Faute de pouvoir reconnaître des erreurs, dans la gestion du Covid. Faute d’intégrer l’évidence, à savoir que les contaminations explosent et montrent l’inutilité des vaccins et ce, très probablement depuis le début. Faute de pouvoir admettre que les effets secondaires sont très nombreux et frappent dans quasiment toutes les familles. Le gouvernement s’enfonce dans ses mensonges, quitte à produire un narratif hors-sol, qui suscite les moqueries de Boris Johnson et les huées de Bruxelles. Castex s’accroche aux contrevérités, maintient un passe vaccinal dont on sait déjà qu’il ne servira à rien, puisque les autres l’abandonnent sagement. A-t-on déjà pris avant, un médicament ou un vaccin, pour les autres ? Peut-on encore s’accrocher au miracle de l’évitement de la « forme grave », alors que des concitoyens vaccinés meurent à l’hôpital ? Et le même de proposer un passe aux non-vaccinés, dès la première dose. Il signe ainsi la reconnaissance de l’inutilité de tout le fatras de mesures et de communications démentielles. À quoi servent, sur le plan sanitaire, les doses suivantes, si le passe est possible dès la première ? D’autres pays distribuent de l’Ivermectine, de l’Azythromicine et du zinc, en un mot : soignent. L’incapacité à faire amende honorable, les fait plonger dans l’irrationnel et craindre ce groupe de millions de personnes non vaccinées, qui va apparaître comme un témoin gênant, dans les statistiques futures, mais également, comme un réservoir indispensable de sang sain. Nous avons, à la manœuvre, un spécialiste du sang contaminé : il sera bientôt rejoint, sous la bannière « responsable, mais pas coupable ». Le compte à rebours est enclenché désormais, avant désintégration en vol et dieu sait, de quelle infamie ils seront encore capables, avant d’exploser.
Pierre Duriot, porte-parole du Rassemblement du Peuple Français