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14 juillet 2019


Pas de véritable concertation


Une fois de plus, une seule personne impose sa décision à 71 000 habitants-contribuables, les forçant à payer pour un aménagement qui va encore plus leur contrarier (pourrir ?) la vie au centre-ville, avec comme corollaire  l'aménagement d'un super écomusée pour les touristes.

Il [Gilbert Meyer] a fait de même pour le parking de la Montagne Verte, sacrifiant la vie et la santé des riverains avec des nuisances (bruit, vibrations et pollution) pendant des horaires de travail totalement anormaux (14h/jour, 6 jours/semaine), se traduisant par une dette alourdie de 23 millions (en attendant le coût des réparations des bâtiments riverains) ; cette fois, ce seront surtout les commerçants des zones concernées qui pâtiront de ce projet [l'aménagement de le place de la Cathédrale], hormis ceux concernés par l’activité touristique.

Bizarrement, aucun des 5 dossiers n’expose le devenir de la partie haute de la rue des Marchands, mais on peut deviner, aucune circulation n’étant indiquée sur le côté sud de la collégiale, que la circulation y sera interdite (pour le plus grand bonheur d’un adjoint qui y exploite des établissements avec terrasse).

Donc, on nous présente des projets d’aménagement qui vont sanctuariser (scléroser ?) le pourtour de la collégiale, en rejetant tout accès en voiture aux personnes à mobilité difficile, ainsi qu’aux participants aux offices religieux, sans indiquer quel serait l’accès le plus proche ; mais on peut supposer qu’il leur faudra aller au nouveau parking (payant) de la Montagne Verte, dont on assurerait ainsi un remplissage meilleur que les récents parkings Bleyle et St Josse (avant la neutralisation du parking de la Montagne Verte).

Comment se prononcer sans ces précisions, sans connaître le sens de circulation dans la Grand-Rue ? Sans connaître les horaires d’ouverture des parkings (fermés les dimanches, pour le plus grand bonheur des visiteurs) ?

Bref, avant d’engager de nouvelles dépenses, une démarche intelligente [...] serait de recueillir l’avis des commerçants et des Colmariens. Évidemment, cela reviendrait à donner aux Colmariens la maîtrise de leur avenir, ce que l’équipe municipale actuelle n’a jamais su faire.

Pour terminer, il est symptomatique que les observations formulées sur le site de la mairie ne soient pas visibles, comme l’ont été celles faites pour les travaux de la Montagne Verte : l’absence de remarques positives démontrerait bien la non adhésion à la nouvelle lubie du maire.

Cordialement,

G.F. - 14/7/2019 09:13

France Culture


Municipales : les Français se détachent des partis politiques


Qu'attendent les Français pour les élections municipales ? A neuf mois de l'échéance, l'institut OpinionWay a mené l'enquête. Et la tendance se confirme : les citoyens ont envie de changement !



[Extraits] « Les éventuels futurs candidats aux municipales sont prévenus : les deux tiers des Français (71%) affichent, dans ce sondage, leur préférence pour une liste dont le programme aurait été co-construit avec les habitants plutôt qu'un projet dessiné uniquement par le candidat et son équipe.

Pour les municipales aujourd'hui, la marque, le parti politique, ne comptent presque plus, selon une enquête d'OpinionWay pour Cap Collectif.

D'après cette étude réalisée auprès d'un échantillon représentatif de 1001 personnes constitué selon la méthode des quotas, les Français sont 68% à vouloir plus de femmes candidates qu'en 2014, plus de jeunes (67%), plus de personnes du secteur privé (61%), plus de candidats issus des minorités (50%). Mais surtout, dans la lignée des résultats de la dernière présidentielle, ils confirment cette prise de distance vis-à-vis des formations politiques. Ils sont, par exemple, 66% à plébisciter la candidature de plus de personnalités sans étiquette politique.

Quand on leur demande le critère qui déterminera leur vote aux élections municipales, ils répondent à 63% le projet du candidat, 21% pour le profil du candidat, et 14% seulement le parti politique du candidat.

