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22 novembre 2020

Les peuples ne sont plus rien

Jean-Pierre Parlange

Les peuples ne sont plus rien, les multinationales enfoncent leurs griffes d’acier dans nos démocraties et imposent leur pouvoir financier avec une brutalité incroyable. Que ce soit avec les banques ou les labos pharmaceutiques, tout se fait dans notre dos, et sans notre consentement bien sûr. Avec l’aide des hommes politiques en place et des médias, tout se passe dans la confusion la plus totale et avec une facilité déconcertante. Présentées de manière déformante, anxiogène ou exagérée, les décisions les plus folles passent sans problème. Toute forme d’opposition ou de réaction intelligente et logique est immédiatement ridiculisée ou détruite par le biais d’infos et de constats anxiogènes ou pour finir, s’il le faut, par la force, mais toujours, soi-disant pour le bien du plus grand nombre. Il n’y a plus de libertés nulle part, hypocritement, les interdits et les contraintes sont d’ailleurs le plus souvent présentés comme des maux nécessaires ou pire encore, comme des bienfaits pour la société. On est en train d’imposer l’enfer sur terre, une inhumanité triomphante, et kafkaïenne, cela simplement pour fabriquer encore plus de marge, plus de pognon. Un monde sans horizon, sans espoir, sans culture, un monde de culpabilisation généralisée ou la population est rendue abusivement responsable de tous les mots pour le plus grand bénéfice du capital qui peut ainsi continuer la destruction systématique de notre monde !

Méli-mélo


⬦ [Confinement]
En somme on emmerde 100% de la population, on met le pays en ruine, on rend les mômes et les personnes âgées et isolées malades de cette psychose, tout ça pour peut-être épargner quelques nonagénaires ?
Vous êtes tous devenus fous !
Créer la psychose, menacer, réprimer, et, cerise sur le gâteau, faire que la population culpabilise, c'est la voie habituelle pour l'instauration d'une dictature !
Gérald d'Orbe - 20/11/2020


⬦ [éclairage public] Effectivement, il existe des solutions intermédiaires et il semble essentiel de penser d'abord à la préservation de la biodiversité plutôt qu'aux économies ou aux aspects "utiles".
B.L. - 15/11/2020 11:55


⬦ [éclairage public] Pardon, mais il y a 15 ans on encourageait à augmenter l'éclairage public pour enrayer l'insécurité et tout le monde était d'accord et maintenant on nous encourage à diminuer l'éclairage public pour faire des économies... va comprendre Charles !
D.B. - 15/11/2020 11:02


⬦ [éclairage public] Nous étions à Copenhague il y a 3 ans : pas d’éclairage dans les rues adjacentes, uniquement sur les grandes avenues. C’était en mars donc nuit très tôt, 0 problème. Par contre, sur les façades des maisons ou entrées d’immeubles, il y a toujours un point d’éclairage qui fonctionne par détecteur. Nous allons souvent en Auvergne dans un village qui pratique l'extinction des lumières dès 22 heures, c’est très appréciable, mais il est vrai, plus facile à gérer que dans une grande ville.
B.M. - 14/11/2020 13:39


⬦ Par cette morosité automnale et confinatoire il y a (heureusement) mon journal ("Les Dernières Nouvelles d'Alsace") pour me réjouir. C'est ainsi que dans un article consacré au musée d'Unterlinden de Colmar j'apprends que le musée propose (virtuellement) des images "richement légendées comme pour "La Chasse mystique" de Martin Schongauer datant du début du... XXVe siècle". Il est vrai que Schongauer était un artiste nettement en avance sur son temps.
I.U. - 14/11/2020 2:16


⬦ [Covid] Le nombre de décès reste très faible, il n'est qu'à regarder les faire-part de décès de la PQR : ce matin [13 novembre], édition de Colmar, deux centenaires, 3 octogénaires et un non précisé. Et on détruit un pays pour prétendre éviter ça ? Mais ce pays devient totalement fou, mordel de berde !
GDO - 13/11/2020 18:11

Extinction de l'éclairage public

Danièle Arnold, conseillère municipale du groupe majoritaire de Wintzenheim réagit à l’article sur l’extinction de l’éclairage public paru dimanche 15 novembre dans les Dernières Nouvelles d'Alsace :

« En effet, la nuit nous plonge dans l’obscurité et certes, il fait noir… Au cours du XIXe siècle, le gaz puis la fée électricité vinrent ainsi remédier à cette incontournable plongée dans l’obscurité due à un non moins incontournable phénomène astronomique qui se répète en alternance toutes les 24 heures. Nous nous sommes donc habitués à compenser cette plongée dans le noir au point que nous ne puissions plus nous en passer.

Or, la nuit est aussi nécessaire que le jour non seulement pour la biodiversité, le monde végétal mais aussi pour l’équilibre de l’homme déjà bien perturbé par l’anthropocène !

Proposer une solution alternative à l’extinction des lumières publiques ne semble donc pas vertueux quand on a le souci de préserver l’environnement. Cette décision est donc courageuse, responsable et ambitieuse. Envisager, enfin, une alimentation électrique par leds est toujours plus coûteuse et non écologique puisque ni le processus de fabrication de ces lampes (galium et indium), ni leur recyclage, et encore moins leur lumière très blanche propageant des ondes bleues fort néfastes ne sauraient satisfaire quiconque défendant la cause environnementale. Pour conclure et pour toutes les raisons précitées, il est apparu nécessaire et raisonnable de prendre la décision de l’extinction et non de toute autre solution alternative, comme il avait été d’ailleurs proposé aux habitants lors du sondage effectué. »

21 novembre 2020

3ème semaine de dons

qui continuent d'affluer au Café des Marchands (9, rue des Marchands à Colmar) servant d'entrepôt avant la redistribution aux plus nécessiteux.
Samedi prochain (28 novembre), la collecte ne concernera que la nourriture, pour répondre à une demande de plus en plus pressante. (14h-17h).




