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3 janvier 2021

Gabriel Braeuner

Voeux

Présenter mes vœux, en ce début d’année, en reprenant les mots d’hier, mieux vaut ne pas y songer. Ce serait inconvenant. Les réduire aux vœux de bonne santé, pourquoi pas ? Nous avons vu tout au long de l’année combien celle-ci était fragile et en même temps notre bien le plus précieux. Va donc pour les vœux de bonne santé. Je n’en formulerai pas d’autres. Chat échaudé craint l’eau. Vous enverrais-je alors un message sans espoir ? Non ! je vous souhaite au contraire un message rempli d’un « gai désespoir » qui nous conduit à réagir, agir et aimer en toutes circonstances. Le reste m’échappe. Il ne dépend ni de vous ni de moi. Je n’espère que ce que je n’ai pas. Cela me (nous) rend malheureux. Nous savons pourtant par expérience (historique) que la condition humaine a quelque chose de désespérant puisqu’ elle n’échappe ni aux guerres ni aux épidémies ni à la mort. Mais que cela ne nous empêche pas de jouir du présent, d’agir et d’aimer, d’aider et d’être solidaire. Quand la pandémie s’est déclenchée, il y a quelques mois, du bas en haut de l’échelle sanitaire, le personnel soignant ne s’est pas mis à espérer ni à désespérer - il n’avait pas le temps - mais il a fait face et a pris, si j’ose dire, le virus à bras le corps. Il a fait des miracles en sauvant des milliers de vies humaines. Il a fait du désespoir une béatitude. Je vous en souhaite autant !


Souvenirs

Autre chose : cela fait exactement 50 ans aujourd’hui, le 2 janvier 1971, que j’ai débarqué à Colmar, une petite valise à la main, pour prendre le poste d’archiviste municipal à la mairie de Colmar. Envoyé par le doyen de la faculté des Lettres, l’historien Georges Livet, un maître, avec l’injonction suivante : « Prenez la ville avant que les curés ne la prennent ». Il y avait alors à Haguenau et à Sélestat, notamment, des prêtres qui occupaient le poste d’archiviste municipal. Tous excellents historiens au demeurant ! Je pris donc la ville et y restai une quarantaine d’années.
Quelques jours plus tard, Igor Uibo, « journaliste culturel des DNA de Colmar » vint à ma rencontre pour me présenter aux lecteurs. Nous sommes restés en contact. Salut l’ami !

1 janvier 2021

Fabien Nierengarten

Nous sommes en l'An I après Jacobus Chiracus. Astérix et Obélix ont mis un terminus à leur carrière de super héros gaulois et coulent des jours heureux du côté de Fréjus. Pendant ce temps, hélas, un mal mystérieux s'est emparé de leur village de naissance. Le Covidivici XIX est venu et a vaincu certains de ses habitants pourtant réputés irréductibles.

