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14 février 2021

La Saint-Valentin

Fabien Nierengarten

L'eau du fleuve Amour avait bien coulé sous les ponts depuis que les yeux de Valentin avaient croisé ceux de Valentine. Elle était loin, cette soirée d'été au Macumba où elle dansait tous les soirs. Et ils étaient presque oubliés, ces premiers émois partagés sur la banquette de la Merco Benz (Benz-Benz).
Mais ils avaient décidé de passer leur amour à la machine et de le faire bouillir, pour voir si les couleurs d'origine pouvaient revenir. Et ce 14 février 2019, Valentin n'avait rien d'un saint : il a fait sa fête à Valentine. Comme autrefois. Retour au cœur de leur aventure.
Cette année, Valentin n'avait pas loupé la date. C'était déjà ça. Il s'y était même pris à temps pour profiter de l'offre "nuit des tourtereaux" dans cet hôtel dont Valentine admirait la façade à chaque fois qu'ils passaient en voiture.
Ayant de la suite (nuptiale) dans ses idées, il avait choisi le forfait "all inclusive" : dîner aux chandelles, bouteille de champagne dans la chambre et jacuzzi privé. Quand on lui parlait du prix, il répondait avec un sourire énamouré "spa donné, je sais, mais elle le vaut bien".
Que voulez-vous, c'était sa façon de l'aimer. En échange, il espérait tant qu'elle l'entraîne jusqu'au bout de la nuit et réveille en lui le tourbillon d'un vent de folie. Pour un soir, ils seraient prince et princesse. Un peu comme William et Kate. Avant de retrouver leur condition de Shrek et de Fiona, dans l’en-vert de ce beau décor.
Valentin, il était déterminé à tout faire afin que sa moitié se sente entière. Il savait que pour lui, Valentine habillerait son visage de son plus beau maquillage. Ses "peintures de luxe", comme elle le lui soufflait, quand il était au bout du rouleau et qu'elle se la jouait panthère.
Au restaurant de l'hôtel, on leur a proposé l'incontournable "dîner des amoureux". Un menu "unique". Dans tous les sens du terme. Avec des plats qui semblaient avoir été trouvés par le cuistot, dans un livre de recettes écrit par Baudelaire et Rimbaud.
En entrée, ils ont dégusté "La belle au bois dormant sur son lit de pétales roses". Un plat qui, dans le menu du jour du lendemain, devenait une simple "terrine de gibier avec salade de radis". Au dessert, c'était "Bienvenue sur le dôme du plaisir" : une cigarette russe surplombée de crème chantilly, plantée au milieu de deux boules de sorbet à la framboise. Une réalisation exclusive Jacquie et Michel.
C'est à ce moment que Valentin a dégainé son cadeau. Oh, pas grand-chose, il y avait déjà la soirée ! Juste un petit geste pour marquer le coût. Il savait bien que Cupidité n’avait jamais été la maîtresse de Cupidon. Et en disant ça, il se sentait carrément une âme de Michel Houellebecq, son philosophe préféré.
Une jolie rose a fait l’affaire. Accompagnée de ce beau poème entendu sur Nostalgie : "Elle avait de tout petits petons, Valentine, Valentine. Elle avait un tout petit piton que je tâtais à tâtons. Elle avait un tout petit menton, Valentine, Valentine. Et elle était frisée comme un mouton".
En entrant dans la chambre, Valentin s'est souvenu que la Marseillaise était devenue notre hymne national un 14 février, il y a juste 140 ans. Son jour de gloire était donc arrivé. Et quelques instants plus tard, il mugissait déjà comme un féroce soldat.
Les draps de satin parsemés de pétales de rose semblaient accueillants. Mais ça glissait grave quand il a fallu se mettre en mode Zeasy Rider pour pouvoir rugir "born to be wild". Surtout pendant que la belle susurrait "Valentin, va lentement".
Le lendemain matin, dans le doux cocon de Valentin et de Valentine, "réveil" rimait forcément avec "merveille". Oh oui, leur amour existait encore. Et c'est bien lui qui les aide aujourd'hui à vivre ou survivre. À être heureux ou malheureux, mais plus jamais seuls, toujours à deux.
Pour conclure, à l'attention de ceux qui n'auraient pas été émus par leur histoire, il y a toujours cette source d'espoir : c'est un jour de Saint-Valentin qu'a eu lieu la première implantation d'un cœur artificiel. Il en reste peut-être encore pour eux. (février 2019) 14.2.21


Phil, très inspiré !





