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13 décembre 2025

Elisabeth Spitz

Toi, ma partition émotionnelle,
Ma langue universelle et éternelle,
Faisons vibrer ensemble nos silences,
Écris mes joies, mes peines, mes danses.
Dans tes vertiges je me perds,
Dans tes fracas je me libère.

Eric Nieder

Je poursuis ma recherche graphique… L’outil c’est le trait, la ligne… Le sujet est souvent proche du patrimoine architectural. J’ai actuellement la chance d’accéder au chantier de la collégiale à Colmar. Quelques extraits du travail en cours…



Yves Hemedinger
13/12/2025

Accès au centre-ville
 
Ce matin, j’ai été reçu par les membres de l’association A.R.T. (Association des riverains des Tanneurs), qui représente aujourd’hui l’ensemble du centre-ville. Ensemble, nous avons abordé une problématique essentielle : l’accès au centre-ville pour les professionnels de santé – médecins, infirmiers et kinésithérapeutes – qui interviennent chaque jour auprès de patients, souvent âgés, et rencontrent de grandes difficultés de déplacement, notamment lors des marchés de Noël et de Pâques.
À l’issue de ces échanges, j’ai pris plusieurs engagements concrets :
• Lutter contre le surtourisme en redonnant à notre offre touristique son authenticité et en développant l’activité économique industrielle, artisanale et commerçante, afin d’être moins dépendants du tourisme.
• Mettre en place des bornes d’accès avec accréditation pour les soignants.
• Créer une autorisation spécifique pour les consultations à domicile (médecins, infirmiers, aides-soignants et kinésithérapeutes).
• Créer une brigade de « chuteurs », chargée de faire le tour des terrasses le soir afin de prévenir les nuisances sonores et de faire respecter la charte des terrasses.
• Garantir l’accès aux soins en centre-ville est une priorité.


Cécile Ney
13/12/2025

Trois semaines de marché de Noël déjà. On souffle, on prend son mal en patience… Et vous, comment vous le vivez ? On analyse la situation et on détaille nos propositions ci-dessous.










12 décembre 2025

Pause musicale
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Anna Netrebko & Elīna Garanča – Offenbach, Les Contes d'Hoffmann (Barcarolle)
[POLITIQUE & SUJETS DE SOCIETE]

