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9 décembre 2025

Galerie Murmure

Samedi 20 décembre, de 15h à 18h, la galerie accueillera Isabelle Gougenheim, tout juste arrivée de Chicago

« L'art lave notre âme de la poussière du quotidien », disait Pablo Picasso.
Il a ce pouvoir, d'ouvrir des fenêtres là où l'on croyait voir des murs.
Il nous lie les uns aux autres, nous questionne, nous éclaire, nous apaise, nous emporte ailleurs tout en nous centrant sur l'essentiel.


Portés par le désir de partager cette beauté qui nous lie, nous sommes ravis de vous inviter à rencontrer Isabelle Gougenheim qui arrivera tout juste de Chicago, samedi 20 décembre de 15h à 18h à la galerie Murmure.


Un temps d’échanges, de discussions et de partage autour de son univers, de sa démarche et de ses œuvres...


Dans la douceur de cette fin d'année, nous vous souhaitons également de merveilleuses fêtes, emplies de beauté, de poésie et de paix.


Galerie Murmure
5 place de l'Ancienne Douane à Colmar
jeudi et vendredi : 14h à 18h - samedi : 10h à 19h
Et tous les jours sur rendez-vous
contact@galerie-murmure.fr
Tél. +33 3 89 41 49 25
www.galerie-murmure.com
Instagram: galerie_murmure
Yann Durrière
9/12/2025


Hier soir, j’étais présent au Conseil municipal de Colmar, aux côtés de Nathalie Aubert et d’une partie de notre équipe, pour assister à la dernière séance de l’année.
Une séance dense, avec beaucoup d’éléments importants. Et il faut le reconnaître : l’ambiance trahissait clairement l’entrée en campagne municipale. Messages subliminaux, prises de position voilées… on y est.
Comme trop souvent, l’opposition écologiste de gauche s’est surtout distinguée par du bruit et des discours interminables, souvent pour ne rien dire,… tout en tapant systématiquement à côté des sujets essentiels.
Et le plus étonnant, c’est que cette prétendue opposition siège en réalité dans la majorité, avec même un adjoint au maire : M. Hilbert.
Jamais un vote contre, jamais une prise de distance, toujours un alignement total avec la majorité.
Difficile de parler d’opposition quand on ne s’oppose jamais…
C’est pourquoi il faut être clair :
La seule opposition réelle, cohérente et déterminée pour Colmar, même sans siège au conseil, c’est nous : le Rassemblement National / UDR.
Une opposition qui travaille, qui observe, qui analyse et qui prépare l’alternance au service des Colmariens.
Michel Spitz
8/12/2025

CASSE-NOISETTE

Un grand plongeon dans le monde magique de Marie, de Frantz, de l'oncle Drosselmeyer, des soldats de plomb, du roi des souris, de la princesse Pirlipa et d'un magnifique Casse-Noisette.
Une découverte de l'histoire du jouet favori de Marie, le Casse-Noisette, qui s'anime pendant la nuit de Noël et l'emmène sur son bateau dans un royaume merveilleux !
Avec le concours de Sherley Freudenreich, artiste visuelle, l'incroyable monde sonore et musical de Piotr Ilitch Tchaïkovski s’incarne sur un grand écran. L’ensemble instrumental de professeurs du Conservatoire de Colmar interprète l'Histoire d'un casse-noisette, d'après Ernst Theodor Amadeus Hoffmann
Direction musicale : Pierre Hoppé
Art visuel : Shirley Freudenreich
Récitante : Blanche Giraud-Beauregard
Composition musicale : Piotr Ilitch Tchaïkovski
Ensemble instrumental : Carlotta Paolacci (flûte traversière), Jean-François Philipp (clarinette), Dominique Frœhly (violon), Hélène Silici Mérot (violoncelle), Isabelle Comtet (piano), Bernard Lesage (percussion)
Production : Association Directo Cinéma
Avec le soutien de la Ville de Strasbourg au titre de la convention d'accompagnement Spectacle Vivant 2025-2027






8 décembre 2025

Colmar - Conseil municipal du 8 décembre 2025

Cliquer sur l'image ↴
Elisabeth Spitz

Une photo inattendue, pas prévue, une image surgie par surprise. La grande roue se réinvente, floue comme un rêve qui glisse, étalée en couleurs mouvantes.
On dirait un tableau qui respire, un cercle de lumière qui tourne au même souffle que la roue, et entraîne le regard dans sa danse lente et infinie.

[POLITIQUE & SUJETS DE SOCIETE]

Bac + 5, Orthographe – 10 : la terrible diplômosclérose française

H16
8/12/2025

Les études – PISA notamment – se suivent et indiquent toutes la même chose : le niveau des élèves français continue de sombrer.

