Translate

16 septembre 2019

« Meurtres à Colmar »

Michel Naudo

Hier soir j’ai regardé sur France 3 « Meurtres à Colmar » car j’ai vécu 17 ans dans cette ville, de 1980 à 1997. L’intrigue était assez quelconque avec quelques invraisemblances dans le scénario mais les images de Colmar étaient superbes et peuvent très certainement donner envie à ceux qui ne connaissent pas, d’y venir.
Un point cependant m’a choqué à posteriori car je ne l’avais même pas noté sur le moment (je souhaite que beaucoup soient dans ce cas de n’avoir rien vu). À deux reprises dans les scènes finales, le focus est mis sur un journal qui n’existe pas et qui s’appelle « Grand-Est » !!!
Il y a en Alsace deux journaux régionaux qui sont les « Dernières Nouvelles d’Alsace » et « L’Alsace ». Rien de plus simple que de faire une fausse première de couverture et de présenter les deux quotidiens sur une table de restaurant comme dans une des scènes de la fiction où l'on voit deux journaux posés sur la table du restaurant du Marché couvert.
Je veux bien que ce soit une fiction et que la Région Grand-Est ait contribué à son financement mais pousser le bouchon aussi loin ne peut que braquer les Alsaciens encore plus, contre cette ineptie administrative qu’est le Grand-Est. Il eut été tellement plus simple aussi d'inventer un journal fictif comme "La Dépêche de Colmar" par exemple. Non, au lieu de cela on nous inflige ce ridicule canard dont le nom ne peut être pris que comme une provocation par beaucoup d'Alsaciens. C'est une maladresse qui n'aurait pas dû passer et être corrigée d'une façon ou d'une autre.
Cette grande Région est bien entendu également une fiction et j’en veux pour preuve, le fait qu’elle cherche d’une façon désespérée et par tous les moyens, à se créer une identité. C’est ridicule et pathétique !
L’Alsace n’est certes plus une Région mais toujours et encore une petite région géographique avec une identité culturelle forte et ancienne et ce n’est pas demain la veille que nous verrons le Grand-Est se forger le milliardième d’une identité équivalente malgré tous ses efforts maladroits, pitoyables et mesquins, entrepris par ailleurs et aux frais du contribuable…





Petit train contre grande échelle

Situation surréaliste ce vendredi à 16h35 dans la rue des Marchands.
Le petit train blanc, garni de quelques touristes, s’engage dans la rue piétonne suivi de très près par un véhicule de pompiers, garni de sa grande échelle, toute sirène hurlante.
Pompiers pressés donc bruyants, mais pas suffisamment pour ébranler le flegme du pilote du train...
Bien qu’il pouvait se ranger à plusieurs endroits pour laisser passer les hommes du feu en intervention, le « promène-couillons » a poursuivi son bonhomme de chemin à son train (blanc) de sénateur.
Et ce ne sont pas les remarques et interpellations des piétons qui ont fait dévier le TGV de Chwouldi.
Heureusement qu’au premier carrefour, leurs chemins se sont enfin séparés.
À ce stade, je ne sais si l’intervention des pompiers a été pénalisée, mais quoi qu’il en soit, tout comme beaucoup de piétons, j’ai été outré par cet épisode d’incivilité manifeste. Au point de prendre la plume.
Le petit train blanc avait sûrement un timing de rotations futures à respecter, dirons-nous.
13/9/2019 18:11


Réactions :

⬦ J'ai vu la scène très en amont... au niveau de la fameuse impasse Hertenbrod. Le pseudo chauffeur avait trois fois l'occasion de s'arrêter : avant de quitter le boulevard du Champs de mars, une deuxième fois au niveau du magasin Maison du monde et juste après au niveau de l'école Rousseau ! Les pompiers avaient mis la sirène et ils klaxonnaient en plus ! Scène surréaliste. Vu l'énervement des pompiers, je pense qu'un courrier est déjà parti du SDIS ! Et heureusement.
14/9/2019 17:29

