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19 février 2019
17 février 2019
Nath
Message au prochain maire de Colmar !
Comme chaque année, la piscine Aqualia fait la vidange de ses bassins, deux fois par an, ok, ça c'est réglementaire.
Je fréquente la piscine de manière hebdomadaire depuis son ouverture, je me pose plusieurs questions :
- pourquoi une fermeture de deux semaines ? Après enquête, j'ai constaté que les bassins sont en général fermés une semaine.
- pourquoi pendant les congés scolaires ? La piscine reste une activité qui permet à pas mal de familles d'occuper les enfants pour un coût raisonnable.
Autre problème : à son ouverture, la piscine était fermée le lundi matin, depuis quelques années. C'est devenu le lundi toute la journée, il y a pourtant une partie de la population qui ne travaille pas le lundi... restaurants, commerces... et après le rythme plus que soutenu que leur demande la parodie de Disneyland de notre marché de Noël, je pense qu'ils auraient bien besoin de se détendre...
Je demande donc au futur Maire de Colmar de revoir très sérieusement ce problème que je ne suis de loin pas la seule à soulever !
Il ne suffit pas de s'auto congratuler, de couper des rubans, de manger du kouglopf, il faut aussi tenir compte de la demande des Colmariens ; après, me direz-vous, c'est peut-être une question d'âge... mais je sens que l'avenir de certains prend l'eau.
16 février 2019
Vivien GARNIER
Le dernier numéro du canard communal à la gloire du maire est édifiant. On y apprend que Gilbert Meyer est voyant. Il avait « anticipé les évènements actuels »... Ben voyons ! Quelle idée ! C'est vrai, la fracture territoriale existe. Elle commence même à Colmar, entre le centre-ville et les quartiers acquis au maire, qui ont le droit à tout, et les autres, qui ont péniblement droit à un coup de pinceau blanc sur les places de parking... La fracture territoriale dont vous parlez, Monsieur le Maire-Président de Colmar Agglomération, elle commence par là : pourquoi vous êtes président de Colmar Agglomération ? Pourquoi, justement, le maire de la grande commune doit-il aussi être le président tout-puissant de l'Agglo ? 20 communes, avec une petite poignée de délégués, ont moins de puissance que la seule commune de Colmar. Et vous osez parler de fracture territoriale ? Pourquoi alors ne pas prendre exemple sur la M2A [Mulhouse Alsace Agglomération] et laisser votre fauteuil à un autre ?
Et puis, dans ce magazine à votre gloire, on y apprend que votre budget atteint un « niveau d'investissement inédit » ! Bravo... Plusieurs millions pour des parkings (touristes et Colmariens, encore les vaches à lait...). Mais pour le reste ? L'état des voiries (propreté, entretien de la chaussée) est encore en deçà de ce qu'on est en droit d'attendre d'une ville comme la nôtre. L'état de certains quartiers est déplorables (Grillenbreit, Saint-Léon...).
Vous avez investi combien pour des vidéoprojecteurs sur nos bâtiments historiques, pendant que certaines écoles n'en ont quasiment pas ? Certaines classes disposent de TBI [tableau blanc interactif] et d'autres n'ont rien. Politique à deux vitesses ? Les tablettes pour les enfants en CP, on ne les voit pas. La prime pour les vélos : où sont-ils ?
Non, une fois de plus, les Colmariens ne sont pas si bien qu'on le pense. Que vous le pensez. Et en prime, vous avez tellement peur de votre succession que vous semblez vouloir encore vous présenter. Certain que Colmar vous appartient. Certain que les Colmariens vous jugent seul maître à bord. Au point de donner des sueurs froides à votre adjoint, qui trépigne d'impatience. À moins que vous ne soyez si peu sûr de sa victoire que vous préféreriez vous présenter pour mieux lui laisser votre siège six mois plus tard. Ce ne serait pas très élégant et ça prouverait une certaine faiblesse. Et nous ne serions pas étonnés que vous ne lui fassiez pas confiance au point de vous maintenir jusqu'à 85 ans !
