« Le changement dans la continuité » : le nouveau slogan de campagne du ticket sortant. C'est-à-dire la « pérennité » d'un style de gouvernance honni par la majorité des Colmariens, agrémenté de quelques bricolages pour se mettre au vert (dommage qu'il ne le fasse pas réellement !) ou en copié-collé des bonnes mesures des concurrents qui ont le courage d'afficher leur programme sans garder en réserve la mesure démagogique de dernière minute. Qui pourrait se laisser abuser par cette notoriété et ces classements sans grande valeur ? Qui pourrait se laisser prendre au piège de ce renouvellement de façade où ne disparaissent que les partisans du traître... qui lui, refait allégeance ? Qui pourrait accorder sa confiance à un candidat parjure, assassin d'un rival jugé trop petit pour le costume avant de le « ramasser » à la dernière minute pour remplir les urnes en sa faveur ? Qui peut envisager que ceux qui, pour changer, s'apprêtaient à voter Hemedinger pourraient demain renier leur choix et comme des toutous suivre leur tête de liste éphémère dans sa trahison ? C'est vraiment accorder peu de considération aux électeurs que de les croire si versatiles. Tombé de son piédestal au socle d'argile, le soit-disant commandeur ne peut plus pavaner mais doit, pour gagner, s'allier à tout et n'importe quoi, même à ceux qui le trahissent !
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17 février 2020
Bernard Friedrich
« Le changement dans la continuité » : le nouveau slogan de campagne du ticket sortant. C'est-à-dire la « pérennité » d'un style de gouvernance honni par la majorité des Colmariens, agrémenté de quelques bricolages pour se mettre au vert (dommage qu'il ne le fasse pas réellement !) ou en copié-collé des bonnes mesures des concurrents qui ont le courage d'afficher leur programme sans garder en réserve la mesure démagogique de dernière minute. Qui pourrait se laisser abuser par cette notoriété et ces classements sans grande valeur ? Qui pourrait se laisser prendre au piège de ce renouvellement de façade où ne disparaissent que les partisans du traître... qui lui, refait allégeance ? Qui pourrait accorder sa confiance à un candidat parjure, assassin d'un rival jugé trop petit pour le costume avant de le « ramasser » à la dernière minute pour remplir les urnes en sa faveur ? Qui peut envisager que ceux qui, pour changer, s'apprêtaient à voter Hemedinger pourraient demain renier leur choix et comme des toutous suivre leur tête de liste éphémère dans sa trahison ? C'est vraiment accorder peu de considération aux électeurs que de les croire si versatiles. Tombé de son piédestal au socle d'argile, le soit-disant commandeur ne peut plus pavaner mais doit, pour gagner, s'allier à tout et n'importe quoi, même à ceux qui le trahissent !
« Le changement dans la continuité » : le nouveau slogan de campagne du ticket sortant. C'est-à-dire la « pérennité » d'un style de gouvernance honni par la majorité des Colmariens, agrémenté de quelques bricolages pour se mettre au vert (dommage qu'il ne le fasse pas réellement !) ou en copié-collé des bonnes mesures des concurrents qui ont le courage d'afficher leur programme sans garder en réserve la mesure démagogique de dernière minute. Qui pourrait se laisser abuser par cette notoriété et ces classements sans grande valeur ? Qui pourrait se laisser prendre au piège de ce renouvellement de façade où ne disparaissent que les partisans du traître... qui lui, refait allégeance ? Qui pourrait accorder sa confiance à un candidat parjure, assassin d'un rival jugé trop petit pour le costume avant de le « ramasser » à la dernière minute pour remplir les urnes en sa faveur ? Qui peut envisager que ceux qui, pour changer, s'apprêtaient à voter Hemedinger pourraient demain renier leur choix et comme des toutous suivre leur tête de liste éphémère dans sa trahison ? C'est vraiment accorder peu de considération aux électeurs que de les croire si versatiles. Tombé de son piédestal au socle d'argile, le soit-disant commandeur ne peut plus pavaner mais doit, pour gagner, s'allier à tout et n'importe quoi, même à ceux qui le trahissent !
13 février 2020
Aides à la restauration scolaire
Tristan DENÉCHAUD
LE SAVIEZ-VOUS ?
Les parents ayant des enfants scolarisés en primaire, collège ou lycée peuvent bénéficier d’une aide financière de la commune, du département ou de la région afin de payer les factures de cantine. À Colmar, un fonds de solidarité spécifique existe déjà pour les écoles, le fonds social local (FSL), géré par le centre communal d'action sociale (CCAS) de Colmar, en lien avec Préalis (association pour la restauration et le périscolaire). D’autres aides spécifiques existent également pour les collèges et les lycées. N’hésitez jamais à vous adresser directement au secrétariat ou à l’assistante sociale de l’établissement de votre enfant.
