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24 février 2020

"Eric Straumann a insisté sur la tonalité « sereine » qu'il veut donner à sa campagne : « Ne dites pas du mal des autres candidats. Éventuellement du bien. » Le député veut éviter tout « dérapage », principal risque selon lui dans une campagne qu'il juge « bien partie ». Le candidat promet à son équipe « une aventure humaine extraordinaire »."

Le Kangourou qui aspire à occuper le fauteuil de maire ferait bien d'en prendre de la graine. De nombreux témoignages l'accusent d'agressions verbales, sur le terrain, également en messagerie privée, sans compter les attaques en règle d'un certain candidat qui visiblement lui fait peur.


Bernard Friedrich

Allez-vous donner votre voix à l'homme du reniement ? Je parle d'homme et non d'équipe car en l’occurrence l'équipe n'est là que pour entourer le chef de cet amour dont il a tant besoin. Homme du reniement direz-vous : comment qualifier autrement quelqu'un qui ne respecte pas ses engagements, renie ses convictions politiques allant jusqu'à faire alliance avec le RN, revient pour garnir son panier à voix sur sa condamnation à mort d'un adjoint dissident et rebelle et pousse le revirement jusqu'à en faire son successeur potentiel, oublie la passion qu'il portait à sa ville pour « suivre bêtement » les modes en cours, revient sur des mesures auxquelles hier encore il était si fortement attaché comme celles relatives au stationnement, oublie tout de ce qu'il envisageait avant qu'une concurrence imprévue vienne compromettre ses chances d'un plébiscite espéré ? Vous comprendrez facilement que la seule chose qui compte pour lui c'est une nouvelle élection et non votre avenir dont, vu son âge il ne fera d'ailleurs pas partie ! Alors oui au changement, y compris et surtout celui de personnes qui ont fait leur temps !

Si Gilbert Meyer a proposé aux différents candidats de « cosigner une charte de "bonne conduite" visant à concentrer l'affichage sur les seuls panneaux électoraux », c'est pour éviter d'avoir à envoyer ses partisans à la chasse aux affiches comme celle-ci, le caricaturant en uniforme de despote sud-américain avec, en guise de médailles, des panneaux de stationnement et de parking, une spécialité meyerienne !



Gérald d'Orbe

Vu dans la PQR (DNA du jour). C'est pas de moi mais ça ressemble furieusement à ce que j'ai plusieurs fois exprimé su FB. Plusieurs fois, si bien que les "petites mains" de Chwouldi ont plusieurs fois supprimé ma réponse sur sa page… j'avoue que j'exprimais les mêmes questions sur la notion de "chantiers que j'ai engagés", au point de suggérer un mandat à vie !



23 février 2020

Bernard Friedrich

Des visionnaires, ceux qui veulent ENFIN faire bouger Colmar ? Il aura mis plus de 20 ans avant de réaliser qu'au centre de nos préoccupation il y a les conditions de notre vie quotidienne, d'où ce programme novateur à ses yeux... mais reprenant quasiment toutes les propositions des autres équipes. J'écris « il » au singulier car il est bien connu que ce n'est que de lui que rayonne la vision de notre lendemain. La passion a disparu pour ne laisser place qu'au constat, à l'aveu que, plus de 20 ans durant, la fameuse équipe expérimentée est passée à côté de la plaque en négligeant l’essentiel dans la cité de Bartholdi, à savoir : les Colmariens ! Cela suffit ; ne renouvelons pas l'expérience de ces personnes uniquement préoccupées de notoriété, de chiffres et de classement, pour confier notre destinée à de plus jeunes, plus lucides, plus dans le coup de nos aspirations. Revoir à la baisse le racket du stationnement après avoir expliqué que les tarifs en vigueur n'étaient que justice et n'avoir même pas eu la politesse de répondre aux nombreuses plaintes, verdir partout où cela est possible pour être dans l'air du temps, faire semblant de rajeunir une équipe « aux ordres » tout en avouant implicitement dans une lettre qu'avec son caractère on ne peut pas changer etc. etc. tout cela n'est guère encourageant. Laissons à de moins expérimentés (peut-être) à l'origine des bonnes idées plagiées par les sortants le soin de les mettre en place et d'en garantir (grâce à leur jeunesse !) la pérennité. (...)