13 février 2021

Phil

DNA : La Saint-Valentin deux mille vingt et un...




Le chérubin s'appelle Eros et il en veut à Thanatos d'avoir précipité l'humanité dans une spirale productiviste et mortifère, dont se réjouissent tous les connards de virus disséminés sur la face et dans les entrailles d'une planète empoisonnée, déforestée, déséquilibrée, réchauffée, où les espèces se raréfient, où l'espèce humaine elle-même se trouve menacée.
Daniel Ehret 13.2.21

ÉCHAPPÉE ARTISTIQUE

Les amateurs d'art sont gâtés. Six galeries colmariennes leur ont offert la possibilité de découvrir pendant ce week-end et encore samedi prochain les œuvres de leurs artistes attitrés. Des arts premiers à l'art contemporain, figuratif et abstrait, en passant par le pop art et l'art animalier, il y en a pour tous les goûts. Des photos, des peintures, des sculptures en verre, bronze ou bois, sont proposées à la délectation des visiteurs et peuvent bien entendu être acquises.










12 février 2021



 [Citation] Quand un monde de déceptions et d'ennuis s'abat sur vous, si l'on ne s'abandonne pas au désespoir, on se tourne soit vers la philosophie soit vers l'humour.
Charlie Chaplin


⬦ Mais quelle surprise, le variant sud-africain est présent en France !
Incroyable, avec autant de mesures pertinentes et efficaces telles que :
- le couvre-feu à 18 heures
- la fermeture des cinémas, salles de spectacles
- la fermeture des salles de sport
- les tests PCR exigés aux aéroports...
Comment ça, cela ne sert à rien ?
Mais si, mais si...
C’est ballot, le vaccin miracle n'a pas muté.
Les miracles, cela ne mute pas.
C.C. - 11/02/2021


⬦ La neige et le froid à la Une de tous les médias mainstream.
Savourons notre bonheur,
pendant ce temps on a une pause ou un raccourcissement des sujets covid...
Allez, grelottons gaiement !
C.C. - 9/2/2021


⬦ Ce n’est pas que je veuille mourir maintenant, mais, à tout prendre, je préfère partir avant mes enfants. Avant eux, longtemps.
Et partir aussi en leur évitant de devoir accompagner pendant un certain temps des parents chargés d’ans, mais admis en institutions où tels des errants ils ne sont ni morts ni vivants.
Des êtres pantelants. Dépendants ! Peut-être souffrants. Pour le plus grand malheur de leurs proches impuissants.
B.R. - 8/2/2021


⬦ Je me pose une question ce matin : pour faire confiance à une femme ou à un homme politique aujourd’hui, il faut être inconscient, aveugle, sourd, malade, en dépression, casse-cou, dément, déraisonnable, fou, écervelé, affolé, égaré, aliéné, amoureux ? J’avoue, j’hésite.
JPP - 4/2/2021


Elle : Sur le nez le masque ! C'est ce qui se dit.
Lui : J’ai un pauvre petit nez en trompette, il trompe même mon masque !
Elle : T'es beau quand même ! J'en ai marre de cette période de couvre-feu et de masques à la c... Si tu savais ! Enfin si, tu sais.
Lui : Prends ton mal en patience, le monde nouveau est servi et servile.
Elle : Il me tarde de voir ce monde nouveau... À force on finira par oublier celui d'avant, et ma crainte, c'est que l'on finisse par trouver « tout ça » normal, que d'ici à quelques années, l'homme s'habitue à vivre de cette manière...
Lui : Pas besoin de te poser la question, on vit déjà dans la réponse.
Elle : Terrible...