+ d’infos ici :
LE SAVIEZ-VOUS ?
Les parents ayant des enfants scolarisés en primaire, collège ou lycée peuvent bénéficier d’une aide financière de la commune, du département ou de la région afin de payer les factures de cantine. À Colmar, un fonds de solidarité spécifique existe déjà pour les écoles, le fonds social local (FSL), géré par le centre communal d'action sociale (CCAS) de Colmar, en lien avec Préalis (association pour la restauration et le périscolaire). D’autres aides spécifiques existent également pour les collèges et les lycées. N’hésitez jamais à vous adresser directement au secrétariat ou à l’assistante sociale de l’établissement de votre enfant.
+ d’infos ici :
Stéphanie Villemin
Alors que la tempête Ciara commence à diminuer en intensité, je souhaite rendre hommage aux sapeurs-pompiers qui sont mobilisés depuis hier soir. Ce lundi matin 200 pompiers du SDIS 68 sont sur le terrain à notre service.
Ce sont les mêmes que certains agressent ou caillassent. Je souhaite recréer un lien fort entre les pompiers et les citoyens à commencer par la caserne de Colmar et nos écoles afin que que cette profession retrouve le respect que nous lui devons.
https://www.youtube.com/watch?v=VKPCBQm4cng&feature=youtu.be
Alors que la tempête Ciara commence à diminuer en intensité, je souhaite rendre hommage aux sapeurs-pompiers qui sont mobilisés depuis hier soir. Ce lundi matin 200 pompiers du SDIS 68 sont sur le terrain à notre service.
Ce sont les mêmes que certains agressent ou caillassent. Je souhaite recréer un lien fort entre les pompiers et les citoyens à commencer par la caserne de Colmar et nos écoles afin que que cette profession retrouve le respect que nous lui devons.
https://www.youtube.com/watch?v=VKPCBQm4cng&feature=youtu.be
12 février 2020
Bernard Friedrich
Tristan Denéchaud
Parce qu’il y a végétaliser et végétaliser.
S’oxygéner, procurer bien-être et fraîcheur, préserver la biodiversité et la qualité de l’air, être une source d’alimentation locale… Les actions de végétalisation sont autant de petits poumons verts pour nos quartiers, bénéfiques pour l’environnement, la qualité de vie, la santé des habitants et l’attractivité de la cité.
✅ Nous préserverons les espaces naturels, agricoles ou forestiers existants et limiterons l'imperméabilisation des sols par le recours à des matériaux plus respectueux de l'environnement.
✅ Nous recréerons des espaces verts, dans des endroits adaptés (pas des dalles de parking !) et en associant les habitants.
✅ Nous éradiquerons les produits phytosanitaires, avec des méthodes plus respectueuses de l’environnement (fauchage tardif, taille douce des arbres, récupération de l’eau de pluie, …).
✅ Nous impliquerons les citoyens en leur donnant l’autorisation de verdir les espaces publics, en mettant également en place de nouveaux jardins partagés, favorisant les circuits courts.
✅ Nous soutiendrons des expérimentations de cultures agricoles en milieu urbain (ferme urbaine, murs végétaux, productions maraîchères et ruches sur certains toits...).
✅ Nous mobiliserons les jeunes en installant dans les écoles des potagers pédagogiques et espaces d’observation de la biodiversité.
✅ Nous inciterons les aménageurs et promoteurs à prévoir un quota important d’espaces verts dans tout projet immobilier d’habitation ou de commerce. La mesure sera appliquée par instauration d’un cahier des charges dédié.
👉 Nous sommes convaincus qu’il est dès maintenant nécessaire d'adapter l’urbanisme aux conséquences du réchauffement climatique. Vraies pistes cyclables, liaisons douces, réaménagement des trottoirs, … D’autres mesures suivront prochainement pour faire enfin de Colmar un modèle écologique !
Parce qu’il y a végétaliser et végétaliser.
S’oxygéner, procurer bien-être et fraîcheur, préserver la biodiversité et la qualité de l’air, être une source d’alimentation locale… Les actions de végétalisation sont autant de petits poumons verts pour nos quartiers, bénéfiques pour l’environnement, la qualité de vie, la santé des habitants et l’attractivité de la cité.
✅ Nous préserverons les espaces naturels, agricoles ou forestiers existants et limiterons l'imperméabilisation des sols par le recours à des matériaux plus respectueux de l'environnement.
✅ Nous recréerons des espaces verts, dans des endroits adaptés (pas des dalles de parking !) et en associant les habitants.
