👉 Les commerces colmariens sont autorisés à ouvrir les dimanches 10, 17, 24 et 31 janvier de 9h à 18h.
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8 janvier 2021
7 janvier 2021
6 janvier 2021
3 janvier 2021
Gabriel Braeuner
Voeux
PrĂ©senter mes vĹ“ux, en ce dĂ©but d’annĂ©e, en reprenant les mots d’hier, mieux vaut ne pas y songer. Ce serait inconvenant. Les rĂ©duire aux vĹ“ux de bonne santĂ©, pourquoi pas ? Nous avons vu tout au long de l’annĂ©e combien celle-ci Ă©tait fragile et en mĂŞme temps notre bien le plus prĂ©cieux. Va donc pour les vĹ“ux de bonne santĂ©. Je n’en formulerai pas d’autres. Chat Ă©chaudĂ© craint l’eau. Vous enverrais-je alors un message sans espoir ? Non ! je vous souhaite au contraire un message rempli d’un « gai dĂ©sespoir » qui nous conduit Ă rĂ©agir, agir et aimer en toutes circonstances. Le reste m’Ă©chappe. Il ne dĂ©pend ni de vous ni de moi. Je n’espère que ce que je n’ai pas. Cela me (nous) rend malheureux. Nous savons pourtant par expĂ©rience (historique) que la condition humaine a quelque chose de dĂ©sespĂ©rant puisqu’ elle n’Ă©chappe ni aux guerres ni aux Ă©pidĂ©mies ni Ă la mort. Mais que cela ne nous empĂŞche pas de jouir du prĂ©sent, d’agir et d’aimer, d’aider et d’ĂŞtre solidaire. Quand la pandĂ©mie s’est dĂ©clenchĂ©e, il y a quelques mois, du bas en haut de l’Ă©chelle sanitaire, le personnel soignant ne s’est pas mis Ă espĂ©rer ni Ă dĂ©sespĂ©rer - il n’avait pas le temps - mais il a fait face et a pris, si j’ose dire, le virus Ă bras le corps. Il a fait des miracles en sauvant des milliers de vies humaines. Il a fait du dĂ©sespoir une bĂ©atitude. Je vous en souhaite autant !
Souvenirs
Autre chose : cela fait exactement 50 ans aujourd’hui, le 2 janvier 1971, que j’ai dĂ©barquĂ© Ă Colmar, une petite valise Ă la main, pour prendre le poste d’archiviste municipal Ă la mairie de Colmar. EnvoyĂ© par le doyen de la facultĂ© des Lettres, l’historien Georges Livet, un maĂ®tre, avec l’injonction suivante : « Prenez la ville avant que les curĂ©s ne la prennent ». Il y avait alors Ă Haguenau et Ă SĂ©lestat, notamment, des prĂŞtres qui occupaient le poste d’archiviste municipal. Tous excellents historiens au demeurant ! Je pris donc la ville et y restai une quarantaine d’annĂ©es.
Quelques jours plus tard, Igor Uibo, « journaliste culturel des DNA de Colmar » vint Ă ma rencontre pour me prĂ©senter aux lecteurs. Nous sommes restĂ©s en contact. Salut l’ami !
Voeux
PrĂ©senter mes vĹ“ux, en ce dĂ©but d’annĂ©e, en reprenant les mots d’hier, mieux vaut ne pas y songer. Ce serait inconvenant. Les rĂ©duire aux vĹ“ux de bonne santĂ©, pourquoi pas ? Nous avons vu tout au long de l’annĂ©e combien celle-ci Ă©tait fragile et en mĂŞme temps notre bien le plus prĂ©cieux. Va donc pour les vĹ“ux de bonne santĂ©. Je n’en formulerai pas d’autres. Chat Ă©chaudĂ© craint l’eau. Vous enverrais-je alors un message sans espoir ? Non ! je vous souhaite au contraire un message rempli d’un « gai dĂ©sespoir » qui nous conduit Ă rĂ©agir, agir et aimer en toutes circonstances. Le reste m’Ă©chappe. Il ne dĂ©pend ni de vous ni de moi. Je n’espère que ce que je n’ai pas. Cela me (nous) rend malheureux. Nous savons pourtant par expĂ©rience (historique) que la condition humaine a quelque chose de dĂ©sespĂ©rant puisqu’ elle n’Ă©chappe ni aux guerres ni aux Ă©pidĂ©mies ni Ă la mort. Mais que cela ne nous empĂŞche pas de jouir du prĂ©sent, d’agir et d’aimer, d’aider et d’ĂŞtre solidaire. Quand la pandĂ©mie s’est dĂ©clenchĂ©e, il y a quelques mois, du bas en haut de l’Ă©chelle sanitaire, le personnel soignant ne s’est pas mis Ă espĂ©rer ni Ă dĂ©sespĂ©rer - il n’avait pas le temps - mais il a fait face et a pris, si j’ose dire, le virus Ă bras le corps. Il a fait des miracles en sauvant des milliers de vies humaines. Il a fait du dĂ©sespoir une bĂ©atitude. Je vous en souhaite autant !