Votre autosatisfaction est décidément sans limites, puisque vous vous sentez même obligé de préciser, toujours dans votre magazine-tract électoral, que vous êtes "maire de Colmar - avocat - docteur en Droit public"... Ben voyons. Et les autres, que sont-ils alors ? Je terminerai par ces mots de Robert Sabatier, en vous invitant à réfléchir là-dessus : « Le vaniteux voudrait que les autres l’apprécient tel qu’il s’apprécie lui-même. » À bon entendeur, salut et rendez-vous en 2020...
Publication de Benoît NICOLAS
QUARTIER LADHOF : DES RENCONTRES FORMIDABLES
Merci à tous les Colmariens qui acceptent de me consacrer quelques minutes quand je viens à leur rencontre.
L’accueil est toujours chaleureux et bienveillant malgré la surprise de me voir là.
Merci.
J’ai pu découvrir les problématiques particulières qui se présentent.
J’ai été surpris, d’abord, de constater certaines difficultés inattendues.
Le stationnement (encore) même là, l’état des routes, l’absence des services municipaux, la desserte déficiente des transports.
Un quartier qui se sent abandonné en comparaison d’autres qui sont privilégiés.
Les Colmariens ont des choses à dire.
Il suffit de les écouter !
Une dame formidable m’a même montré la photo qu’elle a prise du dessert du repas de Noël des aînés (1.500 personnes invitées au frais de la Ville au Parc des Expositions…).
« J’avais l’impression d’être à l’hospice » m’a-t-elle dit.
Une autre surprise : « la ville est sale », le service n’est plus le même.
Un sentiment partagé par de très nombreuses personnes.
Les personnels de la collecte, de la voirie, de la propreté, m’ont fait découvrir les coulisses.
Ce n’est pas glorieux !
Je veux rendre hommage aux personnels de la Ville qui ont le sens du service public.
On comprend qu’ils n’en peuvent plus.
Qu’ils sont méprisés.
Qu’il existe des tensions entre les services.
On découvre une politique de rigueur extrême avec des agents très mal payés.
Des effectifs divisés par 2 en quelques années.
Il est facile de se gargariser des chiffres !
Une politique de petit comptable.
Derrière, il y a des hommes et des femmes et surtout des services, du service public.
Vous avez un congé maladie ou une absence enfant malade dans l’année ?
Vous perdez une prime annuelle de plusieurs centaines d’euros.
Alors on bidouille pour remplacer cela par des congés.
Résultat : moins ou pas de congés.
Résultat : perdu, pour perdu, je tire sur les arrêts maladie.
Il est temps que cette politique change !
Soyez assurés que j’y travaille !
Merci à tous les Colmariens pour l’accueil qui m’est réservé.
Merci pour la confiance qui m’est donnée en me confiant tout cela.
Je vais tâcher de venir chez vous.
Je vais continuer ce travail plutôt que d’aller couper du ruban ou manger du kouglopf.
Notre projet se construit dans cette idée.
QUARTIER LADHOF : DES RENCONTRES FORMIDABLES
Merci à tous les Colmariens qui acceptent de me consacrer quelques minutes quand je viens à leur rencontre.
L’accueil est toujours chaleureux et bienveillant malgré la surprise de me voir là.
Merci.
J’ai pu découvrir les problématiques particulières qui se présentent.
J’ai été surpris, d’abord, de constater certaines difficultés inattendues.
Le stationnement (encore) même là, l’état des routes, l’absence des services municipaux, la desserte déficiente des transports.
Un quartier qui se sent abandonné en comparaison d’autres qui sont privilégiés.
Les Colmariens ont des choses à dire.
Il suffit de les écouter !
Une dame formidable m’a même montré la photo qu’elle a prise du dessert du repas de Noël des aînés (1.500 personnes invitées au frais de la Ville au Parc des Expositions…).
« J’avais l’impression d’être à l’hospice » m’a-t-elle dit.
Une autre surprise : « la ville est sale », le service n’est plus le même.
Un sentiment partagé par de très nombreuses personnes.
Les personnels de la collecte, de la voirie, de la propreté, m’ont fait découvrir les coulisses.
Ce n’est pas glorieux !
Je veux rendre hommage aux personnels de la Ville qui ont le sens du service public.
On comprend qu’ils n’en peuvent plus.
Qu’ils sont méprisés.
Qu’il existe des tensions entre les services.
On découvre une politique de rigueur extrême avec des agents très mal payés.