ARIÈGE. CETTE NUIT, L’ÉTAT A FRANCHI UN POINT DE NON-RETOUR

Karine Durand
12/12/2025

Ce qui s’est passé en Ariège n’est ni un “incident”, ni un “maintien de l’ordre”, ni un banal “protocole sanitaire”. C’est un massacre administratif exécuté par la force, avec une froideur qui glace.
Pendant 48 heures, des agriculteurs, des citoyens, des familles entières ont tenu sans dormir pour protéger un troupeau de 200 vaches et leurs veaux. Des bêtes saines. Une seule vache malade, isolée. Toutes les autres pouvaient être sauvées. Des solutions existaient. Elles ont été proposées. Elles ont été ignorées.
En face, l’État d’Emmanuel Macron a répondu par une démonstration de force totale. 600 à 700 CRS. Deux hélicoptères. Des Centaures. Des blindés. Du matériel militaire pour dégager des voitures, soulevées et jetées dans les champs comme des objets sans valeur. Des grenades. Des gaz. Huit heures de confrontation.
Huit heures contre des agriculteurs. Pas contre des trafiquants. Pas contre des mafias. Pas contre des zones de non-droit. Contre ceux qui nourrissent ce pays.
L’étable entière a été saturée de gaz. Oui, saturée. Les images existent. Les témoignages aussi.
Ce n’est pas la Shoah. Ce n’est pas la guerre. Ce ne sont pas des chambres à gaz. Et personne de sérieux ne dit cela. Mais ce que beaucoup ressentent, ce choc viscéral, vient d’ailleurs. Il vient du fait de voir un pouvoir appliquer une logique froide, bureaucratique, désincarnée, sur du vivant. Traiter des êtres vivants comme des variables à neutraliser, sous protection armée, au nom d’un dossier.
C’est précisément ce que l’Histoire nous a appris à surveiller : non pas les horreurs finales, mais les mécanismes qui les rendent possibles. Les obéissances aveugles. La déshumanisation par le langage. La “raison d’État” qui écrase tout.
Et pendant ce temps-là, les responsables politiques parlent de “science”, de “proportion”, de “nécessité”. La réalité est simple : cette maladie a une mortalité estimée entre 1 et 5 %. Aucun éleveur n’acceptera jamais de perdre 100 % de son troupeau pour en “sauver” 95 % sur le papier. Aucun être humain sain d’esprit n’accepterait cela pour son travail, sa vie, sa famille.
La vérité, c’est que la souveraineté alimentaire française est en train d’être méthodiquement détruite. Et quand il n’y a plus d’élevage, il n’y a plus d’agriculture. Quand il n’y a plus d’agriculture, il n’y a plus de pays. Et quand il n’y a plus de pays, on importe. À n’importe quel prix. De n’importe où. Avec n’importe quoi dans l’assiette.
Cette nuit, quelque chose s’est cassé. La peur a changé de camp.
Les commentaires affluent par milliers. Des gens pleurent. D’autres n’ont pas dormi. Beaucoup parlent d’“heures sombres”, non par provocation, mais parce qu’ils ont reconnu une ligne rouge qui bouge. Les blocages s’étendent. L’A75 est bloquée. D’autres suivront. Les syndicats agricoles, pour une fois, étaient unis. Les citoyens sont venus sans étiquette.
La colère n’est plus locale. Elle est nationale.
Ce gouvernement peut continuer à mépriser, à gazer, à mentir via ses communiqués et ses plateaux télé. Mais il ne pourra plus faire comme si rien ne s’était passé. Parce que des millions de personnes ont vu. Parce que les images ont dépassé les médias officiels. Parce que la propagande a été battue par la réalité.
Après les vaches, ce n’est pas “le chaos” qui vient. C’est la rupture.
Une rupture entre un pouvoir hors-sol et un peuple qui refuse d’être administré comme un problème à éliminer. Une rupture entre Bruxelles, Paris, et la France réelle. Une rupture qui ne se réglera ni par des gaz, ni par des éléments de langage.
Cette nuit, l’État a peut-être gagné une bataille contre des éleveurs.
Mais il a perdu quelque chose de bien plus grave : la confiance.
Et quand elle est morte, plus aucun blindé ne la ramène.
Et maintenant, parlons chiffres. Parce qu’au-delà du choc moral, ce qui s’est passé en Ariège est aussi une aberration économique monumentale, payée par des gens qui n’ont jamais choisi cette décision. L’abattage du troupeau représente à lui seul entre 400 000 et 600 000 euros de valeur agricole détruite (vaches, veaux, années de sélection, de soins, de travail). À cela s’ajoutent les coûts d’équarrissage et de destruction des carcasses, entre 30 000 et 50 000 euros. Mais le plus indécent reste le dispositif déployé : 600 à 700 CRS et gendarmes, heures supplémentaires, logistique, blindés, Centaures, munitions lacrymogènes, grenades, carburant, deux hélicoptères consommant chacun des milliers d’euros de kérosène par heure. La seule opération de maintien de l’ordre est estimée entre 300 000 et 800 000 euros. Sans compter les dizaines de véhicules civils endommagés ou détruits, jetés dans les champs pour forcer le passage, pour une facture supplémentaire comprise entre 100 000 et 250 000 euros selon les indemnisations. Total de l’addition : entre 850 000 euros et 1,7 million d’euros pour détruire un élevage.
À titre de comparaison, la solution rejetée par l’État (isolement de la vache malade, quarantaine renforcée, surveillance vétérinaire et gestion locale du risque) aurait coûté entre 25 000 et 70 000 euros. Vingt à soixante fois moins. Et surtout, sans briser une famille, sans ruiner une exploitation, sans traumatiser une région, sans mettre le feu au pays. Qui va payer cette différence colossale ? Pas ceux qui ont signé les ordres. Pas ceux qui ont donné les interviews. Ce seront les contribuables, par l’impôt, les budgets publics, les indemnisations tardives, les assurances qui refusent ou traînent, les agriculteurs qui reconstruiront seuls. Une décision imposée d’en haut, refusée sur le terrain, et financée par ceux qui n’ont jamais été consultés. Voilà aussi ce que révèle l’Ariège : non seulement un abus de pouvoir, mais une arnaque économique d’État, froide, inefficace, et destructrice.