⬦ Heureux députés ! Le plafond annuel de la dotation matérielle des députés (DMD), qui permet aux élus de couvrir une partie de leurs frais de mandat (téléphonie, taxis/VTC, affranchissement), va passer de 18.950 euros à 21.700 euros. Une décision qui provoque des remous au sein même du collège des questeurs de l’Assemblée.

Covid

Gérald d'Orbe

J'y reviens, comme le marteau sur la tête du clou qu'on peine à faire entrer dans la planche. Faudrait bien que ça rentre tout de même ! Le monde entier subit, nous dit-on, une pandémie. Objection, votre honneur, une pandémie c'est bien plus grave que la forte (peut-être…) épidémie que nous traversons.
Donc il y a d'urgence besoin d'équiper le monde de masques. D'accord, on sait que ça ne sert pas à grand-chose mais ça représente tout de même de gros paquets de bénéfices à faire pour les petits copains-complices !
Manque de bol, y'en a pas ! La technocratie gouvernante n'a rien prévu et aurait semble-t-il détruit des stocks existants. Mais on a créé le besoin et c'est excellent pour le business !
Puis il y a urgence à paralyser le pays, à fourrer son nez partout et émettre des règles chacune plus idiote que celles du voisin. C'est la phase hitchcockienne de la manipulation, celle de la psychose. En même temps, les décideurs qui n'ont aucun besoin des scientifiques tentent au maximum de préserver leur avenir (judiciaire probablement) au nom du principe de précaution. Et vas-y que je prends des mesures locales plus liberticides que celles de mon voisin… on ne sait jamais !
Puis on fabrique un prétendu conseil scientifique, des gens qui pour la plupart n'ont pas aperçu le moindre stéthoscope depuis Laënnec mais sont pratiquement tous inféodés à l'industrie pharmaceutique. Et les "savants" préconisent un traitement, jusqu'à ce qu'on sache que la nocivité dépasse l'inefficacité de ce qui n'est même pas une "poudre de perlimpinpin". Dans le même temps, fait sans nul précédent dans l'histoire de l'Humanité ou de la Science, on classe comme produit dangereux une molécule bien plus vieille que chacun des membres du conseil.
On décrète en même temps un état d'urgence et on prend les décisions (celles du patron, tout simplement… silence dans les rangs !) en "conseil de défense". C'est juste une précaution pour ne pas être plus tard passible de poursuites si j'ai bien compris.
Ensuite, ça se calme. On fanfaronne, c'est grâce aux mesures courageuses que nous avons prises nous dit-on !
C'est bien mais c'est très mauvais pour le business.
Qui a eu la lumineuse idée pour relancer les affaires ? Je ne sais pas. Toujours est-il qu'on a entre-temps inventé des tests de dépistage. Ça ne marche pas bien, plein de faux résultats positifs comme négatifs. OK mais ça se vend cher, et ça c'est bon.
On peut être positif pas malade et pas contaminant. On peut être négatif mais porteur et contaminant tout de même, personne n'y comprend rien mais micro-trottoir dit que le quidam de la rue est favorable en masse à retourner glander à la maison et à se mettre un chiffon sur le groin partout et tout le temps… La propagande porte ses fruits !
Les chiffres baissent mais on a encore des bricolages en réserve. Les plus grands scientifiques disent que les tests ne disent plus rien au-delà de 25 cycles d'amplification, on s'en fiche, on pratique des tests avec 45 cycles ! Passez muscade, le quidam n'y comprend rien mais fait confiance à cette pseudo-science et se remet une couche de psychose. Les chiffres remontent et les bonnes affaires reprennent.
Puis vient le vaccin… Pas testé, même pas sur des rats de laboratoire peut-être, mais la publicité des fabricants dit que ça lave plus blanc, donc madame Dugenou en veut ! On n'est pas sûr que ça protège le "vacciné", on n'est pas sûr que le pas-protégé soit devenu pas-contaminant, mais on est sûr que c'est bon pour les affaires et les "grands scientifiques" du conseil du même nom martèlent que c'est la seule solution, et que ceux qui ne veulent pas sont complices de ceux qui disent que les masque ne servent à rien, que le confinement n'a d'autre effet que la psychose et que nos dirigeants sont en dessous de tout, de vrais criminels !
Ce ne sont, pour la plupart, absolument pas des vaccins mais de la thérapie génique, mais madame Dugenou ne peut pas le comprendre !
La saga n'est sans doute pas finie, les copains ne sont pas encore tous bien gavés, mais le cirque continue même si les clowns ne font plus rire.
Si vous avez lu jusque-là, il faut tout de même que je précise n'être ni complotiste, ni négationniste, pas plus qu'anti-vaccin ou autre remède pour autant que c'en soit un. Je suis juste un bonhomme qui se pose des questions sans écouter la "bonne parole" qui n'a de bon que d'être celle du ridicule patron. Je me demande simplement s'il est bien raisonnable de détruire notre pays, voire le monde entier, au fallacieux prétexte de santé publique. On déclare "malade" des gens dont le test qui ne teste pas a donné un résultat positif; on déclare victime de ce virus un homme (Rémy Julienne en l'occurrence) de 90 ans comme des tas d'autres "victimes".
Est-ce qu'il n'y a pas un peu beaucoup de manipulation en plus des mensonges dans tout ça ! Ce qui m'effraie le plus, moi, c'est de penser qu'il n'est pas sûr que les petits-enfants de nos petits-enfants finiront d'éponger une dette abyssale qui aura servi à prolonger quelques octo ou nonagénaires…

