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21 décembre 2025

Nathalie Aubert
20/12/2025

Jeunes Agriculteurs ne vous laissez pas berner !

Recevoir les Jeunes Agriculteurs pour la photo, c’est facile.
Assumer son bilan politique, beaucoup moins.
Mme Klinkert soutient depuis des années des choix qui ont fragilisé nos exploitations : Green Deal européen, accords comme le Mercosur, concurrence déloyale, surtransposition des normes, charges qui explosent. Des politiques mortifères qui étranglent nos agriculteurs et accélèrent la disparition de nos fermes.
La mécanique est toujours la même : une rencontre, des paroles, toujours des paroles puis, derrière, la poursuite des décisions qui écrasent le terrain agricole.
Les agriculteurs n’attendent pas une mise en scène.
Ils ne veulent plus de discours creux.
Ils exigent des actes.
Au Rassemblement National, notre ligne est claire et constante :
- défendre la souveraineté alimentaire,
- protéger nos producteurs,
-  refuser les politiques qui organisent la baisse des revenus agricoles et la mort de notre agriculture.
Assez d’hypocrisie. Place au courage politique.
Nous l'aurons !

20 décembre 2025

[POLITIQUE & SUJETS DE SOCIETE]

Yann Bizien


-19/12/2025- Je scrute les évolutions de notre société grâce au travail remarquable de l'INSEE, de l'OID, de l'IFOP, de démographes, de Marc Vanguard, et j'accompagne ce billet en précisant à Monsieur Jacques Attali (qui comprendra) que l'obscurantisme, c'est aussi "entraver la construction et la diffusion de la connaissance" :

1- 89% de Français sont opposés à Emmanuel Macron et à la politique qu'il nous impose sans majorité pour gouverner.
2- 76% d’entre eux jugent qu’il n'y a plus aucun lieu sûr dans tout le pays.
3- Il y a ce soir 3482 Md€ de dettes en France. Mais le chef de l'État a validé dans la nuit un plan d'aides financières de 90 Md€ à l’Ukraine, plan décidé dans notre dos et contre notre volonté au sein du Conseil européen à Bruxelles (qui vient également de financer une université pro Hamas).
4- Le taux de chômage remonte et se situe à 7,4% en France au 14 décembre 2025. Il a augmenté de 8% en 12 mois.
5- Il y a eu 155 Md€ de transferts financiers personnels entre la France et l’étranger sur 15 ans (Eurostat/OID). C'est en moyenne une perte de 10 Md€ par an pour l'économie française (soit le coût d'industrialisation de deux petits porte-avions).
6- Il y a 45% de prélèvements obligatoires en France en 2024, 94 Md€ d’impôts sur nos revenus, 210 Md€ de TVA, 59,4 Md€ d’impôts sur les sociétés, 53,3 Md€ de taxes foncières, 34,9 Md€ de prélèvements sur les revenus du patrimoine, 2,7 Md€ d’impôts sur la fortune immobilière et 91 Md€ en autres prélèvements soit 568,8 Md€ de recettes fiscales pour l'État prédateur, socialiste et redistributeur en 2024.
7- Il y a eu 66 000 défaillances d’entreprises depuis le 1er janvier 2025.
8- Il y a 80 Md€ de fraude fiscale (15,2 Md€ détectés) et 7,25 Md€ de fraude sociale (839 millions détectés) en France en 2024.
9- Il n'y a jamais eu autant d'immigration en France qu'aujourd'hui, en volume, en pourcentage, en flux et en stock (OID)
10- L'immigration est en hausse de 77% depuis l’an 2000 en France. En incluant les personnes nées dans notre pays d’au moins un parent immigré, 22% de la population est désormais d’origine immigrée. Le fait le plus saillant concerne l’ampleur de la hausse constatée en une année seulement. La population immigrée recensée par l’INSEE a augmenté en effet de 434 000 personnes sur les douze mois de 2024. Il s’agit, tout simplement, de la plus forte croissance jamais enregistrée sur un laps de temps aussi court. Elle dépasse de 65% le précédent record. La France a la singularité de recevoir l’immigration la plus africaine d'Europe : la part des immigrés originaires d'Afrique y est trois fois supérieure à la moyenne de l’UE.
11- Il y a 29% de Catholiques et 11% de Musulmans en France (INSEE - IFOP - Marc Vanguard). La population musulmane est en très forte hausse, soit + 40%, âgés de 18 à 49 ans, en seulement une décennie (+600% depuis 1990). Le nombre de mosquées et autres lieux de culte musulmans a été multiplié par 10 depuis 1980. Les jeunes musulmans sont plus radicaux dans leurs opinions que leurs aînés (Marc Vanguard). Les 15-24 ans sont nettement plus religieux que leurs aînés :
• Soutien à la charia intégrale : 21%
• Fréquentation régulière de la mosquée : 44%
• Jeûne scrupuleux du Ramadan : 82%
• Port du voile chez les femmes : 44%
• 57% estiment que les lois de la République passent après les règles de l’islam (IFOP).
• 38% des musulmans en France approuvent au moins partiellement les positions des islamistes, un taux qui a été multiplié par deux depuis 1998.
12- Plus d’un élève de CM1 sur 5 parle une autre langue que le Français à la maison. Depuis 2008, le nombre d’élèves nés à l’étranger et dont le Français n'est pas la langue maternelle a explosé de 153%. L'OID démontre que l’immigration a un effet sur la baisse du niveau scolaire en France mais aussi sur le climat dégradé à l’école avec de la violence systémique dans certaines zones d’éducation prioritaires, des atteintes graves à la laïcité et du prosélytisme islamiste.
13- La spécificité française est que l'immigration accueillie dans notre pays est moins intégrée et plus pauvre qu'ailleurs en Europe (OID)
14- 35% des immigrés vivent en logement social ; ils perçoivent deux fois plus de prestations sociales. La moitié des bénéficiaires de l’aide alimentaire sont des immigrés. Ils consomment plus de dépenses publiques qu’ils n’y contribuent. (OID)
15- 90% des individus hébergés dans les logements d’urgence à Paris sont de nationalités extra européenne (OID). La région parisienne concentre la plus forte population immigrée sur deux générations. Il y a 8 millions d’immigrés en France soit 12% de la population. « Sur les 200 000 places d’hébergement d’urgence "généraliste" de l'État, entre 40 et 60 % sont occupées par des étrangers en situation irrégulière, pour un coût de 1 Md€ par an. La durée moyenne de séjour dans l’hébergement d’urgence, saturé par l'immigration irrégulière, est de trois ans et demi. Certains clandestins peuvent y rester pendant quatre, cinq ou six ans... » (OID)
16- Il y a eu 344 138 titres de séjour délivrés en France en 2024 (66% pour les Algériens), soit trois fois plus qu’en 1997. Sur un total de 434 000 migrants supplémentaires en 2024, 300 000 proviennent du continent africain, dont 148 000 de Maghreb. Le taux d'emploi des immigrés extra-européens est de seulement 43%, soit un des plus faibles d'Europe, et 41% n’ont aucun diplôme (22% pour les Français). Le taux d’emploi des immigrés en France est le deuxième plus faible d’Europe.
17- Il y avait 700 000 clandestins en France en 2024. La majorité d'entre eux sont entrés sur le territoire national et ils sont restés après l'expiration de leur titre de séjour. Depuis début 2025, il y a eu 100 000 entrées par flux maritime entre l’Italie, la Grèce et l’Espagne.
18- Le gouvernement implante des foyers d'accueil pour mineurs non accompagnés sur les communes de France sans aucune consultation préalable des élus et de la population locale. Ils seraient environ 31 000 en France actuellement (95% de jeunes garçons et 60% de jeunes Afghans). La prise en charge d'un mineur étranger non accompagné (MNA) coûte environ 50 000€ par an soit environ 2 Md€/an pour les contribuables. Ils occupent 20% de l'ensemble des places dédiées à l'aide sociale à l'enfance (augmentation de 30% entre 2023 et 2024). En 2023, un centre hospitalier psychiatrique ferme à Marseille à cause de l'insécurité et des dealers. Le bâtiment héberge désormais des mineurs non accompagnés.
19- En 10 ans, l'Union européenne a reçu l'équivalent d'un nouvel État membre entièrement composé de demandeurs d'asile.
En France, 120 000 places d'hébergement sont réservées aux demandeurs d’asile. Elles représentent un coût d’environ un milliard d’euros par an. La France a inscrit dans son droit le principe d'un "accueil inconditionnel" des clandestins dans l'hébergement d'urgence. Cette spécificité contribue à l'attractivité de notre pays pour l'immigration irrégulière. » (OID)
20- En 2023, la France a reçu une part d’immigrés originaires de pays à faible niveau de développement humain (éducation, santé, revenus...) trois fois supérieure à la moyenne de l'Union européenne. Parmi les jeunes âgés de 15 ans, les élèves immigrés connaissent, en mathématiques, un retard moyen de niveau équivalant à un an et demi d'études par rapport aux élèves "autochtones" (OID). L'immigration a évidemment un impact sur la baisse du niveau scolaire (Marc Vanguard).
21- 56% des Français estiment que l’immigration occupe une place majeure dans l’insécurité qui explose (CSA). 42% des musulmans de 15 à 24 ans en France disent éprouver de la sympathie pour l’islamisme. Pour Marc Vanduard, "l'immigration telle que nous la connaissons aujourd'hui en Europe influence à la hausse les crimes et délits, c'est une évidence factuelle et statistique". 35% des mis en cause pour cambriolages sont étrangers, alors que les étrangers représentent 8% de la population. Pour Marc Vanguard, "la surreprésentation est énorme. La France est devenue le pays le plus dangereux d'Europe. Il faudrait être de bien mauvaise foi pour ne pas voir que la "radicalisation de l'islam en France, conjuguée à la très forte hausse du nombre de musulmans pose des problèmes de cohésion sociale."
22- Il y a eu 526 580 délits en France en 2024. Près de 62% des actes violents enregistrés dans les transports parisiens proviennent de migrants. En dix ans, le nombre d’Algériens écroués en France a augmenté de 117%.
23- S'agissant de la "Christianophobie et de la haine antichrétienne en Europe", dont le rapport vient d'être publié, et synthétisé par Marc Vanguard sur le réseau X, la France fait partie des pays les plus touchés, d'après les données collectées : 770 actes recensés par la police et 139 par la société civile.
La majorité des actes recensés sont des actes de vandalisme :
• Vandalisme et incendies : 65%
• Violences physiques et verbales : 15%
• Profanations : 13%
• Vols d'objets religieux : 5%
Des milliers d’églises sont vouées à l’abandon.
24- Le Ministère de l'Intérieur a publié des chiffres sur l'insécurité en novembre 2025. Le nombre d'actes enregistrés AUGMENTE encore pour la plupart des infractions, quand on compare les 11 premiers mois de 2025 aux 11 premiers mois de 2024 :
• Escroqueries +9%
• Homicides +8% (82 morts de plus)
• VS +8%
• Agressions +4%
• Vols sans violence +3%
• Vols violents sans arme +3%
• Vandalisme +2%
À ce stade, on s'orienterait vers un bilan CATASTROPHIQUE pour cette année 2025 :
- Les violences poursuivent leur hausse
- Des infractions autrefois en baisse, comme les vols sans violence, repartent à la hausse.
42% des plaintes pour violences conjugales sont classées sans suite par la justice.
25- Le marché de la drogue EXPLOSE en France. De 2017 à 2023, le chiffre d'affaires de la vente de cannabis a augmenté de +30%, pour la cocaïne ou l'ecstasy, c'est même +80%. Au vu des chiffres, une évidence s'impose : la lutte contre le narcotrafic a ÉCHOUÉ. La consommation de toutes les drogues hors cannabis a fortement augmenté en volume. La demande explose. L'offre arrive à suivre sans aucun problème, la preuve : les prix sont stables. Oui, malgré une consommation de cocaïne en hausse de +80% en à peine 6 ans, il n'y a aucun signe de pénurie.
26- Le trafic de stupéfiants est florissant et ne semble nullement inquiété par les politiques mises en œuvre par les différents ministres de l'Intérieur.
27- À ce rythme, la France risque de devenir progressivement un narco-État. Le marché de la drogue pèse environ 7 milliards d'après estimation "officielle". Il est en croissance de 8% par an et impacte fortement notre société.
28- Il y a désormais 411 364 clandestins bénéficiaires de l’Aide Médicale d’État, pour un coût annuel record de 1,2 milliard d’euros à la charge du contribuable français.
29- La natalité s'effondre avec seulement 646 000 naissances en 2025, contre 750 000 en 2022. Environ 30% de la population a plus de 60 ans en France.
30- En février 2025, l'OID évalue le coût brut de l’immigration (régulière et irrégulière) à 75,1 Md€ par an, basé sur le budget 2023. Ce chiffre comprend les dépenses de santé, retraites, allocations chômage, prestations de solidarité, hébergement, logement, sécurité, justice et coûts administratifs. L'immigration coûte 3,4% du PIB à la France chaque année. Elle ne finance que 86% de ce qu’elle coûte à l’État et crée ainsi un déficit budgétaire.