Que ce soit 20072010 ou plus récemment, 2023, ces colonnes ont été l’occasion de noter la contre-performance du système scolaire français sur les 20 dernières années : alors que les budgets du ministère chargé de nos chères têtes blondes n’ont cessé de croître, et que le montant consacré par élève aussi – alors même que le nombre total d’élèves, lui, diminue petit à petit dans le premier degré, les résultats des enfants (à l’arrivée en 6ème) et des adolescents (au sortir du collège) n’a pas cessé de dégringoler, et de le faire de plus en plus vite.

En 20 ans, le budget de l’Éducation est passé d’environ 100 milliards en 2000 à plus de 190 en 2025 : en somme, on a augmenté les moyens et surtout produit des médiocres, et ce malgré de nombreuses études (Rapport Coleman (1966), méta-analyses d’Eric Hanushek, étude du Mackinac Center ou de l’OCDE) montrant une corrélation faible entre les moyens financiers et l’efficacité d’un apprentissage.


La tendance était connue et les années passées, des articles récurrents s’inquiétaient de la présence d’étudiants à l’orthographe de plus en plus hésitante sur les bancs de facultés pour lesquelles l’écriture en français compréhensible n’est pourtant pas facultative (le Droit par exemple). Bien qu’inquiétante, cette tendance était pour le moment considérée comme marginale et ne concernant qu’une petite poignée d’individus presque analphabètes, manifestement bénéficiaires d’un baccalauréat un peu trop facile à obtenir.

Les choses sont cependant en train de tourner au vinaigre à mesure que cette proportion d’élèves illettrés croît de façon alarmante. À tel point que certains professeurs directement concernés s’en ouvrent directement dans quelques articles de presse, et pour eux, le constat est sans appel : on peut parler d’un « véritable effondrement ».

Et alors que la proportion de jeunes adultes diplômés du supérieur en France n’a cessé d’augmenter, même en prépa et avec une grosse majorité d’élèves avec une mention « très bien » ou « bien », des professeurs témoignent retrouver « des copies de six pages qui contiennent 60 à 70 fautes ». Pour ces derniers, on observe « une nette dégradation depuis trois ou quatre ans ».

Pour les professeurs concernés, la cause du mal est à chercher dans l’abandon de l’exigence de la grammaire et l’orthographe de la part des élèves : assez logiquement, comme les cycles primaires et secondaires ont renoncé à imposer une grammaire et une orthographe correctes aux élèves, ces derniers ne se donnent plus autant de mal qu’avant pour rester lisibles et compréhensibles. La disparition progressive des dictées, la réduction de la taille des devoirs écrits et l’amoindrissement de plus en plus marqué des exigences de syntaxe et de cohérence d’ensemble sont autant de facteurs qui ont favorisé un véritable laxisme orthographique et grammatical, qui s’est mué en habitude pour les élèves lorsqu’ils passent dans les études supérieures.

Le problème, c’est qu’une absence de rigueur au niveau de la forme entraîne bien souvent un amoindrissement de la rigueur au niveau du fond. Rapidement, alors que l’orthographe et la grammaire se délitaient, les raisonnements sont devenus de plus en plus simplistes, voire bateaux. Les poncifs s’enchaînent et la pensée de l’élève devient de plus en plus brouillonne. Petit à petit, par manque de vocabulaire, par manque d’exigence orthographique, par délitement grammatical, les élèves ne savent plus ni écrire, ni s’exprimer, ni même tenir un raisonnement décent.

Devant ce constat effarant, les autorités semblent vaguement comprendre qu’il va falloir se reprendre. Apparemment, cela passerait par un baccalauréat plus sévère : ainsi, pour la session 2026, les règles se durcissent en supprimant la possibilité d’un repêchage en dessous de 8 sur 20. Mieux encore, l’actuel ministre de l’éducation souhaite également que les professeurs aient des consignes d’exigence claires, avec, par exemple, la sanction de toute copie qui ne serait pas écrite de manière intelligible. Pour le ministre, une telle copie, avec « un niveau d’orthographe, de syntaxe et de grammaire absolument déplorable, ne peut pas avoir la moyenne ».

