, soprano – Salomé Haller, mezzo-soprano – Julien Freymuth, contre-ténor – Benoît Haller, ténor & direction – Matthieu Lécroart, baryton – Lucien Moissonnier, basse.
La Chapelle Rhénane est conventionnée par le Ministère de la Culture et de la Communication – DRAC Grand Est, la Région Grand Est et la Ville de Strasbourg.
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Une saison particulière
Les quatorze concerts programmés de la saison 14 de l’Abbaye de Marbach respecteront la réglementation sanitaire en vigueur. Réservation, port du masque obligatoire et pass sanitaire sur le site de l’abbaye ainsi que dans le narthex. Du gel hydroalcoolique sera à votre disposition aux endroits stratégiques. Distanciation physique au sein du narthex et pour accéder aux toilettes. Une buvette sera mise en place exclusivement les dimanches à partir de 15h30. Les bénévoles de l’association, vous y accueilleront avec plaisir dans le respect des règles sanitaires. Placement du public dans le narthex
En réservant votre place, vous faites le choix de soutenir les artistes qui se produisent à l'Abbaye de Marbach. Par ce geste vous faites le choix de soutenir une économie participative et circulaire.
Nombres de places limitées à 115.
Nous mettons tout en œuvre pour vous accueillir dans les meilleures conditions. Merci de votre confiance.
Abbaye de Marbach
lieu-dit Marbach
68420 Obermorschwihr
Tél. +33/0619364964
Email marbach.culture@gmail.com
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Nombres de places limitées à 115.
Nous mettons tout en œuvre pour vous accueillir dans les meilleures conditions. Merci de votre confiance.
Abbaye de Marbach
lieu-dit Marbach
68420 Obermorschwihr
Tél. +33/0619364964
Email marbach.culture@gmail.com