Conclusion : Le rythme de notre effondrement s’accélère, la pression fiscale demeure, sans aucune garantie de sécurité quel que soit l'endroit où l'on réside. Les piliers du régalien ne tiennent plus la nation. Le pouvoir perd partout le contrôle sur notre démographie, sur notre sécurité, sur notre dette, sur notre économie, sur l'éducation de nos enfants et sur notre destin. La France, autrefois puissance de premier plan, est maintenant un pays de seconde zone, fracturé, ensauvagé, désindustrialisé, surendetté et déclassé. On continue de décrocher, mais on s'obstine dans notre modèle socialiste qu'absolument personne ne cherche à imiter. Notre nation n'est plus mobilisable pour envisager une guerre de haute intensité contre la Russie. Le bilan d'Emmanuel Macron est désastreux et le besoin de rupture politique est immense et urgent.
Je souffle ces chiffres à ceux qui en ont besoin, à ceux qui refusent de les voir, à ceux qui les contestent, qui les dénoncent et qui refusent de voir ces réalités dramatiques et objectives.
Nota : ce panorama chiffré dresse un constat chiffré et accablant de la politique conduite dans ce pays, avec ses conséquences. Je précise que l'OID ne reçoit aucune subvention publique et que son président rencontre tous les parlementaires qui le souhaitent, sans préférence politique.

[Le blog des esprits libres et éclairés, c'est ici ⇨ liberteresistance.fr]
[POLITIQUE & SUJETS DE SOCIETE]

Yann Durrière
20/12/2025


Mon cœur saigne.
Mon cœur saigne quand je vois cette vidéo d’agriculteurs, près de Brive, mettre un genou à terre et chanter la Marseillaise face aux gendarmes.
Mon cœur saigne quand je vois ceux qui nous nourrissent mis face à ceux qui nous protègent. Deux piliers essentiels de notre Nation opposés l’un à l’autre, alors qu’ils devraient être unis.
Mon cœur saigne quand je pense que ces gendarmes n’ont, au fond, sans doute aucune envie d’être là. Qu’ils obéissent à des ordres. Qu’ils préféreraient être sur le terrain à lutter contre la délinquance et les trafics de drogue plutôt que face à des agriculteurs en détresse. Beaucoup sont sans doute fils ou petits-fils d’agriculteurs eux-mêmes.
Mon cœur saigne quand je vois nos politiques ignorer, une fois de plus, le cri d’alarme de nos agriculteurs. Année après année, jour après jour, on les saigne avec des normes et des contraintes toujours plus lourdes, tout en les mettant en concurrence déloyale avec le reste du monde.
Mon cœur saigne quand on traite ces hommes et ces femmes d’extrême droite simplement parce qu’ils chantent la Marseillaise. Depuis quand aimer son pays, son travail et sa terre est-il devenu suspect ?
La France va mal quand elle oppose ses propres fils.
La France va mal quand elle oublie ceux qui la nourrissent et ceux qui la protègent.
J’ai la gorge serrée en écrivant ces mots.
Il est temps que ce pays se réveille.
Michael Gonzalez

COMMUNIQUÉ

J'annonce officiellement mon retrait de la course aux élections municipales prévues en mars 2026 à Colmar.
Je remercie toutes les personnes qui m’ont soutenu et suivi dans cette démarche.
Colmar 20 décembre 2025
Michael Gonzalez
Bernard Friedrich

-20/12/2025- Merci aux DNA de nous "distiller" progressivement et avec clarté les mesures que les différents candidats s'engagent à mettre en œuvre si le sort leur est favorable en mars prochain. Cette semaine, le point traité concernait la "sécurité". Je n'ai pas, comme certains, accès aux sources qui feraient de Colmar une "plaque tournante" du trafic de la drogue ; évidemment que nous n'échappons à ce fléau quasi incontrôlable. Je ne dispose pas non plus des statistiques permettant de définir le niveau de l'insécurité locale, son évolution, ni des différentes mesures déjà mises en œuvre pour lutter contre les différentes menaces. Que la situation à Colmar soit meilleure ou pas pire qu'ailleurs ? Bien, mais telle n'est pas la question. Le constat fait par nos candidats est que de nombreux progrès peuvent être faits pour améliorer une situation certes sérieuse, mais pour le moment pas trop inquiétante, hormis peut-être les incivilités et la gangrène du trafic de drogue. Ils sont nombreux à évoquer des mesures de bon sens (plus de moyens, plus de contrôle, plus de sanctions immédiates, etc.). Un seul propose des mesures plus brutales telles une responsabilisation accrue des parents, la suppression d'aides financières, et l'exclusion de l'accès au logement social. Mesures si séduisantes que tous les partis les font leur, que tous nous en rêvons, qu'elles sont quasiment devenues des brèves de comptoir mais qui dans la réalité se révèlent d'application particulièrement ardue voire impossible.
Beaucoup de mesures répressives ; peu de projets "préventifs" difficiles à concevoir et à mener à terme et pourtant essentiels ! Attendons la suite de l'enquête de notre quotidien en espérant qu'à la fin l'heureux élu saura mettre en œuvre les meilleures propositions des différents candidats ! Le plagiat, en la matière, peut avoir du bon.
Yves Hemedinger
20/12/2025

L’art pour les Colmariens, au cœur de leur ville

Nous voulons faire de Colmar une ville d’art vivante et accessible, pensée d’abord pour les Colmariens.
Développer la sculpture et l’art dans l’espace public, c’est permettre à chacun de croiser des œuvres au quotidien, dans les rues, les places et les quartiers.
• Mettre à disposition de vrais lieux d’exposition pour les artistes locaux, aujourd’hui trop souvent privés d’espaces pour montrer leur travail.
•  Créer un parcours artistique cohérent, reliant le centre et les quartiers, pour redécouvrir Colmar autrement.
• Renforcer la synergie entre les galeries d’art, les artistes et la Ville, pour construire ensemble une dynamique durable.
Sans oublier le street art, qui s’est beaucoup développé ces dernières années et qui mérite un soutien actif de notre part pour devenir une véritable forme d’art à part entière dans notre ville.
C’est un projet pour les Colmariens d’abord, pour une ville plus humaine, plus créative et plus fière de ses talents.






19 décembre 2025

Pause musicale
Cliquer sur l'image ↴
Ständchen (Sérénade) de Schubert – Itzhak Perlman, violon / Rohan de Silva, piano
Elisabeth Spitz
18/12/2025

Je lance un cri sur toutes les ondes
Malgré le vacarme du monde.
Je lance une prière
Qui se perdra peut-être
Avant d’atteindre la lumière.
Dans la nuit, les murs sont trop épais
Sans réponse, un monde muet.
Nombreux
Sont ceux
Qui cherchent une main tendue
Comme une bouteille à la mer perdue
Entre deux étoiles.
Le grand mât ne tient plus les voiles.
Captons ce murmure à bout de souffle,
Ce feu qui se refroidit et se camoufle.
L’urgence n’espère plus
Mais éclate pour que ces voix,
Ces âmes ne se brisent plus
Contre les parois de l’indifférence.
Ne plus laisser la peur, l’insoutenable
Et la solitude traverser le silence.

Œuvre de street-art intitulée « La Paix », réalisée par l'artiste Alexandre Puga à Paris. Elle se trouve au 31 rue Quincampoix dans le 4e arrondissement de Paris, pas loin de Beaubourg et du Centre Pompidou.

18 décembre 2025

AZUR FM
Propos recueillis par Anaïs Follenius / Crédit photo : Anaïs Follenius


Municipales 2026 à Colmar : les candidatures se dévoilent


-16/12/2025- À trois mois des élections municipales prévues les 15 et 22 mars 2026, la campagne électorale colmarienne prend forme avec sept candidats déjà officiellement déclarés. Face au maire sortant Eric Straumann qui brigue un second mandat, six autres profils variés entendent proposer une alternative aux Colmariens. Cécile Ney, première à se déclarer avec « Colmar Citoyenne Verte et Solidaire » défend une approche participative, Christophe Roussel porte les valeurs social-démocrates, Nathalie Aubert fait de la sécurité sa priorité, Michael Gonzalez prône l'union sans clivage partisan et l'écologiste Frédéric Hilbert (*) a annoncé se lancer une nouvelle fois en campagne. En ce mois de décembre, Yves Hemedinger a annoncé sa candidature, se décrivant comme le candidat de « l'authenticité » .


Nathalie Aubert, candidate du Rassemblement national


Ancienne militaire, aujourd'hui coach sportive et conseillère régionale Grand Est, Nathalie Aubert représente le Rassemblement national après avoir été candidate aux élections législatives de 2022 et 2024 sur la deuxième circonscription du Haut-Rhin. Habitante de Colmar depuis 20 ans, elle justifie son engagement : « À l'issue de l'armée, j'ai décidé de poursuivre mon engagement au service de mes concitoyens, non plus par les armes mais plutôt par les urnes. »
Son objectif : « remettre les Colmariens au centre des préoccupations ».

Son programme intègre l'amélioration du cadre de vie, le tourisme, les transports, le sport ou encore l'environnement avec des propositions comme la mise en place d'îlots de fraîcheur pour l'été ou le développement du verdissement de Colmar. Une thématique lui tient particulièrement à cœur : le bien-être animal. Bénévole à la SPA de Colmar, elle projette la création d'un dispensaire pour animaux, destiné notamment aux personnes à faibles revenus « qui n'ont pas les moyens d'aller chez le vétérinaire ». Sa candidature se caractérise par trois maîtres-mots selon elle : le courage politique, l'écoute et l'esprit d'équipe.


Michael Gonzalez, candidat « de l'union »


Professionnel libéral du secteur médical, Michael Gonzalez se présente sans étiquette politique, revendiquant cette position comme un atout pour « représenter l'étiquette colmarienne ». Né à Colmar et ayant grandi dans plusieurs quartiers de la ville, il mise sur sa connaissance du terrain et son attachement à la ville. « J'aime ma ville, j'aime tous ces quartiers, je suis de ce quartier comme de l'autre », explique-t-il. Sa candidature s'articule autour du « vivre ensemble » et de la restauration de la confiance.

