« Un lien direct et sincère avec le président de la République : un vrai atout pour Colmar ! »
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18 février 2020
17 février 2020
Tristan Denéchaud
👉 Développer le sport pour TOUS sera notre priorité. Nous voulons offrir des équipements accessibles à tous et soutenir le sport pour l’ensemble des Colmariens indépendamment de leur âge et de leur condition physique. S’épanouir et développer les notions de partage, de bien-être et de performance, tels sont les enjeux portés par notre équipe pour Colmar :
✅ Davantage d’installations sportives accessibles au PUBLIC en heures creuses (terrains de foot, de basket, d’athlétisme, …) et davantage d’ouvertures nocturnes pour les piscines, la patinoire, …
✅ La création de parcours sportifs de proximité dans les quartiers (parcours de santé urbains)
✅ Une meilleure promotion des handi-sports, avec mise en relation plus directe entre les usagers et les associations
✅ La gratuité de Colmar Plage et une réduction de 50% pour les adhésions aux clubs associatifs, pour les possesseurs de notre future carte « Colmar tout-en-un » loisirs | sport | culture
✅ La création d’une licence sportive « sociale » pour les enfants de 4 à 16 ans, parmi une liste de sports éligibles
✅ Plus de transparence dans l’attribution des subventions aux associations et un accompagnement plus efficace de la Ville, en lien avec les fédérations
✅ La création d’un passeport « sports & loisirs », permettant d’aller à la rencontre de toutes les associations sportives durant un mois « portes-ouvertes »
✅ Le retour de la Fête du Sport, promotion animée de tous les sports pratiqués à Colmar, en proposant des initiations incitatives et gratuites
✅ Une refonte de la Soirée des Champions, pour en faire un véritable événement annuel dans le paysage colmarien, valorisant mieux les sportifs
👉 Développer le sport pour TOUS sera notre priorité. Nous voulons offrir des équipements accessibles à tous et soutenir le sport pour l’ensemble des Colmariens indépendamment de leur âge et de leur condition physique. S’épanouir et développer les notions de partage, de bien-être et de performance, tels sont les enjeux portés par notre équipe pour Colmar :
✅ Davantage d’installations sportives accessibles au PUBLIC en heures creuses (terrains de foot, de basket, d’athlétisme, …) et davantage d’ouvertures nocturnes pour les piscines, la patinoire, …
✅ La création de parcours sportifs de proximité dans les quartiers (parcours de santé urbains)
✅ Une meilleure promotion des handi-sports, avec mise en relation plus directe entre les usagers et les associations
✅ La gratuité de Colmar Plage et une réduction de 50% pour les adhésions aux clubs associatifs, pour les possesseurs de notre future carte « Colmar tout-en-un » loisirs | sport | culture
✅ La création d’une licence sportive « sociale » pour les enfants de 4 à 16 ans, parmi une liste de sports éligibles
✅ Plus de transparence dans l’attribution des subventions aux associations et un accompagnement plus efficace de la Ville, en lien avec les fédérations
✅ La création d’un passeport « sports & loisirs », permettant d’aller à la rencontre de toutes les associations sportives durant un mois « portes-ouvertes »
✅ Le retour de la Fête du Sport, promotion animée de tous les sports pratiqués à Colmar, en proposant des initiations incitatives et gratuites
✅ Une refonte de la Soirée des Champions, pour en faire un véritable événement annuel dans le paysage colmarien, valorisant mieux les sportifs
13 février 2020
Aides à la restauration scolaire
Tristan DENÉCHAUD
LE SAVIEZ-VOUS ?
Les parents ayant des enfants scolarisés en primaire, collège ou lycée peuvent bénéficier d’une aide financière de la commune, du département ou de la région afin de payer les factures de cantine. À Colmar, un fonds de solidarité spécifique existe déjà pour les écoles, le fonds social local (FSL), géré par le centre communal d'action sociale (CCAS) de Colmar, en lien avec Préalis (association pour la restauration et le périscolaire). D’autres aides spécifiques existent également pour les collèges et les lycées. N’hésitez jamais à vous adresser directement au secrétariat ou à l’assistante sociale de l’établissement de votre enfant.
+ d’infos ici :
LE SAVIEZ-VOUS ?
