Surgie du néant... ou presque et pour des motifs pas très nets au début, la querelle autour du maintien ou de la disparition du "kiosque de la Cathédrale" à l'occasion de l'aménagement de la place éponyme aura au moins permis aux uns et aux autres d'exprimer librement leur avis sur la question . Tout semble avoir été dit tant sur l'intérêt historique, architectural, sentimental (et "utilitaire" ?) de l'édifice que sur le problème humain lié à son devenir. Le maire ayant apparemment décidé son maintien et "esquissé" des solutions à affiner en faveur de l'exploitante, celle-ci ayant par ailleurs déclaré se battre plus pour le kiosque que pour elle-même, la logique "démocratique" voudrait que la polémique prenne fin . On peut, comme pour certaines grèves, toujours en rajouter une louche. Mais pourquoi ?