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4 novembre 2023


En novembre, c'est le retour du Festival du Livre, 25 et 26 novembre au Parc exposition de Colmar

Notre temps fort culturel annuel est de retour, toujours au Parc des Expositions de Colmar, toujours gratuit (parking, entrée, animations et spectacles, navette de bus de la Trace au départ de la gare ligne E).

Toujours le dernier week-end de novembre, cette année les 25 et 26 novembre 2023.

Le Festival est ouvert en continu le samedi de 9h à 19h et le dimanche de 9h à 18h.


Merci de noter que nous serons tous au parc des Expositions et que le réseau des bibliothèques sera fermé vendredi 24 (montage), samedi 25 (Festival) et lundi 27 (démontage).

La bibliothèque des Dominicains en profitera pour placer des travaux de maintenance et sera fermée du 22 novembre au 27 novembre.

Réouverture de tous le réseau le mardi 28 novembre, à nos horaires habituels.


Le programme complet de novembre 2023 est ici :


Voici entre autres quelques affiches de nos événements :







Le mercredi 22 novembre à 18h30, à l'auditorium du PMC, en présence de la réalisatrice Nina Barbier,
projection du film documentaire "Jeunesses volées", sur les Malgré-elles d'Alsace et de Moselle.


Le mercredi 22 novembre à 15h à la bibliothèque Bel'Flore ce sera "Partage - Débat":


Nos ateliers multimédia accessible sur rendez-vous :

une aide à l'utilisation de l'outil informatique à la bibliothèque Europe, réservation au 03 89 79 60 44

Les bases de l'ordinateur à l'Espace Multimédia - PMC 2e étage, le mercredi 15 novembre de 14h15 à 17h.

Colmar & moi, démarches en ligne et création d'un compte le mercredi 29 novembre de 14h15 à 17h, avec les conseillers numériques de la Ville de Colmar.

Inscription via colmar.fr

Renseignements : conseillernumerique@colmar.fr


Pour être encore plus informé, suivez-nous sur facebook : https://www.facebook.com/ReseauBibliothequesColmar

et aussi celui du Festival du Livre : https://www.facebook.com/FDLColmar

30 octobre 2023


Galerie Murmure

L’exposition de Michel Cornu « Le monde du silence » à la galerie Murmure se terminera samedi 4 novembre 2023


Cette exposition nous a permis de voyager dans l’univers créatif de Michel Cornu, dans un monde onirique, poétique, d’une rare profondeur.


Le finissage sera marqué par la présence de Michel Cornu à la galerie samedi après-midi.
Un moment d’échange et de convivialité avant de tourner une nouvelle page de cette belle aventure artistique…


Galerie Murmure
5 place de l'Ancienne Douane à Colmar
jeudi et vendredi : 14h à 18h
samedi : 10h à 19h
Et tous les jours sur rendez-vous.
contact@galerie-murmure.fr
Tél. +33 3 89 41 49 25
www.galerie-murmure.com
La Filature, Scène nationale - Mulhouse

Qui a tué mon père | Édouard Louis · Ivo van Hove • La Filature

Vendredi 3 novembre à 20h
Samedi 4 novembre à 18h

Le roman d’Édouard Louis a été une révélation pour le metteur en scène Ivo van Hove qui, par ce seul en scène, porté par l’un des plus brillants comédiens néerlandais Hans Kesting, libère la colère d’une époque et d’une société.
Ce monologue théâtral est un message de colère et de rage contre la classe politique, les élites et les décideurs, oublieux, de ceux qui n’ont rien. Car abandonné à son sort, dans sa campagne, un père dépérit… Ce texte est un réquisitoire, puissant et violent, une œuvre politique et littéraire marquante. Écrite comme une lettre, cette pièce plonge les spectateurs dans une campagne du Nord de la France. Là, au milieu de ceux qui n’ont pas grand-chose, parmi les classes laborieuses, un père prématurément inapte, malade et usé, est, comme d’autres, abandonné à son sort. Miné par l’alcool, la maladie et la précarité, marqué par les accidents de la vie, cet homme végète et se meurt… Alors, son fils, dans une déclaration d’amour passionnée, accuse ses assassins : déchéances physique et morale résultent des décisions et non-décisions des édiles de tous ordres.