Un confinum a immédiatement été ordonné en concertation avec les représentants de Rome, le vieux consul Diplodocus et son conseiller Papyrus. Les arènes, les théâtres, les tavernes et tous les commerces superflus sont fermés. Plus de jeux du cirque, plus de cervoise sur les terrasses, plus de déplacement sans dérogatium, Ici, on ne rigaule pas avec le virus !
Le chef du village, Jeancastix, accompagné de ses fidèles chefs-adjoints en charge de la santé, Epidemix et Pandemix, a immédiatement reçu une délégation des professionnels sinistrés. Parmi eux, le comédien Prolix, la chanteuse Zazix, le barde électro Remix, et comme représentant des taverniers, Etchebix, le célèbre cuistot aux trois écuelles.
Mais dans le journal du matin, les nouvelles sont mauvaises d'où qu'elles viennent. Coté romain, on vient d'apprendre le suicide du centurion Roulètrus, chef du Fort Ciori, en pleine salle de reanimationem. Les Gaulois, quant à eux, pleurent le décès brutal d'Ecrevix, le poissonnier connu de tous pour sa recette de la carpe diem. Les ennemis d'autrefois décident donc d'enterrer le glaive de guerre et d'unir leurs forces pour affronter cet inconnus malus.
Un comité médical se réunit d'urgence autour de Jeancastix et du général Antivirus, envoyé spécial de l'Empereur. On y retrouve le druide Alambix, le professeur Bistourix, responsable du sanatorium local, et le docteur Infarctus, son alter ego de l'hôpital romain Yapamordum, ainsi que les pharmaciennes du village, Cloroquine, Solutricine et Vaseline.
Tous ces éminents spécialistes sont unanimes : seule une potion magique pourra sauver les villageois. C'est donc avec cette idée fixe qu'ils partent en quête d'un vaccinum. Dès le lendemain, Rhésus, le facteur de la garnison, leur apporte une missive en provenance du labo Mea Culpa. Son médicament, le Vaderetro, aurait été testé sur des centaines d'esclaves et serait fiable à XCVIII%.
Après de rapides négociations menées avec Prospectus, le commercial du labo, l'affaire est dans la besace et le contrat conclu au meilleur tarif, à la grande satisfaction du chef-adjoint chargé des finances, le vénérable Fraudix. Les premières doses du précieux vaccinum pourront ainsi être administrées, dès la semaine suivante, aux résidents de l'EHPADUM "Le Crucifix", évidemment tous volontaires selon Neurotoxine, l'ambitieuse directrice de l'établissement.
Mais la colère gronde parmi les villageois. Déjà échaudés par les loupés de l'ancienne chef-adjointe à la santé, Aniessebusine, les voilà remontés comme des cadrans solaires contre les mesures de confinum prises par ses successeurs.
Les meneurs de La Gaule Insoumise, principal parti d'opposition, demandent avec insistance l'organisation d'un référendum pour ou contre la campagne de vaccinationem, tandis que la passionaria Pulmarine n'en finit plus de sonder le fond de la piscine, afin d'y trouver quelques gilets (jaunes) de sauvetage.
Et puis, il y a les adeptes d’un certain Complotix. Ils se réunissent à l’abri des regards, dans une hutte du village tenue par Coccix et par son complice, l’obscur Petitanus. Une rumeur insistante dit qu’à l’étage, on trouverait des femmes de petites vertus, exploitées par le souteneur Bonusfalus et parfois même filmées à leur insus par Stanlélubrix, le célèbre producteur de filmix, accompagné de sa peu farouche assistante Viceversa.
Leur vision du monde est tellement sombre, qu’ils en arrivent à se méfier de leur propre ombre. Ne sachant apporter aucune solution à aucun problème, ils brillent surtout par leur capacité à opposer leur véto à toute initiative constructive. C’est dans un pays très lointain, situé bien au-delà de la Mare Nostrum, qu’on trouve la tribu des Yakafokon, celle dont les rituels ancestraux inspirent les nombreux fanatix du sinistre Complotix.
Mais revenons à nos brebix ! Face à la pression populaire, Jeancastix s’est vu contraint d’organiser une réunion publix…pardon, publique. D’autant plus que deux nouveaux décès sont venus, coup sur coup, endeuiller la population : d’abord, celui de Sinusine, la charmante épouse du parfumeur Nasix, victime d’une grave insuffisance respiratoire, puis celui de Bombix, le grand amoureux de la nature, sans doute victime de l'effet papillon.
Sur la droite de la tribune se trouve un énergique trio pro-vaccinum composé de Testantigenix, d’Asymptomatix et d’Idroalcolix. Une immense banderole déployée au-dessus d’eux proclame haut et fort leur soutien au chef du village : "Plutôt fichés que fichus !!!". Sur la gauche, il y a les partisans anti-vaccinum : Rictus, le candidat malheureux et inconsolable des dernières élections, puis Cactus, l’infirmier qui n’en peut plus de piquer à longueur de journée, et enfin, Eucalyptus, le doyen du village, qui n’y comprend que dalle car il est dur de la feuille, et qui répète sans cesse "c’est quoi là ?". Belle brochette ! Le nec plus ultra, assurément.
Cette réunion passionnante s’est évidemment terminée dans un climat passionné. Comment pouvait-il en être autrement ? A l’heure qu’il est, aucune décision n’a cependant été prise par Jeancastix. Son nouveau conseiller Pragmatix lui recommande beaucoup de prudence. En effet, aux dernières nouvelles, le virus semble ne pas se développer à l’Ouest, là où se trouve notre célèbre village. Ce qui a d’ailleurs permis à son chef, en toute fin de réunion, d’avoir ce bon mot un peu facile à destination de ses opposants : "Et maintenant, allez jacter à l’Est !".
Bon, allez, sur ce coup-là, j’ai vraiment honte. Promis, je vous raconterai la suite de l’histoire dès que j’en saurai plus. A plus !!