L'un de ses projets concrets porte sur la revalorisation du quartier Saint-Joseph, qu'il considère comme « ayant une valeur patrimoniale symbolique très importante ». Il propose notamment la création d'un marché de Noël autour du presbytère pour « reconnecter » cette zone avec le centre-ville et mieux gérer les flux touristiques. Il se dit ouvert au dialogue avec tous les partis politiques, tout en précisant qu'un rattachement partisan « irait à l'encontre de ma démarche d'unité ».


Yves Hemedinger, candidat de « l'authenticité »


À 60 ans, Yves Hemedinger se présente à la mairie de Colmar après un riche parcours politique : premier adjoint au maire, conseiller régional d'Alsace, conseiller départemental du Haut-Rhin et député. Ancien bras droit de Gilbert Meyer, il souhaite que Colmar retrouve de l'authenticité. « J'ai beaucoup de convictions, mais je n'ai pas de certitude », explique ce dernier. Ancien militant RPR puis UMP-LR depuis l'âge de 16 ans, Yves Hemedinger ne retrouve aujourd'hui ses convictions dans aucun parti. Il défend une approche pragmatique des élections municipales où les décisions doivent être jugées selon leur utilité plutôt que selon des critères partisans.

Son programme s'articule autour d'un axe majeur : le développement économique. Face au vieillissement de la ville, il propose un plan massif pour attirer des entreprises et faire revenir les jeunes. Ses autres priorités incluent la sécurité, l'accès aux soins et le pouvoir d'achat des Colmariens. Sa liste, qui sera dévoilée en janvier prochain, se veut représentative de la population. Yves Hemedinger résume sa candidature en trois mots : sincérité, authenticité et rigueur, avec comme objectif de défendre l'âme de Colmar.


Cécile Ney, candidate de la démocratie participative


Première candidate à avoir déclaré sa candidature le 1er mai dernier, Cécile Ney est responsable impact dans des ONG internationales de soutien à l'entrepreunariat social et porte les couleurs de « Colmar Citoyenne Verte et Solidaire ». Ce collectif d'une quinzaine de membres revendique une approche démocratique participative, construisant son programme avec les habitants. « Notre collectif est vraiment marqué par l'idée qu'on souhaite ne plus rester en marge des décisions qui sont prises en tant qu'habitant », explique la candidate.

Leurs préoccupations portent sur divers sujets : le logement, l'accès à une alimentation saine locale et de qualité, les activités périscolaires pour les enfants ou encore la revitalisation du commerce de proximité au centre-ville. La candidate évoque aussi l'attention portée aux personnes vulnérables comme les enfants, personnes âgées ou parents isolés. Parmi les membres actifs du collectif figurent notamment Dominique Bourguignon, Bruno Deltour ou encore Flavien Ancely-Frey.


Christophe Roussel, candidat du Parti socialiste


Avocat colmarien depuis une vingtaine d'années, Christophe Roussel porte les couleurs du Parti socialiste après avoir été suppléant d'Aïcha Fritsch aux dernières élections législatives. « J'ai été désigné par la fédération du parti socialiste, comme étant la personne qui peut représenter le socialisme démocratique à Colmar », explique ce dernier. Ses priorités incluent l'accélération de la rénovation des logements sociaux. Il souhaite développer massivement la participation citoyenne aux décisions municipales, notamment par la mise en place d'un budget participatif et développer des actions de sensibilisation sur les violences intrafamiliales et le harcèlement scolaire. Au sujet de la sécurité, le candidat propose de créer des liens entre la police municipale et « des personnes qui seraient en quelque sorte le relais dans les cités », s'inspirant des brigades de tranquillité citoyennes dans certaines autres villes.

Sa candidature a pour objectif un « rassemblement républicain démocratique ayant comme but principal la justice, à la fois par rapport aux populations, l'intégration, la dignité des personnes et la justice entre tous les habitants colmariens ».


Eric Straumann, candidat de la « continuité »


Le maire sortant, Eric Straumann, a confirmé sa candidature à sa réélection. Il revendique une candidature « logique, utile et de continuité pour que cette ville reste sereine et prospère ». Fort d'un riche parcours politique, il mise sur l'expérience et la continuité après un premier mandat marqué par la crise sanitaire. « Un mandat c'est très court, une commune comme Colmar c'est un paquebot qui prend du temps à être manœuvré », justifie-t-il. Ses priorités pour un second mandat s'articulent autour du développement de l'attractivité territoriale, avec notamment le rachat de la gare de marchandises pour créer de l'attractivité économique. Parmi ses autres projets figurent l'aménagement de l'entrée de Colmar via la route de Neuf-Brisach, la révision intégrale de l'avenue Clemenceau, la poursuite du développement des pistes cyclables ou encore l'aménagement de l'entrée Nord. Le maire sortant met également l'accent sur la création d'une société publique locale pour gérer le Parc des Expositions, dont la délégation de service public arrive à échéance.

Eric Straumann cite comme réussite majeure de son mandat la piétonnisation de la Place de la Cathédrale. « C'était une décision compliquée à prendre que de piétonniser le centre-ville. Aujourd'hui, plus personne ne conteste cet aménagement », explique ce dernier.


* Contacté par nos soins, l'écologiste Frédéric Hilbert n'a pas encore répondu à notre demande d'interview.

17 décembre 2025

Michel Spitz
16/12/2025

Colmar et la Bibliothèque des Dominicains sont portés au rang de sites d’exception du journal anglais « The Gardian »


Traduction : Notre voyage en Interrail nous a menés à Colmar, en Alsace, une ville médiévale chargée d’histoire, où se mêlent harmonieusement culture, gastronomie et vins français et allemands, avec ses maisons à colombages. Cachée au cœur de la ville, derrière l’église dominicaine du XIVe siècle, se trouve la bibliothèque dominicaine. L’entrée est gratuite et la visite est absolument époustouflante. On y trouve des milliers de livres magnifiques, dont les 1 200 manuscrits enluminés constituent le joyau de la collection. De superbes cartes du XVIe siècle et des traductions de lettres de Christophe Colomb côtoient des livres de psaumes, des Bibles et des partitions musicales du XIIIe siècle. Certains documents remontent au VIIIe siècle. Nombre d’entre eux sont somptueusement décorés à la main, à l’or fin et au bleu outremer éclatant. C’est tout simplement merveilleux.

16 décembre 2025

Maîtrise de Colmar : un concert exceptionnel pour célébrer 40 ans de musique

vendredi 19 décembre 2025
au musée Unterlinden


La Maîtrise de Colmar clôture ses 40 années d'existence par un concert exceptionnel intitulé "Étincelles". Cet événement musical se déroulera le 19 décembre 2025 au musée Unterlinden, dans l'espace "La piscine" avec deux représentations à 18h30 et 19h30.

Direction : Catherine Roussot
Au piano : Gabriele Nicotra

Gratuit
Nathalie Aubert
16/12/2025

Ce qui se passe actuellement à Colmar est indigne.
Un cirque s’installe avec des dromadaires, des animaux manifestement non adaptés à nos conditions climatiques, attachés à une barrière, exposés au froid et au stress. C’est un véritable scandale.
La maltraitance animale n’est ni un divertissement ni une tradition respectable. Elle n’a pas sa place dans notre ville. Colmar ne peut pas fermer les yeux sur des pratiques d’un autre temps, au mépris du bien-être animal et des valeurs que nous devons défendre.
Je m’opposerai toujours à l’installation de cirques avec animaux à Colmar.
Je mettrai tous les moyens politiques et réglementaires nécessaires pour faire cesser ces pratiques et pour que notre ville tourne définitivement le dos à ce type de spectacles.
Le respect du vivant n’est pas négociable.

[POLITIQUE & SUJETS DE SOCIETE]

Kelly Scott
16/12/2025

Le ton condescendant de la ministre de l’Agriculture quand elle s’adresse aux gens de la terre, donne la nausée… Elle prend vraiment les citoyens et les paysans pour des gogols.
« La situation est sous contrôle » dit-elle cyniquement…
Cette femme est devenue une macroniste pur jus :
! Incompétence, mépris, autosuffisance !
Une parvenue sans poigne, sans courage, à la botte de l’UE.
Idem pour le président de la FNSEA et tous ceux qui soutiennent les abattages de troupeaux.
Lecornu dans son discours aux agriculteurs a fait preuve aussi d’une hypocrisie et d’une insincérité sans nom.
Ces gens-là n’ont aucun affect, aucune empathie pour personne, les réalités et les difficultés du terrain, ils s’en fichent royalement.
Ils craignent une chose en ce moment, c’est que le peuple ne se soulève.
Sinon, seuls comptent leurs intérêts personnels et leurs postes.
Ces politiques et leur chef qui n’est même plus légitime, ne nous défendront jamais ! Ils nous enfoncent tous les jours un peu plus et la France avec.
Vivement 2027 ! Ça ne pourra pas être pire…

15 décembre 2025

Michael Gonzalez



21/11/2025


Un abonnement à 20 € par mois pour les Colmariens permettra d’accéder à l’ensemble des parkings et des places de stationnement sur tout le territoire de Colmar.
Ce dispositif offrira simplicité, équité et économie pour tous les usagers, qu’ils soient résidents, commerçants ou salariés.
De plus, la construction de nouveaux parkings, dont des parkings souterrains, sera engagée afin de répondre à la croissance de la ville et aux besoins accrus de stationnement.
Ces infrastructures seront équipées de bornes de recharge pour véhicules électriques, afin d’accompagner la transition écologique et de moderniser durablement l’offre de stationnement à Colmar.
À Colmar, je veux engager une politique globale et cohérente du stationnement, fondée sur trois objectifs : faciliter la vie quotidienne des habitants, soutenir l’activité économique locale et moderniser durablement nos infrastructures urbaines.

Un abonnement de stationnement accessible pour les Colmariens et les commerçants

Je proposerai un abonnement mensuel unique de 20 €, réservé aux Colmariens et aux commerçants, afin de simplifier l’accès au stationnement et de réduire les coûts pour les usagers réguliers.
Cet abonnement permettra de fluidifier la circulation, de limiter le stationnement aléatoire et d’encourager une organisation plus rationnelle, favorable au dynamisme du centre-ville.

Des conditions de livraison adaptées aux besoins des commerces

Les commerçants doivent pouvoir livrer et décharger leurs marchandises sans obstacles inutiles.
Je mettrai en place un dispositif offrant des horaires plus souples et adaptés, ainsi qu’une réglementation allégée pour les entreprises intervenant dans les commerces, les restaurants et les services.
L’objectif est simple : ne plus sanctionner ceux qui travaillent, mais leur permettre d’exercer leurs missions dans des conditions réalistes, sans stress et sans perte de temps.

Un plan de construction de parkings (souterrains également, vu la cartographie de la ville) adaptés à la croissance de la ville

• Parking Saint-Joseph
Un parking souterrain sera aménagé sous le parking existant, face au lycée Blaise-Pascal.
Il sera réservé en priorité :
– aux Colmariens, et notamment aux riverains du quartier Saint-Joseph ;
– aux habitants du Ried et du vignoble.

• Route d’Ingersheim
En concertation avec la Région, nous transformerons la zone enherbée en un espace de stationnement paysager, avec un arbre planté entre chaque place, afin de préserver un cadre agréable et écologique.

• Parkings souterrains de proximité dans les quartiers en tension
Dans les quartiers où le stationnement est particulièrement difficile, comme le quartier Sainte-Marie, je lancerai la construction de parkings souterrains réservés aux riverains, accessibles avec un tarif symbolique et équipés de bornes de recharge pour véhicules électriques.
Ces réalisations seront progressivement étendues à tous les secteurs où la demande est forte, afin de réduire les nuisances, la pollution liée à la recherche de places et l’usure des véhicules.