→ théâtre
- salle modulable
- 1h25
- dès 16 ans
- en néerlandais surtitré
- première française dans le cadre du portrait Ivo van Hove

28 octobre 2023

Citoyennes et Citoyens pour le Climat Colmar

Biberacker Environnement

Comment ? Vous n'êtes pas au courant ? Petits et gros promoteurs bétonnent tout dans le quartier des Maraîchers !
Tout ? NON ! Un écrin de nature peuplé d'irréductibles espèces animales et végétales, résiste encore et toujours à l'envahisseur...
Eh oui, le Biberacker peut se confronter sans rougir à la légende gauloise bi-millénaire, rentrée dans l'imaginaire collectif. Mais ici, rien d'imaginaire : nous sommes bien à Colmar, en 2023, et les 2,5 hectares du Biberackerweg peuvent encore être préservés de la bétonisation, phénomène qui a déjà mité une grande partie du quartier Est des Maraîchers et qui est en passe d'avaler ce qui reste de vert, rue des Glaïeuls et rue des Aulnes...
Et donc... nous vous proposons un sentier de découverte du Biberacker !
Le long d’un parcours commenté, venez découvrir l’histoire des maraîchers de Colmar, et les merveilles et caractéristiques de ce secteur remarquable, autrefois terrain de jeux des castors.
(Biber=castor, Acker=champ, Weg=chemin).
Venez l'ouvrir avec nous le dimanche 29 octobre de 14h à 17h30 !
On a hâte de vous montrer ça !
Télécharger le flyer d'invitation et diffusez-le autour de vous ! Mais surtout : venez, avec votre voisin, votre grand-mère, ou seul-e, mais flanqué de votre bonne humeur ! Attention ! Vous risquez de tomber sous le charme de cette nature en train de se parer de ses belles couleurs d'automne... et peut-être aussi des délicieux gâteaux que nous vous proposerons accompagnés de boissons, le tout à un prix raisonnable pour nous aider à financer nos actions !

Événement sous réserve de la météo.
En cas de doute, appelez la veille au
06 30 07 37 86 ou au 06 80 90 73 51


27 octobre 2023

Michel Spitz

Visite du site de projet de l’atelier Master 1 et 2 à Rhinau. Le bâtiment de l’usine List a été bâti entre 1941 et 1942 à Rhinau pour la firme d’électrotechnique berlinoise Heinrich List sur les plans de l'architecte Ernst Neufert (1900-1986), ancien étudiant au Bauhaus de Weimar (1919-1920), collaborateur de Walter Gropius (1924-1926), professeur et directeur de la Bauabteilung à la Bauhochschule de Weimar (1926-1930). Il travaillait avec Speer, nommé depuis 1937 Inspecteur Général de l’Architecture pour la Capitale du Reich par Hitler.
Le bâtiment principal de cette usine monobloc est un parallélépipède de 157m de long sur 22m de large et haut de 15m, scandé par quatre avant-corps parallélépipédiques verticaux. C’est un bâtiment fonctionnel séparant les espaces en fonction de leur affectation : les trois grands plateaux rectangulaires sont destinés aux ateliers tandis que les annexes sortant de la façade sud accueillent toutes les autres activités que celles de la production industrielle (rangement, bureaux, sanitaires) et assurent les liaisons verticales entre les plateaux.
On y fabriquait des équipements électriques pour les avions de la Luftwaffe, et plus tard pour les fusées V1 et V2. L'usine employait 1500 ouvriers en 1943, 3600 en 1944. Ces ouvriers étaient des Alsaciens du secteur et des prisonniers de guerre étrangers. En décembre 1944, l'usine a échappé aux destructions qui ont affecté une grande partie du village de Rhinau. Elle ferme ses portes le 23 novembre 1944, date de la libération de Strasbourg.
En 1942, deux maisons prototypes en béton et briques sont bâtie à côté selon les plans de Neufert d’après une commande de Speer pour abriter 8 familles d’ouvriers. Ces bâtiments restèrent les seuls jamais construits, à Rhinau comme à Berlin. En effet, la fermeture de l'usine en 1944, met fin au projet de construction à Berlin d’une cité ouvrière – nommée List-Stadt -, comprenant 500 à 700 maisons individuelles pour 10 000 ouvriers et leurs familles.
L’intérêt du site de l’usine List réside avant tout dans le bâtiment dessiné par Neufert et construit en 1942 qui met alors en œuvre des principes de construction innovants, parfaitement adaptés aux théories rationalistes et fonctionnalistes ayant marquées l’architecture industrielle de cette époque. Neufert choisira d’ailleurs ce bâtiment pour illustrer en 1943 son ouvrage Bauordnungslehre.
Penser et construire un habitat intergénérationnel.
Réutiliser un bâtiment plutôt que le démolir constitue l’enjeu de la bonne pratique environnementale mis en évidence par la crise des ressources. Tirer parti du déjà-là, en révéler la valeur, choisir de faire avec, plutôt que de l’assujettir et altérer ses qualités… nourrir le travail de recherche sur le logement d’aujourd’hui et de demain en associant espaces et usages, renouvellement de l’organisation du logement et de ses espaces extérieurs, mixité sociales, questionnement des normes actuelles et des techniques de mise en œuvre.