[Le blog des esprits libres et éclairés, c'est ici ⇨ liberteresistance.fr]

11 décembre 2025

Nathalie Aubert
11/12/2025

Ce qui se passe aujourd’hui pour nos agriculteurs et nos éleveurs est tout simplement intolérable.
Des conditions absurdes, des mesures sanitaires incompréhensibles… et au bout du chemin, l’obligation de faire abattre tout un cheptel, parfois en parfaite santé pour une bête malade. Comment peut-on en arriver là ?
C’est toujours plus simple d’être fort avec les faibles que faible avec les forts. Pourquoi persécuter ceux qui nous nourrissent, ceux qui travaillent sans relâche, alors même qu’ils proposent des solutions de bon sens pour sauver leurs élevages ?
Nos agriculteurs méritent du respect, de l’écoute et des décisions cohérentes.
Pas des injonctions brutales qui détruisent des années de travail et brisent des vies.
J’apporte tout mon soutien aux agriculteurs, qui vivent une situation à la fois incompréhensible et profondément inhumaine. Vous n’êtes pas seuls.
Il est temps d’entendre leur détresse.
Il est temps de changer de méthode.
Jean Linnhoff
11/12/2025

Triptyque réalisé pour la MJC de Colmar qui fête ses 80 ans.


Kelly Scott

Au musée des Beaux-Arts de Strasbourg

Vincent Munier, originaire des Vosges, l’un des plus grands photographes animaliers, expose à Strasbourg au musée des Beaux-Arts. Son travail est une véritable ode à la nature et à la beauté animale. Depuis plus de 20 ans, il réalise des reportages à travers le monde pour dévoiler aussi la fragilité de la nature sauvage.
Dans l’exposition temporaire « Lumière sur le vivant », les sublimes photos de Vincent Munier vont côtoyer des toiles de maîtres classiques et des gravures issues des collections du musée. Une rencontre singulière entre peinture et photographie pour un moment unique de contemplation.
 
Du 7 novembre 2025 au 27 avril 2026












Yves Hemedinger
11/12/2025

J’ai une annonce importante à vous faire !

Dans les tout prochains jours, vous découvrirez dans vos boîtes aux lettres un courrier que j’ai le plaisir de partager dès aujourd’hui avec vous sur Facebook !

10 décembre 2025

[POLITIQUE & SUJETS DE SOCIETE]

Gilles La Carbona

L’agriculture française doit mourir en silence...