Compte tenu de la façon dont les élèves pleurnichent chaque année sur des examens trop difficiles ou trop sévères, on peut raisonnablement douter que ces nouvelles consignes seront effectivement appliquées pour la session 2026. Et donc, même si la prise de conscience est là, même si les autorités semblent vouloir aller dans la bonne direction, la distribution de diplômes en carton va probablement continuer…

Distribution d’autant moins pertinente que, dans le même temps, un nombre croissant d’entreprises renonce à utiliser les diplômes pour recruter leur personnel : pour ces dernières, il apparaît en effet qu’un poste dépend plus des compétences qu’une affaire de diplôme, et qu’un candidat, même avec des diplômes peu adaptés ou inexistants mais aux compétences démontrables est finalement plus intéressant qu’un diplômé aux compétences encore à acquérir…

Cette tendance est déjà clairement en cours outre-Atlantique, où s’accumulent les entreprises qui expliquent pivoter clairement d’un recrutement basé sur les diplômes à un recrutement basé sur les compétences : alors qu’un nombre croissant de candidats peut présenter un diplôme de l’enseignement supérieur, les entreprises comprennent que ces diplômes ne garantissent plus autant qu’avant certaines compétences minimales qu’elles recherchent et modifient leurs critères d’embauche en conséquence. Du reste, c’est maintenant une façon officielle de procéder chez certains grands noms de la tech comme Google ou Amazon qui ont leurs propres « examens » permettant d’évaluer au mieux les candidats, indépendamment de leurs diplômes.

En Europe, on note la même propension à se détacher, très progressivement, des papiers officiels produits par le système éducatif traditionnel. Un récent article de presse sur la DRH de SAP expliquait justement l’accent mis sur les compétences avant le diplôme. Sans surprise, on en voit les timides prémices en France où, là encore, certains comprennent l’importance des compétences avant tout.


la France s’apprête à vivre un douloureux paradoxe, celui d’un pays qui n’a jamais autant vénéré les diplômes – au point que les grandes écoles et les concours administratifs incarnent encore une forme de noblesse républicaine – tout en organisant avec autant de zèle leur dévaluation, et des millions de Français bardés de titres ronflants mais incapables de rédiger une note de service.

Fidèle à elle-même, elle tentera probablement encore un peu de restaurer la façade en rafistolant les examens et en multipliant les circulaires, sans pouvoir arrêter le mouvement de fond : dans un monde où l’on n’embauche plus des certificats mais des capacités, maintenir la fiction du diplôme magique revient à tenir debout une vitrine alors que l’arrière-boutique s’effondre.

Tôt ou tard, la France devra vivre une révolution culturelle et admettre que la compétence ne se distribue pas en fin d’année mais se construit, se vérifie, et parfois s’apprend en dehors même de l’école. Peut-être alors découvrira-t-elle qu’elle n’a jamais souffert d’un manque de talents, mais d’un excès de confiance dans ses titres et que, pour sortir de sa diplômosclérose, il lui faudra cesser de confondre diplôme et savoir-faire.

Ce sera le premier vrai test… dont la copie, cette fois, devra être lisible.


[Le blog des esprits libres et éclairés, c'est ici ⇨ liberteresistance.fr]
Concert de Noël à Saint-Matthieu par le Mosaïc Orchestra, sous la direction de Pascal Ferraro.
En partenariat avec l’ASMEO et la Paroisse Protestante de Colmar.
Photos Edouard Dabrowski


















Musée Unterlinden

En décembre, le cloître du musée se pare de lumières afin de vous transporter dans un univers féérique avec le spectacle Once Upon a Night.
La créativité reste au cœur du musée avec des ateliers proposés pour petits et grands autour du papier découpé sur le thème de Noël. A vos ciseaux pour la création d'un magnifique canivet !
Glissez également quelques crayons dans vos poches pour assister à l'atelier du "Crayon inspiré" en compagnie de l'artiste Éric Nieder.
Profitez des vacances de Noël pour prendre le temps de découvrir ou redécouvrir le retable d'Issenheim et les chef-d 'œuvres du musée pour une visite haute en couleurs.
Enfin pensez à vos cadeaux de Noël ! La boutique du Musée vous propose une sélection généreuse de produits inédits et originaux : de belles idées pour surprendre et faire plaisir.


Spectacle son et lumière
Once Upon a Night
Du 26/11/2025 au 4/1/2026
À l’occasion des 10 ans de la réouverture du Musée Unterlinden agrandi, un spectacle son et lumière exceptionnel, intitulé « Once Upon a Night », sera présenté dans le cloître du musée durant toute la période du marché de Noël de Colmar. À la nuit tombée, franchissez les portes du musée pour vivre une expérience sensorielle unique. L’architecture s’animera, les œuvres emblématiques du musée prendront vie, les couleurs s’illumineront : petits et grands redécouvriront le musée comme ils ne l’ont jamais vu.

En famille, en couple ou en groupe, le spectacle « Once Upon a Night » vous fera vivre un extraordinaire voyage au cœur des collections du Musée Unterlinden !