⬦ Et après on interdit les vélos taxis car ça entre en conflit avec les petits trains... de qui se moque-t-on ! Moi, avec mon vélo taxi, j’aurais pu me mettre de côté de suite !
14/9/2019 08:50

⬦ Il faut entendre promène-couillons dans le sens attrape-nigauds/touristes.
Déridez-vous un peu.
14/9/2019 07:08

15 septembre 2019

Colmar bouge recrute

[Municipales]

Tristan Denéchaud
tdenechaud@gmail.com

C'est désormais officiel. Colmar bouge (alias Bougeons les lignes) se lance pour les prochaines municipales. Les comités sont en train de se mettre en place. Vous êtes jeune marié ou jeune retraité ? Étudiant, chef d'entreprise, pizzaiolo, sage-femme, guichetier, en recherche d'emploi ? Nous avons besoin de tout le monde pour faire bouger les lignes, de Bel-Air à la Silberrunz et du Ladhof à la Croix-Blanche !
Nous écrire en mp ou à colmarbouge@gmail.com si vous êtes intéressé(e).

https://www.facebook.com/colmarbouge/



Dessin de Phil - DNA


14 septembre 2019

Des cars de tourisme en centre-ville

Devant le laxisme des services municipaux, pas touche aux touristes, c'est sacré, les cars de tourisme en prennent à leur aise et n'hésitent plus à pénétrer au plus près de l'hypercentre. Ici, un car stationné rue des Laboureurs, et pas juste pour déposer les visiteurs. Des places réservées aux voitures sont occupées en toute impunité. Il est grand temps que les Colmariens se réapproprient leur ville.




Et toujours rue des Laboureurs, quand ce ne sont pas les cars de tourisme...


9 septembre 2019

Un hôtel-village à Colmar

Deux nouveaux parkings payants au centre-ville, et aujourd’hui, la création d’un village-hôtel-village de luxe sur la place de la Montagne Verte… On nous prend vraiment pour des idiots ! Un parking à payer pour aller voir nos aînés à l’EHPAD, c’est honteux ! Nous ne sommes que des porte-monnaie ! Et encore faut-il que l’on ait de la place ! Un hôtel-village de luxe, sur la place de la Montagne Verte ? Avec SPA, avec piscine, une cave de dégustation, une brasserie et un restaurant gastronomique ! Il ne manque plus que le casino ! Tout ce « village » ouvert sur le futur parc arboré ! Mais où va-t-on ? Sommes-nous à Center Parc ? Les Colmariens passeront dans ce « parc » et seront observés par les touristes aisés derrière leurs vitres comme des animaux curieux passant. Au parc de Sainte-Croix l’on propose une nuit avec les loups, pour les voir de plus près. À Colmar, l’on propose une nuit avec les Colmariens ! Nous accueillons un parking souterrain pour attirer plus de touristes et maintenant un hôtel de luxe pour mieux nous observer ! Mais où va-t-on ? Le Maire parle de « sa » ville, mais qu’il n’oublie pas que c’est NOTRE ville ! N’oublions pas le premier adjoint, futur candidat, responsable de l’urbanisme, qui signe les permis de construire dont potentiellement celui-ci qui est dans les murs depuis le 30 août ! Et la cave à vin fera le bonheur du député, potentiel candidat ! Tous d’accord avec ce projet et ensuite ils veulent les clés de la Mairie ? C’est une honte ! Nous atteignons un point de non-retour. Le projet est dévoilé et annoncé alors qu’il n’est même pas validé par le conseil municipal. Mais n’ayons crainte, la majorité suit bêtement son maître et s’assoit sur les Colmariens. Ces projets sont honteux et ces personnes n’ont pas peur de se (re)présenter. Heureusement que le ridicule ne tue pas ! Qu’attendons-nous pour manifester ou faire une pétition en ligne ! J’oubliais, la peur de...
8/9/2019 20:09