-10/12/2025- Encore un troupeau qui, dans l’Ariège, sera massacré avec la complicité de la préfecture et des FDO. Nous l’avons déjà écrit dans nos colonnes, la dermatose nodulaire n’est pas une maladie mortelle pour le cheptel. Le matraquage qui est fait par Bruxelles et nos médias subventionnés, donc labellisés, est une immonde propagande de soumission, destinée à nous faire croire que c'est la seule solution. Nous l’avons répété et le martelons encore, en 1992 l’île de la Réunion a été touchée et s’en est sortie sans détruire les troupeaux. L’épidémie a disparu en quelques mois, et causé la mort de seulement 4% des animaux. Ce serait une raison suffisante de ne pas suivre ce nouveau protocole. Bruxelles, qui en exigeant l’abattage systématique de toutes les bêtes si un cas est révélé, ne protège rien mais contribue à l’effacement du patrimoine génétique que nos éleveurs s’échinent à sélectionner depuis des années.
C’est évidemment une attaque frontale contre la France et ses petits paysans. Même quand les bêtes sont toutes vaccinées, elles peuvent tomber malades et il faut les tuer... mais à quoi sert alors ce vaccin ? L’isolement des vaches contaminées est largement suffisant pour enrayer l'épidémie. C'est ce qui avait été fait à l'époque avec l'aide d'un vaccin efficace. Oui mais voilà, en 1992, nous ne devions pas subir les injonctions technocratiques et délirantes de la commission européenne. C’est là qu’est le mal. La désobéissance des pouvoirs publics face aux données scientifiques sur cette maladie, appuyée par l’expérience de la France en la matière devrait être la règle. La volonté de préserver notre richesse agricole devrait passer avant l’obéissance stupide et scélérate aux lobbys étrangers et intérêts supra-nationaux. Mais il n’en est rien, et les autorités se retranchent frileusement derrière les oukases européens pour détruire nos exploitations, pensant que des dédommagements pourront remplacer des années de sélection.
C'est le mirage macronien : compenser un animal par une somme d'argent. On ne compense jamais la disparition d'années de travail, de patience, pour parvenir à l'excellence. Tout cela pour permettre l’arrivage de viandes étrangères via le Mercosur, ce que tout le monde a bien compris, il ne faut pas prendre les gens de la campagne pour des imbéciles. La méthode est insupportable et nous attendons que nos oppositions se mobilisent pour faire cesser ce massacre. Mais bougeront-elles ? Rien n’est moins certain, elles sont tellement mollassonnes et finalement corrompues, tellement frileuses dès qu’il s’agit de s’opposer à l’UE... Où sont les écolos, les défenseurs de la nature, eux si prompts à hurler à la mort contre un chasseur qui tire un sanglier déjà blessé dans un fossé ? Là, il ne manque pas une voix de ces indignés de salon, mais qu’on détruise demain 208 vaches vaccinées qui ne présentent aucune trace de maladie, et ils deviennent muets, absents, pas intéressés. Nos administrations ne savent plus qu’obéir aveuglément et en aucun cas faire preuve de distance critique dans l’application de directives souvent ineptes, pondues par des bureaucrates éloignés du terrain. Notre souveraineté alimentaire, dimension chère à De Gaulle, est donc en péril. Il y a 33 ans, la France était encore l’un des tout premiers exportateurs mondiaux de produits agricoles et le secteur faisait même partie de l’excellence et des secteurs exportateurs excédentaires. Aujourd’hui nous sommes importateurs et déficitaires : vive la PAC. Les exploitations familiales disparaissent et c’est bien là l’un des objectifs sous-jacents de Bruxelles. Une épidémie et voilà le prétexte idéal.
Nos parlementaires auront failli sur tous les sujets. Budgétairement ils savent que le budget est mauvais, mais ils s’abstiennent, au lieu de voter contre. Comme c’est pratique de fermer les yeux au lieu de regarder la réalité en face. Entre le Mercosur, les accords avec l’Inde, la mort des agriculteurs français et européens est au bout de la route, avec un continent à la merci des autres pour son alimentation. Pourtant Macron croit encore pouvoir impressionner. De retour de son calamiteux voyage en Chine n’a-t-il pas osé parler d’augmenter les droits de douane avec ce pays pour rééquilibrer une balance commerciale européenne qui se construit de plus en plus sans la France ? La réalité est que Bruxelles veut détruire ce qui nous reste de puissance, l’agriculture, et que le RN, et tous les autres ne font strictement rien. Bardella parlait de victoires à Bruxelles, d’influences majeures capables de faire plier la machine à broyer qu’est l’UE, eh bien où est-il sur ce sujet ? A-t-il demandé ne serait-ce qu’un moratoire ? Non… pour se défendre, les agriculteurs ne pourront compter que sur eux-mêmes et sur l’appui de citoyens. Dans cette confrontation, le paradigme du pouvoir a changé, il ne s’agit pas pour lui d’empêcher la mort de l’agriculture française, mais plutôt de veiller à ce que les agriculteurs meurent en silence.