Dans ce profil, justement, l'expérience politique ne pèse plus grand chose, toujours selon cette enquête. Un chef est peut-être "fait pour cheffer" comme le disait Jacques Chirac, mais expérimenté ou non, peu importe manifestement pour les Français. Ils souhaitent voir des candidats conscients des enjeux locaux, territoriaux, et surtout prêts à les écouter. 

"Que ce soit la visibilité médiatique, l'éloquence, la capacité à s'exprimer qui est une qualité politique depuis l'Antiquité, ce sont des éléments qui jouent aujourd'hui beaucoup moins que des qualités d'ordre relationnel : l'écoute ou la capacité à prendre en compte les propositions des habitants par exemple" explique Frédéric Micheau. 

"Il ne suffit pas de déclarer des intentions, d'ouvrir des plateformes numériques ou de faire des réunions publiques. Il faut redéfinir la gouvernance des modes de décision. Cela ne signifie pas créer des dispositifs à côté d'un système de décision pour collecter des votes et des commentaires. Ce n'est pas non plus mettre les citoyens à la place des politiques ou des experts. On doit repenser l'ensemble du schéma : il y a des élus, des fonctionnaires territoriaux, des experts, des citoyens. Et on doit repenser l'ensemble de l'élaboration de la décision pour trouver une place à chacun et faire en sorte que chacun puisse savoir quelle est la partition jouée par les autres acteurs dans la composition de la décision". Cyril Lage

Journaliste
Rosalie Lafarge
Avec la collaboration de
Eric Chaverou, Maxime Tellier, Nathalie Lopes


Pour consulter l'intégralité de la publication cliquer ⇒ ici 

DÉBAT - 20 JUILLET 2019 - COLMAR

COLMAR : VILLE EUROPÉENNE

Avec Madame Stéphanie VILLEMIN, Ancienne candidate aux élections législatives (2017) et Monsieur Tristan DENECHAUD, conseiller municipal à Colmar.

Echanges animés par Madame Axelle JEHL, Directrice Générale du Think Tank « Europe et Démocratie ».

Le 20 juillet 2019, à partir de 10h30.

Au Café Restaurant Schongauer - Musée Unterlinden, Place Unterlinden, 68000 Colmar.



13 juillet 2019

[Récréation : une publication d'Eric Straumann]

« Ne deviens pas maire si tu ne veux pas voir du crottin de cheval devant ta porte. »

Proverbe créole

12 juillet 2019

 CORDAY 

La guerre des ego


Notre éternel autocrate joue avec l’argent public, mais sans aucune transparence. Je pense à plusieurs dépenses soudaines. Tout est caché. Mais pourquoi ?

De quel droit s’immisce-t-il dans chaque entité ? Je pense au Conservatoire, laissé aux mains de personnes qui se sentent toutes puissantes et font la pluie et le beau temps.

Le Dauphin, en perte de vitesse, cherche toujours sa place au soleil. Il est partout du matin au soir, sauf dans son bureau de mairie ou au Conseil départemental. Quand travaille-t-il ?

Pourquoi ne pas se donner le droit de mériter mieux ? Ne parlons pas de proposer « la gauche » (vilain mot qui signifie pour beaucoup : ouvrir la porte à toutes les dérives !) La seule gauche restante serait les Verts, qui proposent toujours aux autres de les suivre mais jamais l’inverse.

Ne proposons pas non plus de jeunes, car ils sont « inexpérimentés » et qu’il y aurait trop de changement. Le changement fait peur.

Une femme ? Oublions ! Ville patriarcale !

La seule solution restera les extrêmes, mais Colmar est une ville de droite. On aura compris.

La politique nationale s’applique bien au local. Une guerre d’ego, de placement de « copains » bien payés, qui passent le temps et n’ont pas toujours les compétences. Mais qu’est-ce-que l’argent et l’ego face au bien-être de la collectivité ? Ils sont bien plus importants. Quand mériterons-nous mieux ?