Un projet structurant : un parking souterrain sous le Tribunal judiciaire et l’ancienne prison, rue des Augustins

Je proposerai la construction d’un grand parking souterrain sous le Tribunal judiciaire et l’ancienne maison d’arrêt, aujourd’hui désaffectée.
Ce projet est techniquement réalisable, comme l’ont démontré la construction du parking de la Montagne Verte ou de la place Rapp. Avec une étude géotechnique appropriée, cette infrastructure pourra être menée à bien sans compromettre les bâtiments environnants.
Ce parking jouera un rôle majeur dans l’organisation du stationnement à Colmar :
– il sera réservé en grande partie aux Colmariens, notamment aux habitants du Ried, du vignoble et à ceux qui viennent travailler quotidiennement en centre-ville ;
– il facilitera le quotidien des habitants du centre, qui manquent de places sécurisées et accessibles.
Environ un quart des places (à affiner selon la capacité finale) sera dédié aux usagers extérieurs venant ponctuellement en centre-ville, notamment les touristes, afin de préserver l’équilibre entre vie locale et attractivité.
L’objectif est clair : permettre aux Colmariens de se réapproprier leur ville, de retrouver un centre-ville apaisé et accessible, sans être en concurrence permanente avec les flux touristiques.

Extension du parking de la Mairie : un espace enfin dédié aux Colmariens

Je proposerai également l’agrandissement du parking de la Mairie, avec une zone exclusivement réservée aux habitants de Colmar.
Ce nouvel espace renforcera l’offre de stationnement de proximité, indispensable pour soutenir la vie quotidienne, les commerces et l’activité culturelle du cœur de ville.
Avec cette stratégie globale, Colmar adoptera une politique moderne, équitable et ambitieuse du stationnement, pensée pour les Colmariens, utile aux commerçants et adaptée aux défis de demain.
Ces parkings intégreront, si possible, de la végétalisation, des toitures vertes ou des zones perméables. Ils seront conçus dans une logique environnementale moderne, afin de permettre un véritable gain écologique.
À noter que les parkings souterrains seront livrés entre 30 et 42 mois après le lancement du projet.
Les parkings de surface végétalisés seront opérationnels en moins de 14 mois, et les parkings réservés aux riverains pourront être mis en service en quelques mois seulement.

FICHE TECHNIQUE
 
Impact écologique des projets de stationnement à Colmar
1. Objectif général

Réduire la pollution et améliorer la qualité de vie en réorganisant le stationnement à Colmar grâce à des infrastructures adaptées, modernisées et écologiquement responsables.
2. Impacts écologiques attendus
2.1. Diminution des émissions polluantes
– Réduction du temps de recherche de stationnement dans les quartiers saturés (Sainte-Marie, Saint-Joseph, centre-ville).
– Baisse des émissions de CO₂, NOx et particules fines grâce à la diminution des trajets inutiles.
– Moins d'embouteillages locaux et de nuisances sonores.
2.2. Réduction de la surconsommation et de l’usure des véhicules
– Moins d’arrêts/redémarrages, qui augmentent la consommation de carburant.
– Optimisation des déplacements quotidiens → baisse des émissions et de l'usure mécanique.
2.3. Création de parkings végétalisés
– Installation d’arbres entre chaque place (ex : route d’Ingersheim).
– Diminution des îlots de chaleur urbains.
– Augmentation de la perméabilité des sols grâce à des parkings drainants.
– Contribution à la biodiversité et absorption naturelle du CO₂.
2.4. Généralisation des parkings souterrains
– Limitation de l’impact visuel et optimisation du foncier.
– Libération d’espaces en surface pouvant être réaffectés à des espaces verts, zones piétonnes ou pistes cyclables.
– Réduction du stationnement anarchique, améliorant la fluidité de la voirie.
2.5. Déploiement de bornes de recharge électrique
– Installation systématique dans les parkings réservés aux riverains.
– Encouragement au passage vers des véhicules à faibles émissions.
– Soutien à la transition énergétique locale.
3. Cohérence avec les objectifs environnementaux
Ces projets s’inscrivent dans :
– les orientations du Plan Climat-Air-Énergie Territorial (PCAET),
– les normes environnementales nationales (loi Climat et Résilience),
– une vision de mobilité durable visant à réduire les émissions urbaines et à moderniser les infrastructures tout en préservant la vitalité économique de la ville.
4. Bénéfices écologiques globaux pour Colmar
– Amélioration de la qualité de l’air.
– Réduction du trafic de surface et des nuisances.
– Mise en cohérence entre modernisation urbaine et préservation environnementale.
– Renforcement de l’attractivité d’une ville plus propre, plus fluide, plus végétalisée.


17/11/2025


Pourrait-on nous indiquer quel candidat porte également un projet de tramway ?
Avant que nous présentions publiquement la nécessité du tram à Colmar et ses avantages, nous souhaitons éviter qu’on vienne ensuite prétendre que cette idée figurait déjà dans d’autres programmes.
Au plus tard mercredi, si aucun candidat ne se manifeste sachant que mon compte politique est consulté par les autres candidats ou leurs soutiens proches, cela signifiera qu’aucun d’eux n’a ce projet, ou que, s’ils l’adoptent, j’aimerais comprendre dans quelle mesure cette idée leur est venue et comment ils envisagent de la financer.



15/11/2025

Ce qui a été mis en place jusqu’à présent comme ce qui est mentionné dans cet article , c’est un peu comme « pisser dans un violon » : le flux touristique restera intense, avec toutes les conséquences que cela implique sur la circulation en centre-ville, et le stationnement demeurera un véritable cauchemar. Aucune mesure directe ne profite réellement aux Colmariens.
Avec Michaël Gonzalez, l’approche serait différente : extension du marché de Noël vers la rue Vauban et le quartier Saint-Joseph, accompagnée de parkings supplémentaires, afin de rendre le marché plus fluide et agréable.
Il propose également la mise en place d’une carte de stationnement, non pas limitée à une heure gratuite, mais permettant aux Colmariens de se garer où ils le souhaitent dans la ville pour environ 20 € par mois (tarif à définir). Certaines zones de stationnement, voire des parkings entiers, seraient réservés exclusivement aux résidents.
Bien sûr, les infractions continueraient d’être verbalisées, mais sans pénaliser les Colmariens, qui ne sont pas des touristes de passage mais des habitants à plein temps. Ils bénéficieraient ainsi soit des mêmes facilités de stationnement toute l’année, indépendamment du flux touristique, soit d’une certaine indulgence en cas de contravention.
Michaël Gonzalez prévoit en effet de demander aux policiers municipaux de verbaliser uniquement en cas de graves infractions au code de la route ou de stationnement très gênant, notamment pendant la période de Noël.


15/11/2025

À savoir que le parking ne sera pas construit sous la place Saint-Joseph ; il faut faire preuve d’un minimum de bon sens, car cela serait impossible. Le parking souterrain sera réalisé sous le parking situé en face du lycée Blaise-Pascal.


10/11/2025

La rénovation des Cinq Châteaux à Husseren-les-Châteaux, c’est une fierté pour notre territoire !
Un projet qui valorise à la fois notre vignoble, notre patrimoine et tout le bassin colmarien.
Ce que l’on fait pour le vignoble, on le fait aussi pour Colmar.
Un projet comme la reconstruction et valorisation des cinq châteaux de Husseren-les-Châteaux peut significativement booster le vignoble colmarien, et voici pourquoi :
1. Attraction touristique renforcée
Les châteaux deviennent une destination touristique emblématique, attirant visiteurs locaux et internationaux.
Les touristes visitant le château vont souvent chercher à découvrir la région viticole environnante, donc le vignoble bénéficie d’un flux accru.
2. Synergie avec le vin et le terroir
Possibilité d’organiser dégustations de vins alsaciens dans le château ou dans les parcours touristiques.
Partenariats avec les producteurs locaux pour proposer pack visites château + vignoble + dégustation.
Création d’événements œnotouristiques (fêtes médiévales avec accord vins et gastronomie, festivals de vendanges...
3. Augmentation de la notoriété internationale
Si le château-hôtel est promu à l’international (média, marketing ciblé pour investisseurs du Golfe), la région viticole gagne en visibilité mondiale.
Les touristes fortunés fréquentant l’hôtel seront des clients potentiels pour le vin local, augmentant les ventes directes et la renommée.
4. Développement économique local
Hôtels et activités touristiques génèrent un flux économique vers restaurants, caves, guides touristiques, artisans.
Les vignerons peuvent bénéficier d’un marché supplémentaire grâce à la fréquentation accrue de la région.
5. Effet “destination complète”
La combinaison château + hôtel + musée + vignoble crée une expérience unique :
- Séjour culturel + œnotourisme
- Possibilité de forfaits séjour combinés
- Augmentation de la durée moyenne des séjours et des dépenses touristiques
Ce projet ne se limite pas à la valorisation du patrimoine historique, il devient un catalyseur pour tout le vignoble colmarien, en renforçant l’attractivité touristique, la notoriété internationale et le chiffre d’affaires des producteurs locaux.

Impact Prévisionnel du Projet “Les Cinq Châteaux de Husseren-les-Châteaux”
Sur le vignoble colmarien et le bassin économique de Colmar (Alsace)
1. Hypothèse de base du projet
Investissement total : 15 à 35 millions € selon le scénario (voir plus haut).
Ouverture prévue : 4 à 5 ans après le lancement.
Capacité :
1 hôtel haut de gamme (15 à 20 chambres).
4 châteaux touristiques et muséaux.
Fréquentation visée : 150 000 visiteurs/an au total, dont 20 000 nuitées dans l’hôtel.
Positionnement : haut de gamme, culturel, œnotouristique et international.
2. Retombées économiques sur le vignoble colmarien
Indicateur - Estimation annuelle après ouverture - Effet économique
Augmentation du flux touristique dans le vignoble +15 à +25 %. Davantage de visiteurs dans les caves et domaines.
Ventes directes de vin +2 à +3 millions €/an Les visiteurs du château consomment ou achètent local.
Création de partenariats œnotouristiques 10 à 20 domaines partenaires Offres combinées : visite du château + dégustation.
Événements et festivals liés au vin 4 à 6/an Ex : “Vendanges du Château”, “Route des Vins & Histoire”.
Création d’emplois indirects 40 à 60 emplois : sommeliers, guides, chauffeurs, restaurateurs.
Conséquence directe :
Le projet crée une synergie entre patrimoine et viticulture, renforçant l’identité du vignoble colmarien comme pôle œnotouristique majeur d’Alsace.
3. Retombées sur le bassin économique colmarien
Secteur - Effet attendu - Estimation annuelle
Tourisme et hôtellerie +30 000 nuitées/an supplémentaires dans Colmar +3 à +5 M€ de retombées
Restauration et commerces : hausse de fréquentation touristique +2 à +4 M€
Artisanat et patrimoine, travaux de restauration, maintenance, souvenirs +1 à +2 M€
Création d’emplois directs : hôtel, musée, gestion du site 70 à 100 emplois
Création d’emplois indirects : transport, services, sous-traitance 100 à 150 emplois
Effet “halo” sur l’immobilier et les investissements : ugmentation de la valeur touristique de la région +5 à 10 % de valorisation à moyen terme.
Impact total estimé sur le bassin colmarien :
> +10 à 15 millions d’euros/an de retombées économiques locales dès la 3ᵉ année d’exploitation.
4. Bénéfices pour un investisseur émirati
1. Visibilité et prestige international : un projet culturel et touristique phare en Europe.
2. Rendement direct : revenus de l’hôtel, billetterie du musée, événements, partenariats.
3. Rendement indirect : notoriété du fonds dans le secteur du patrimoine et du tourisme de luxe.
4. Effet levier : ouverture vers d’autres investissements à Colmar (résidences hôtelières, spas, vignobles, gastronomie, green tourism).
5. Vision à long terme (10 ans)
Domaine Projection à 10 ans
Nombre annuel de visiteurs du site 250 000 à 300 000
Retombées annuelles totales (Colmar + vignoble) 15 à 20 M€
Création cumulée d’emplois 250 à 300
Augmentation du flux œnotouristique régional +30 à +40 %
Revenus hôteliers et événementiels cumulés 80 à 100 M€
Image de Colmar à l’international Renforcée comme “capitale du vin et du patrimoine alsacien”
6. Conclusion stratégique
Le projet des cinq châteaux devient :
Un moteur touristique et économique majeur pour Colmar et son vignoble.
Un projet emblématique capable d’attirer un investisseur du Golfe grâce à son prestige, sa rentabilité et son impact culturel.
Un levier durable pour renforcer la notoriété de Colmar à l’échelle internationale.