Des effectifs divisés par 2 en quelques années.
Il est facile de se gargariser des chiffres !
Une politique de petit comptable.
Derrière, il y a des hommes et des femmes et surtout des services, du service public.
Vous avez un congé maladie ou une absence enfant malade dans l’année ?
Vous perdez une prime annuelle de plusieurs centaines d’euros.
Alors on bidouille pour remplacer cela par des congés.
Résultat : moins ou pas de congés.
Résultat : perdu, pour perdu, je tire sur les arrêts maladie.
Il est temps que cette politique change !
Soyez assurés que j’y travaille !
Merci à tous les Colmariens pour l’accueil qui m’est réservé.
Merci pour la confiance qui m’est donnée en me confiant tout cela.
Je vais tâcher de venir chez vous.
Je vais continuer ce travail plutôt que d’aller couper du ruban ou manger du kouglopf.
Notre projet se construit dans cette idée.
12 février 2019
Municipales-fiction : scénario 3 (en attendant le scénario 4...)
Rédigé à la hâte et visiblement non relu, le post publié par le dauphin sur sa page Facebook témoigne d'un agacement certain. Désormais, YH commence à frapper du poing sur la table, après avoir gardé trop longtemps le petit doigt sur la couture du pantalon.
11 février 2019
Triangulations municipales
Comment affaiblir un adversaire considéré comme dangereux ? En multipliant les listes au 1er tour. C’est la stratégie qui serait actuellement à l’étude au premier étage de l’Hôtel de Ville de Colmar où le maire Gilbert Meyer (LR) et son 1er adjoint Yves Hemedinger (LR) cherchent à contrer une éventuelle candidature du député Eric Straumann (LR). L’hypothèse de présenter trois listes issues de la majorité municipale sortante est évoquée, pour une fusion au 2d tour. À part Yves Hemedinger, déjà en campagne, il reste à savoir qui conduirait les deux autres listes à partir du moment où Gilbert Meyer a annoncé en 2014 qu’il ne se représentera pas en 2020.
Comment affaiblir un adversaire considéré comme dangereux ? En multipliant les listes au 1er tour. C’est la stratégie qui serait actuellement à l’étude au premier étage de l’Hôtel de Ville de Colmar où le maire Gilbert Meyer (LR) et son 1er adjoint Yves Hemedinger (LR) cherchent à contrer une éventuelle candidature du député Eric Straumann (LR). L’hypothèse de présenter trois listes issues de la majorité municipale sortante est évoquée, pour une fusion au 2d tour. À part Yves Hemedinger, déjà en campagne, il reste à savoir qui conduirait les deux autres listes à partir du moment où Gilbert Meyer a annoncé en 2014 qu’il ne se représentera pas en 2020.
DNA Strasbourg
Budget 2019 : Où est l’investissement pour la qualité de vie du Colmarien ?
CORDEY
Dessin de Tomi Ungerer |
Samedi, nous perdions un grand artiste alsacien, Tomi Ungerer.
A Colmar, quelques jours plus tôt, un artiste des chiffres et calculs savants s’auto congratulait de sa bonne gestion de sa cité.
Quelques semaines auparavant, on nous apprenait que 17+4 = 25. Ce lundi passé, nous apprenions que pour faire une moyenne il faut prendre la valeur la plus basse et l’additionner à la valeur la plus élevée, puis diviser par deux pour obtenir une moyenne.
Tout professeur de mathématiques verrait là une hérésie et noterait mal son élève et lui offrirait des cours de soutien pour progresser. À Colmar, il n’en est rien. L’artiste a parlé. Il est le roi des chiffres et de la gestion. Son grand pouvoir réside à faire croire aux Colmariens qu’il a raison et qu’il n’y aucune raison de le contredire, que sans lui, Colmar sera perdue, mal gérée au bord de la faillite. Il joue habilement avec la peur. Les Colmariens ont peur du changement et d’aller de l’avant car on leur apprend sans cesse « qu’on ne pourra pas trouver meilleur gestionnaire ». Après tout, nous sommes proches de ce que décrivait notre bon ami Tomi Ungerer : « On ne sort pas indemne d’un lavage de cerveau. »
De même, le calcul de la taxe d’habitation et foncière par habitant est calculée sur le total des foyers colmariens. Mais combien de foyers ne paient ni l’une ni l’autre ? Pourquoi prendre ces personnes en compte ? Un nouveau cours de soutien s’imposerait-il ?