11 février 2021

L'aéroport de Colmar refait parler de lui

11/2/2021

Bernard Friedrich

Je trouve vraiment navrantes les critiques portées contre notre aéroport, au prétexte que la majorité des Colmariens n'en ont guère l'utilité. Il faut vraiment avoir la mémoire courte ou défaillante pour avoir oublié qu'il y a quelques années, lorsque Gilbert Meyer voulait s'en débarrasser, les dirigeants de Liebherr ont dit « soit on garde l'aéroport soit nous on s'en va... avec tout ce qu'on vous rapporte ». Sa majesté a alors enfin compris que dans la balance avantages-inconvénients les avantages l'emportaient. Que ces bonnes âmes qui critiquent aillent au bout de leurs raisonnement : la majorité des Colmariens ne vont pas dans tous nos beaux hôtels ; alors pourquoi en construire ?


COMMENTAIRES

- Pas d'aéroport à Colmar, pas de grosses sociétés pourvoyeuses d'emplois sur le bassin colmarien (Liebherr menaçait de partir si l'aéroport n'était pas maintenu...).
- Pas d'aéroport à Colmar, pas de rapatriement sanitaire, notamment pendant la 1ère vague de coronavirus, et pas que...
- Pas d'aéroport à Colmar, pas de transferts de greffes, de jour, comme de nuit, sur 360 jours par an env.
- Pas d'aéroport à Colmar, pas de grandes vedettes aux concerts de la foire aux vins de Colmar...
- Pas d'aéroport à Colmar, pas de loisirs, et donc des emplois directs, sans parler des emplois induits...
Je crois que j'en oublie...
On continue, ou quelques-uns ont compris...
Frédéric Jacquinot

10 février 2021

EXPO

La médiathèque de Colmar expose jusqu'au 17 février des photographies argentiques du carnaval de Venise prises par Philip Katz - le responsable des Amis de la Bibliothèque de la Ville - accompagnées de textes de lui ainsi que de Martine Weldin-Botte.