7/11/2025

Michael Gonzalez a annoncé qu’il ferait signer à l’ensemble de ses colistiers une charte d’engagement démocratique. Celle-ci prévoit que, si une pétition de contestation recueille plus de 20 % des voix de l’électorat, les élus concernés y compris lui-même, présenteront immédiatement leur démission, provoquant ainsi une nouvelle élection municipale.



3/11/2025

L’alsacien, une langue d’avenir pour une Alsace fière et unie !
Chers Alsaciens, chers amis de notre région,
L’Alsace, c’est bien plus qu’un territoire : c’est une culture, une histoire, et une langue qui nous rassemblent. Pourtant, aujourd’hui, trop de nos enfants y compris les miens grandissent sans maîtriser l’alsacien, malgré l’amour qu’ils portent à notre gastronomie, nos traditions et notre art de vivre. Cette langue, parlée avec passion par des générations avant nous, risque de s’effacer faute de transmission. Mais ensemble, nous pouvons changer cela.
Quelles que soient nos origines ou nos croyances, l’alsacien est un patrimoine commun, une richesse qui nous relie. J’ai rencontré des "Chibanis" qui le parlent avec une élégance et une chaleur qui prouvent que cette langue n’appartient à personne… et à tous à la fois. Elle est notre force.
C’est pourquoi je propose un plan ambitieux et concret pour redonner à l’alsacien la place qu’il mérite dans notre quotidien, et surtout dans l’éducation de nos enfants — parce que c’est là que tout commence.
Un projet pour transmettre, apprendre et valoriser l’alsacien
Notre objectif ? Faire de l’alsacien une langue vivante, reconnue et célébrée, tout en en faisant un atout pour l’avenir de nos enfants et de notre région.
Pourquoi ?
Préserver notre identité tout en nous ouvrant à l’Europe (l’alsacien est une passerelle vers l’allemand, le suisse-allemand, et bien plus).
Stimuler la réussite scolaire : le bilinguisme précoce développe les capacités cognitives et l’ouverture d’esprit.
Renforcer notre attractivité : une région fière de sa culture attire les talents, les entreprises et les touristes.
Créer du lien entre les générations et les communautés, pour une Alsace plus unie.
Comment ? Un plan éducatif ambitieux et progressif
Dès la petite enfance (0-6 ans) :
- Ateliers ludiques en crèche et maternelle (comptines, contes, jeux).
- Formation des éducateurs pour une immersion naturelle.
À l’école primaire (6-11 ans) :
- 2h d’alsacien par semaine, avec des activités joyeuses (chant, théâtre, rencontres avec des locuteurs natifs).
Au collège (11-15 ans) :
- Cours structurés, clubs linguistiques et échanges culturels.
- Option Langue Vivante C pour ceux qui veulent aller plus loin.
Au lycée (15-18 ans) :
- Reconnaissance de l’alsacien comme Langue Vivante B au baccalauréat, avec un coefficient valorisant.
- Parcours bilingues pour les lycéens motivés.
Pour les enseignants :
- Un plan de formation académique et une plateforme numérique avec ressources pédagogiques (cours, vidéos, jeux).
- Partenariats avec l'OLCA, les universités et nos voisins allemands et suisses.
Une langue qui nous projette vers l’avenir
L’Alsace est au cœur de l’Europe, dynamique et tournée vers l’innovation. Avec des projets comme le tram-fret colmarien (450M€ d’investissement), notre région se positionne comme un acteur économique majeur. L’alsacien n’est pas un retour en arrière, mais un tremplin pour demain :
- Un atout professionnel dans un espace transfrontalier en pleine expansion.
- Un marqueur d’identité qui renforce notre cohésion et notre fierté.
- Un levier culturel pour attirer et retenir les talents.
Des résultats concrets
Nous mesurerons notre succès ensemble :
+30 % d’enfants exposés à l’alsacien en 5 ans.
+50 % d’enseignants formés.
100 % de réussite pour les élèves choisissant l’option LV alsacien au bac.
Une démarche collective
Ce projet, nous le construirons main dans la main avec :
- Le Ministère de l’Éducation nationale et l’Académie de Strasbourg.
- La Collectivité Européenne d’Alsace et les associations culturelles.
- Les institutions frontalières (Allemagne, Suisse) pour des échanges enrichissants.
Rejoignez-nous !
L’alsacien n’est pas une langue du passé. C’est une langue d’avenir, moderne et vivante, qui mérite sa place dans les salles de classe, les rues de nos villes et les cœurs de nos enfants.
Ensemble, faisons de l’Alsace une région modèle, où tradition et modernité se rencontrent pour écrire une histoire commune — Une histoire dont nous serons tous fiers.



3/11/2025

Lettre ouverte sur l’équilibre à retrouver pour les terrasses de Colmar
Chers Colmariens, chers professionnels de la restauration,
Depuis 2020, les abonnements pour l’occupation des terrasses à Colmar ont connu une hausse significative, parfois plus que doublée. Cette augmentation, décidée par la mairie sans justification économique claire, pèse lourdement sur les épaules des cafetiers et restaurateurs. Plutôt que de stimuler l’économie locale, cette politique semble avant tout viser à accroître les recettes municipales — au risque d’asphyxier ceux qui font vivre notre ville au quotidien.
Il est vrai que Colmar attire de plus en plus de visiteurs. Pourtant, ce tourisme prend parfois la forme d’un surtourisme éphémère : des « touristes de carte postale » qui, après une photo devant nos maisons à colombages, repartent sans toujours contribuer à l’économie locale. Beaucoup se contentent de partager une tarte flambée avec une carafe d’eau, générant ainsi plus de travail pour les établissements, mais pas forcément plus de revenus. Dans ce contexte, la hausse des abonnements pour les terrasses réduit encore les marges déjà fragiles des professionnels, les plaçant dans une situation paradoxale : travailler davantage pour gagner moins.
Nous ne remettons pas en cause l’attractivité de Colmar, bien au contraire. Mais il est essentiel de trouver un équilibre : un tourisme qui profite à tous, des tarifs justes pour les professionnels, et une ville qui reste vivante sans écraser ceux qui en sont les artisans.
La question n’est pas seulement financière, mais aussi humaine et stratégique : comment préserver le charme et l’authenticité de Colmar, tout en permettant à ses commerçants de prospérer ? Comment faire en sorte que notre ville ne devienne pas un simple décor, mais reste un lieu où il fait bon vivre, travailler et entreprendre ?
C’est ce débat que je souhaite ouvrir avec vous, dans un esprit de concertation et de recherche de solutions communes. Parce que Colmar mérite une politique qui soutienne ses acteurs économiques, plutôt que de les fragiliser. Ensemble, construisons une vision où tourisme rime avec équilibre, et où chaque Colmarien qu’il soit restaurateur, commerçant ou habitant trouve sa place dans le développement de notre ville.
Avec toute ma considération,
Michael Gonzalez



1/11/2025

Projet tram train fret
Entreprise / Commerce
Projet : Tram-Train Fret Colmar – Neuf-Brisach
Résumé stratégique
Retombées estimées : 450 à 500 M€ sur 5 ans
Retour économique multiplié par x4 à x6
Modèle mixte : passagers + fret
Fonctionnement élargi :
– Nuit jusqu'à 2h, retour 4h30
– Intervalles fret : midi & nuit
Impact économique
Domaine Bénéfice
Mobilité & efficacité + productivité salariés, moins retards, meilleure accessibilité
Commerce & tourisme + fréquentation centre & établissements
Viticulture Soutien consommation locale & réseaux œnotourisme
Attractivité Talent retention & attractivité résidentielle
Logistique Réduction coûts transport fret
Impact sociétal
Cohésion sociale renforcée
Appui aux associations locales
Accès santé facilité
Mobilité inclusive seniors / PMR
Impact environnemental
Réduction trafic routier & CO₂
Transition écologique crédible
Mise en conformité stratégique européenne mobilité verte
Risque si projet non réalisé
Déclassement territorial
Fuite commerciale vers Strasbourg / Mulhouse
Fragilisation du vignoble & commerce
Augmentation congestion & pollution
Investir dans ce projet, c’est capitaliser sur une croissance durable, inclusive et rentable.



1/11/2025

Projet de marché de Noël place Saint-Joseph & solution de stationnement
À la suite de la proposition de Michael Gonzalez d’organiser un marché de Noël sur la place Saint-Joseph, des inquiétudes ont émergé concernant le stationnement dans le quartier. Afin d’y répondre, plusieurs mesures sont envisagées.
En premier lieu, une stratégie de stationnement temporaire accompagnerait l’événement. Si cela s’avérait insuffisant, un projet de parking souterrain pourrait être lancé sous le parking existant situé en face du lycée Blaise-Pascal.
Jusqu’ici, plusieurs parkings du centre-ville ont été construits principalement pour les visiteurs et les touristes ; il est proposé que ce nouvel équipement bénéficie en priorité aux habitants de Colmar. À noter que même en dehors de la période de Noël, le marché du samedi à Saint-Joseph rend déjà le stationnement difficile pour les riverains.
Commerçants du marché du samedi
Le nombre de commerçants présents le samedi diminue naturellement durant l’hiver. Ceux habituellement présents en décembre continueront d’exercer au marché de Noël.
Si certains commerces ne correspondent pas à l’image du marché de Noël, ils seraient indemnisés sur la base d’une estimation de leur bénéfice habituel de décembre.
Parking souterrain : fonctionnement
Riverains du quartier : accès prioritaire et gratuit, avec une capacité calculée selon les besoins actuels et renforcée.
Habitants de Colmar et de l’agglomération : accès à des tarifs préférentiels, inférieurs aux tarifs actuels des horodateurs.
Création de places supplémentaires pour améliorer la capacité globale du secteur.
Transport et financement
Dans le cadre de sa vision de mobilité, Michael Gonzalez prévoit également de mettre en place un tram-train mixte (voyageurs + fret) à Colmar, accompagné de l’abandon du projet de liaison ferroviaire Colmar-Fribourg (coùt 700 à 800 millions d'euros). Une concertation serait menée avec les autorités fribourgeoises afin de faciliter une liaison rapide entre Neuf-Brisach et Fribourg (par bus, train ou tram), afin de maintenir la connexion franco-allemande.
Le coût du tram-train est estimé entre 200 et 300 millions d’euros. Selon le projet présenté, il pourrait générer environ 450 à 500 millions d’euros de retombées économiques. Le financement serait réparti sur 5 à 10 ans et assuré de manière tripartite :
Communauté d’agglomération de Colmar
Union européenne (via les dispositifs régionaux)
État
Ce mécanisme permettrait, selon le projet, d’autofinancer le tram-train et de dégager des marges financières pour d’autres équipements publics, sans hausse de fiscalité locale. Michael Gonzalez indique qu’il s’agit pour lui d’un engagement ferme.