[Le blog des esprits libres et éclairés, c'est ici ⇨ liberteresistance.fr]

9 décembre 2025

Galerie Murmure

Samedi 20 décembre, de 15h à 18h, la galerie accueillera Isabelle Gougenheim, tout juste arrivée de Chicago

« L'art lave notre âme de la poussière du quotidien », disait Pablo Picasso.
Il a ce pouvoir, d'ouvrir des fenêtres là où l'on croyait voir des murs.
Il nous lie les uns aux autres, nous questionne, nous éclaire, nous apaise, nous emporte ailleurs tout en nous centrant sur l'essentiel.


Portés par le désir de partager cette beauté qui nous lie, nous sommes ravis de vous inviter à rencontrer Isabelle Gougenheim qui arrivera tout juste de Chicago, samedi 20 décembre de 15h à 18h à la galerie Murmure.


Un temps d’échanges, de discussions et de partage autour de son univers, de sa démarche et de ses œuvres...


Dans la douceur de cette fin d'année, nous vous souhaitons également de merveilleuses fêtes, emplies de beauté, de poésie et de paix.


Galerie Murmure
5 place de l'Ancienne Douane à Colmar
jeudi et vendredi : 14h à 18h - samedi : 10h à 19h
Et tous les jours sur rendez-vous
contact@galerie-murmure.fr
Tél. +33 3 89 41 49 25
www.galerie-murmure.com
Instagram: galerie_murmure
Yann Durrière
9/12/2025


Hier soir, j’étais présent au Conseil municipal de Colmar, aux côtés de Nathalie Aubert et d’une partie de notre équipe, pour assister à la dernière séance de l’année.
Une séance dense, avec beaucoup d’éléments importants. Et il faut le reconnaître : l’ambiance trahissait clairement l’entrée en campagne municipale. Messages subliminaux, prises de position voilées… on y est.
Comme trop souvent, l’opposition écologiste de gauche s’est surtout distinguée par du bruit et des discours interminables, souvent pour ne rien dire,… tout en tapant systématiquement à côté des sujets essentiels.
Et le plus étonnant, c’est que cette prétendue opposition siège en réalité dans la majorité, avec même un adjoint au maire : M. Hilbert.
Jamais un vote contre, jamais une prise de distance, toujours un alignement total avec la majorité.
Difficile de parler d’opposition quand on ne s’oppose jamais…
C’est pourquoi il faut être clair :
La seule opposition réelle, cohérente et déterminée pour Colmar, même sans siège au conseil, c’est nous : le Rassemblement National / UDR.
Une opposition qui travaille, qui observe, qui analyse et qui prépare l’alternance au service des Colmariens.
Michel Spitz
8/12/2025

CASSE-NOISETTE

Un grand plongeon dans le monde magique de Marie, de Frantz, de l'oncle Drosselmeyer, des soldats de plomb, du roi des souris, de la princesse Pirlipa et d'un magnifique Casse-Noisette.
Une découverte de l'histoire du jouet favori de Marie, le Casse-Noisette, qui s'anime pendant la nuit de Noël et l'emmène sur son bateau dans un royaume merveilleux !
Avec le concours de Sherley Freudenreich, artiste visuelle, l'incroyable monde sonore et musical de Piotr Ilitch Tchaïkovski s’incarne sur un grand écran. L’ensemble instrumental de professeurs du Conservatoire de Colmar interprète l'Histoire d'un casse-noisette, d'après Ernst Theodor Amadeus Hoffmann
Direction musicale : Pierre Hoppé
Art visuel : Shirley Freudenreich
Récitante : Blanche Giraud-Beauregard
Composition musicale : Piotr Ilitch Tchaïkovski
Ensemble instrumental : Carlotta Paolacci (flûte traversière), Jean-François Philipp (clarinette), Dominique Frœhly (violon), Hélène Silici Mérot (violoncelle), Isabelle Comtet (piano), Bernard Lesage (percussion)
Production : Association Directo Cinéma
Avec le soutien de la Ville de Strasbourg au titre de la convention d'accompagnement Spectacle Vivant 2025-2027