Souvenirs
Autre chose : cela fait exactement 50 ans aujourd’hui, le 2 janvier 1971, que j’ai dĂ©barquĂ© Ă Colmar, une petite valise Ă la main, pour prendre le poste d’archiviste municipal Ă la mairie de Colmar. EnvoyĂ© par le doyen de la facultĂ© des Lettres, l’historien Georges Livet, un maĂ®tre, avec l’injonction suivante : « Prenez la ville avant que les curĂ©s ne la prennent ». Il y avait alors Ă Haguenau et Ă SĂ©lestat, notamment, des prĂŞtres qui occupaient le poste d’archiviste municipal. Tous excellents historiens au demeurant ! Je pris donc la ville et y restai une quarantaine d’annĂ©es.
Quelques jours plus tard, Igor Uibo, « journaliste culturel des DNA de Colmar » vint Ă ma rencontre pour me prĂ©senter aux lecteurs. Nous sommes restĂ©s en contact. Salut l’ami !
1 janvier 2021
VĹ“ux 2021
☐ Meilleurs vĹ“ux pour cette nouvelle annĂ©e.
2021 sera l'année du rebond. Et Colmar a des atouts considérables pour réussir ce rebond.Eric Straumann, maire de Colmar
☐ Ensemble on est plus forts ! Bonne annĂ©e 2021.
Odile Uhlrich Mallet
☐ L'horizon finira bien par se dĂ©gager, faisons bien ce que nous pouvons encore faire avant de reprendre de nouvelles habitudes.
Que 2021 soit bien meilleure que 2020 !
Frédéric Hilbert
☐ Après une annĂ©e bien mouvementĂ©e, souhaitons-nous une belle et heureuse annĂ©e 2021. Que celle-ci puisse laisser place Ă plus de bienveillance, de raison... et d'Ă©vasion !
Tristan Denéchaud
☐ 2020, une annĂ©e Ă oublier ? Et si c'Ă©tait le contraire ?
Nous avons appris de la crise sanitaire que l'humanité est fragile, sur la planète tout entière. Nous sommes des roseaux tremblants, mais aussi des roseaux pensants.
Cette crise devrait donc nous inviter à plus d'humilité. Nous ne sommes pas maîtres de notre destin. Nous devons accepter notre interdépendance, et renouer une relation apaisée avec notre environnement et de respect envers la nature.
C'est dans cette pleine conscience que nous pourrons tracer ensemble un chemin de paix et de sérénité, pour que 2021 soit une année d'équilibre et d'épanouissement.
Victorine Valentin
Dessin de Geluck
31 décembre 2020
Tourisme de masse : remettre les pendules Ă l'heure
Edouard Dabrowski
Un des effets collatéraux du Covid a été de stopper net le tourisme de masse. Un désastre pour certains, une bouffée d'oxygène pour d'autres, un bien pour l'écologie, un répit pour la planète, sûrement. Une opportunité, en tout cas, dont devraient se saisir les municipalités victimes de ce fléau ; elles ont désormais tout loisir de réfléchir à l'après Covid pour trouver des solutions alternatives.
Les municipalités qui ont encouragé le développement de cette forme de tourisme jusqu'à la surdose, s'abritant toujours derrière les mêmes poncifs pour défendre leur parti pris, devront s'adapter à la nouvelle donne : privilégier l'optimum, au lieu de courir après le maximum.