31/10/2025

Je déclare solennellement que, quelle que soit l’issue de cette campagne et quels que soient les événements ou les propositions qui pourraient survenir, je ne me détacherai pas de Monsieur Makmoul Hakim. Certains pensent que je ne ferai que l’utiliser et que je l’abandonnerai en chemin. Je tiens donc à affirmer avec force que cela n’arrivera pas. Je refuse de me rabaisser aux combines politiciennes auxquelles se livrent certains.
Que les choses soient claires : nous irons ensemble jusqu’aux élections. Il est mon conseiller, comme je l’ai exprimé lors de ma candidature devant la journaliste, et, de surcroît, mon binôme.



29/10/2025

Lors d’une discussion récente sur les contraventions, plusieurs Colmariens ont réagi avec force, estimant que le montant de 135 € est injuste et excessif. Je les comprends.
Je tiens cependant à rappeler que le maire ne peut pas réduire le montant des amendes. Toute infraction constatée sur la voie publique doit être signalée et verbalisée, conformément à la loi.
Beaucoup pensent aujourd’hui que les caméras installées à Colmar sous la mandature d’Yves Hemedinger ne servent pas uniquement à assurer la sécurité, mais aussi à remplir les caisses municipales en multipliant les contraventions. Les chiffres le montrent : depuis 2018, année de l’application de l’article L. 2334-24 du Code général des collectivités territoriales, le nombre de caméras — et donc de verbalisations — a fortement augmenté. Cet article permet aux communes de percevoir environ 42 % du produit des amendes liées à la circulation sur leur territoire.
Face à ce constat, et alors que le maire ne peux ni annuler les contraventions ni en modifier le tarif, j’ai annoncé mon intention de lancer une étude sur les caméras qui ne contribuent pas réellement à la sécurité. Mon objectif est clair : cesser d’ennuyer les Colmariens pour des motifs futiles. Je commencerai par retirer la caméra installée au niveau du Cobra, celle qui a déjà verbalisé de nombreux habitants, souvent des travailleurs venant simplement acheter un paquet de cigarettes avant d’aller travailler.
La municipalité a bien ajouté quelques places de stationnement minute — six ou sept pour six commerces — sous la pression des commerçants, mais c’est largement insuffisant. Pourtant, il serait tout à fait possible d’aménager davantage de places sur le gazon devant le lycée, en face des commerces, tout en y plantant un arbre par emplacement. Une solution pratique, écologique et bénéfique pour tous. Mais cela signifierait une perte de recettes pour la mairie, qui touche une part des amendes.
Je rappelle aussi que la route d’Ingersheim reste très embouteillée aux heures de pointe, ce qui aggrave la pollution. Planter des arbres à cet endroit serait une initiative positive pour l’environnement et la santé des riverains, car les arbres absorbent le CO₂ et rejettent de l’oxygène.
Alors que l’actuel maire envisage d’augmenter encore le nombre de caméras, je constate que cette politique est inefficace : l’insécurité à Colmar n’a cessé de croître, malgré des effets d’annonce qui relèvent davantage de la communication que de l’action concrète.
Si ce projet d’extension du réseau de caméras n’a pas encore été mis en œuvre, je m’engage à l’annuler. S’il a déjà été voté, je ferai délibérer mon conseil municipal pour l’abroger.
À la place, je choisirai d’investir dans l’humain : j’embaucherai du personnel municipal dédié à la sécurité et à la vie locale. Ces emplois créeront du dynamisme, soutiendront le pouvoir d’achat, stimuleront les commerces et offriront de réelles perspectives d’avenir aux Colmariens. C’est ainsi que nous renforcerons le lien social et le renouvellement des générations, pour une ville plus vivante et plus solidaire.



29/10/2025

Aujourd’hui à Colmar, se loger dans le privé ou construire une maison revient très cher. De nombreuses personnes de la classe moyenne devenues classes moyennes modestes voient la part du loyer devenir trop conséquente par rapport à leur budget, compte tenu de l’inflation, de la baisse de leur niveau de vie et de leur pouvoir d’achat.
Avec Michael Gonzalez, nous avons constitué un projet : nous mettrons en place la construction de logements accessibles à cette classe moyenne modeste, qui gagne souvent juste au-dessus de 2 000 € par mois, n’a pas droit aux APL (aides personnelles au logement) et gagne trop pour bénéficier d’un logement social.
Cependant, même avec un revenu de plus de 2 000 €, les prêts bancaires, le coût de la vie élevé et les loyers croissants placent ces ménages dans des situations financières difficiles. Lorsqu’un jeune entre sur le marché du travail aujourd’hui, il vise un salaire supérieur à 2 000 €, mais il a souvent du mal à se loger à Colmar car c’est trop cher. Conséquence : il envisage ou finit par quitter Colmar.
Cet exode qui tend à devenir inévitable à Colmar aura un impact sévère sur l’économie locale : sans jeunes, il n’y a pas de dynamisme, pas de renouvellement générationnel dans les activités professionnelles, et c’est l’ensemble de l’économie locale qui en pâtira, y compris le secteur touristique : sans restauration, sans jeunes pour travailler dans la restauration, les restaurants ferment, et le tourisme s’essouffle.
Nous souhaitons nous réunir avec les acteurs de l’immobilier, les agences immobilières, les banques, la Caisse des Dépôts et Consignations, et la mairie de Colmar pour :
Étudier s’il est possible de revoir les prix de l’immobilier et des loyers à Colmar.
Financer la construction de ce que l’on pourrait qualifier de logements « pseudo-sociaux » dans les communes alentours de Colmar, afin de servir comme bénéficiaires ceux qui :
1. Gagnent un peu plus de 2 000 €.
2. Ont trouvé un emploi à Colmar et ne peuvent pas se loger dans Colmar même à ce revenu
Ainsi, nous créons une situation « gagnant-gagnant-gagnant » :
Gagnant pour ces personnes de la classe moyenne modeste.
Gagnant pour l’activité économique de Colmar et alentours (car « quand le bâtiment va, tout va »).
Gagnant pour les agences immobilières, qui aujourd’hui réalisent des plus-values mais pourraient être confrontées à la diminution de l’attractivité locale si le phénomène de départ se généralise.
Faire partir les « faiseurs d’activité » économiques impactera inexorablement le tourisme : sans restauration, sans jeunes pour y travailler, les restaurants ferment, et c’est tout un pan de l’attractivité colmarienne qui se fragilise.
Quelques données chiffrées pour soutenir l’argumentaire
La population de Colmar est estimée à 66 155 habitants en 2025, contre 67 360 en 2022, ce qui traduit une baisse de l’ordre de -1 602 habitants (~-2,38 %) sur la période 2022-2025.
Un article de début 2024 indique que la ville perd environ 0,62 % de sa population chaque année depuis 2015.
En 2022, sur la commune, 89 % des logements sont des résidences principales, 17,1 % sont des maisons individuelles, 82,1 % des appartements.



29/10/2025

Des évolutions importantes sur le stationnement verront le jour sous l’impulsion de Michael Gonzalez.
Certains diront : « Mais comment faire sans augmenter les impôts locaux ? »
Il s’y engage clairement : aucune hausse des impôts locaux.
Ses projets sont conçus pour dynamiser Colmar, générer de nouvelles recettes et ainsi financer ses actions sans alourdir la fiscalité.
Déjà, le Marché de Noël à Saint-Joseph, avec l’essor du tourisme et la création de nouveaux commerces, apportera des revenus significatifs aux caisses de la ville.
Le Tram-Train et Fret, quant à lui, devrait générer environ 170 millions d’euros par an, selon les estimations économiques.
D’autres projets viendront encore renforcer le rayonnement de Colmar et apporter une manne économique considérable.
Michael Gonzalez a parfaitement compris la hauteur et le potentiel de notre ville.
Il la compare à une Ferrari : une voiture d’exception avec laquelle, depuis la fin des années 1980, nous roulons en deuxième ou troisième à 30 km/h.
Colmar possède de nombreux atouts et il s’est engagé à faire passer la vitesse supérieure, non pas jusqu’à 110 km/h, mais bien au-delà,
pour faire de Colmar un véritable modèle de dynamisme économique et de réussite locale en France.



29/10/2025

Mesdames et Messieurs,
Nous rencontrons aujourd’hui de nombreuses personnes qui ont eu affaire à la police municipale et qui, aujourd’hui, en gardent une certaine rancune. Il est essentiel de comprendre pourquoi. Sous le précédent mandat, la police municipale a été soumise à une pression considérable pour augmenter les verbalisations. Cette situation découle directement de la loi de 2018, qui permettait que 42 % des recettes des contraventions reviennent directement aux communes. Malheureusement, cette loi a été utilisée pour pousser nos agents de verbalisation à multiplier les contraventions, souvent au détriment de leur mission première.
Il faut être clair : les plaintes des habitants, qui se sont multipliées à partir de 2018, ne sont pas de la faute des policiers municipaux eux-mêmes. Ce sont les décisions politiques qui ont créé cette situation. La police municipale n’a pas pour rôle de percevoir l’argent des citoyens ni de les accabler. Son rôle est beaucoup plus noble : prévenir, protéger, sécuriser les biens et les personnes, et être proche des habitants.
Nous voulons rétablir cette véritable vocation. La police municipale doit être un lien de confiance avec la population, un rempart contre l’insécurité, un service pour tous, pas une machine à contraventions.
Nous allons renforcer nos effectifs, mais pas seulement pour la ville. Nous agirons à l’échelle de toute la communauté d’agglomération. Chaque commune contribuera à la rémunération de ses policiers municipaux, et la communauté d’agglomération assurera une revalorisation salariale juste et équitable. Car il est inacceptable que des policiers municipaux de Colmar gagnent autant, voire moins, que ceux des villages voisins.
Cette police municipale sera présente de jour comme de nuit, 365 jours sur 365, 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24, renforcée par des brigades de quartier et des agents de sécurité, dans le cadre d’un pôle sécurité moderne et efficace.
Ce pôle n’aura pas de fonctions régaliennes, car ces missions appartiennent à l’État et à la police nationale. Cependant, nos policiers municipaux pourront intervenir sur certaines contraventions, dans le cadre légal, et seulement si la situation l’exige, toujours pour protéger les habitants et leurs biens.
Notre politique sera claire : la prévention avant la répression. Nos policiers municipaux circuleront librement à toute heure dans toute la ville, visibles, rassurants, proches des citoyens.
Ils n’interviendront jamais sur les affaires liées aux stupéfiants. Même si la loi le permet, je leur interdirai cette mission, pour protéger leur vie, leur sécurité, et pour reconstruire un lien de confiance avec tous les Colmariens.
En résumé, nous construirons une police municipale renforcée, présente, reconnue et respectée, avec de meilleures conditions de travail, des salaires justes, et des effectifs adaptés. Une police municipale qui travaille dans le respect des citoyens, pour le service des citoyens, et qui fera de Colmar une ville sûre, humaine et solidaire.



28/10/2025



25/10/2025

Inscription en ligne sur la liste électorale :
https://www.service-public.gouv.fr/parti.../vosdroits/R16396
Inscription en ligne sur la liste électorale complémentaire :
https://www.service-public.gouv.fr/partic.../vosdroits/F1937
Votre voix compte !