Publics : tout public
Dates et horaires : du 26/11/2025 au 4/1/2026 – Hors mardis et jours fériés (24, 25, 31 décembre 2025 et 1er javier 2026)
Spectacle présenté à 16h45, 17h00, 17h15, 17h30 et 17h45
Dernière entrée à 17h30
Durée : 10 min
Tarif : 7€ / personne
Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans
Accès à partir de 16h00 – Le billet donne l’accès au Musée de 16h à 18h ainsi qu’au spectacle “Once Upon a Night” présenté à 16h45, 17h00, 17h15, 17h30 et 17h45.
Le billet est valable pour toutes les séances de la journée choisie.
Lieu : cloître du musée

Réservez


Un canivet pour Noël
7 décembre 2025 à 10h

Photo : © Michèle Wagner

Que vous soyez débutant ou expert, cet atelier vous plongera dans l’univers fascinant du papier découpé et vous offrira l’occasion de créer votre propre décor de Noël : image à accrocher à la fenêtre, au sapin ou personnages à placer sur la table de fête…

Par Michèle Wagner, artiste imagière
Publics : adultes et adolescents dès 14 ans
Date et horaire : 7 décembre 2025 de 10h à 12h
Tarif : entrée du musée (jauge limitée*)
Lieu : point de rencontre à la billetterie du musée

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Atelier familles - Happy family
7/12/2025

Venez vivre au cœur du musée un moment de rencontre et de création en famille en compagnie d’un artiste !

Un canivet pour Noël

Préparez les festivités de fin d’année en compagnie de l’artiste imagière Michèle Wagner. En regard des collections d’arts et traditions populaires, elle invite petits et grands à la création de mobiles en papier et de lanternes sur le thème de Noël.

Publics : Familles, enfants dès 3 ans
Date : 7/12/2025
Horaire : 14h
Durée : 2h
Tarif : entrée du musée (jauge limitée*)
Lieu : point de rencontre à la billetterie du musée

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Atelier adultes - Le Crayon inspiré
19/12/2025


Et si vous observiez les collections du musée grâce à votre crayon ?
L’architecte et Urban Sketcher Éric Nieder vous propose de coucher sur le papier « votre perception » des œuvres. Le croquis devient l’écho de vos émotions, la trace d’un échange, d’une appropriation, de votre plaisir au dessin.

Publics : adultes
Date : 19/12/2025
Horaire : de 14h à 16h
Tarif : entrée du musée (jauge limitée*)
Lieu : point de rencontre à la billetterie du musée

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Visite Retable d’Issenheim
28 et 29 décembre 2025


Le Retable d’Issenheim du peintre Grünewald et du sculpteur Nicolas de Haguenau est un chef-d’œuvre mondialement reconnu. En compagnie d’une médiatrice, partez à la rencontre de ce polyptique monumental, composé d’une caisse sculptée et de volets peints dédiés à Saint-Antoine et à la vie du Christ.

Dates et horaires : 28 et 29 décembre 2025 à 14h
Durée : 1h30
Tarif : 4,50 € et droit d’entrée (jauge limitée*)
Lieu : point de rencontre à la billetterie du Musée

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Visite Chefs-d’œuvre
28 et 29 décembre 2025


La visite Chefs-d’œuvre vous permet de découvrir les œuvres emblématiques des collections (la mosaïque de Bergheim, le Retable d’Issenheim, le clavecin Ruckers, les œuvres de Picasso …) et l’architecture du musée.

Date et horaire | 28 et 29 décembre 2025 à 11h

Durée : 1h30
Tarif : 4,50 € et droit d’entrée (jauge limitée*)
Lieu : point de rencontre à la billetterie du Musée

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Exposition virtuelle
Sortie de réserves #1
9/7/2025 – 12/1/2026


L’accrochage « Sortie de réserves #1 » permet de découvrir des œuvres provenant uniquement des réserves du Musée Unterlinden et les différentes raisons pour lesquelles elles ne sont pas exposées en permanence. La mise en réserve d’une œuvre repose sur des critères scientifiques ou techniques souvent inconnus du public. Restées fermées au public jusqu’à la fin du 20e siècle, les réserves ont pu être perçues comme un second musée, invisible et régi par l’arbitraire du conservateur.

Acquisitions récentes en attente d’une place dans le parcours permanent, copies considérées comme des œuvres secondaires, œuvres en cours d’étude ou faisant l’objet d’un chantier de collection, œuvres nécessitant un aménagement spécifique avant de pouvoir être présentées au public… toutes justifient pour des raisons différentes leur conservation temporaire dans les réserves du musée. « Sortie de réserves #1 » permet d’appréhender les réserves du musée pour ce qu’elles sont : « ni trésors ni débarras » (Annie Caubet), elles constituent aujourd’hui un espace de conservation et d’étude nécessaire à la vie des collections et indissociables des multiples activités d’un musée.