Les parents ayant des enfants scolarisés en primaire, collège ou lycée peuvent bénéficier d’une aide financière de la commune, du département ou de la région afin de payer les factures de cantine. À Colmar, un fonds de solidarité spécifique existe déjà pour les écoles, le fonds social local (FSL), géré par le centre communal d'action sociale (CCAS) de Colmar, en lien avec Préalis (association pour la restauration et le périscolaire). D’autres aides spécifiques existent également pour les collèges et les lycées. N’hésitez jamais à vous adresser directement au secrétariat ou à l’assistante sociale de l’établissement de votre enfant.
+ d’infos ici :
Stéphanie Villemin
Alors que la tempête Ciara commence à diminuer en intensité, je souhaite rendre hommage aux sapeurs-pompiers qui sont mobilisés depuis hier soir. Ce lundi matin 200 pompiers du SDIS 68 sont sur le terrain à notre service.
Ce sont les mêmes que certains agressent ou caillassent. Je souhaite recréer un lien fort entre les pompiers et les citoyens à commencer par la caserne de Colmar et nos écoles afin que que cette profession retrouve le respect que nous lui devons.
https://www.youtube.com/watch?v=VKPCBQm4cng&feature=youtu.be
Alors que la tempête Ciara commence à diminuer en intensité, je souhaite rendre hommage aux sapeurs-pompiers qui sont mobilisés depuis hier soir. Ce lundi matin 200 pompiers du SDIS 68 sont sur le terrain à notre service.
Ce sont les mêmes que certains agressent ou caillassent. Je souhaite recréer un lien fort entre les pompiers et les citoyens à commencer par la caserne de Colmar et nos écoles afin que que cette profession retrouve le respect que nous lui devons.
https://www.youtube.com/watch?v=VKPCBQm4cng&feature=youtu.be
12 février 2020
Tristan Denéchaud
Parce qu’il y a végétaliser et végétaliser.
S’oxygéner, procurer bien-être et fraîcheur, préserver la biodiversité et la qualité de l’air, être une source d’alimentation locale… Les actions de végétalisation sont autant de petits poumons verts pour nos quartiers, bénéfiques pour l’environnement, la qualité de vie, la santé des habitants et l’attractivité de la cité.
✅ Nous préserverons les espaces naturels, agricoles ou forestiers existants et limiterons l'imperméabilisation des sols par le recours à des matériaux plus respectueux de l'environnement.
✅ Nous recréerons des espaces verts, dans des endroits adaptés (pas des dalles de parking !) et en associant les habitants.
✅ Nous éradiquerons les produits phytosanitaires, avec des méthodes plus respectueuses de l’environnement (fauchage tardif, taille douce des arbres, récupération de l’eau de pluie, …).
✅ Nous impliquerons les citoyens en leur donnant l’autorisation de verdir les espaces publics, en mettant également en place de nouveaux jardins partagés, favorisant les circuits courts.
✅ Nous soutiendrons des expérimentations de cultures agricoles en milieu urbain (ferme urbaine, murs végétaux, productions maraîchères et ruches sur certains toits...).
✅ Nous mobiliserons les jeunes en installant dans les écoles des potagers pédagogiques et espaces d’observation de la biodiversité.
✅ Nous inciterons les aménageurs et promoteurs à prévoir un quota important d’espaces verts dans tout projet immobilier d’habitation ou de commerce. La mesure sera appliquée par instauration d’un cahier des charges dédié.
👉 Nous sommes convaincus qu’il est dès maintenant nécessaire d'adapter l’urbanisme aux conséquences du réchauffement climatique. Vraies pistes cyclables, liaisons douces, réaménagement des trottoirs, … D’autres mesures suivront prochainement pour faire enfin de Colmar un modèle écologique !
Parce qu’il y a végétaliser et végétaliser.
S’oxygéner, procurer bien-être et fraîcheur, préserver la biodiversité et la qualité de l’air, être une source d’alimentation locale… Les actions de végétalisation sont autant de petits poumons verts pour nos quartiers, bénéfiques pour l’environnement, la qualité de vie, la santé des habitants et l’attractivité de la cité.
✅ Nous préserverons les espaces naturels, agricoles ou forestiers existants et limiterons l'imperméabilisation des sols par le recours à des matériaux plus respectueux de l'environnement.