6 septembre 2019

Colmar, ville libre du Saint-Empire romain germanique

Colmar, la Villa Columbaria, ville libre du Saint-Empire romain germanique, joyau de la Renaissance, berceau de Schongauer et Bartholdi, la perle de la plaine du Rhin qui a vu séjourner empereurs et écrivains, scientifiques et prélats, est en train de revenir dans la lumière grâce à ces "instagrameuses" et stars de la télé-réalité chinoises que l'office du tourisme s'évertue à attirer et dont ses ouailles surveillent, commentent, partagent et louent fébrilement chaque selfie pris sur le pont de la Petite Venise que ces tour-opérateurs évidemment philanthropes érigent en incontournable des parcs d'attractions de cette petite chose pleine de légendes constitué par l'ensemble France-Italie-Allemagne (pour les Chinois, c'est plus au moins pareil). Ainsi, cela se visite "groupir" et uniquement sous l'angle du selfie, cela se déguste via les quelques restos chinois de la ville ayant conclu accord avec les tour-opérateurs et moyennant de menus crochets par les échoppes à "alsatiques" comme on le dit dans le landerneau, c'est-à-dire les cigognes en peluche et les magnets qui retournent d'où ils viennent (la Chine) dans une absence sidérante de réflexion "carbone", c'est pas grave, fallait y être, fallait y claquer son selfie comme on verrouille un cadenas d'amour sur le Pont-Neuf, aujourd'hui le tourisme c'est cela, aucune interaction, aucune immersion, aucun échange, aucun intérêt sauf pour les gardiens du temple qui monnaient leurs AirBnB et leurs magnets "alsatiques" et nous devrions nous estimer heureux que ces gens-là aient encore besoin de dormir sans quoi j'ignore ce qu'il resterait au vulgum pecus né là, bien obligé de se garer, bien obligé de bosser, bien obligé de passer, celui même que l'on souhaite chasser de son habitat comme on chasse les tribus indigènes dans les forêts aux arbres convoités... Des gens qui ne laisseront rien, n'emporteront rien d'autre que leurs maudits selfies sur le pont de la Petite Venise, qui ne s’imprégneront en rien et qui, fondamentalement, n'en ont rien à foutre de Colmar, ville libre du Saint-Empire, joyau de la Renaissance aux édifices néo-gothiques, néo-classiques, néo-médiévaux, baignée dans la torpeur luthérienne et l'humanisme rhénan, l'important étant de surfer sur un effet de mode étrange, voire loufoque porté par une émission de télé-réalité chinoise, « chinese restaurant », qui cherchait juste un décor en carton-pâte à vingt mille lieues de la grise Chine pour capter l'audience de cette jeunesse perdue dans les artefacts d'une existence par procuration... D'une vie à travers une perche à selfie exigeant de cautionner tout ce qui est salutaire pour le genre humain : les voyages en avion, la bouffe en plastique, les AirBnB, les usines à touristes, les fabriques à souvenirs... Le Colmarien, quant à lui, apprend chaque semaine, chaque mois que tel parking devient payant, que telle dent creuse deviendra un hôtel bardé de stationnement-minutes gratuits afin que, contrairement au Colmarien riverain du centre, le touriste puisse décharger son coffre, poser la voiture dix minutes avant de la foutre ailleurs, un luxe refusé à l'administré-cochon-payeur-râleur qui lui, certes, n'achète pas de souvenirs ni ne loue d'AirBnB et que l'on boute hors de la cité... Le Colmarien contemple béat le ballet des grues qui bâtissent et érigent ces temples à touristes d'un nouveau genre, avant-gardistes et achalandés, parce que là on a des moyens et on a des idées... N'oublie pas, Colmarien, que tu n'es jamais, ô grand jamais lésé : en échange de tous tes sacrifices, ton antre accueille la crème des influenceuses chinoises alors émerveille-toi, prosterne-toi et pâme-toi...

