Rue Kulhmann se trouve, oh miracle ! une place libre pour se garer. Bien matérialisée par le marquage au sol, vous pensez pouvoir vous y mettre en toute confiance. Erreur funeste !
Regardez ce qui risque de vous arriver. Admirez au passage le chanfrein réalisé en dépit du bon sens, vu la hauteur du trottoir à cet endroit.
Des artistes, on vous dit. La rue de l'Ours fait partie des rues régulièrement défoncées pour cause de travaux. Un vrai patchwork. Tout récemment, un énième trou avait été rebouché par du sable qui ne demandait qu'à s'envoler, un piège à vélos et trottinettes, et exerçant une forte attraction sur nos amis à quatre pattes.
Le trou a fini par recevoir un revêtement définitif. Gag ! Au lieu d'un asphalte rouge comme celui de la rue, c'est du beau noir qui a été mis à la place ! Comment expliquer cette boulette ? À moins qu'il ne s'agisse d'art minimaliste, un clin d’œil à l'adjointe à la culture qui habite la même rue...
Des bottes pour rentrer chez soi ?
30 millions pour le quartier Ouest, c'est bien, mais faut-il pour autant délaisser les autres quartiers, St Léon, Ladhof ? Des habitants du quartier du Ladhof devront-ils chausser des bottes pour rentrer chez eux, par temps de pluie ?
Gilbert Meyer répond :
Rue Kuhlmann : un chanfrein en enrobés existe le long de la bordure pour accéder plus facilement aux places de stationnement délimitées à cheval sur le trottoir. Un tel chanfrein n’est pas réalisable à hauteur d’un siphon de rue…
Rue de l’Ours : il s’agit d’une réfection provisoire en enrobés noirs, suite à une réparation liée à une fuite sur un branchement d’eau. Les concessionnaires regroupent en général plusieurs chantiers en enrobés rouges, car la fabrication de ce type d’enrobés ne se fait pas pour de petites quantités. La « rustine » réalisée sera donc reprise prochainement en enrobés rouges.
Rue du Ladhof : l’entretien des trottoirs est à la charge du Conseil Départemental, la rue du Ladhof faisant partie des voies relevant de son champ d’intervention.
Vivien Garnier répond :
Concernant la rue Kulhmann : la législation rappelle que la hauteur du trottoir maximale est de 4 cm s’il y a un chanfrein. Or ici, nous en sommes loin. De plus, il existe des grilles avaloirs chanfreinées qui pourraient largement se substituer aux actuelles (chez Pont-à-Mousson, en référence C250 il me semble…). Arrêtez Monsieur le Maire d’être toujours de mauvaise foi ! Cette manie de toujours vouloir avoir le dernier mot amuse peut-être votre fan-club mais lasse profondément la population.
Concernant la rue de l’Ours : je n’ai rien à redire, vous avez ici raison. Une rustine provisoire est toujours mieux que rien… attention à ne pas transformer les rustines provisoires en rustines pérennes comme c’est le cas dans de nombreuses rues… Ceci dit, c’est au centre-ville, au nom de notre brave industrie touristique, je ne doute pas que cela se refera rapidement. Les autres rues attendront, encore.
Concernant la rue du Ladhof : vos services voient le problème. Il serait intelligent que la collectivité colmarienne alerte la collectivité départementale de ce type de problème. Si j’osais, je supposerais qu’une fois de plus, vos mésententes avec les trois derniers présidents du département sont sources de mauvais dialogue. Il suffit de voir les polémiques sur la route de Strasbourg à l’époque et de ce serpent de mer qu’est le carrefour de la Semm…
Gilbert Meyer répond :
Rue Kuhlmann : un chanfrein en enrobés existe le long de la bordure pour accéder plus facilement aux places de stationnement délimitées à cheval sur le trottoir. Un tel chanfrein n’est pas réalisable à hauteur d’un siphon de rue…
Rue de l’Ours : il s’agit d’une réfection provisoire en enrobés noirs, suite à une réparation liée à une fuite sur un branchement d’eau. Les concessionnaires regroupent en général plusieurs chantiers en enrobés rouges, car la fabrication de ce type d’enrobés ne se fait pas pour de petites quantités. La « rustine » réalisée sera donc reprise prochainement en enrobés rouges.
Rue du Ladhof : l’entretien des trottoirs est à la charge du Conseil Départemental, la rue du Ladhof faisant partie des voies relevant de son champ d’intervention.
Vivien Garnier répond :
Concernant la rue Kulhmann : la législation rappelle que la hauteur du trottoir maximale est de 4 cm s’il y a un chanfrein. Or ici, nous en sommes loin. De plus, il existe des grilles avaloirs chanfreinées qui pourraient largement se substituer aux actuelles (chez Pont-à-Mousson, en référence C250 il me semble…). Arrêtez Monsieur le Maire d’être toujours de mauvaise foi ! Cette manie de toujours vouloir avoir le dernier mot amuse peut-être votre fan-club mais lasse profondément la population.
Concernant la rue de l’Ours : je n’ai rien à redire, vous avez ici raison. Une rustine provisoire est toujours mieux que rien… attention à ne pas transformer les rustines provisoires en rustines pérennes comme c’est le cas dans de nombreuses rues… Ceci dit, c’est au centre-ville, au nom de notre brave industrie touristique, je ne doute pas que cela se refera rapidement. Les autres rues attendront, encore.
Concernant la rue du Ladhof : vos services voient le problème. Il serait intelligent que la collectivité colmarienne alerte la collectivité départementale de ce type de problème. Si j’osais, je supposerais qu’une fois de plus, vos mésententes avec les trois derniers présidents du département sont sources de mauvais dialogue. Il suffit de voir les polémiques sur la route de Strasbourg à l’époque et de ce serpent de mer qu’est le carrefour de la Semm…