✅ Nous éradiquerons les produits phytosanitaires, avec des méthodes plus respectueuses de l’environnement (fauchage tardif, taille douce des arbres, récupération de l’eau de pluie, …).
✅ Nous impliquerons les citoyens en leur donnant l’autorisation de verdir les espaces publics, en mettant également en place de nouveaux jardins partagés, favorisant les circuits courts.
✅ Nous soutiendrons des expérimentations de cultures agricoles en milieu urbain (ferme urbaine, murs végétaux, productions maraîchères et ruches sur certains toits...).
✅ Nous mobiliserons les jeunes en installant dans les écoles des potagers pédagogiques et espaces d’observation de la biodiversité.
✅ Nous inciterons les aménageurs et promoteurs à prévoir un quota important d’espaces verts dans tout projet immobilier d’habitation ou de commerce. La mesure sera appliquée par instauration d’un cahier des charges dédié.
👉 Nous sommes convaincus qu’il est dès maintenant nécessaire d'adapter l’urbanisme aux conséquences du réchauffement climatique. Vraies pistes cyclables, liaisons douces, réaménagement des trottoirs, … D’autres mesures suivront prochainement pour faire enfin de Colmar un modèle écologique !
Dominique Renger
[Tristan Denéchaud]
Elle s’appelle Dominique Renger et c’est une femme en or. Elle est actuellement déléguée départementale aux droits des femmes et à l’égalité et sera colistière de "Colmar pour tous". Énergie, conviction, patience sont ses maîtres-mots.
« Lutter pour les droits des femmes, c’est bien pour tout le monde, pas seulement pour les femmes, pour les hommes aussi, pour la société, pour l’équilibre social. Lutter pour les droits des femmes, c’est lutter pour les droits de TOUS. »
👉 Retrouvez ici son "Portrait L’Alsace - DNA" de la semaine :
https://www.lalsace.fr/edition-colmar-guebwiller/2020/02/10/dominique-renger-veut-liberer-tout-le-monde
Photo L'ALSACE - Vanessa MEYER |
Elle s’appelle Dominique Renger et c’est une femme en or. Elle est actuellement déléguée départementale aux droits des femmes et à l’égalité et sera colistière de "Colmar pour tous". Énergie, conviction, patience sont ses maîtres-mots.
« Lutter pour les droits des femmes, c’est bien pour tout le monde, pas seulement pour les femmes, pour les hommes aussi, pour la société, pour l’équilibre social. Lutter pour les droits des femmes, c’est lutter pour les droits de TOUS. »
👉 Retrouvez ici son "Portrait L’Alsace - DNA" de la semaine :
https://www.lalsace.fr/edition-colmar-guebwiller/2020/02/10/dominique-renger-veut-liberer-tout-le-monde
[Municipales]
Mais où est Yves Hemedinger sur l'affiche ? Certains répondront : "en dessous, à genoux".
Mais au fait, Yves Hemedinger n'avait-il pas été taxé « d’impréparation » et de « précipitation » par son soi-disant mentor Gilbert Meyer ? « L’habit risque d’être trop grand pour lui » disait-il, pour qui « une frénésie intempestive » risquait d’être « sanctionnée par l’opinion »…
Bravo les gars ! Continuez ainsi !
Tomi
11 février 2020
Le maire et les agents municipaux
Tristan Denéchaud
On l'oublie parfois un peu, mais le maire, outre ses fonctions politiques et de représentant de l'État, est aussi, en tant qu'exécutif municipal, le "patron" des agents municipaux.
Or, n'a-t-on pas coutume de dire que "le poisson pourrit par la tête" ?
En l'occurrence, à la mairie de Colmar, la tête est bien malade, et cela ne s'arrange pas. Il n'y a pas un jour sans que je n'entende parler de la chape de plomb qui pèse aujourd'hui sur les agents, avec une démotivation et un mal-être ressenti par de plus en plus d'entre eux.
J'ai dans mon équipe plusieurs agents territoriaux et des spécialistes des collectivités territoriales et du management public. Et je suis moi-même cadre territorial dans une commune. Or, lorsque nous analysons la gestion des ressources humaines menée à Colmar, nous avons l'impression, comme dans presque tous les autres domaines, que rien n'a changé depuis les années 1990. Le management est resté cantonné à de la gestion, essentiellement sous l'angle financier, l'aspect humain étant relégué au second plan. Le maire décide, et les agents exécutent; point final.