Quand pensera-t-on à la collectivité, au partage, à la tolérance, à la transparence, à la culture pour tous, à des conditions d’enseignements convenables, à une vraie prise en compte de l’écologie, à une vraie liberté d’expression, à une véritable mise en valeur des associations, à un centre-ville qui revit et retrouve son identité, à l’arrivée d’entreprises, à de vrais services de transport ?

Nous pourrions faire encore mieux et continuer les quelques améliorations entamées à Colmar !

J’entends déjà les super fans me dire « partez de Colmar ! », « Colmar est très bien ! », « Toujours le même refrain. » Eh bien, contrairement à vous, je m’interroge et vois plus loin que le bout de mon nez. Je m’autorise à espérer du mieux pour tous. Quand ferez-vous de même ?

11 juillet 2019

Benoît Legrand

Gilets Jaunes, Nomades et cathédrale

Dans une lettre ouverte datée du 3 juillet adressée à son bouc-émissaire Gilet Jaune, notre bon maire s'enorgueillit d'avoir fait "appliquer la loi quant à une utilisation non autorisée du terrain communal". Il félicite cette personne, ainsi que ses camarades, d'avoir remis en état le terrain, après l'avoir menacée de lui faire payer plus de 5 000 € pour le faire remettre en état par une entreprise privée. Le contribuable colmarien n'ayant pas à supporter cette dépense qui ne relève pas de son fait.

Nous pourrions nous arrêter sur la méthode autoritaire de Sa Seigneurie, alliant remerciement et intimidation. Méthode de la carotte et du bâton, bien connue des commerçants de Colmar. Mais l'actualité fournit assez d'exemples pour montrer l'incohérence du personnage.

Ce n'est pas aux contribuables colmariens de payer à hauteur de 5 600 € pour nettoyer les ravages qu'un incendie a provoqués sur le camp des Gilets Jaunes. Pourtant, la Ville de Colmar a financé à hauteur de 10 000 € les travaux de restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Que je sache, cet argent provient bien des poches du contribuable...

En ce mercredi 10 juillet, j'ai vu que le stade de la Mittelharth était occupé par des Nomades s'étant installés avec leurs caravanes. Coïncidence cocasse, c'est exactement la même parcelle sur le plan local d'urbanisme que l'ancien lieu occupé par les Gilets Jaunes (https://www.colmar.fr/plu). Cette fameuse parcelle qui ne peut être occupée à des fins de camping, de caravaning ainsi que par des habitations légères de loisirs.
Pourtant, je n'ai pas encore vu de lettre ouverte de la part de notre Justicier leur intimant de partir.

Voilà le visage de notre premier magistrat : dépensier avec l'argent des Colmariens suivant Ses valeurs, mais aussi fort avec les faibles et faible avec les forts.

7 juillet 2019

Tour de France

Gérald d'Orbe

Dans la PQR du jour on apprend que le coût de l'arrivée à Colmar nous coûte 300 000 balles. Mais notre prix Nobel de gestion avance que "chaque € dépensé en rapporte 10 à 12 à l'économie locale… ah bon ? Par quel tour de passe-passe ?

"Rien que pour le logement, les équipes… dépensent 250 000 €" avance-t-il ! Arrrfff, je me gausse. Les hôtels sont bondés, Chwouldi a inventé le concept du "plus plein que complètement plein" ?
J'ai en mémoire cet hôtelier pas ravi du tout d'avoir eu à annuler des réservations pour cause de réquisition de son établissement pour loger les motards de la gendarmerie lors d'un précédent passage de ce barnum. En guise de bénéfice c'est une vraie perte sèche. Et cette année, n'étant pas ville-étape, il n'y aura certainement aucune retombée en la matière.

Et dans tout ce prodigieux foutage de g…, qu'est ce que le Colmarien en tire comme bénéfice ou même simplement comme agrément ? Rien ! Peau de balle ! Nada ! Oualouh ! Juste de prodigieux emm…ments pour cause d'axes interdits à la circulation, à partir de 4 heures du mat' pour certains !

