Gérald d'Orbe J'y reviens, comme le marteau sur la tête du clou qu'on peine à faire entrer dans la planche. Faudrait bien que ça rentre tout de même ! Le monde entier subit, nous dit-on, une pandémie. Objection, votre honneur, une pandémie c'est bien plus grave que la forte (peut-être…) épidémie que nous traversons.
Donc il y a d'urgence besoin d'équiper le monde de masques. D'accord, on sait que ça ne sert pas à grand-chose mais ça représente tout de même de gros paquets de bénéfices à faire pour les petits copains-complices !
Manque de bol, y'en a pas ! La technocratie gouvernante n'a rien prévu et aurait semble-t-il détruit des stocks existants. Mais on a créé le besoin et c'est excellent pour le business !
Puis il y a urgence à paralyser le pays, à fourrer son nez partout et émettre des règles chacune plus idiote que celles du voisin. C'est la phase hitchcockienne de la manipulation, celle de la psychose. En même temps, les décideurs qui n'ont aucun besoin des scientifiques tentent au maximum de préserver leur avenir (judiciaire probablement) au nom du principe de précaution. Et vas-y que je prends des mesures locales plus liberticides que celles de mon voisin… on ne sait jamais !
Puis on fabrique un prétendu conseil scientifique, des gens qui pour la plupart n'ont pas aperçu le moindre stéthoscope depuis Laënnec mais sont pratiquement tous inféodés à l'industrie pharmaceutique. Et les "savants" préconisent un traitement, jusqu'à ce qu'on sache que la nocivité dépasse l'inefficacité de ce qui n'est même pas une "poudre de perlimpinpin". Dans le même temps, fait sans nul précédent dans l'histoire de l'Humanité ou de la Science, on classe comme produit dangereux une molécule bien plus vieille que chacun des membres du conseil.
On décrète en même temps un état d'urgence et on prend les décisions (celles du patron, tout simplement… silence dans les rangs !) en "conseil de défense". C'est juste une précaution pour ne pas être plus tard passible de poursuites si j'ai bien compris.
Ensuite, ça se calme. On fanfaronne, c'est grâce aux mesures courageuses que nous avons prises nous dit-on !
C'est bien mais c'est très mauvais pour le business.
Qui a eu la lumineuse idée pour relancer les affaires ? Je ne sais pas. Toujours est-il qu'on a entre-temps inventé des tests de dépistage. Ça ne marche pas bien, plein de faux résultats positifs comme négatifs. OK mais ça se vend cher, et ça c'est bon.
On peut être positif pas malade et pas contaminant. On peut être négatif mais porteur et contaminant tout de même, personne n'y comprend rien mais micro-trottoir dit que le quidam de la rue est favorable en masse à retourner glander à la maison et à se mettre un chiffon sur le groin partout et tout le temps… La propagande porte ses fruits !
Les chiffres baissent mais on a encore des bricolages en réserve. Les plus grands scientifiques disent que les tests ne disent plus rien au-delà de 25 cycles d'amplification, on s'en fiche, on pratique des tests avec 45 cycles ! Passez muscade, le quidam n'y comprend rien mais fait confiance à cette pseudo-science et se remet une couche de psychose. Les chiffres remontent et les bonnes affaires reprennent.
Puis vient le vaccin… Pas testé, même pas sur des rats de laboratoire peut-être, mais la publicité des fabricants dit que ça lave plus blanc, donc madame Dugenou en veut ! On n'est pas sûr que ça protège le "vacciné", on n'est pas sûr que le pas-protégé soit devenu pas-contaminant, mais on est sûr que c'est bon pour les affaires et les "grands scientifiques" du conseil du même nom martèlent que c'est la seule solution, et que ceux qui ne veulent pas sont complices de ceux qui disent que les masque ne servent à rien, que le confinement n'a d'autre effet que la psychose et que nos dirigeants sont en dessous de tout, de vrais criminels !
Ce ne sont, pour la plupart, absolument pas des vaccins mais de la thérapie génique, mais madame Dugenou ne peut pas le comprendre !
La saga n'est sans doute pas finie, les copains ne sont pas encore tous bien gavés, mais le cirque continue même si les clowns ne font plus rire.
Si vous avez lu jusque-là, il faut tout de même que je précise n'être ni complotiste, ni négationniste, pas plus qu'anti-vaccin ou autre remède pour autant que c'en soit un. Je suis juste un bonhomme qui se pose des questions sans écouter la "bonne parole" qui n'a de bon que d'être celle du ridicule patron. Je me demande simplement s'il est bien raisonnable de détruire notre pays, voire le monde entier, au fallacieux prétexte de santé publique. On déclare "malade" des gens dont le test qui ne teste pas a donné un résultat positif; on déclare victime de ce virus un homme (Rémy Julienne en l'occurrence) de 90 ans comme des tas d'autres "victimes".
Est-ce qu'il n'y a pas un peu beaucoup de manipulation en plus des mensonges dans tout ça ! Ce qui m'effraie le plus, moi, c'est de penser qu'il n'est pas sûr que les petits-enfants de nos petits-enfants finiront d'éponger une dette abyssale qui aura servi à prolonger quelques octo ou nonagénaires…