Fabien Nierengarten

Cette journée commence par un choc terrible : FB me propose à l'instant de rejoindre un groupe appelé "Génération Papy". Pour m'appâter et m'épater, il me présente cette photo d'un objet que je n'ai pourtant jamais vu de toute ma life. Franchement, Facebook, c'est de plus en plus du grand n'importe quoi !!
Vérification faite dans mon encyclopédie "Tout l'univers", je découvre que ce truc est en fait...un téléphone. Eh oui ! Et plus précisément, un "fixe", c'est à dire un téléphone qui ne permettait, ni de se balader en parlant, ni d'envoyer des textos, ni de prendre des selfies, ni de consulter Instagram, ni de poster sur Tik Tok, ni de regarder des vidéos sur YouTube. La honte, quoi !! Sérieux, ils faisaient comment les gens pour communiquer à cette époque ? Non mais allô, quoi !!
En tout cas, moi, je n'ai plus rien à faire sur ce réseau social qui me prend pour plus vieux que je ne suis. Un téléphone moche de chez moche, avec un fil branché au mur et une roulette pour taper un numéro !!! Pffff !! Manquerait plus qu'on me parle du Minitel !!! Bon allez, je vais rejoindre une réunion Skype avec mon Samsaoule Galaxy. Bonne journée à tous !!



9 février 2021

Vivien Garnier

Voilà, on se moque des agents techniques. On méprise une fois encore ceux qui sont là pour l'entretien de la voirie, des espaces verts, qui ramassent les merdes de chiens des gens qui ne se donnent pas la peine de le faire... On se fiche d'eux comme s'ils n'y avaient qu'eux qui font des erreurs.
Ancien ouvrier communal moi-même, je connais la valeur de ce métier, au coeur de la vie d'une commune, interlocuteur privilégié de la population. Et comme dans toutes les communes de France ou d'ailleurs, on bricole parfois avec les moyens dont on dispose.
Nous, on avait la chance d'avoir une saleuse-déneigeuse sur notre tracteur (d'ailleurs, on avait un tracteur et une tondeuse autoportée), mais souvent aussi, dans d'autres cas, on se débrouillait avec les moyens du bord, soit parce qu'on n'avait pas le matériel, soit parce qu'on devait travailler dans l'urgence, soit parce que l'équipement coûtait trop cher pour une utilisation trop peu fréquente et que nous étions tout de même soucieux des deniers publics.
Donc non, moi je ne me moque pas, au contraire, je suis solidaire. Cher collègue, j'aurais peut-être fait la même chose.
Et vous savez quoi, c'est l'un des métiers que je suis le plus fier d'avoir fait. Lui, à l'arrière de sa benne, en balançant le sable, il pestait sans doutes, mais dites-vous qu'il est peut-être heureux de son job. Et ça, combien d'entre vous, qui vous moquez, pouvez affirmer la même chose ?
(...).

vidéo ↴
https://www.lalsace.fr/environnement/2021/02/09/cette-video-d-un-agent-communal-jetant-le-sel-sur-la-route-a-bien-fait-rire-les-internautes?fbclid=IwAR0WsJflkT4ghN9zdS0RTB6viFWnzkp5vk9vbDQVlEA9D0sUw2YbZh0ggfA



Vu dans HEBDI

Bibliothèque Jacques Chirac
J. Louis Fleith

Je me demande si la majorité des Colmariens acceptent de bon cœur de dénommer « Jacques Chirac » la bibliothèque patrimoniale des Dominicains. La population proche de la mairie avait déjà refusé ce nom pour leur quartier. Alors fallait-il le fourguer coûte que coûte à cette vénérable institution qu’est la bibliothèque des Dominicains ?

Lire la suite :

⇒ https://www.hebdi.com/2021/02/08/lecteur-bibliotheque-jacques-chirac/

Colmarinfo avait abordé le sujet en novembre 2019 :

⇒ https://www.colmarinfo.com/2019/11/la-bibliotheque-des-dominicains.html

La seule voix discordante, lors du conseil municipal, fut celle de Dominique Grunenwald :

Dessin de Veesse