Parcourez l'exposition virtuelle pour explorer une sélection d'œuvres du nouvel accrochage !


Once Upon a Cake


Dans la continuité du spectacle "Once Upon a Night" proposé au musée du 26/11/2025 au 4/1/2026, le chef du café restaurant Schongauer a imaginé pour cette occasion spéciale un exceptionnel dessert chocolaté !

Prenez place au café pour venir déguster cette nouvelle création !

Horaires d'ouverture : du mercredi au dimanche : 10h00 à 17h00, fermé les lundis et les mardis toute l’année.

Pour toute demande de réservation, vous pouvez contacter le restaurant par mail cafe@musee-unterlinden.com


La boutique du musée


Magie de Noël entre art et création contemporaine

Cet hiver, la boutique du musée s’illumine pour célébrer un Noël placé sous le signe de la créativité et du partage.

Plongez dans un univers où l’art rencontre la créativité actuelle : objets d’art, décorations de Noël, pièces originales, parfums, produits locaux et beaux livres se côtoient dans une sélection unique, pensée pour sublimer vos fêtes.

Une collection de cadeaux dédiés aux enfants viendra également émerveiller les plus jeunes.

Offrez plus qu’un cadeau : offrez une expérience, un geste qui célèbre la culture, la création et les talents de notre région.

La Boutique du Musée – un Noël d’émotion et de créativité
Ouvert tous les jours (sauf mardi, les 25/12 et 01/01) de 9h00 à 18h15 (11h00 le dimanche).
Fermeture les 24 et 31/12 à 16h00


Retrouvez tout l'agenda en ligne
* Pour participer aux événements, réservez auprès du service réservations du lundi au vendredi au +33 (0)3 89 20 22 79 – reservations@musee-unterlinden.com / le week-end au +33 (0)3 89 20 15 58 ou billetterie@musee-unterlinden.com

7 décembre 2025

[HUMEURS COLMARIENNES]

Nath Id

-7/12/2025- Quand on met 40 minutes pour rentrer chez soi, alors qu'habituellement le trajet en prend 10, quand on tourne 30 minutes pour se garer dans son quartier, quand on va en ville le matin très tôt car à partir de 11 heures les rues piétonnes sont bondées, on songe de plus en plus à quitter cette ville où le nombre de visiteurs des marchés de Noël est le seul intérêt de notre maire, toujours plus, mais aussi toujours plus de pollution, mais ça, c'est pas grave et pour info, j'ai accueilli un touriste la semaine dernière dans mon cadre pro, il ne viendra plus jamais à Colmar. Trop de monde, trop cher et deux expériences resto négatives au niveau qualité. Attention, M. STRAUMANN, trop c'est trop...

5 décembre 2025

Yann Durrière
5/12/2025

Journée mondiale du bénévolat


Aujourd’hui, on met à l’honneur celles et ceux qui donnent de leur temps, de leur énergie et de leurs compétences… simplement pour aider les autres.
Créée par l’ONU en 1985, cette journée rappelle combien les bénévoles sont indispensables au développement de notre société, que ce soit dans nos quartiers, auprès des jeunes ou au sein de nos associations locales.
⇨ En France, 4 associations sur 5 fonctionnent uniquement grâce aux bénévoles.
⇨ 12 millions de personnes s’engagent, dont 3,5 millions chaque semaine.
⇨ 190 nouvelles associations naissent chaque jour !
Mais malgré ces chiffres impressionnants, le nombre de bénévoles n’augmente plus. Alors qu’on le sait : sans ces hommes et ces femmes engagés, la vie associative ne pourrait tout simplement pas exister.
Dans certains pays, le bénévolat fait même partie du cursus scolaire. Et si la France décidait enfin de suivre cet exemple ?
Former, transmettre, encourager l’engagement : voilà une belle ambition républicaine.
Ayons aussi une pensée pour tous les bénévoles qui agissent chaque jour dans nos territoires : ceux de la réserve citoyenne présents au marché de Noël, ceux qui donnent de leur temps pour aider les autres, ceux qui protègent les animaux, et tous ceux qui font vivre nos associations patriotiques, culturelles, sportives... Sans eux, aucun événement ne pourrait exister. Leur engagement est précieux.
Pause musicale
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Antonio Vivaldi, Sonate en trio en ré mineur op. 1 n° 12 (Follia)
Edouard Dabrowski

Noël à Colmar