24/10/2025

Certains pourraient penser que je vais trop vite en besogne quand j’affirme que je serai maire de Colmar. Pourtant, je ne vais pas vite, bien au contraire. J’avance avec prudence, mais aussi avec la conscience des urgences et de la colère que je vois chez les Colmariens chaque jour.
Je peux déjà me dire futur maire, car ce que je propose est unique. Je doute que d’autres aient une vision aussi ambitieuse pour notre ville.
Mon objectif ? Faire de Colmar une véritable ville de 70 000 habitants, et non plus un simple village. À force de brider un étalon, de l’empêcher de courir, quand viendra le moment où il devra sprinter — comme Colmar doit le faire aujourd’hui —, il sera trop tard. Je veux être ce vétérinaire qui redonne de l’élan à notre ville, qui la fait galoper avant qu’il ne soit trop tard.
Le monde évolue à une vitesse fulgurante. Ce qui prenait cinquante ans se réalise désormais en cinq. Pourtant, à Colmar, un conservatisme tenace freine notre avancée. Cela doit changer.
Si Colmar continue à se comporter comme un village, elle sera écrasée entre Mulhouse et Strasbourg, deux villes qui gagnent en influence et en attractivité. Le phénomène est déjà en marche : il y a 30 ans, les Mulhousiens et les Strasbourgeois venaient chez nous. Aujourd’hui, ce sont les Colmariens qui partent. Nous assistons à une « Mulhousianisation » de Colmar, et je refuse de laisser cela se produire.
C’est pour éviter ce déclin que j’agis maintenant. J’ai compris que le temps politique d’hier ne répond plus aux défis d’aujourd’hui. Il faut anticiper, décider et construire l’avenir sans attendre.
Mes adversaires, Yves Hemedinger et Éric Straumann, incarnent une politique classique, politisée, qui ne permettra pas à Colmar de se libérer de ses blocages. Moi, je ne suis ni de droite ni de gauche. Je suis à la fois de droite et de gauche, patriote et libre de toute idéologie partisane. Ma seule boussole, c’est le bon sens, l’amour de Colmar et la volonté de la rendre à ses habitants.
La droite et la gauche ne savent plus travailler ensemble. Le libéralisme est devenu ultralibéral, écrasant le social et affaiblissant nos protections. Moi, je veux réconcilier l’économique et le social, dans un équilibre respectueux de tous.
Mon programme reflète les attentes des Colmariens. Je veux rendre le centre-ville aux habitants, tout en préservant son attractivité touristique. Je compte fluidifier le marché de Noël, symbole de notre ville, pour qu’il profite autant aux Colmariens qu’aux visiteurs. J’envisage aussi de l’étendre vers Saint-Joseph et la rue Vauban, afin de dynamiser ces quartiers et d’offrir de nouvelles opportunités à nos commerçants. Cette extension ne sera pas une concurrence, mais une synergie pour répartir l’afflux de visiteurs et soutenir l’économie locale.
Je veux aussi simplifier le stationnement pour les habitants, sans les accabler d’amendes. Je rétablirai l’éclairage public, car l’écologie ne doit pas être punitive. Rappelons-le : ce que Colmar économise en un an d’extinction, l’Inde le compense en quinze minutes de pollution.
Mon ambition ? Une ville vivante, accueillante et sûre, pour les jeunes comme pour les aînés. Je relancerai la vie nocturne, essentielle pour notre économie, notre culture et un tourisme de qualité.
Ce n’est qu’un début. D’autres idées fortes viendront en temps voulu.
Je représente une nouvelle façon de faire de la politique : celle du bon sens, du rassemblement et de la fierté colmarienne. Ensemble, construisons l’avenir de Colmar.



19/10/2025

SCOOTER ET MOTO À COLMAR
Une grande réflexion et une réfection seront menées concernant les jeunes qui pratiquent la moto ou le scooter.
L’idée serait de créer un espace spécialement dédié, par exemple un terrain de cross, à l’image du circuit de motocross de Rixheim, mais comprenant également d’autres aménagements adaptés et sécurisés, au-delà du simple terrain de cross, afin que les jeunes puissent s'y retrouver, et que ces activités puissent autant profiter aussi filles (femmes ) qu'aux garçon (Hommes).

Ce projet répond au souhait exprimé par de nombreux jeunes, une promesse déjà formulée par la précédente équipe municipale mais jamais concrétisée, pour des raisons officieuses d’ordre politique et électoraliste. Certains responsables, élus et autres décisionnaires, ayant préféré miser sur les thèmes de la sécurité et des incivilités pour renforcer leur base électorale.

Il s’agit aussi de répondre aux plaintes croissantes des habitants, notamment à propos des motos et scooters qui circulent le soir et le dimanche matin, à un moment où la plupart des gens se reposent après une semaine de travail éprouvante et une soirée du samedi souvent tardive.
Ces nuisances sonores répétées provoquent agacement, stress et troubles du sommeil, pouvant à terme impacter la santé et le bien-être des riverains.

Enfin, cette initiative fait également écho aux remarques d’une habitante d’une commune proche de Colmar, dont le message a été perçu comme un véritable cri d’alarme sur plusieurs problématiques, afin que des alternatives soient créées pour les jeunes. Et donc pour qu’ils puissent vivre leur vie de jeunes sans être privés encore de liberté, et être cantonnés à avoir une vie, des activités, des week-ends, des soirées, comparables à celles de sexagénaires et plus.


26/9/2025

Relancer l’éclairage public nocturne à Colmar : pour notre sécurité, notre vie nocturne et notre bien-être collectif
Mesdames, Messieurs, Chères Colmariennes, Chers Colmariens,
Ces derniers mois, l’extinction de l’éclairage public la nuit dans plusieurs villes, dont parfois ici à Colmar, est devenue une mesure annoncée comme écologique ou économique.
Mais derrière les économies d’énergie, c’est notre vie quotidienne, notre sécurité, nos commerces, et notre sentiment de liberté qui sont impactés.
Les effets concrets de l’obscurité
On parle d’accidents, de chutes, de collisions évitées de justesse — je l’ai vécu moi-même : en revenant vers mon véhicule, dans une rue sombre, en présence d’un vélo et d’une voiture, un accident a presque eu lieu.
Le sentiment d’insécurité pour beaucoup est réel : peur du vol, des agressions, mais aussi simplement de ne pas pouvoir circuler à pied ou à vélo sans risquer de se blesser ou d’être surpris.
Enfin, cette obscurité décourage les sorties nocturnes : les habitants restent chez eux, allument plus longtemps leurs écrans, leurs lampes, leur chauffage ou leur climatisation.
Résultat : ce sont aussi des dépenses énergétiques supplémentaires et donc une perte écologique réelle, à l’inverse de l’objectif affiché.
Ce que disent les chiffres
En 2024, l’éclairage public représente 0,54 % de la consommation électrique nationale.
Près de 62 % des communes étudiées pratiquent une extinction totale en cœur de nuit.
40 % du parc de luminaires public français a plus de 25 ans, ce qui le rend énergivore et peu efficace.
L’éclairage public représente environ 37 % de la facture d’électricité de certaines collectivités.
Ces chiffres montrent bien qu’il est nécessaire de moderniser notre éclairage public, mais qu’éteindre toute une ville n’est ni la seule solution, ni la meilleure.
Pourquoi rallumer l’éclairage public la nuit est essentiel (et comment le faire mieux)
Sécurité réelle & ressentie
Un bon éclairage permet de mieux voir, de se déplacer sans crainte, d’éviter les chutes, collisions ou incidents. Il rassure aussi les citoyens et encourage les sorties nocturnes et la vie sociale.
Dynamisme économique & vie nocturne
En été surtout, quand les températures sont élevées, les Colmariens sortent plus en soirée. Les commerces profitent de cette activité. Une ville active la nuit, bien éclairée et animée, c’est une ville vivante.
Écologie intelligente, pas punitive
Éteindre partout la nuit n’est pas la seule réponse.
Nous investirons dans un éclairage moderne, avec lampes LED basse consommation, et même des détecteurs de présence dans certains lieux, afin que la lumière s’allume uniquement quand elle est nécessaire et s’éteigne aussitôt après.
Cela permettra de réduire fortement la consommation électrique, tout en maintenant la sécurité et la convivialité de nos rues.
Car l’écologie ne doit pas être punitive : une ville plongée dans le noir pousse les habitants à rester enfermés chez eux, ce qui génère au final d’autres dépenses d’énergie et une empreinte carbone encore plus lourde.
Mon engagement pour Colmar
En tant que candidat aux élections municipales de 2026, je m’engage à :
Rétablir progressivement un éclairage public sûr et efficace dans toutes les zones de Colmar.
Lancer une grande consultation citoyenne pour cibler les zones prioritaires.
Moderniser le parc d’éclairage avec des LED performantes, des éclairages directionnels et des capteurs intelligents, pour concilier économie d’énergie, préservation de l’environnement et sécurité.
Prévoir un plan pluriannuel d’investissement, afin que Colmar devienne une référence en matière d’éclairage moderne et durable.
Ceci est un projet clair de ma campagne qui sera mis en place dès que les Colmariens m’auront fait confiance.
Cependant, à l’instar de plusieurs villes qui commencent déjà à réallumer leurs rues, je demande au maire actuel d’agir immédiatement et de rétablir l’éclairage public dans tout Colmar.
C’est une forte attente de nombreux Colmariens et il ne faut pas attendre la campagne ou être à l’approche des élections pour répondre à une urgence aussi évidente.
Pourquoi je vous demande votre soutien
Parce que ce sujet dépasse les clivages politiques : il touche à notre vivre ensemble, à notre sécurité, à notre bien-être.
En soutenant ce projet, vous choisissez une ville :
Où l’on peut sortir le soir sans crainte,
Où les commerces et cafés nocturnes reprennent vie,
Où l’économie locale se développe grâce à une activité nocturne renforcée,
Où l’écologie est intelligente, efficace, et non punitive.
Chers Colmariens, je vous propose de rallumer les rues de Colmar – pas seulement pour voir, mais pour que chacun se sente vu, entendu, en sécurité.
Ensemble, rendons Colmar plus lumineuse la nuit, plus sûre, plus vivante.


26/9/2025

Colmar : Assez du matraquage des infirmières libérales !

Colmariens, prenons un instant pour réfléchir. Chaque jour, nos infirmières libérales parcourent la ville pour prodiguer des soins à domicile, souvent à des heures précises pour des patients vulnérables : personnes âgées, enfants, malades chroniques… Leur mission est essentielle, vitale, et pourtant elles se heurtent à un obstacle inattendu : le stationnement impossible dans notre ville.
La situation aujourd’hui :
Beaucoup d’infirmières doivent parfois “se garer à l’arrache” pour respecter leurs horaires. Et lorsqu’elles le font, elles reçoivent des amendes.
Il est important de souligner que la police municipale et les agents verbalisateurs ne sont pas en faute. Ils appliquent simplement les directives de leur hiérarchie et de la municipalité. C’est bien la politique de stationnement actuelle de la ville, et son application rigide, qui met nos soignants dans cette situation.
Mais aujourd’hui, ces agents n’ont plus de marge d’appréciation : directives strictes, tolérance zéro. Résultat : des infirmières qui doivent soigner, des livreurs qui doivent livrer, des dépanneurs qui doivent intervenir… se retrouvent sanctionnés comme des fraudeurs, alors qu’ils sont dans le cadre de leur travail.
Des places pour les urgences… et pour les soins à domicile
À Colmar, nous avons déjà des places réservées pour :
Les pompiers
Les ambulances
Les forces de police
Les services de sécurité et d’urgence
Ces places existent pour garantir l’efficacité des interventions vitales. Pourquoi ne pas prévoir des mesures similaires pour les infirmières et soignants à domicile, qui interviennent eux aussi en urgence et prodiguent des soins indispensables ?
Nous proposons un système simple de tolérance :
Si une place réservée aux soins à domicile est occupée, l’infirmière peut se garer temporairement ailleurs.
Elle laisse son numéro de téléphone associé à sa plaque d’immatriculation.
Si le véhicule gêne réellement la circulation ou représente un danger, la police pourra la contacter directement.
Seule une absence de réponse ou un danger immédiat justifierait l’intervention de la fourrière, toujours dans un souci de sécurité routière.
Ainsi, les soignants peuvent continuer leur travail sans risque injustifié d’amende, tout en garantissant la sécurité de tous, et également pour qu’elles soient concentrés sur les soins qu’elles prodiguent et non préoccupés par la peur de la contravention l’’amende.
Ce que nous proposons
Des places réservées aux soignants à domicile dans les zones les plus sollicitées.
Un dispositif de tolérance administrative et de contact direct pour les situations exceptionnelles.
Coordination et adaptation des règles de stationnement par la municipalité, pour que les amendes ne tombent pas sur celles et ceux qui soignent nos concitoyens.
Appel à la mairie
Monsieur le Maire, les Colmariens et les soignants demandent que nos règles de stationnement soient adaptées aux réalités du terrain, pour protéger ceux qui prennent soin de nous tous. Les règles sont nécessaires, mais elles ne doivent jamais pénaliser ceux qui sauvent des vies et prennent soin de nos enfants, de nos personnes âgées et de nos personnes vulnérables.
À partager
Si vous êtes Colmarien, si vous avez croisé une infirmière en difficulté pour se garer, partagez ce message. Ensemble, nous pouvons montrer que notre ville peut être humaine, juste et responsable.