Vœux 2021

Meilleurs vœux pour cette nouvelle année.
2021 sera l'année du rebond. Et Colmar a des atouts considérables pour réussir ce rebond.

Eric Straumann
Maire de Colmar


Ensemble on est plus forts ! Bonne année 2021.
Odile Uhlrich Mallet


L'horizon finira bien par se dégager, faisons bien ce que nous pouvons encore faire avant de reprendre de nouvelles habitudes.
Que 2021 soit bien meilleure que 2020 !

Frédéric Hilbert


Après une année bien mouvementée, souhaitons-nous une belle et heureuse année 2021. Que celle-ci puisse laisser place à plus de bienveillance, de raison... et d'évasion !
𝘼 𝙜𝙡𝙚𝙘𝙠𝙡𝙞𝙜𝙨 𝙣𝙚𝙟𝙚𝙨 𝙅𝙤𝙝𝙧 !
Tristan Denéchaud


2020, une année à oublier ? Et si c'était le contraire ?
Nous avons appris de la crise sanitaire que l'humanité est fragile, sur la planète toute entière. Nous sommes des roseaux tremblants, mais aussi des roseaux pensants.
Cette crise devrait donc nous inviter à plus d'humilité. Nous ne sommes pas maîtres de notre destin. Nous devons accepter notre interdépendance, et renouer une relation apaisée avec notre environnement et de respect envers la nature.
C'est dans cette pleine conscience que nous pourrons tracer ensemble un chemin de paix et de sérénité, pour que 2021 soit une année d'équilibre et d'épanouissement.
Victorine Valentin


Dessin de Geluck

31 décembre 2020

Tourisme de masse : remettre les pendules à l'heure

Edouard Dabrowski

Un des effets collatéraux du Covid a été de stopper net le tourisme de masse. Un désastre pour certains, une bouffée d'oxygène pour d'autres, un bien pour l'écologie, un répit pour la planète, sûrement. Une opportunité, en tout cas, dont devraient se saisir les municipalités victimes de ce fléau ; elles ont désormais tout loisir de réfléchir à l'après Covid pour trouver des solutions alternatives.

Les municipalités qui ont encouragé le développement de cette forme de tourisme jusqu'à la surdose, s'abritant toujours derrière les mêmes poncifs pour défendre leur parti pris, devront s'adapter à la nouvelle donne : privilégier l'optimum, au lieu de courir après le maximum.

Et donc procéder à une réduction drastique du nombre de visiteurs qui se précipitent en même temps en un même lieu, ce qui semble être une évidence première à prendre en compte.

Très vite il faudra donner des gages aux habitants qui non seulement ne profitent pas du système mais en subissent toutes les nuisances. Ils sont quelques centaines de mécontents, à avoir pris la peine de donner leur avis, ici, à colmarinfo.com. Il serait judicieux, pour les responsables municipaux, de les consulter et d'en tenir compte.

Les plus réticents au changement ont déjà commencé à donner de la voix, il se situent, on s'en doute, dans le camp de ceux qui tirent profit du tourisme de masse et n'espèrent qu'une chose : revenir le plus rapidement possible à la situation d'avant. Certains sont dans l'entourage très proche du maire. Bon courage pour satisfaire les uns et les autres. À notre avis cela relève de la mission impossible. Nous ne devrions pas tarder à voir de quel côté penchera la balance, nous ne baisserons pas la garde.