Colmar est de ces fiefs où si l’on n’appartient pas à la Cour, les idées, aussi bonnes soient-elles, n’ont aucune valeur car elles n’appartiennent pas à la Noblesse. Quand un désaccord est exprimé et justifié, il est jugé « sans arguments ». De même certains sont amputés d’un quart de leur rente pour être allé à l’encontre de la Cour et ainsi ne peuvent plus aider autant le peuple et se sont résignés.
Les investissements ont augmenté. Mais pour qui et pour quoi ? Pour augmenter la qualité de vie des habitants, pour honorer la promesse de 2014 consistant à mettre en place « un réseau de bus à haut niveau de service », pour investir dans le commerce, pour permettre une meilleure circulation à vélo, pour éloigner la voiture du centre historique ? Que nenni ! Pour mettre en place un parking pouvant accueillir plus de voiture, un palace, vider les rues commerçantes, offrir plus d’attractions aux touristes, renflouer les caisses avec des parkings hors de prix, investir dans du mapping. Où est l’investissement pour la qualité de vie du Colmarien ?
La vie sera-t-elle meilleure sous le règne du Dauphin ? Le Roi lui laissera-t-il sa place ? Se posera-t-il en Messie et Sauveur de la Ville face au Dauphin ou à son délégué parisien ?
Nul doute que la bataille pour le Trône sera rude. Mais peut-elle accueillir un(e) étranger(e), plus juste, plus proche des préoccupations du peuple, meilleur en mathématiques ?
Tomi Ungerer nous disait sagement « Il n'y a pas d'antidote au préjugé, à la haine, à l'injustice, sinon la prise de conscience personnelle qui nous dicte nos devoirs. » Peut-être est-il temps de l’écouter ?
A Colmar, quelques jours plus tôt, un artiste des chiffres et calculs savants s’auto congratulait de sa bonne gestion de sa cité.
Quelques semaines auparavant, on nous apprenait que 17+4 = 25. Ce lundi passé, nous apprenions que pour faire une moyenne il faut prendre la valeur la plus basse et l’additionner à la valeur la plus élevée, puis diviser par deux pour obtenir une moyenne.
Tout professeur de mathématiques verrait là une hérésie et noterait mal son élève et lui offrirait des cours de soutien pour progresser. À Colmar, il n’en est rien. L’artiste a parlé. Il est le roi des chiffres et de la gestion. Son grand pouvoir réside à faire croire aux Colmariens qu’il a raison et qu’il n’y aucune raison de le contredire, que sans lui, Colmar sera perdue, mal gérée au bord de la faillite. Il joue habilement avec la peur. Les Colmariens ont peur du changement et d’aller de l’avant car on leur apprend sans cesse « qu’on ne pourra pas trouver meilleur gestionnaire ». Après tout, nous sommes proches de ce que décrivait notre bon ami Tomi Ungerer : « On ne sort pas indemne d’un lavage de cerveau. »
De même, le calcul de la taxe d’habitation et foncière par habitant est calculée sur le total des foyers colmariens. Mais combien de foyers ne paient ni l’une ni l’autre ? Pourquoi prendre ces personnes en compte ? Un nouveau cours de soutien s’imposerait-il ?
Colmar est de ces fiefs où si l’on n’appartient pas à la Cour, les idées, aussi bonnes soient-elles, n’ont aucune valeur car elles n’appartiennent pas à la Noblesse. Quand un désaccord est exprimé et justifié, il est jugé « sans arguments ». De même certains sont amputés d’un quart de leur rente pour être allé à l’encontre de la Cour et ainsi ne peuvent plus aider autant le peuple et se sont résignés.
Les investissements ont augmenté. Mais pour qui et pour quoi ? Pour augmenter la qualité de vie des habitants, pour honorer la promesse de 2014 consistant à mettre en place « un réseau de bus à haut niveau de service », pour investir dans le commerce, pour permettre une meilleure circulation à vélo, pour éloigner la voiture du centre historique ? Que nenni ! Pour mettre en place un parking pouvant accueillir plus de voiture, un palace, vider les rues commerçantes, offrir plus d’attractions aux touristes, renflouer les caisses avec des parkings hors de prix, investir dans du mapping. Où est l’investissement pour la qualité de vie du Colmarien ?