22 février 2020

Stationnement résident

Edouard Dabrowski

Il [Gilbert Meyer] nous a déjà fait le coup avec le macaron à 600 euros : moins de 2 euros par jour ! Une broutille, vu comme ça, effectivement. Sauf que sur l'année, cela fait quand même 600 euros !
Aujourd'hui, il remet ça : moins de 1 euro par jour ! Qui dit mieux ? Notons au passage que ce qui était impossible hier devient possible aujourd'hui. C'est magique, rien de tel que l'approche des municipales pour que le miracle se produise. Évidemment, il lui a fallu trouver une explication pour justifier ce soudain revirement, explication qui ne convainc que lui-même, comme celle justifiant le non-respect de la parole donnée, de ne plus se représenter après 2014. Voilà plus de deux ans que colmarinfo.com bombarde le maire et ses adjoint(e)s de demandes répétées d'un tarif moins exorbitant, avec toujours la même réponse : « vous n'êtes pas obligé de prendre le macaron à 600 euros, vous pouvez aussi payer à l'horodateur ». Sympa, pour les habitants qui n'ont pas de garage. Mais aujourd'hui, tout arrive, notre cher maire est à l'écoute de ses concitoyens, désormais il est converti à la démocratie participative !

Moins de 1 euro, c'est quoi ? 0,99 ? 0,82 ? 0,49 ? Moins ?

Stéphanie Villemin, candidate LREM propose de diviser le coût du macaron par deux, soit 300 euros au lieu de 600. Ce qui représente 0,82 euros par jour. C'est encore trop et nous le lui avons fait savoir. Le tarif de la très grande majorité des villes (voir graphique) se situe sous la barre des 200 euros/an, des villes et non des moindres allant jusqu'à appliquer un tarif inférieur à 100 euros/an, Chartres et Amiens pratiquant la gratuité.

Près de chez nous, Strasbourg est à 180 euros, Mulhouse à 70.

Nous attendons avec impatience les propositions des autres candidats.

Et comme une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, les professionnels de santé que GM classe dans les nantis et qu'il n'a jamais daigné recevoir à la mairie, se voient octroyer la gratuité du macaron. Vive les élections !
Gilbert Meyer prétend défendre la culture et le patrimoine...

Le cinéma Colisée vendu au profit d’un vaste projet immobilier
L'ALSACE/DNA du 21/2/2020


cliquer ici ↴
https://www.lalsace.fr/edition-colmar-guebwiller/2020/02/21/video-le-cinema-colisee-vendu-au-profit-d-un-vaste-projet-immobilier


Photo L'ALSACE/Vanessa MEYER

21 février 2020

Concerts au Grillen

Aujourd'hui, cela fait 6 ans que nous accueillions Boulevard des Airs BDA et Claudio Capéo au Grillen à la Ville de Colmar. Ce concert réunissait - seulement - quelque 200 personnes, et quelle fierté pour nous de voir le chemin parcouru par ces artistes depuis et que de beaux moment partagés !

Cela nous rappelle aussi cette époque - certes difficile mais bien plus heureuse - où nous étions en mesure de vous proposer d'autres artistes qui ont aussi depuis effectué un parcours remarquable : Shaka Ponk, Bigflo et Oli, GiedRé, Brigitte, Mass Hysteria, TAGADA JONES (Officiel), Ultra Vomit, @nekfeu et S-Crew, Seth Gueko, Kaaris, MADBALL, Hatebreed, The Dillinger Escape Plan, Miossec, Davodka, Last Train, Jahneration, BROUSSAÏ, Little BIG, Leprous, KLONE, THE ARRS, Panda Dub, Rover, Eths et tant d'autres qui sont passés au Grillen avec LIVE !

Aujourd'hui - faute de politique lisible de la part de la Ville de Colmar mais aussi de moyens - cela n'est plus possible.