Le manque de culture nuit gravement à la santé

voir la vidéo ↴
https://www.youtube.com/watch?v=amESLP7Fyj4



30 décembre 2020

Fabien Nierengarten

Question du jour : Peut-on se lever un matin avec une gueule de bois carabinée, sans avoir bu la moindre goutte d'alcool la veille ? Réponse du jour : Eh oui, tout est possible en 2020 ! Par exemple, quand tu apprends avant de t'endormir que, malgré toutes les précautions que tu prends, toutes les concessions que tu fais, tous les sacrifices que tu t'imposes depuis des semaines, tu vas devoir t'enfermer chez toi dès 18h au lieu de 20h.
Donc, colère du jour : Y en a marre, y en a ras-le-bol, y en a ras-le-Q du confinement, du couvre-feu, du couvre-tout et n'importe quoi !!!
Mais la faute à quoi , la faute à qui ??? A ceux qui prennent ces mesures de protection parfois incohérentes et souvent difficiles à supporter, surtout pour certains professionnels ? Ou à ceux qui continuent à vivre comme si rien ne s'était passé depuis un an, qui en veulent à mort au virus, mais qui continuent à refuser de le combattre, et qui font systématiquement passer leur confort perso avant la sécurité de tous ?
Pour ma part, j'ai ma petite idée. Mais comme il ne s'agit pas d'une certitude, et encore moins d'une connaissance scientifiquement démontrée, je me garderai bien de la partager ici. Que chacun continue à faire ses choix en son âme et conscience. Notamment en ce qui concerne le vaccin. On fera les comptes dans quelques mois. Mais que personne ne vienne râler ensuite...



27 décembre 2020

Le Général et le Député

Bernard Friedrich

"Que Dieu lui pardonne... pour nous ce sera plus dur !"
Je croyais vraiment en avoir fini avec lui. Jusqu'à aujourd'hui où une presse bien informée nous relate les engagements et exploits tous azimuts de notre nouveau député au palais Bourbon, exploits devant lesquels ses collègues pourtant plus expérimentés restent bouche bée. Enfin on avance !
Comment le grand timonier d'hier a-t-il pu nous priver de telles compétences ? Et pourquoi aura-t-il, lui, ce prétendu grand connaisseur des hommes, voulu affubler ce serviteur si dévoué d'un costume trop grand nous privant d'un chef de très haute volée ? Incompréhensible. L'âge, la jalousie, la crainte que l'élève ne dépasse le maître, la maladie ? Difficile de trancher. Il nous aura tous, à son habitude, roulés dans la farine. Non que les débuts du nouveau locataire de la rue des Clefs ne soient pas des plus prometteurs, ne serait-ce que par une ambiance plus détendue et la poursuite des grands projets adaptés aux circonstances et vues nouvelles, non que son prédécesseur à PARIS tant dénigré par le passé n'ait pas fait le "job". Mais quel inacceptable gâchis d'avoir privé les Colmariens d'une telle pointure !
Vous je ne sais pas ; moi je ne peux ni oublier ni pardonner.

UN CADEAU DE NOËL POUR NOS AÎNÉS

[Colmar] On aurait voulu les dissuader d'aller chercher leur cadeau que l'on ne s'y serait pas pris différemment.
Quelle mesquinerie, quel mépris que de demander aux personnes de 72 ans et plus de se rendre au Parc Expo, à l'extérieur de la ville, munies de leur carte d'identité et d'un justificatif de domicile pour récupérer... une bouteille de vin. En remplacement du repas et du colis de Noël offert chaque année par l'ancienne municipalité.




Villeurbanne :


Mousse au saumon, foie gras, financiers à l’orange, papillotes… Une vingtaine de produits de qualité, salés et sucrés, composait chacun des 1045 colis livrés aux personnes âgées. Plusieurs adjointes et adjoints au maire ont accompagné les agents du CCAS au cours de leur distribution.