Et donc procéder à une réduction drastique du nombre de visiteurs qui se précipitent en même temps en un même lieu, ce qui semble être une évidence première à prendre en compte.
Très vite il faudra donner des gages aux habitants qui non seulement ne profitent pas du système mais en subissent toutes les nuisances. Ils sont quelques centaines de mécontents, à avoir pris la peine de donner leur avis, ici, à colmarinfo.com. Il serait judicieux, pour les responsables municipaux, de les consulter et d'en tenir compte.
Les plus réticents au changement ont déjà commencé à donner de la voix, il se situent, on s'en doute, dans le camp de ceux qui tirent profit du tourisme de masse et n'espèrent qu'une chose : revenir le plus rapidement possible à la situation d'avant. Certains sont dans l'entourage très proche du maire. Bon courage pour satisfaire les uns et les autres. À notre avis cela relève de la mission impossible. Nous ne devrions pas tarder à voir de quel côté penchera la balance, nous ne baisserons pas la garde.
Les municipalités qui ont encouragé le développement de cette forme de tourisme jusqu'à la surdose, s'abritant toujours derrière les mêmes poncifs pour défendre leur parti pris, devront s'adapter à la nouvelle donne : privilégier l'optimum, au lieu de courir après le maximum.
Et donc procéder à une réduction drastique du nombre de visiteurs qui se précipitent en même temps en un même lieu, ce qui semble être une évidence première à prendre en compte.
Très vite il faudra donner des gages aux habitants qui non seulement ne profitent pas du système mais en subissent toutes les nuisances. Ils sont quelques centaines de mécontents, à avoir pris la peine de donner leur avis, ici, à colmarinfo.com. Il serait judicieux, pour les responsables municipaux, de les consulter et d'en tenir compte.
Les plus réticents au changement ont déjà commencé à donner de la voix, il se situent, on s'en doute, dans le camp de ceux qui tirent profit du tourisme de masse et n'espèrent qu'une chose : revenir le plus rapidement possible à la situation d'avant. Certains sont dans l'entourage très proche du maire. Bon courage pour satisfaire les uns et les autres. À notre avis cela relève de la mission impossible. Nous ne devrions pas tarder à voir de quel côté penchera la balance, nous ne baisserons pas la garde.
Le manque de culture nuit gravement à la santé
voir la vidĂ©o ↴
https://www.youtube.com/watch?v=amESLP7Fyj427 décembre 2020
UN CADEAU DE NOËL POUR NOS AÎNÉS
[Colmar] On aurait voulu les dissuader d'aller chercher leur cadeau que l'on ne s'y serait pas pris différemment.
Quelle mesquinerie, quel mépris que de demander aux personnes de 72 ans et plus de se rendre au Parc Expo, à l'extérieur de la ville, munies de leur carte d'identité et d'un justificatif de domicile pour récupérer... une bouteille de vin. En remplacement du repas et du colis de Noël offert chaque année par l'ancienne municipalité.Villeurbanne :
Mousse au saumon, foie gras, financiers Ă l’orange, papillotes… Une vingtaine de produits de qualitĂ©, salĂ©s et sucrĂ©s, composait chacun des 1045 colis livrĂ©s aux personnes âgĂ©es. Plusieurs adjointes et adjoints au maire ont accompagnĂ© les agents du CCAS au cours de leur distribution.
Nogent-le-Rotrou
Dans le contexte du coronavirus, les Ă©lus et les agents du Centre communal d’action sociale (CCAS) ont optĂ© pour le portage Ă domicile des colis de NoĂ«l aux 1.251 anciens de la commune. La distribution aux Nogentais et Nogentaises, de 70 ans et plus, a dĂ©butĂ© mercredi 2 dĂ©cembre.