Relancer l’éclairage public nocturne à Colmar : pour notre sécurité, notre vie nocturne et notre bien-être collectif

Mesdames, Messieurs, Chères Colmariennes, Chers Colmariens,
Ces derniers mois, l’extinction de l’éclairage public la nuit dans plusieurs villes, dont parfois ici à Colmar, est devenue une mesure annoncée comme écologique ou économique.
Mais derrière les économies d’énergie, c’est notre vie quotidienne, notre sécurité, nos commerces, et notre sentiment de liberté qui sont impactés.
Les effets concrets de l’obscurité
On parle d’accidents, de chutes, de collisions évitées de justesse — je l’ai vécu moi-même : en revenant vers mon véhicule, dans une rue sombre, en présence d’un vélo et d’une voiture, un accident a presque eu lieu.
Le sentiment d’insécurité pour beaucoup est réel : peur du vol, des agressions, mais aussi simplement de ne pas pouvoir circuler à pied ou à vélo sans risquer de se blesser ou d’être surpris.
Enfin, cette obscurité décourage les sorties nocturnes : les habitants restent chez eux, allument plus longtemps leurs écrans, leurs lampes, leur chauffage ou leur climatisation.
Résultat : ce sont aussi des dépenses énergétiques supplémentaires et donc une perte écologique réelle, à l’inverse de l’objectif affiché.
Ce que disent les chiffres
En 2024, l’éclairage public représente 0,54 % de la consommation électrique nationale.
Près de 62 % des communes étudiées pratiquent une extinction totale en cœur de nuit.
40 % du parc de luminaires public français a plus de 25 ans, ce qui le rend énergivore et peu efficace.
L’éclairage public représente environ 37 % de la facture d’électricité de certaines collectivités.
Ces chiffres montrent bien qu’il est nécessaire de moderniser notre éclairage public, mais qu’éteindre toute une ville n’est ni la seule solution, ni la meilleure.
Pourquoi rallumer l’éclairage public la nuit est essentiel (et comment le faire mieux)
Sécurité réelle & ressentie
Un bon éclairage permet de mieux voir, de se déplacer sans crainte, d’éviter les chutes, collisions ou incidents. Il rassure aussi les citoyens et encourage les sorties nocturnes et la vie sociale.
Dynamisme économique & vie nocturne
En été surtout, quand les températures sont élevées, les Colmariens sortent plus en soirée. Les commerces profitent de cette activité. Une ville active la nuit, bien éclairée et animée, c’est une ville vivante.
Écologie intelligente, pas punitive
Éteindre partout la nuit n’est pas la seule réponse.
Nous investirons dans un éclairage moderne, avec lampes LED basse consommation, et même des détecteurs de présence dans certains lieux, afin que la lumière s’allume uniquement quand elle est nécessaire et s’éteigne aussitôt après.
Cela permettra de réduire fortement la consommation électrique, tout en maintenant la sécurité et la convivialité de nos rues.
Car l’écologie ne doit pas être punitive : une ville plongée dans le noir pousse les habitants à rester enfermés chez eux, ce qui génère au final d’autres dépenses d’énergie et une empreinte carbone encore plus lourde.
Mon engagement pour Colmar
En tant que candidat aux élections municipales de 2026, je m’engage à :
Rétablir progressivement un éclairage public sûr et efficace dans toutes les zones de Colmar.
Lancer une grande consultation citoyenne pour cibler les zones prioritaires.
Moderniser le parc d’éclairage avec des LED performantes, des éclairages directionnels et des capteurs intelligents, pour concilier économie d’énergie, préservation de l’environnement et sécurité.
Prévoir un plan pluriannuel d’investissement, afin que Colmar devienne une référence en matière d’éclairage moderne et durable.
Ceci est un projet clair de ma campagne qui sera mis en place dès que les Colmariens m’auront fait confiance.
Cependant, à l’instar de plusieurs villes qui commencent déjà à réallumer leurs rues, je demande au maire actuel d’agir immédiatement et de rétablir l’éclairage public dans tout Colmar.
C’est une forte attente de nombreux Colmariens et il ne faut pas attendre la campagne ou être à l’approche des élections pour répondre à une urgence aussi évidente.
Pourquoi je vous demande votre soutien
Parce que ce sujet dépasse les clivages politiques : il touche à notre vivre ensemble, à notre sécurité, à notre bien-être.
En soutenant ce projet, vous choisissez une ville :
Où l’on peut sortir le soir sans crainte,
Où les commerces et cafés nocturnes reprennent vie,
Où l’économie locale se développe grâce à une activité nocturne renforcée,
Où l’écologie est intelligente, efficace, et non punitive.
Chers Colmariens, je vous propose de rallumer les rues de Colmar – pas seulement pour voir, mais pour que chacun se sente vu, entendu, en sécurité.
Ensemble, rendons Colmar plus lumineuse la nuit, plus sûre, plus vivante.


26/9/2025

Sécurité des Colmariens : un éclairage public à revoir d’urgence
Hier soir, à 00h32, alors que je sortais d’un afterwork et discutais devant le bar Les 3 Singes, j’ai été témoin de ce qui aurait pu être une collision dramatique entre un cycliste et une voiture. Seul le réflexe du conducteur a permis d’éviter l’accident. L’éclairage venait tout juste de s’éteindre dans le centre-ville de Colmar, plongeant la rue dans une obscurité totale.
Ce n’est pas un cas isolé. Depuis la mise en place de l’extinction nocturne de l’éclairage public dans plusieurs quartiers de Colmar, les habitants sont partagés. Si certains saluent les économies d’énergie et la lutte contre la pollution lumineuse, d’autres s’inquiètent — à juste titre — des risques pour la sécurité : accidents, cambriolages et sentiment d’insécurité.
Nous nous engageons à revoir cette politique. L’écologie ne doit jamais se faire au détriment de la sécurité. Il est possible de concilier les deux, avec des solutions modernes : éclairage intelligent, modulation selon les flux, zones sensibles maintenues éclairées…
Nous voulons une ville où l’on peut circuler en toute sécurité, à toute heure. Nous voulons une ville qui protège ses habitants, sans compromis.
Bien à vous.


18/9/2025

Certains souhaitaient avoir un aperçu de mon programme.
Je rappelle qu’une campagne électorale obéit à un calendrier et à une feuille de route : je ne peux donc pas encore en dévoiler l’intégralité.
Cependant, désireux d’être toujours davantage au service des Colmariens, je vais « couper la poire en deux » et partager avec vous un premier aperçu.

Projet de dynamisation du quartier Saint Joseph et de la rue Vauban par le Marché de Noël
Chères Colmariennes, chers Colmariens,
Notre équipe est convaincue de l’importance patrimoniale et historique du quartier Saint-Joseph.
C’est pourquoi nous proposons d’y organiser un nouveau marché de Noël, complémentaire à celui du centre-ville, afin d’offrir une expérience diversifiée aux habitants comme aux visiteurs.
Bien entendu, ce projet se fera en concertation avec les riverains et s’accompagnera d’une réfection du quartier.
Nous souhaitons également que la rue Vauban, situé au centre-ville de Colmar, accueille pour la première fois un marché de Noël dédié aux enfants, avec des animations adaptées et familiales.
Ces deux nouveaux espaces permettront de mieux répartir les visiteurs, d’offrir davantage de sécurité et d’améliorer la qualité du tourisme.
Aujourd’hui, de nombreux Colmariens comme de nombreux visiteurs se plaignent de la difficulté de stationner, de la foule et du sentiment d’être « serrés comme des sardines ».
Le résultat est clair : les touristes de qualité qui venaient autrefois à Colmar ne reviennent plus.
Plusieurs restaurateurs le disent : ils voient de plus en plus de visiteurs consommer très peu, par exemple une tarte flambée pour deux avec une carafe d’eau.
Cette évolution fragilise notre attractivité et nos commerces et a déjà commencé à impacter nos viticulteurs.
En créant un marché de Noël supplémentaire au quartier Saint-Joseph et un marché spécial enfants rue Vauban, nous répartirons mieux le flux des visiteurs, nous améliorerons la sécurité, et nous redonnerons à Colmar un tourisme de qualité. Un tourisme respectueux, agréable pour les visiteurs, bénéfique pour les commerçants et supportable pour les habitants de Colmar comme pour ceux du bassin colmarien et du vignoble.
Contrairement à la politique actuelle qui a réduit la période du marché de Noël, donc de fréquentation nous voulons allonger intelligemment la période touristique, en la rendant plus fluide, plus équilibrée et mieux répartie sur l’ensemble de la ville et donc à partir du 1er novembre au 15 janvier.
Nous améliorerons aussi l’accessibilité et la connexion entre le centre-ville et la place Saint-Joseph, notamment par l’agrandissement du passage souterrain de la rue Peyerimoff. Certaines bâtisses seront réhabilitées et la place Saint-Joseph embellie, avec la plantation de jeunes arbres et un aménagement paysager convivial.
Une attention particulière sera portée à la gestion des commerces présents sur ces nouveaux marchés de Noël. Colmar disposant déjà d’une offre importante de restaurants dans son centre historique, nous éviterons d’ajouter une concurrence inutile, afin de garantir une offre cohérente et qualitative.
Ce projet est le vôtre : nous espérons qu’il suscitera vos réactions constructives pour l’ajuster et l’enrichir ensemble, dans un véritable esprit de participation citoyenne.
Bien à vous,
Dr Michael Gonzalez
Votre candidat aux élections municipales de Colmar, mars 2026


16/9/2025

Suite à la création de ce groupe très récemment, je tiens d'abord a vous présenter mes plus sincères condoléances suite au tragique décès d’une piétonne de 76 ans, percutée par un poids lourd le 8 septembre dernier à l’angle de l’avenue Raymond-Poincaré et de la route de Rouffach à Colmar. Cet accident mortel, survenu en plein jour, a profondément choqué notre communauté..
En tant que candidat aux élections municipales de 2026, je tiens à exprimer ma solidarité envers la famille et les proches de la victime. Cet événement met en lumière la nécessité urgente de repenser la sécurité, notamment des personnes âgées, dans notre ville. Il est impératif que les autorités locales prennent des mesures concrètes pour sécuriser les carrefours, les routes jugés dangereux.
Je m'engage à travailler activement pour que de tels drames ne se reproduisent plus, en mettant en place des infrastructures adaptées.
Je vous prie d'agréer l’expression de mes salutations respectueuses.