✅ Nous recréerons des espaces verts, dans des endroits adaptés (pas des dalles de parking !) et en associant les habitants.
✅ Nous éradiquerons les produits phytosanitaires, avec des méthodes plus respectueuses de l’environnement (fauchage tardif, taille douce des arbres, récupération de l’eau de pluie, …).
✅ Nous impliquerons les citoyens en leur donnant l’autorisation de verdir les espaces publics, en mettant également en place de nouveaux jardins partagés, favorisant les circuits courts.
✅ Nous soutiendrons des expérimentations de cultures agricoles en milieu urbain (ferme urbaine, murs végétaux, productions maraîchères et ruches sur certains toits...).
✅ Nous mobiliserons les jeunes en installant dans les écoles des potagers pédagogiques et espaces d’observation de la biodiversité.
✅ Nous inciterons les aménageurs et promoteurs à prévoir un quota important d’espaces verts dans tout projet immobilier d’habitation ou de commerce. La mesure sera appliquée par instauration d’un cahier des charges dédié.
👉 Nous sommes convaincus qu’il est dès maintenant nécessaire d'adapter l’urbanisme aux conséquences du réchauffement climatique. Vraies pistes cyclables, liaisons douces, réaménagement des trottoirs, … D’autres mesures suivront prochainement pour faire enfin de Colmar un modèle écologique !
Dominique Renger
[Tristan Denéchaud]
Elle s’appelle Dominique Renger et c’est une femme en or. Elle est actuellement déléguée départementale aux droits des femmes et à l’égalité et sera colistière de "Colmar pour tous". Énergie, conviction, patience sont ses maîtres-mots.
« Lutter pour les droits des femmes, c’est bien pour tout le monde, pas seulement pour les femmes, pour les hommes aussi, pour la société, pour l’équilibre social. Lutter pour les droits des femmes, c’est lutter pour les droits de TOUS. »
👉 Retrouvez ici son "Portrait L’Alsace - DNA" de la semaine :
https://www.lalsace.fr/edition-colmar-guebwiller/2020/02/10/dominique-renger-veut-liberer-tout-le-monde
Photo L'ALSACE - Vanessa MEYER |
Elle s’appelle Dominique Renger et c’est une femme en or. Elle est actuellement déléguée départementale aux droits des femmes et à l’égalité et sera colistière de "Colmar pour tous". Énergie, conviction, patience sont ses maîtres-mots.
« Lutter pour les droits des femmes, c’est bien pour tout le monde, pas seulement pour les femmes, pour les hommes aussi, pour la société, pour l’équilibre social. Lutter pour les droits des femmes, c’est lutter pour les droits de TOUS. »
👉 Retrouvez ici son "Portrait L’Alsace - DNA" de la semaine :
https://www.lalsace.fr/edition-colmar-guebwiller/2020/02/10/dominique-renger-veut-liberer-tout-le-monde
11 février 2020
Le maire et les agents municipaux
Tristan Denéchaud
On l'oublie parfois un peu, mais le maire, outre ses fonctions politiques et de représentant de l'État, est aussi, en tant qu'exécutif municipal, le "patron" des agents municipaux.
Or, n'a-t-on pas coutume de dire que "le poisson pourrit par la tête" ?
En l'occurrence, à la mairie de Colmar, la tête est bien malade, et cela ne s'arrange pas. Il n'y a pas un jour sans que je n'entende parler de la chape de plomb qui pèse aujourd'hui sur les agents, avec une démotivation et un mal-être ressenti par de plus en plus d'entre eux.
J'ai dans mon équipe plusieurs agents territoriaux et des spécialistes des collectivités territoriales et du management public. Et je suis moi-même cadre territorial dans une commune. Or, lorsque nous analysons la gestion des ressources humaines menée à Colmar, nous avons l'impression, comme dans presque tous les autres domaines, que rien n'a changé depuis les années 1990. Le management est resté cantonné à de la gestion, essentiellement sous l'angle financier, l'aspect humain étant relégué au second plan. Le maire décide, et les agents exécutent; point final.