6 juillet 2019

MAILLOT JAUNE CONTRE GILET JAUNE


Fini le temps des mamours avec les Gilets Jaunes, où Gilbert Meyer les recevait à la mairie et leur offrait le café. Aujourd'hui, leur capital sympathie ayant fondu auprès de l'opinion publique, il n'y a plus lieu de les ménager. Chwouldi a donc décidé d'employer les grands moyens. C'est que le Tour de France approche ! Imaginez un coup de zoom malheureux depuis l'hélico sur ces bastions de trublions, quelle image désastreuse pour notre Disneycity. Il a donc fallu nettoyer tout cela au plus vite. En menaçant Véronique, une militante parmi d'autres, d'avoir à payer les frais de remise en état, (un devis de 5 698 € lui a été présenté), Gilbert Meyer est parvenu à ses fins. Le site a été nettoyé, avec l'aide d'une quinzaine de collègues Gilets Jaunes.


Dessin de Phil

5 juillet 2019

LE TOURISME ET LE VIVRE ENSEMBLE

Le printemps renoue avec le tourisme de masse. La vraie richesse d’une ville, de tous temps, est d’être un lieu de rencontres. Pour faire « société » les humains ont besoin de se réunir, de commercer, de se cultiver. Le dynamisme d’une cité se mesure à l’intensité des activités que génèrent les artisans, les industriels, les créateurs. C’est ce que toute municipalité doit avoir à cœur de promouvoir et de développer. A Colmar, aujourd’hui, l’activité ne manque pas. Quiconque se rend en ville aux heures d’affluence ne peut être que frappé par les foules qui s’y promènent. Y travaillent-elles ? Y achètent-elles ? Y vivent-elles ? Ce sont les véritables questions qu’il faut se poser. Notre ville est en trompe l’œil. Le centre-ville qui devrait être le cœur de la vie urbaine absorbe des milliers de touristes qui passent et qui repartent sans réellement impacter la vie culturelle, sociale et économique. Sauf en termes de nuisances. Le déficit de vie « réelle » est patent dans notre ville. Le tourisme de masse qui y est privilégié a longtemps masqué cette réalité mais il la dissimule de moins en moins. Le fait qu’il en aille de même dans beaucoup de centres-villes n’est pas pour nous rassurer. Car Colmar dispose d’atouts patrimoniaux et culturels que beaucoup nous envient, à juste titre. Mais il nous manque l’essentiel : la culture d’une vie urbaine digne de ce nom. Avant d’être vue comme un fonds de commerce juteux, une ville doit donner à ses habitants l’envie et la joie d’y vivre.

Christian MEISTERMANN • Saloua BENNAGHMOUCH • Tristan DENECHAUD • Eric SPAETY • Isabelle FUHRMANN
[COLMAR VEUT BOUGER]


GILBERT MEYER EST-IL BON GESTIONNAIRE ?

Où a-t-on vu que l’on donne 10 000 € à une association qui n’a rien demandé ? À Colmar ; où le Maire a fait voter cette subvention pour les travaux de reconstruction de Notre-Dame alors que la somme nécessaire était déjà largement dépassée. G.M. est-il bon chef ? Pour y répondre, quelques pistes : l’ambiance délétère qui s’est installée au Conservatoire dont il a rétrogradé la directrice, au mépris de toutes les règles de management et d’humanité, voire du respect des règles de Droit ; ou encore le mépris qu’il affiche envers toute contestation. G.M. est-il crédible ? Dans les échanges de courrier qu’il a avec le Ministère de l’Intérieur, G. Meyer dit que ses administrés sont « exaspérés par les bandes » et qu’il craint « qu’on en arrive à une extrémité un jour ou l’autre » car le Ministère refuse d’augmenter les effectifs de la Police Nationale. Pourtant, le Ministre use des mêmes arguments que nous ressert le Maire à chacune de nos demandes d’étoffer les effectifs de la police municipale, à savoir que tout va bien puisque les chiffres de la délinquance sont bons… Vérité au-deçà de la Sinn, erreur au-delà ?