4 septembre 2019

Encore deux nouveaux parkings payants

Pour ça, y a du pognon, et toujours en plein centre-ville. Aucun changement de cap à l’horizon. Toujours plus de voitures dans le centre-ville. Toujours les mêmes vieilles recettes qui sentent les années 80. Au secours !!!

Et l’hypocrisie : « on fait payer pour avoir du turn-over ». N’importe quoi. Encore un moyen de renflouer les caisses vides, de s’asseoir un peu plus sur l’écologie, et d’éviter de faire marcher la noisette qu’ils ont en guise de cervelle.
Il n'y a rien de cohérent. Au lieu de repenser et d’apporter des solutions innovantes, on utilise les rares espaces bétonnés encore disponibles pour attirer encore plus de voitures au centre-ville.
Après, c’est évident, pas besoin de réfléchir, solution qui coûte pas cher, et on enclenche la machine à cash.

Voir l'article publié ce jour dans la presse locale : https://www.lalsace.fr/haut-rhin/2019/09/04/deux-nouveaux-parkings-payants-bubf


Photo L'ALSACE

Histoires d'argent

Ça y est les campagnes pour les municipales vont se lancer ! Les guerres d’ego vont commencer. Ce qui me dérange depuis plusieurs semaines, ce sont ces potentielles alliances, copinages. Mais quels projets ? Ils seront dévoilés en temps et en heure, mais pas de grandes lignes directrices ou de valeurs mises en avant. Nous, simples citoyens colmariens, sommes au milieu de ces guerres de personnalités et non pas d’une guerre de projets. Au final, nous devrons voter pour quelqu’un plutôt qu’un projet ? Je nous pense tous intelligents et capables de choisir un projet plutôt qu’une personne. Mais on nous écrase sous ces personnalités qui cherchent à se mettre en avant. De même, je suis heureux que nos impôts locaux restent fixes mais bientôt il n’y aura plus lieu de s’extasier et de jouer sur ce credo car ces mêmes impôts vont disparaître.
Heureusement, nous compensons en payant des PV et des stationnements hors de prix au centre-ville. De même pour les macarons et sans garantie de place. Mais en terme d’argent, je me questionne sur beaucoup de choses. D’ailleurs, deux nouveaux parkings payants vont voir le jour au centre-ville ! L’EHPAD, rue Bartholdi, réclamait de la place pour les visiteurs. Et bien, ils paieront pour visiter leurs aînés ! Et ces mêmes parkings seront pris d’assaut par les touristes ! Toujours plus de voitures en ville, drôle de notion de l’écologie. On vend notre santé et notre bien-être pour renflouer les caisses ! Le tour de France a coûté environ 300 000 € à la Ville, donc de ma poche et de la vôtre. Pour quelles retombées économiques ? De même, Vialis qui finance 40 000 € cette arrivée mais n’a pas le droit d’afficher son logo. Et pourquoi investir autant et ensuite demander des bénévoles (que l’on a remercié en sandwich et en T-shirt) ? Et pourquoi n’ont-ils pas eu le privilège d’avoir été invités à la soirée partenaires avant le tour de France ou même par la suite au pot après l’arrivée avec les officiels, les sponsors ? Après tout, ils font aussi partie du staff. Ils sont comme Vialis : « aidez-nous, mais que l’on ne vous voit pas. » Ensuite, 10 000 € donnés pour Notre-Dame ? Toujours de ma poche et de la vôtre. Pourquoi faire, nous avons déjà donné 100 000 €, nous, Haut-Rhinois, par le vote de Mme Klinkert ? Et là, une annulation de concert, pour des problèmes d’ego et autres raisons obscures, qui nous coûtent encore 5 000 € et vont rapporter de l’argent à une autre commune (bien chanceuse d’ailleurs !). Puis, je vois souvent le maire ET son premier adjoint accompagnés de photographes. Un photographe accompagnant le maire ne me choque pas. Mais pour le premier adjoint, je suis plus dubitatif. Les comptes de campagne ont débuté le 1er septembre mais n’étant pas encore déclaré candidat, je me demande qui paie ce photographe ? Nous ? Peut-être pourra-t-il lui même nous éclairer ? Je finirai par les soirées partenaires. Certes, elles existent, elles remercient les personnes ayant permis la réalisation d’un événement. Elles sont, la plupart du temps privées. Pourquoi faire saliver le simple citoyen qui n’a pas été invité car pas partenaire (alors qu’il a aidé à financer via l’argent public !) et lui montrer que l’on boit et mange à volonté ? Je trouve cette attitude déplacée. Des photos certes, mais plusieurs vidéos pour montrer l’oisiveté, je me questionne. Parfois, l'on dirait une télé réalité du type « la famille Kardashian » où l’on nous expose des problèmes de riches ! Les adjoints se montrent en train de se gaver et en sont fiers ! Peut-être devraient-ils créer leur propre TV réalité ! Et ensuite l’on nous demande de nous serrer la ceinture et de payer ! L’on critique le gouvernement Macron et son train de vie luxueux. Mais au niveau local, ce n’est pas beaucoup mieux.
[xxx 4/9/2019 11:26]