La Ville et l'Agglomération en tant qu'employeurs doivent changer de "logiciel". Le dialogue avec les représentants doit être rétabli et se faire dans la confiance. Une administration est une organisation hiérarchisée, certes, mais chacun-e doit pouvoir s'exprimer et faire remonter les problèmes qu'il/elle rencontre sans craindre d'être pénalisée pour cela. Lorsqu'une anomalie est signalée, ce n'est pas le messager qui doit en être tenu responsable.
Si vous nous faites confiance les 15 et 22 mars, nous mettrons fin à cette gestion devenue caricaturale, pour passer à un management public du XXIe siècle. Une organisation dans laquelle chacun a toujours un rôle bien défini selon l'organigramme, mais participe à une vraie co-construction entre les élus, les cadres et tous les agents, au service de la collectivité et de l'intérêt général. Il s'agit de redonner du sens aux missions de chacun, tout simplement. Les agents municipaux ne sont pas qu'une charge financière. Ils sont avant tout une richesse humaine et un vivier de compétences qui ne demandent qu'à être mieux reconnues. Se vanter de comprimer toujours plus ces moyens, c'est clairement faire l'aveu que l'on fait chaque jour régresser le service public à Colmar.
Quant à la prime d'assiduité telle qu'elle est conçue aujourd'hui, elle sera supprimée pour la remplacer par un CIA (complément indemnitaire annuel) complet et plus équitable, dans l'esprit du RIFSEEP (nouveau régime indemnitaire des agents publics) qui prend en compte l'expérience, l'implication générale, le savoir-être, etc. et ne doit pas être "à la tête du client", en fonction du niveau de docilité. C'est un chantier important que j'ai piloté avec succès dans le cadre de mes missions professionnelles, et que je suis à même d'impulser à Colmar, main dans la main avec la Direction générale des Services et la Direction des Ressources humaines.
On l'oublie parfois un peu, mais le maire, outre ses fonctions politiques et de représentant de l'État, est aussi, en tant qu'exécutif municipal, le "patron" des agents municipaux.
Or, n'a-t-on pas coutume de dire que "le poisson pourrit par la tête" ?
En l'occurrence, à la mairie de Colmar, la tête est bien malade, et cela ne s'arrange pas. Il n'y a pas un jour sans que je n'entende parler de la chape de plomb qui pèse aujourd'hui sur les agents, avec une démotivation et un mal-être ressenti par de plus en plus d'entre eux.
J'ai dans mon équipe plusieurs agents territoriaux et des spécialistes des collectivités territoriales et du management public. Et je suis moi-même cadre territorial dans une commune. Or, lorsque nous analysons la gestion des ressources humaines menée à Colmar, nous avons l'impression, comme dans presque tous les autres domaines, que rien n'a changé depuis les années 1990. Le management est resté cantonné à de la gestion, essentiellement sous l'angle financier, l'aspect humain étant relégué au second plan. Le maire décide, et les agents exécutent; point final.
La Ville et l'Agglomération en tant qu'employeurs doivent changer de "logiciel". Le dialogue avec les représentants doit être rétabli et se faire dans la confiance. Une administration est une organisation hiérarchisée, certes, mais chacun-e doit pouvoir s'exprimer et faire remonter les problèmes qu'il/elle rencontre sans craindre d'être pénalisée pour cela. Lorsqu'une anomalie est signalée, ce n'est pas le messager qui doit en être tenu responsable.
Si vous nous faites confiance les 15 et 22 mars, nous mettrons fin à cette gestion devenue caricaturale, pour passer à un management public du XXIe siècle. Une organisation dans laquelle chacun a toujours un rôle bien défini selon l'organigramme, mais participe à une vraie co-construction entre les élus, les cadres et tous les agents, au service de la collectivité et de l'intérêt général. Il s'agit de redonner du sens aux missions de chacun, tout simplement. Les agents municipaux ne sont pas qu'une charge financière. Ils sont avant tout une richesse humaine et un vivier de compétences qui ne demandent qu'à être mieux reconnues. Se vanter de comprimer toujours plus ces moyens, c'est clairement faire l'aveu que l'on fait chaque jour régresser le service public à Colmar.
