Edouard DABROWSKI
⬦ Ce n'est un secret pour personne, Gilbert Meyer se livre à des représailles envers ceux qui ne filent pas droit ou osent émettre la moindre critique. Certains commerçants qui étaient prestataire de service à la mairie, ont vu leur collaboration résiliée du jour au lendemain, mettant parfois en péril l'entreprise. D'autres ont reçu une lettre les menaçant de rejeter la moindre de leur demande s'ils refusaient de s'acquitter de la taxe (illégale) de Noël. On a vu comment le libraire de "Lire et chiner" s'est fait recadrer par un courrier du maire que ce dernier a publié sur sa page Facebook ! Qu'en pense la CNIL ? Son tort ? Avoir critiqué la politique municipale du stationnement... La directrice du conservatoire ainsi que des Gilets jaunes ont subi le même sort. On pourrait multiplier les exemples.
⬦ Gilbert Meyer a appris à l’école des pires gaullistes comme Charles Pasqua que les promesses n’engagent que ceux qui y croient ! Il sait faire usage de l’enseignement de ses maîtres es-entourloupes politiciennes. Il est passé maître à son tour dans l’art de dire une chose et d’en faire une autre. Il n’a d’ailleurs toujours pas enterré la ligne de chemin de fer, sa grande promesse du premier mandat ! Qu’attend-il ? 2050 ? Par contre il a enterré toutes les velléités d’opposition à sa personne, à ses méthodes et à ses tocades !
Il faudrait maintenant que ça s’arrête. Son règne sans partage a assez duré. Il mérite de partir à la retraite.
Et Colmar mérite de retrouver un peu de sérénité et de goût du débat.
Une ville n’est pas qu’un maire même si lui la conçoit ainsi.
Une ville, ce sont les habitants qui y vivent et qui s’y investissent ! Ils ont droit au respect de leurs aspirations.
Une ville, c’est aussi un art de vivre ensemble ! Ça se travaille dans la durée en tenant compte des différences.
Beaucoup de choses que le maire arrivé en fin de mandat n’a pas vraiment su ou voulu faire !
L’heure du changement a sonné ! Il est grand temps !