La Ville et l'Agglomération en tant qu'employeurs doivent changer de "logiciel". Le dialogue avec les représentants doit être rétabli et se faire dans la confiance. Une administration est une organisation hiérarchisée, certes, mais chacun-e doit pouvoir s'exprimer et faire remonter les problèmes qu'il/elle rencontre sans craindre d'être pénalisée pour cela. Lorsqu'une anomalie est signalée, ce n'est pas le messager qui doit en être tenu responsable.
Si vous nous faites confiance les 15 et 22 mars, nous mettrons fin à cette gestion devenue caricaturale, pour passer à un management public du XXIe siècle. Une organisation dans laquelle chacun a toujours un rôle bien défini selon l'organigramme, mais participe à une vraie co-construction entre les élus, les cadres et tous les agents, au service de la collectivité et de l'intérêt général. Il s'agit de redonner du sens aux missions de chacun, tout simplement. Les agents municipaux ne sont pas qu'une charge financière. Ils sont avant tout une richesse humaine et un vivier de compétences qui ne demandent qu'à être mieux reconnues. Se vanter de comprimer toujours plus ces moyens, c'est clairement faire l'aveu que l'on fait chaque jour régresser le service public à Colmar.
Quant à la prime d'assiduité telle qu'elle est conçue aujourd'hui, elle sera supprimée pour la remplacer par un CIA (complément indemnitaire annuel) complet et plus équitable, dans l'esprit du RIFSEEP (nouveau régime indemnitaire des agents publics) qui prend en compte l'expérience, l'implication générale, le savoir-être, etc. et ne doit pas être "à la tête du client", en fonction du niveau de docilité. C'est un chantier important que j'ai piloté avec succès dans le cadre de mes missions professionnelles, et que je suis à même d'impulser à Colmar, main dans la main avec la Direction générale des Services et la Direction des Ressources humaines.
On l'oublie parfois un peu, mais le maire, outre ses fonctions politiques et de représentant de l'État, est aussi, en tant qu'exécutif municipal, le "patron" des agents municipaux.
Or, n'a-t-on pas coutume de dire que "le poisson pourrit par la tête" ?
En l'occurrence, à la mairie de Colmar, la tête est bien malade, et cela ne s'arrange pas. Il n'y a pas un jour sans que je n'entende parler de la chape de plomb qui pèse aujourd'hui sur les agents, avec une démotivation et un mal-être ressenti par de plus en plus d'entre eux.
J'ai dans mon équipe plusieurs agents territoriaux et des spécialistes des collectivités territoriales et du management public. Et je suis moi-même cadre territorial dans une commune. Or, lorsque nous analysons la gestion des ressources humaines menée à Colmar, nous avons l'impression, comme dans presque tous les autres domaines, que rien n'a changé depuis les années 1990. Le management est resté cantonné à de la gestion, essentiellement sous l'angle financier, l'aspect humain étant relégué au second plan. Le maire décide, et les agents exécutent; point final.
La Ville et l'Agglomération en tant qu'employeurs doivent changer de "logiciel". Le dialogue avec les représentants doit être rétabli et se faire dans la confiance. Une administration est une organisation hiérarchisée, certes, mais chacun-e doit pouvoir s'exprimer et faire remonter les problèmes qu'il/elle rencontre sans craindre d'être pénalisée pour cela. Lorsqu'une anomalie est signalée, ce n'est pas le messager qui doit en être tenu responsable.
Si vous nous faites confiance les 15 et 22 mars, nous mettrons fin à cette gestion devenue caricaturale, pour passer à un management public du XXIe siècle. Une organisation dans laquelle chacun a toujours un rôle bien défini selon l'organigramme, mais participe à une vraie co-construction entre les élus, les cadres et tous les agents, au service de la collectivité et de l'intérêt général. Il s'agit de redonner du sens aux missions de chacun, tout simplement. Les agents municipaux ne sont pas qu'une charge financière. Ils sont avant tout une richesse humaine et un vivier de compétences qui ne demandent qu'à être mieux reconnues. Se vanter de comprimer toujours plus ces moyens, c'est clairement faire l'aveu que l'on fait chaque jour régresser le service public à Colmar.
Quant à la prime d'assiduité telle qu'elle est conçue aujourd'hui, elle sera supprimée pour la remplacer par un CIA (complément indemnitaire annuel) complet et plus équitable, dans l'esprit du RIFSEEP (nouveau régime indemnitaire des agents publics) qui prend en compte l'expérience, l'implication générale, le savoir-être, etc. et ne doit pas être "à la tête du client", en fonction du niveau de docilité. C'est un chantier important que j'ai piloté avec succès dans le cadre de mes missions professionnelles, et que je suis à même d'impulser à Colmar, main dans la main avec la Direction générale des Services et la Direction des Ressources humaines.
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