20 novembre 2020

Fabien Nierengarten

Tout à l'heure, appel d'un journaliste de Lyon :
- Lui : « Bonjour. Pourrais-je avoir le nom du Président du Conseil départemental du Haut-Rhin, SVP ? »
- Moi : « Oui, bien-sûr, c'est Rémy WITH... »
- Lui : « On écrit ça comment ? W-I-T-T ? »
- Moi : « Non, W-I-T-H. »
- Lui : « Ah, il s'appelle donc WIZZ... »
- Moi : « Ben non, il faut prononcer à l'allemande, pas à l'anglaise. Donc comme WITT et pas comme WIZZ. »
- Lui (un peu agacé) : « Décidément, vous ne pouvez rien faire comme les autres en Alsace. »
- Moi (très agacé) : « Ben disons que, jusqu'à preuve du contraire, l'Alsace était allemande et pas britannique. »
- Lui : « On peut voir ça comme ça. Et vous êtes Monsieur... ? »
- Moi : « Nierengarten. »
Grand silence, puis dut-dut-dut dans mon combiné.
Alors, soit il a raccroché, soit il est tombé dans les pommes.
Pour l'achever, j'aurais dû lui parler de mon pote Phil... Umbdenstock !!!
Comme lors du premier confinement, la France reste l'un des rares Etats à imposer une limite kilométrique de déplacement autour du domicile, avec l'Irlande. Et le seul, pour l'instant, à demander une attestation de sortie à ses citoyens.
Libération, 4/11/2020


19 novembre 2020

Succès pour la manifestation de soutien au commerce colmarien. Une foule nombreuse a suivi l'appel lancé par les Vitrines de Colmar et relayé par Eric Straumann.




« Ne tuez pas nos commerces ! » Derrière cette banderole, environ 600 personnes (selon la police) ont participé ce jeudi soir à la "marche funèbre" organisée par les Vitrines de Colmar avec le soutien de la municipalité de Colmar. L'association de commerçants locale est parvenue à mobiliser ses troupes. Parmi les manifestants, en effet, une grande majorité de commerçants (...). Les manifestants plaidaient pour la réouverture des commerces le plus rapidement possible. (...).
DNA/L'ALSACE du 19/11/2020

Hold-Up : l'analyse de Guy de La Fortelle

(Extraits)
Je vous l’ai dit, ce film est :
Polémique : de polemos, secouer, agiter.
Radical : il cherche à aller à la racine. À comprendre la crise dans sa globalité en profondeur, quitte à se perdre et faire des fautes.
Spéculatif : Au sens intellectuel de contempler, de faire un pas de côté et se demander… Et si.
Surtout, ce film est une révolte au sens de Camus, la révolte contre notre condition et la révolte qui nous unit contre l’arbitraire qui gouverne cette crise et que souligne d’ailleurs l’excellent Regis de Castelnau dans le film.
À cause de cela, ce document est critiquable : digne de critique. Malgré toutes ses erreurs et malgré ses fautes, il mérite notre attention.
Il mérite notre attention aussi car il y a un travail titanesque derrière ce film : Le travail de Barnérias bien sûr, mais surtout celui des 37 intervenants dont beaucoup ont consacré leur vie à la science et à la recherche, au travail.
Et autant je NE peux PAS souscrire à l’idée que le virus ait été fabriqué et lâché dans la nature de manière délibérée pour mettre en place ce projet de gouvernance mondiale et de protection ultime des fortunes.
Autant il est raisonnable de penser qu’ils sont pragmatiques et utilisent cet événement inattendu dans ce but.
Il n’y a rien de nouveau. Les États-Unis n’ont pas délibérément provoqué le 11 septembre mais ils l’ont détourné pour aller en Irak.
Les États-Unis n’ont pas créé la crise de 2008 mais ils l’ont utilisée pour détourner le système financier et changer radicalement la répartition des richesses.
Aujourd’hui lorsque l’on veut généraliser le digital. Il y a un enjeu majeur qui est totalement occulté dans le débat public.
Bien sûr personne ne veut de cet avenir orwellien.
Mais la peur du virus rend cet avenir si ce n’est acceptable, tout du moins imposable.
Pas le virus, la peur du virus.
Et Hold-Up a le grand mérite de tenter de nous sortir de cette tétanie, avec toutes ses erreurs et toutes ses fautes, ses exagérations, Hold-Up réveille, secoue, met du mouvement, de la polémique.
Et cela est bon.
Et pour cela je salue le courage et le travail de Pierre Barnérias et de tous ceux qui ont accepté de témoigner devant sa caméra.

17 novembre 2020

Coronahumour

Ô postillons maudits ! (Les Goguettes)




17/11/2020

[DNA]

Mairie de Colmar : pas d’indemnités pour les fidèles de Gilbert Meyer

La rédaction a été destinataire d’un courrier anonyme dans lequel des documents retracent la tentative, avortée, de verser des indemnités à deux agents fidèles de l'ancien maire de Colmar, Gilbert Meyer.
Par Annick WOEHL

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