Quant à la prime d'assiduité telle qu'elle est conçue aujourd'hui, elle sera supprimée pour la remplacer par un CIA (complément indemnitaire annuel) complet et plus équitable, dans l'esprit du RIFSEEP (nouveau régime indemnitaire des agents publics) qui prend en compte l'expérience, l'implication générale, le savoir-être, etc. et ne doit pas être "à la tête du client", en fonction du niveau de docilité. C'est un chantier important que j'ai piloté avec succès dans le cadre de mes missions professionnelles, et que je suis à même d'impulser à Colmar, main dans la main avec la Direction générale des Services et la Direction des Ressources humaines.
SAS Future prison rue d'Agen à Colmar
Jeudi 13 février prochain, les élus de Colmar Agglomération devront à nouveau voter pour la cession de la friche de la rue d’Agen afin de la vendre (ou non) au Ministère de la Justice.
Suite au vote d’octobre dernier, plusieurs élus nous ont dit avoir été pris au dépourvu, avoir voté sans savoir…
Alors, pour ne pas reproduire cette situation la semaine prochaine, voici toutes les informations émanant des services pénitentiaires et de l’APIJ (Agence Pour l’Immobilier de la Justice) qui nous ont été transmises lors d’une réunion en mairie le 24 janvier dernier.
La structure accueillera 90 détenus permanents (qui bénéficieront d’autorisations de sortie, comme ceux de l’actuelle prison de la rue des Augustins), 20 en semi-liberté et 10 détenus en quartier maison d’arrêt (période de leur jugement aux différents tribunaux locaux dont les assises).
Seront concernées des personnes condamnées à des délits d’un an maximum qui auront obligatoirement fait un séjour préalable en maison d’arrêt. Il y aura un contrat moral entre l’administration pénitentiaire et ces détenus, ceux-ci étant choisis pour leur bon comportement et surtout leur capacité à se réinsérer facilement dans la société.
La SAS sera entourée d’espaces verts, distante d’au moins 25 mètres des habitations et comportera un rez-de-chaussée, deux étages et des mansardes (en tout 5000 m2). Ses ouvrants seront tournés au maximum vers l’intérieur de la structure.
Le personnel sera constitué de 65 personnes : surveillants, personnels administratifs, de réinsertion et de direction. Bien sûr pas 65 en même temps, puisqu’il y aura une alternance entre différentes équipes travaillant de journée, de nuit, le week-end…Chaque conseiller encadrera 30 détenus.
Alors pourquoi les riverains de ce bel outil de réinsertion seraient toujours opposés à cette structure ? Des jamais contents ? Des craintifs ?
Non, tout simplement, nous voulons mieux pour notre quartier !
Nous voulons des habitations raisonnées (et pas des logements sociaux à outrance), des maisons, des enfants, des espaces verts, des entreprises artisanales, pourquoi pas un magasin de proximité type petit magasin bio…
Nous pensons que la proximité du SPIP et de Pôle Emploi est un leurre : de toute façon peu de détenus sortiront de la structure alors que différents intervenants extérieurs y viendront pour préparer de manière active leur sortie et leur réinsertion.
Nous souhaitons également que ce terrain ne reste pas une friche pendant encore 15 ans : à Colmar Agglomération de trouver un terrain adéquat pour les gens du voyage qui l’occupent de temps en temps faute d’avoir de vrais terrains qui leur soient dévolus.
Bien sûr que Colmar a besoin de maintenir son pôle judiciaire et de le renforcer par l’installation de la SAS. Mais, la proximité du centre ville (il suffit de voir le stationnement dans la rue d’Agen au mois de décembre) n’est pas une condition pour ces structures : l’essentiel c’est qu’elles soient en agglomération (cf. plan pénitentiaire du ministère de la Justice présenté au conseil des ministres le 12 septembre 2018).
De ce fait, que la SAS soit en zone industrielle (ou dans la périphérie urbaine) ne changerait pas grand-chose à partir du moment où le site serait desservi par une ligne de transports en commun.
Nous pensons que le risque zéro n’existe pas (actuellement le taux de récidive avoisinerait les 61 % ; 34 % en cas de travaux d’intérêt généraux), même s’il n’y aurait apparemment aucun problème actuellement rue des Augustins. La différence, c’est que notre quartier est plus résidentiel que le centre ville (avec certes des immeubles, mais aussi des maisons avec jardins), que nos enfants y circulent et s’y forment (CFA), que beaucoup de nos anciens y vivent sereinement et craignent des agressions dans la rue voire chez eux !