La vie sera-t-elle meilleure sous le règne du Dauphin ? Le Roi lui laissera-t-il sa place ? Se posera-t-il en Messie et Sauveur de la Ville face au Dauphin ou à son délégué parisien ?
Nul doute que la bataille pour le Trône sera rude. Mais peut-elle accueillir un(e) étranger(e), plus juste, plus proche des préoccupations du peuple, meilleur en mathématiques ?
Tomi Ungerer nous disait sagement « Il n'y a pas d'antidote au préjugé, à la haine, à l'injustice, sinon la prise de conscience personnelle qui nous dicte nos devoirs. » Peut-être est-il temps de l’écouter ?
8 février 2019
Chantier de la Montagne Verte : des fissures sur les bâtiments voisins
Quelques mètres seulement séparent la tour qui a bougé (en gris) des parois du futur parking (photo Herve Kielwasser L'ALSACE du 8/2/2019)
Les travaux du parking de la Montagne Verte génèrent des fissures sur le gymnase et le PMC voisins. Rien d’alarmant selon la mairie, qui surveille de près ces dommages collatéraux.
Entre la tour et le bâti historique, les plaques de plâtre se sont disjointes. Des jauges mesurent l’évolution du phénomène.
Vu de l’étage du gymnase de la Montagne Verte, le phénomène peut inquiéter les curieux : de larges fissures sont apparues entre le bâti du gymnase « historique », dédié aux sports de balle, et l’une des tours accolée lors de la rénovation, qui abrite la cage d’ascenseur. Sous l’effet du chantier du parking souterrain tout proche, la tour a visiblement bougé. Au point que les plaques de plâtres ou les seuils se sont disjoints entre les deux éléments de bâti, laissant apparaître un jour qui atteint 2 centimètres par endroits. Des jauges ont d’ailleurs été posées pour mesurer l’évolution de l’écartement.
« Pas péril en la demeure »
Le Pôle média culture est également touché par le phénomène, mais dans une moindre mesure. Là encore, la tour qui abrite escaliers et ascenseurs aurait un peu bougé par rapport au bâtiment de l’ancien hôpital. Des difficultés à ouvrir certaines huisseries témoigneraient de mouvements du bâti. Des témoins ont également été posés pour suivre le phénomène.
« Il est indéniable que les mouvements constatés sont liés aux travaux, et certainement à la vibration des murs périphériques » , commente Pierre Rivet, le directeur général des services techniques de la Ville de Colmar, rappelant que les parois moulées du futur parking sont coulées « très près » des bâtiments touchés.
« Mais il n’y a pas péril en la demeure, rassure aussitôt le cadre. Aujourd’hui, la situation n’est pas alarmante, mais fait l’objet d’une surveillance de tous les jours pour s’assurer que le phénomène n’est pas évolutif. » M. Rivet observe au passage que les fissures sont apparues « au titre de joints de dilatation » entre le bâti ancien et moderne. Des zones prévues pour absorber certaines contraintes.
Eiffage assumera sa responsabilité
« Ce phénomène de transmission par le sol est quelque chose qu’on rencontre assez souvent quand on travaille sur un site contraint avec des bâtiments tout autour » , précise encore le directeur, qui rappelle que ce risque de dommages collatéraux a été anticipé : « Dans le cadre du marché de travaux, un contrôleur technique et un bureau d’études suivent ça de près. » La mission concerne aussi les maisons avoisinantes, un constat d’huissier ayant été réalisé au début du chantier. Si des travaux sont nécessaires pour résoudre les « désordres » apparus, ils devront donc être assumés par Eiffage, titulaire du marché.
Clément TONNOT
L'ALSACE du 8/2/2019
1 février 2019
Publication de Benoît NICOLAS
Des nounous formidables !
Cette semaine, je voulais vous parler des assistantes maternelles rencontrées ce matin.
Elles ont plein d’idées pour la Ville même au-delà de leur activité.