Aujourd'hui c'est toute une partie de la population dont les attentes ne sont plus prises en compte au Grillen et plus largement à Colmar.

Aujourd'hui c'est toute une partie de la création qui ne peut plus rencontrer le public et qui est pénalisé.

Aujourd'hui c'est une trentaine de concerts et entre 6000 à 8000 spectateurs de moins chaque année au Grillen.

Les élections municipales approchent.
Quels sont les projets des différents candidats pour les Musiques Actuelles et le Grillen à Colmar ?

Nous connaissons celui de Gilbert Meyer : il a réduit les subventions de l'association LIVE! - déjà bien maigres - de 18 000 € à 6 500 €, de 2015 à 2018, et n'a jamais donné suite à notre dernière demande de 2019, nous laissant ainsi avec des difficultés financières.

Quel avenir pour cette association qui à tant œuvré pour la collectivité ?

Parce qu'il en va de la diversité de l'offre culturelle et du bien-vivre à Colmar c'est un sujet qui est bien loin d'être anodin et qui nous concerne tous !

L'équipe de LIVE !

Tristan Denéchaud

Et si nous recréions la « Fête de la Choucroute » ? Pour en faire une fête à la fois conviviale et moderne 

👉 rappelant nos traditions mais tournée vers toutes les cultures ;
👉 mettant en valeur nos artisans, viticulteurs et agriculteurs ;
👉 rassemblant toutes les générations.

Ci-dessous, en septembre 1949, lors de la 1ère Fête de la Choucroute, place Rapp, sous un énorme chapiteau, mais aussi l’affiche de la Journées de la Choucroute 1954 et le chapiteau en 1968.

#ColmarPourTous #FaitesColmar #FêteColmar #ToiAussiProposeTaMesureChocPourColmar 😉

Et merci à Gilbert Gasche et Roland Forny pour ces souvenirs d’époque !



L’IRE

De l'imbécilité des chiffres ou de celle des journalistes ?

Le magazine le Point a mis à l’honneur la Ville de Colmar en la personne de son Maire Gilbert MEYER reprenant à son compte le palmarès de la fondation iFrap qui placerait Colmar en première place des villes les mieux gérées.

Si l’on en croit la nouvelle religion concernant la maîtrise des frais de fonctionnement au profit de l’autofinancement de l’investissement, alors oui, Colmar est bien gérée.

Si l’on regarde quels services ont été retreints ou sacrifiés pour atteindre ce résultat et la finalité des investissements, alors rien n’est moins sûr.

Quel est le bilan de Gilbert Meyer pour ce dernier mandat ? 1 500 nouvelles places de stationnement dans des parcs en ouvrage (de 13 000 à plus de 25 000 € la place) dans une ville qui n’en avait assurément pas besoin car déjà fortement pourvue.

D’une part le rapport fonctionnement/investissement est faussé : ces investissements auront un impact ultérieur non négligeable en fonctionnement tant en termes de remboursement d’emprunts que d’entretien et de surveillance.

D’autre part, leur opportunité pose question. En effet, nous laisserons à charge - y compris financière - des générations futures des ouvrages dont la destination est de faciliter l’utilisation de la voiture. Quel choix à l’heure où l’on sait que les carburants seront toujours plus rares ou plus chers ! Quel message à nos jeunes qui nous rappellent tous les jours à notre responsabilité face au désastre annoncé en matière de pollution et de réchauffement climatique !

(...) Que penser d’une Ville qui n’assume plus ses missions de service public ? Qui recourt, par le biais des services civils, au financement de l’Etat pour des postes d’animation dans les centres sociaux à défaut de les financer dans son budget. (...) Que penser d’un Maire qui accorde plus de soin au gardiennage des voitures qu’à l’éducation, aux valeurs de partage et à la réussite des enfants ? (...)

Alors Mesdames et Messieurs les journalistes du Point, penchez-vous plus sur ce que peuvent dire les chiffres, et mesurez un peu l’impact d’une analyse tronquée à la veille d’une élection.