1 septembre 2019

Edouard Dabrowski

Municipales à J-195

La course aux investitures semble revêtir une importance capitale aux yeux de certains de nos postulants. Mais qu'ils se rassurent : aujourd'hui, la marque, le parti politique, ne comptent presque plus, selon une enquête d'OpinionWay pour Cap Collectif. Une forte majorité d'électeurs (70%) se dit insensible à l'étiquette politique de leur futur candidat aux municipales.

⇨ Yves Hemedinger :
Il aurait pu avoir l'investiture LREM mais n'en a pas voulu, préférant se présenter sans étiquette. Ayant été élu pour le mandat, il compte bien le mener à son terme. Et ne démissionnera que si Meyer devait se représenter, s’asseyant sur son engagement de 2014.
Sauf si... Pour Hemedinger la situation est compliquée, critiquer le bilan de la majorité dont il fait partie serait se tirer une balle dans le pied.

⇨ Gilbert Meyer :
Avertissement : tout ce que nous écrivons le concernant n'est que pure spéculation puisqu'il a promis en 2014 de ne plus se représenter et qu'il se dit être un homme de parole. Après ses valses-hésitations avec Straumann, son démenti qu'il ait cherché à obtenir l'investiture LREM, c'est selon toute vraisemblance celle de LR qu'il aura en tant que sortant.

⇨ Eric Straumann :
N'ira au combat que s'il est sûr de gagner. N'aura évidemment pas l'investiture LR si c'est Meyer qui l'a. Fait comme si de rien n'était et continue de fréquenter assidûment les marchés.

⇨ Stéphanie Villemin :
Fin de l'insoutenable suspens : la déjà nommée "cheffe" de file par la République en Marche et référente LaREM du Haut-Rhin, obtiendrait l'investiture LaREM. D'après nos informations (à prendre avec des pincettes) la commission nationale d’investiture (CNI) aurait ajouté une condition : rejoindre Meyer au second tour. Ce qui expliquerait la réponse sibylline de ce dernier quand il reconnaît avoir évoqué le sujet avec Sébastien Lecornu, ministre chargé des Collectivités territoriales.

⇨ Frédéric Hilbert :
Surfant sur la vague écolo, il cherche à fédérer autour de lui la France Insoumise, les Gilets Jaunes, ce qu'il reste du PS et des citoyens lambda.
FH ne perd pas de temps, il est déjà en train d'organiser sa campagne, commissions, communication, etc.

⇨ Tristan Denéchaud :
Avec ou sans investiture, fort de son expérience d'élu MoDem au conseil municipal et porteur d'idées neuves, il a décidé de se présenter. Pragmatique, il part du principe que le maire de Colmar doit être celui de tous les Colmariens.