Nogent-le-Rotrou

Dans le contexte du coronavirus, les élus et les agents du Centre communal d’action sociale (CCAS) ont opté pour le portage à domicile des colis de Noël aux 1.251 anciens de la commune. La distribution aux Nogentais et Nogentaises, de 70 ans et plus, a débuté mercredi 2 décembre.
En raison des contraintes sanitaires liées à l’épidémie de Covid-19, la distribution des colis de Noël aux anciens de la commune de Nogent-le-Rotrou se déroule cette année en porte-à-porte. Un soulagement pour les Nogentais et Nogentaises âgées de 70 ans et plus qui hésitent à sortir en cette période de déconfinement progressif et d’incertitudes.

La distribution des colis sur rendez-vous, dans une salle municipale et par petits groupes avait été étudiée dans un premier temps par les élus, mais le dispositif était trop lourd, trop contraignant à mettre en place et à encadrer. La solution la plus simple et la plus sécurisante a été d’utiliser les circuits bien rodés du portage à domicile des repas pour acheminer les colis chez les anciens.

Le CCAS mobilisé pour venir en aide aux personnes âgées

La préparation des colis a été lancée en début de semaine. Elle a mobilisé des élus et du personnel municipal. Les tournées ont commencé, mercredi matin, à travers la ville. Elles sont menées par trois groupes de trois “livreurs” constitués d’élus et d’agents communaux qui ont en charge les différents quartiers.

Béatrice Liziard, conseillère municipale, déléguée aux affaires sociales, explique :

« Les personnes âgées apprécient beaucoup de ne pas avoir à se déplacer. Nous sommes vraiment contents d’aller à leur rencontre et eux, sont visiblement ravis de notre visite. En cette période difficile, certaines personnes ont tendance à s’isoler. Ce portage, c’est aussi pour nous une façon de retisser des liens, d’échanger avec nos anciens, de demander de leurs nouvelles, de s’enquérir de leur santé »

Mercredi, son groupe a effectué le portage des colis dans le centre-ville. « L’opération se déroule en toute sécurité dans le respect des gestes barrières », précise l’élue.

26 décembre 2020

Il y a un an : Colmar, une ville vieillissante

Vincent Eisenmann

Le choix fait par l’équipe municipale est d’exclure les familles de la ville, la politique du tout pour le tourisme et le matraquage constant des Colmariens sur le stationnement en sont les plus belles preuves ! Les Colmariens n’ont plus rien à faire en ville, place au tourisme ! ... Mais en agissant ainsi, vous vous coupez la possibilité de voir s’implanter toute une frange de commerces dits de proximité qui serviraient les besoins des Colmariens et qui créeraient du dynamisme économique. Colmar est une ville vieillissante, c’est évident, une ville musée, dans laquelle les jeunes couples ne sont manifestement pas, plus, les bienvenus, les jeunes n’ont plus accès à la propriété, dans une ville où Airbnb et le tourisme seront bientôt le premier fournisseur d’emploi ; la faiblesse de l’offre universitaire en est encore une preuve. Je ne dirais pas que GM n’est pas un bon gestionnaire, il n’est justement que gestionnaire et pas assez visionnaire à mon avis, je dirais qu’il ne perçoit pas ou mal les évolutions de la société, l’évolution des besoins d’une ville ; il parle principalement, je trouve, à sa base électorale, plutôt vieillissante aussi, mais qui est majoritaire puisqu’il enchaîne les mandats, une base qui a l’argent et donc le pouvoir. Pendant ce temps le train passe et on s’enlise dans le passé avec des musées, des bibliothèques, des lumières sur nos façades, des parkings pour alimenter le parc d’attraction à coup de millions d’euros, dont on se fout royalement, nous, habitants de Colmar... on aimerait voir arriver moins de Chinois (je n’ai rien contre les Chinois) et davantage de pépinières d’entreprises, de startups, que l’on favorise l’innovation et l’entreprise, des hautes écoles, des universités, des jeunes familles avec leurs enfants, des garderies, des parkings gratuits etc... et surtout une ville qui regarde vers l’avenir et moins vers le passé... les villes qui se placent haut dans le classement misent sur la jeunesse, la natalité, les familles, bref sur l’avenir !
12/12/2019

Scandale du Covid-19 : Maître Di Vizio, avocat du professeur Raoult, dit tout

voir la vidéo ↴
https://www.youtube.com/watch?v=rttGo_Cn_GA