Patrick VOLTZENLOGEL - Victorine VALENTIN
[UN NOUVEL ÉLAN POUR COLMAR]


L'AMÉNAGEMENT DE LA PLACE DE LA CATHÉDRALE

Une nouvelle place de la Cathédrale : depuis de nombreuses années nous demandons que la place de la Cathédrale soit réaménagée et qu’on en fasse un secteur piétonnier. Rappelons que Colmar est la seule grande ville d’Alsace à maintenir un parking au pied de l’église de son hyper-centre historique. Outre l’aspect esthétique, le parking ne met pas en valeur la collégiale, il génère une circulation automobile disproportionnée au centre-ville et les nuisances qui vont avec ; bien souvent, l’automobiliste espérant trouver une place pour se garer est malgré tout obligé de chercher plus loin. Aujourd’hui, enfin, l’équipe municipale accède à notre demande et expose au PMC les résultats du « concours d’idées » organisé récemment. Très différents les uns des autres, les projets apportent des éléments intéressants. Certains seront sans doute repris dans le futur projet de la ville. Mais restons vigilants : la place ne doit pas devenir un parc d’attraction pour les touristes, avec des gadgets artificiels et kitsch. Nous souhaitons qu’elle soit conviviale et végétalisée, qu’on ait envie de s’y arrêter, d’y faire une pause. Rendons cette place accueillante pour les Colmariens, et les touristes y goûteront notre art de vivre.

Frédéric HILBERT, Caroline SANCHEZ
[COLMAR VILLE VERTE, OUVERTE ET SOLIDAIRE]

Airbnb

Un résident colmarien vient de vendre son appartement sur Le Bon Coin. L’acquéreur, un habitant d'Ammerschwihr, va le transformer en meublé de tourisme. Mais quelle ne fut pas la surprise de notre résident d'avoir parmi les potentiels acheteurs un Américain qui possède déjà trois gîtes à Colmar ! Au moment où de plus en plus de villes touristiques tentent de trouver des mesures pour lutter contre ce phénomène envahissant, la municipalité de Colmar préfère temporiser.

« Je suis plutôt favorable à la limitation du nombre de jours de location Airbnb ou autres mécanismes de limitation pour éviter la flambée des prix et le remplacement des habitants qui vivent et travaillent notamment au centre de Colmar par des citadins intermittents, de passage, qui changent la nature des logements, des commerces et des relations laissant des « lits froids ». Le cœur d’une ville bat au quotidien grâce à ses habitants. »
Yves Hemedinger - 4/1/2019

« Outre les atteintes à la tranquillité des habitants, les activités de ces plateformes ont des incidences négatives sur le secteur du logement et le niveau des loyers.
Le remplacement du résident en cœur de ville avec la destruction de la variété du commerce. Colmardisney au bout du processus ! »

Benoît Nicolas - 25/6/2019

« Quand vous avez de moins en moins d'habitants en centre-ville, que fleurissent gîtes et locations Airbnb, ce type de commerces (boucher, boulanger, coiffeurs...) connaît des difficultés, voire disparaît. »
Alexandre de Lapisse, directeur des études chez Procos - L'ALSACE 6/9/2018

« Il faut, par le logement, faire revenir les jeunes, les familles et les salariés de nos entreprises au centre-ville. Il faudrait éviter que Colmar devienne une ville Airbnb. »
Caroline Macé, directrice régionale du Groupe action logement - L'ALSACE 26/8/2018

« Quand j’ai lu les critères de sélection de l’Action cœur de ville, à savoir vacance de l’habitat, désertification commerciale, pertes d’emploi et chute de la démographie, j’ai tout de suite pensé à Colmar ! » Si le gouvernement a choisi d’aider la ville de Colmar, c’est qu’elle a « des problèmes de riches, avec trois millions de touristes par an qui ont contribué à vider le centre de ses habitants, au risque d’en faire une ville musée. Les boutiques à touristes éloignent les commerces de proximité. »
Laurent Touvet, préfet - L'ALSACE 26/8/2018