21 octobre 2023

Galerie Murmure

Nous avons le plaisir de vous communiquer les actualités de la galerie en quelques dates :


Samedi 4 novembre :
Finissage de l’exposition « Le monde du silence » qui met à l’honneur les dernières créations de l’artiste Michel Cornu.


Mélomane, Michel Cornu a besoin de la musique pour créer. Les sons mélodieux d’Arvo Pärt se sont diffusés dans son atelier lors de la création des œuvres de cette exposition. Il y a un lien profond entre sa sélection musicale et les œuvres qu’il crée. Les notes de musique ont imprégné l’atmosphère de son atelier de calme, de douceur, que l’on retrouve dans ses œuvres. Mais Michel Cornu va plus loin et transforme cette musicalité en silence pour donner à ses dessins un côté ténébreux. L’évaporation de l’encre qui prend possession de la blancheur du papier et se dilue au-delà des limites de l’œuvre pour sortir du dessin et se prolonger dans des ténèbres spirituelles, suit la trajectoire des notes de musique qui virevoltent dans l’air pour se perdre dans l’infini…


Vendredi 10 novembre :
Vernissage de l’exposition anniversaire de la galerie Murmure.


C’était il y a 5 ans (déjà !) que nous ouvrions les portes de la galerie pour notre première exposition consacrée à Antoni Tàpies. Depuis, 21 expositions se sont succédé. Pour cet anniversaire nous avons eu envie de vous murmurer la mélodie du passé en vous proposant des œuvres de différents artistes modernes et contemporains qui font l’entité de la galerie.


Du jeudi 23 novembre au dimanche 26 novembre :
vous pourrez nous retrouver au salon d’art contemporain St’Art situé au Parc des expositions de Strasbourg.


Galerie Murmure
5 place de l'Ancienne Douane à Colmar
jeudi et vendredi : 14h à 18h
samedi : 10h à 19h
Et tous les jours sur rendez-vous.
contact@galerie-murmure.fr
Tél. +33 3 89 41 49 25
www.galerie-murmure.com

18 octobre 2023

Octobre rose

Dans le cadre de la campagne de sensibilisation au cancer du sein, des artistes graffeurs se sont exprimés sur le mur mis à leur disposition rue Billing à Colmar.