En raison des contraintes sanitaires liĂ©es Ă l’Ă©pidĂ©mie de Covid-19, la distribution des colis de NoĂ«l aux anciens de la commune de Nogent-le-Rotrou se dĂ©roule cette annĂ©e en porte-Ă -porte. Un soulagement pour les Nogentais et Nogentaises âgĂ©es de 70 ans et plus qui hĂ©sitent Ă sortir en cette pĂ©riode de dĂ©confinement progressif et d’incertitudes.La distribution des colis sur rendez-vous, dans une salle municipale et par petits groupes avait Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©e dans un premier temps par les Ă©lus, mais le dispositif Ă©tait trop lourd, trop contraignant Ă mettre en place et Ă encadrer. La solution la plus simple et la plus sĂ©curisante a Ă©tĂ© d’utiliser les circuits bien rodĂ©s du portage Ă domicile des repas pour acheminer les colis chez les anciens.
Le CCAS mobilisé pour venir en aide aux personnes âgées
La prĂ©paration des colis a Ă©tĂ© lancĂ©e en dĂ©but de semaine. Elle a mobilisĂ© des Ă©lus et du personnel municipal. Les tournĂ©es ont commencĂ©, mercredi matin, Ă travers la ville. Elles sont menĂ©es par trois groupes de trois “livreurs” constituĂ©s d’Ă©lus et d’agents communaux qui ont en charge les diffĂ©rents quartiers.
Béatrice Liziard, conseillère municipale, déléguée aux affaires sociales, explique :
« Les personnes âgĂ©es apprĂ©cient beaucoup de ne pas avoir Ă se dĂ©placer. Nous sommes vraiment contents d’aller Ă leur rencontre et eux, sont visiblement ravis de notre visite. En cette pĂ©riode difficile, certaines personnes ont tendance Ă s’isoler. Ce portage, c’est aussi pour nous une façon de retisser des liens, d’Ă©changer avec nos anciens, de demander de leurs nouvelles, de s’enquĂ©rir de leur santĂ© »
Mercredi, son groupe a effectuĂ© le portage des colis dans le centre-ville. « L’opĂ©ration se dĂ©roule en toute sĂ©curitĂ© dans le respect des gestes barrières », prĂ©cise l’Ă©lue.
26 décembre 2020
Il y a un an : Colmar, une ville vieillissante
Vincent Eisenmann
Le choix fait par l’Ă©quipe municipale est d’exclure les familles de la ville, la politique du tout pour le tourisme et le matraquage constant des Colmariens sur le stationnement en sont les plus belles preuves ! Les Colmariens n’ont plus rien Ă faire en ville, place au tourisme ! ... Mais en agissant ainsi, vous vous coupez la possibilitĂ© de voir s’implanter toute une frange de commerces dits de proximitĂ© qui serviraient les besoins des Colmariens et qui crĂ©eraient du dynamisme Ă©conomique. Colmar est une ville vieillissante, c’est Ă©vident, une ville musĂ©e, dans laquelle les jeunes couples ne sont manifestement pas, plus, les bienvenus, les jeunes n’ont plus accès Ă la propriĂ©tĂ©, dans une ville oĂą Airbnb et le tourisme seront bientĂ´t le premier fournisseur d’emploi ; la faiblesse de l’offre universitaire en est encore une preuve. Je ne dirais pas que GM n’est pas un bon gestionnaire, il n’est justement que gestionnaire et pas assez visionnaire Ă mon avis, je dirais qu’il ne perçoit pas ou mal les Ă©volutions de la sociĂ©tĂ©, l’Ă©volution des besoins d’une ville ; il parle principalement, je trouve, Ă sa base Ă©lectorale, plutĂ´t vieillissante aussi, mais qui est majoritaire puisqu’il enchaĂ®ne les mandats, une base qui a l’argent et donc le pouvoir. Pendant ce temps le train passe et on s’enlise dans le passĂ© avec des musĂ©es, des bibliothèques, des lumières sur nos façades, des parkings pour alimenter le parc d’attraction Ă coup de millions d’euros, dont on se fout royalement, nous, habitants de Colmar... on aimerait voir arriver moins de Chinois (je n’ai rien contre les Chinois) et davantage de pĂ©pinières d’entreprises, de startups, que l’on favorise l’innovation et l’entreprise, des hautes Ă©coles, des universitĂ©s, des jeunes familles avec leurs enfants, des garderies, des parkings gratuits etc... et surtout une ville qui regarde vers l’avenir et moins vers le passĂ©... les villes qui se placent haut dans le classement misent sur la jeunesse, la natalitĂ©, les familles, bref sur l’avenir !
12/12/2019
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