Alors, chers élus de Colmar Agglomération, vous qui voterez le 13 février prochain, vous avez les cartes en mains pour dessiner l’avenir du quartier Nord de Colmar (même si vous n’êtes pas Colmarien) : nous avons confiance en votre clairvoyance et votre engagement pour l’agglomération !
Cordialement.
Suite au vote d’octobre dernier, plusieurs élus nous ont dit avoir été pris au dépourvu, avoir voté sans savoir…
Alors, pour ne pas reproduire cette situation la semaine prochaine, voici toutes les informations émanant des services pénitentiaires et de l’APIJ (Agence Pour l’Immobilier de la Justice) qui nous ont été transmises lors d’une réunion en mairie le 24 janvier dernier.
La structure accueillera 90 détenus permanents (qui bénéficieront d’autorisations de sortie, comme ceux de l’actuelle prison de la rue des Augustins), 20 en semi-liberté et 10 détenus en quartier maison d’arrêt (période de leur jugement aux différents tribunaux locaux dont les assises).
Seront concernées des personnes condamnées à des délits d’un an maximum qui auront obligatoirement fait un séjour préalable en maison d’arrêt. Il y aura un contrat moral entre l’administration pénitentiaire et ces détenus, ceux-ci étant choisis pour leur bon comportement et surtout leur capacité à se réinsérer facilement dans la société.
La SAS sera entourée d’espaces verts, distante d’au moins 25 mètres des habitations et comportera un rez-de-chaussée, deux étages et des mansardes (en tout 5000 m2). Ses ouvrants seront tournés au maximum vers l’intérieur de la structure.
Le personnel sera constitué de 65 personnes : surveillants, personnels administratifs, de réinsertion et de direction. Bien sûr pas 65 en même temps, puisqu’il y aura une alternance entre différentes équipes travaillant de journée, de nuit, le week-end…Chaque conseiller encadrera 30 détenus.
Alors pourquoi les riverains de ce bel outil de réinsertion seraient toujours opposés à cette structure ? Des jamais contents ? Des craintifs ?
Non, tout simplement, nous voulons mieux pour notre quartier !
Nous voulons des habitations raisonnées (et pas des logements sociaux à outrance), des maisons, des enfants, des espaces verts, des entreprises artisanales, pourquoi pas un magasin de proximité type petit magasin bio…
Nous pensons que la proximité du SPIP et de Pôle Emploi est un leurre : de toute façon peu de détenus sortiront de la structure alors que différents intervenants extérieurs y viendront pour préparer de manière active leur sortie et leur réinsertion.
Nous souhaitons également que ce terrain ne reste pas une friche pendant encore 15 ans : à Colmar Agglomération de trouver un terrain adéquat pour les gens du voyage qui l’occupent de temps en temps faute d’avoir de vrais terrains qui leur soient dévolus.
Bien sûr que Colmar a besoin de maintenir son pôle judiciaire et de le renforcer par l’installation de la SAS. Mais, la proximité du centre ville (il suffit de voir le stationnement dans la rue d’Agen au mois de décembre) n’est pas une condition pour ces structures : l’essentiel c’est qu’elles soient en agglomération (cf. plan pénitentiaire du ministère de la Justice présenté au conseil des ministres le 12 septembre 2018).
De ce fait, que la SAS soit en zone industrielle (ou dans la périphérie urbaine) ne changerait pas grand-chose à partir du moment où le site serait desservi par une ligne de transports en commun.
Nous pensons que le risque zéro n’existe pas (actuellement le taux de récidive avoisinerait les 61 % ; 34 % en cas de travaux d’intérêt généraux), même s’il n’y aurait apparemment aucun problème actuellement rue des Augustins. La différence, c’est que notre quartier est plus résidentiel que le centre ville (avec certes des immeubles, mais aussi des maisons avec jardins), que nos enfants y circulent et s’y forment (CFA), que beaucoup de nos anciens y vivent sereinement et craignent des agressions dans la rue voire chez eux !
Alors, chers élus de Colmar Agglomération, vous qui voterez le 13 février prochain, vous avez les cartes en mains pour dessiner l’avenir du quartier Nord de Colmar (même si vous n’êtes pas Colmarien) : nous avons confiance en votre clairvoyance et votre engagement pour l’agglomération !
Cordialement.
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