16 octobre 2023

[Polémique]

Kelly Scott

Un Colmarien connu sur la place approuve ce dessin et le cautionne même sur le site des ordures qui ont osé publier ça.
Des gens qui ont leur commerce juste en face de la synagogue colmarienne, faut le faire.
Je me bats depuis ce matin pour essayer de leur faire comprendre que cette caricature est juste abjecte et antisémite.
J’ai honte pour ma ville, ces gens-là me donnent la nausée.
Les corps des bébés israéliens sont à peine froids et des centaines, des milliers de familles sont ravagées par le chagrin et resteront inconsolables et hantées par les images de leurs enfants torturés et massacrés.
Caricature immonde pour les bébés israéliens et palestiniens.


Voir également la publication de Nadia Hoog dans Facebook :

 
Bernard Rodenstein

Clin d’œil
Je suis outré
Outré par les réactions haineuses qui sont déclenchées depuis ce matin par des personnes qui me prennent à partie pour le dessin publié sur le site watt’s app de Flames par une amie du groupe.
Ce dessin dénonce la façon scandaleuse avec laquelle deux grands médias clairement désignés, CNN et la BBC, rendent compte de la tragédie en cours entre Israël et les Palestiniens. Les deux caméras sont braquées sur un enfant juif en pleurs et tournent le dos aux cadavres qui jonchent le sol d’en face.
L’accusation d’antisémitisme fuse !
Flames est antisémite. Je suis antisémite. L’appel au lynchage est affleurant.
Ce dessin qui stigmatise le traitement de l’information par deux puissants médias devient l’objet d’une polémique imbécile.
Je ne suis plus président de Flames mais les critiques virulentes se concentrent sur moi. Un hasard ?
Pour avoir osé, en son temps, inviter le sulfureux philosophe Roger Garaudy à donner une conférence publique à Colmar, je me suis fait molester par un groupe de sionistes venus « pour faire la peau au conférencier » ont-ils clamé haut et fort. Son crime : il s’était prononcé deux jours plus tôt à la télévision pour la création de l’Etat palestinien qui n’a jamais vu le jour malgré les engagements de la communauté internationale.
Mes textes publiés ces derniers jours sur ma page FB sont accessibles au public. Si quelqu’un y lit la moindre trace d’antisémitisme je veux bien me soumette à leur jugement.
Je dénonce fermement le mauvais procès qui m’est intenté sur la base d’une lecture erronée d’un dessin de presse publié par une amie dont je peux attester qu’elle est tout, sauf antisémite.
Cette accusation est souvent balancée sans nuance. Elle ne sert les intérêts de personne.


Kelly Scott

Pourquoi cette image est profondément antisémite ? Tout simplement car elle reprend les codes traditionnels de la propagande antisémite :
- l’identification religieuse : c’est l’étoile de David qui est affichée et non pas les couleurs du pays d’Israël, ce sont bien les juifs qui sont visés, pas les citoyens d’un pays, comme en 1940 avec l’étoile jaune
- le négationnisme : les enfants de Gaza sont montrés massacrés par opposition au bébé juif seul et semblant pleurnicher à grand bruit pour rien, les massacres des 2 kibboutz et du concert sont bel et bien occultés. Cette image dénie le droit d’être une victime au peuple d’Israël comme les négationnistes nient l’existence de la Shoah
- la déshumanisation : l’opposition entre les enfants de Gaza, maigres, dotés de visages aux proportions humaines inspirant la pitié et le bébé gras et repus au visage dont la bouche démesurée le rend grotesque, déshumanise le bébé pour inspirer du mépris pour celui qui pleure et détourner le regard des vraies raisons de ses larmes : le massacre délibéré de civils innocents, acte de terrorisme d’une barbarie injustifiable. Alors je peux comprendre qu’on ait des avis différents sur le conflit israélo-palestinien mais certainement pas en utilisant des images de propagande antisémite et certainement pas en niant ou occultant les massacres des civils israéliens. Les images parlent plus que les mots.


Pour en savoir plus sur le conflit israélo-palestinien :

15 octobre 2023

Exposition des aquarelles de Martine Laforce
Salle de La Décapole à Turckheim
du 20 au 29 octobre 2023
10h-18h