Je voulais vous parler des commerces, encore, parce que j’ai été moqué et stigmatisé par la concurrence non encore déclarée (me faisant l’avocat ridicule selon eux des petites culottes…) ; concurrence qui me promet déjà, de façon à peine voilée, du sang, des larmes et des coups.
Pourtant le sujet est important.
Parlons alors, plutôt, du sujet d’actualité qu’est le « grand débat ».
Quel constat pour Colmar ?
Aujourd’hui, à Colmar, le pouvoir est hyper-centralisé.
Il est détenu par un seul homme qui décide de tout.
Sauf pour la communication de façade, personne n’existe, à part lui.
Lui seul décide et a raison par définition.
Cette manière de gérer, de se comporter, de tout corseter est complètement dépassée.
La vieille politique.
Les démocraties vivantes, celles que les gens attendent, sont celles qui permettent à chacun de s’exprimer, d’exister et donc de participer.
Pour exemple, Colmar, selon le chef, à deux centres-ville !
Comment accepter cette partition, décidée par un seul homme, qui conduit à tous les dangers, à toutes les stigmatisations, à tous les clientélismes et qui ne repose sur aucune réalité géographique.
La concentration du pouvoir produit cela et caractérise la politique aujourd’hui rejetée par tous.
Le « grand débat », tel qu’il est organisé aujourd’hui, selon moi et cela n’engage que moi, s’apparente à une campagne de communication du pouvoir centralisé.
La commune, l’échelon local, doit être le domaine privilégié du partage du pouvoir.
Certaines villes sont organisées sur ce mode avec succès.
Colmar, aujourd’hui, est à l’opposé de ce système.
Ma vision de la démocratie locale, de l’exercice du pouvoir, sera dans cette logique du « grand débat » mais surtout d’un pouvoir horizontal, partagé, équitable, non-clientéliste.
Pas un pouvoir vertical et hyper-centralisé comme aujourd’hui.
Il faut un nouveau souffle démocratique pour Colmar.
Je serai le candidat de ce nouveau souffle.
AGIR POUR COLMAR - LE GRAND DÉBAT
Cette semaine, je voulais vous parler des assistantes maternelles rencontrées ce matin.
Elles ont plein d’idées pour la Ville même au-delà de leur activité.
Je voulais vous parler des commerces, encore, parce que j’ai été moqué et stigmatisé par la concurrence non encore déclarée (me faisant l’avocat ridicule selon eux des petites culottes…) ; concurrence qui me promet déjà, de façon à peine voilée, du sang, des larmes et des coups.
Pourtant le sujet est important.
Parlons alors, plutôt, du sujet d’actualité qu’est le « grand débat ».
Quel constat pour Colmar ?
Aujourd’hui, à Colmar, le pouvoir est hyper-centralisé.
Il est détenu par un seul homme qui décide de tout.
Sauf pour la communication de façade, personne n’existe, à part lui.
Lui seul décide et a raison par définition.
Cette manière de gérer, de se comporter, de tout corseter est complètement dépassée.
La vieille politique.
Les démocraties vivantes, celles que les gens attendent, sont celles qui permettent à chacun de s’exprimer, d’exister et donc de participer.
Pour exemple, Colmar, selon le chef, à deux centres-ville !
Comment accepter cette partition, décidée par un seul homme, qui conduit à tous les dangers, à toutes les stigmatisations, à tous les clientélismes et qui ne repose sur aucune réalité géographique.
La concentration du pouvoir produit cela et caractérise la politique aujourd’hui rejetée par tous.
Le « grand débat », tel qu’il est organisé aujourd’hui, selon moi et cela n’engage que moi, s’apparente à une campagne de communication du pouvoir centralisé.
La commune, l’échelon local, doit être le domaine privilégié du partage du pouvoir.
Certaines villes sont organisées sur ce mode avec succès.
Colmar, aujourd’hui, est à l’opposé de ce système.
Ma vision de la démocratie locale, de l’exercice du pouvoir, sera dans cette logique du « grand débat » mais surtout d’un pouvoir horizontal, partagé, équitable, non-clientéliste.
Pas un pouvoir vertical et hyper-centralisé comme aujourd’hui.
Il faut un nouveau souffle démocratique pour Colmar.
Je serai le candidat de ce nouveau souffle.
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